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Toulon: Deux mères de famille vendaient la paternité de leurs bébés à des "sans-papiers" (clandestins, en bon français)....

            Les juges idéologues et pro-immigrationnistes ont montré la voie, en annulant des rétentions pour vices de forme. Voilà encore une affaire -dévoilée par Var Matin, courant février- qui montre que l'on doit hardiment s'engager sur le glorieux chemin qu'ils ont indiqué; et qu'il faut éplucher toutes les listes d'immigrants depuis 1975, en annulant pour "vices de forme" toute décision administrative indûment accordée, sur des bases fausses et des renseignements mensongers. Et, bien sûr, toute naturalisation.....

             Pour "vices de forme", comme disent les Juges.....

             Voici l'entrefilet de Var matin:

Paru hier, mercredi 17 février 2010 à 21:31

De vrais bébés pour de faux papas ! Deux mères de famille toulonnaises et deux étrangers en situation irrégulière ont été mis en examen pour "reconnaissance frauduleuse de paternité dans un but migratoire". Les deux hommes et l'une des deux mamans ont été écroués. Le système mis au jour par la sûreté départementale de Toulon consistait à faire reconnaître des nouveaux-nés par des sans-papiers afin de faciliter leur régularisation, moyennant finances (5000 à 7000 euros). Au moins quatre fausses reconnaissances de paternité auraient été ainsi obtenues pour trois enfants, l'un d'entre eux ayant été reconnu par deux hommes différents. Une information judiciaire a été ouverte par le parquet de Toulon afin de déterminer l'ampleur de ce trafic de paternités.

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