Gens de France communique...
Reçu de Gens de France :
Allant dans le sens de l’action sociale qu’il nous a annoncée, le prince Jean a emmené tout un groupe de jeunes de la banlieue nord-est de Paris, issus de la « diversité », à la basilique Saint-Denis. Il leur a expliqué le rôle joué par ce sanctuaire dans l’histoire de France, et qui étaient ces rois dont ils découvraient les gisants. En un mot, il leur a parlé de la France.
Ces élèves de terminale, sélectionnés pour leurs bons résultats scolaires, comptent faire des études supérieures. Une occasion leur aura été donnée d’entendre un prince de France leur parler de l’œuvre accomplie par sa Famille.
Cette initiative du Prince va être suivie d’autres. La première sera avec des jeunes d’un quartier nord de Paris, qui pensent déjà à leurs vacances d’été…
Pour lire le compte-rendu : Gens de France
PS : en complément utile à ce déplacement, les jeunes invités du Prince pourront consulter notre Album :
Commentaires
Notez sur vos tablettes : 15 mai 2011.
800ème anniversaire de la cathédrale de Reims en présence de S.A.R. Louis de Bourbon-Parme, duc d'Anjou.
Je sais que les "Bourbons" aiment bien s'inventer des titres, mais le titre de Bourbon de Parme est déjà pris par des cousins.
Je consens tout à fait à retirer ce PARME qui semble en effet être arrivé là par erreur.
En revanche, je ne peux rien pour vous en ce qui concerne le retrait d'EGALITE.
Ceci est très intéressant et marque le début d'une reconquête, à laquelle il est indispensable d'associer les Français qui ont le plus perdu leurs points de repère, ou qui, tout simplement, sont Français sans savoir ce que cela représente.
Il serait bien de faire parler ces jeunes, dans la lettre de Gens de France, savoir ce qui les a intéressé, ce que cela leur a apporté, s'ils seraient prêts à découvrir d'autres aspects de notre pays.
Tout à fait d'accord avec DC.
Pas du tout avec antoine moutel sur Luis Alfonso de Bourbon.
Tout passe par là. Le successeur des anciens Rois est bien placé pour parler de ces derniers aux jeunes de banlieue.
Sinon, Loulou Franco parviendra-t-il un jour à se débarrasser de son patronyme dictatorial ?