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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Charles Prats : « Pour BFM TV, la fraude aux prestations sociales a fondu de 45 milliards d’euros samedi dernier à un mi

    Une polémique sur les chiffres a fait suite au débat Zemmour-Mélenchon qui s’est tenu ce jeudi 23 septembre. En effet, alors que le journaliste a affirmé que la fraude aux prestations sociales s’élevait à 50 milliards d’euros, fondant son discours sur les chiffres annoncés dans le livre Cartel des fraudes, de Charles Prats, la cellule de fact-checking de BFM TV a rectifié le chiffre, annonçant que la fraude représentait seulement un milliard d’euros.

    Charles Prats, ancien magistrat de la Délégation nationale à la lutte contre la fraude, s’exprime sur cette polémique.

    https://soundcloud.com/bvoltaire/charles-prats-2

    Vous êtes magistrat et vous avez publié Le cartel des fraudes, dont le deuxième tome va sortir. Lors du débat entre Éric Zemmour et Jean-Luc Mélenchon, le montant des fraudes sociales a été évoqué. Éric Zemmour a cité votre chiffre et BFM TV a répondu que ce chiffre était faux. Auriez-vous induit Éric Zemmour en erreur ?

    Je ne sais pas si c’est moi ou BFM TV qui a induit Éric Zemmour en erreur ! Pas plus tard que samedi dernier, BFM TV faisait une émission de fact-checking sur ce sujet de la fraude aux prestations sociales, et selon eux, l’estimation de la fraude est de 45 milliards d’euros. J’aurais tendance à dire que nous avons là une preuve irréfutable du réchauffement climatique : leur estimation de la fraude aux prestations sociales est passé de 45 milliards d’euros samedi dernier à 1 milliard d’euros ce jeudi soir , ça fond, ça fond très vite !

    Beaucoup d’internautes, à l’occasion de ce fact checking, ont réglé leurs comptes avec vous et vous ont critiqué. Que révèlent ces réactions ?

    Je ne connais pas ce monsieur qui m’a attaqué, il paraît qu’il est préfet. Il dit que ces chiffres sont des balivernes, je l’invite à aller dire cela aux deux parlementaires missionnées par le gouvernement en 2019, la sénatrice UDI Nathalie Goulet et la député En Marche Carole Grandjean, ainsi qu’à l’ensemble des députés, membres de la commission d’enquête parlementaire sur la fraude aux prestations sociales, qui ont enquêté en 2020 et ayant rendu un rapport avec l’unanimité des groupes politiques sur ce sujet là. Si ce monsieur, que je ne connais ni d’Ève ni d’Adam et qui n’a jamais travaillé de sa vie contre la fraude ni même attrapé un fraudeurs, considère que les professionnels racontent des balivernes, on ne va pas s’émouvoir pour si peu !

    Comme Éric Zemmour reprend vos thèses, n’avez pas vous de faire le jeu de l’extrême droite ?

    Ce n’est pas une question de jeu de l’extrême droite, de l’extrême gauche. Si vous regardez un peu ce qui se passe durant cette pré campagne présidentielle, vous remarquerez qu’il n’y a pas qu’Éric Zemmour qui vient sur les sujets que je défends depuis des années. Il reprend des arguments qui sont aussi dans le débat public, il n’est pas interdit à Éric Zemmour de les prendre. J’ai également entendu Marine Le Pen en parler.
    Hier soir Valérie Pécresse était également en débat à la télévision face a Gérald Darmanin. Elle a évidemment expliqué que la lutte contre la fraude aux prestations sociales est un vrai sujet, elle a cité le rapport de la commission d’enquête et les mêmes chiffres que les miens. s’est également saisi de ce sujet là depuis un certain temps et en a également parlé ce matin sur France Info. Il propose des solutions en reprenant notre proposition de biométrisation du numéro d’identité sociale pour la sécuriser. Philippe Juvin, candidat à la primaire LR en a également parlé dans son dernier livre.
    Quant à moi je suis secrétaire national de l’UDI, le parti centriste. Je ne peux que me féliciter que la plupart des acteurs politiques de premier plan viennent sur ce sujet là.

     

    Charles Prats

    Magistrat, ancien juge d'instruction
    Délégué au développement de l’Association Professionnelle des Magistrats (APM)
  • Non à la France liberticide !, par Christian Vanneste.

    La France ressemble de plus en plus à un navire dont le commandant et les officiers s’obstinent à suivre un cap suicidaire, droit sur le récifs, et font régner à bord une discipline de plus en plus sévère et absurde tandis que les passagers se partagent entre soumission et révolte, mais toujours sans penser au bateau, uniquement à leurs peurs intimes et à leurs intérêts personnels.

    christian vanneste.jpgNotre pays continue à ouvrir ses portes à une immigration dont on pèse désormais le coût, non seulement sur la dépense publique, sociale, médicale, et sécuritaire, mais aussi et surtout de manière plus qualitative sur la dégradation de notre cohésion nationale. Et cette politique migratoire irresponsable s’inscrit dans une double perspective, progressiste, qui fait de l’immigration un devoir, et mondialiste qui fonde le progrès sur l’ouverture à tous les échanges, de biens, de services et d’individus. De nombreux Etats dans le monde ne visent nullement ces objectifs leur préférant l’intérêt du pays, et la sauvegarde de l’unité nationale. Le déclassement économique de la France, son recul social et éducatif, la montée de la violence sont des indicateurs alarmants. La gestion lamentable de la crise sanitaire alors que l’on présentait notre système de santé comme un phare mondial devrait signaler à nos dirigeants que notre déclin bascule en zone d’alerte maximale.

    Or, le gouvernement ne cultive avec insistance qu’une angoisse, celle du Covid-19. Celle-ci est distillée chaque jour et amplifiée par des mots et des chiffres que les médias reprennent en choeur : tests positifs, taux d’incidence, hospitalisations, réanimations, décès, qui conduisent à diffuser la préoccupation, l’inquiétude, le risque imminent d’un basculement d’une région en zone d’alerte « rouge » et celui, inéluctable, d’une seconde vague du virus. On observera que la létalité due au Covid demeure modeste et ciblée, que les chiffres d’hospitalisation n’ont rien à voir avec ceux du printemps, que l’usage qui est fait des tests les rend inefficaces en raison des délais d’analyse, et plus encore parce qu’ils amènent à confondre positivité, contamination, et contagiosité. Enfin, la mortalité dans le pays a été peu modifiée par cette épidémie qui tue moins que d’autres maladies curieusement oubliées. Mais, cette peur collective entretenue, loin de renforcer la solidarité de manière dynamique, distend les liens sociaux, en même temps qu’elle augmente les contraintes sous peine de sanctions. Elle transforme une nation en troupeau, soumis à un berger liberticide, heureux de réduire les rassemblements et la contestation. Une tribune contestant la politique sanitaire du pouvoir devait paraître dans le JDD, qui l’a censurée.

    Si nous devons être vraiment inquiets, c’est de la sournoise combinaison qui se produit entre ce contrôle de la population, et la réduction de la liberté d’expression. C’est ainsi qu’une fois de plus, Eric Zemmour est la cible de l’inquisition de gauche qui règne dans le pays. On peut certes lui reprocher une généralisation abusive au cours d’une improvisation, qu’il a corrigée par la suite. Mais la vigueur et le nombre des commissaires politiques, qui réclament sa condamnation, nous rappellent que la liberté de pensée n’a cessé de reculer dans notre pays depuis des lustres. Doublement plus grave : le « ministre » de la justice, Dupont-Moretti, le traite de « multi récidiviste de la haine », et il le fait sur une chaîne du service public (France 5). Il est clair que pour l’avocat, la délinquance verbale est au moins aussi grave, sinon plus, que la violence physique. Or, c’est cette dernière qui révoltait le journaliste après l’attentat commis près des anciens locaux de Charlie Hebdo par un faux mineur pakistanais. On voit bien quelles sont les priorités idéologiques du « garde des sceaux », alors même qu’avec 880 homicides enregistrés par les services de police et de gendarmerie en 2019, le nombre de victimes d’homicide sur un an est en hausse de 4% (+35) par rapport à celui de 2015, année marquée par des attentats terroristes ayant causé 148 victimes, contre 4 en 2019. Sur une autre chaîne du service public (France-Inter), intervenait un « sociologue » d’extrême-gauche, Geoffroy de Lagasnerie, venu promouvoir son bouquin en même temps que son refus du débat, la censure de la droite, et bien sûr la légitimité de l’aide à l’immigration illégale. M. Macron peut parler du séparatisme sans l’attaquer à la source, c’est-à-dire dans notre folle politique migratoire. Il peut aussi interdire que l’on accuse cette source grâce à la complicité des médias et de la justice. En cela, il conduit le vaisseau France à une catastrophe, une vraie, cette fois.

  • Le feuilleton Zemmour, par Olivier Perceval.

    Il y a ceux qui ont peur de la Covid, et puis il a ceux qui ont peur de Zem­mour. Ces der­niers traquent le chro­ni­queur sur les rares pla­teaux télé où il a encore accès, dans l’espoir de s’indigner à peu de frais et orga­ni­ser le tol­lé (A mort ! Relâche Barab­bas ! Cru­ci­fie-le ! Cru­ci­fie-le !) Et le CSA de s’émouvoir et l’administration judi­ciaire de se mobi­li­ser. On nous a déjà fait le coup avec Valeurs actuelles et madame Obo­no. Notre très digne garde des sceaux, quant à lui, oubliant qu’il n’exerce plus la fonc­tion d’avocat des meur­triers les plus abjectes, n’a même pas l’attitude de Pilate, mais crie à mort avec les grands prêtres.

    olivier perceval.jpgNon, Zem­mour n’est pas Jésus, il n’est même pas chré­tien, là s’arrête la com­pa­rai­son, de plus il a le verbe haut et le ton pas­sion­né et l’accusation dont il est pour la N ème fois la vic­time n’a pas chan­gé : Il est raciste un point c’est tout. L’équation est simple, si on est pour mettre un frein à l’immigration, cela veut dire qu’on est raciste, fran­chouillard, petit blanc et donc juste auto­ri­sé à la fer­mer et prendre des coups sans les rendre. Et cela ne va que dans un sens bien sûr, les pro­pos racistes tenus par ceux qui inter­disent l’accès aux blancs non musul­mans dans les réunions indi­gé­nistes et « déco­lo­nia­listes » ne peuvent en aucun cas être cri­ti­qués, puisque là , il s’agit d’ éter­nelles vic­times, donc non cou­pables.

    Figa­ro vox note :

    « On réin­vente l’apartheid, on revient aux années 1930 tout en pré­ten­dant les com­battre », s’inquiète le phi­lo­sophe Pas­cal Bru­ck­ner. Avant de citer quelques slo­gans délé­tères : « Sibeth traître à sa race », « mort aux Blancs ». Slo­gans enten­dus lors d’une mani­fes­ta­tion… anti­ra­ciste. C’était le 6 juin à Paris.

    Mais ça, ne déclenche curieu­se­ment aucun pro­cès, aucune bron­ca ou si peu qu’ils ne sont rap­por­tés par aucun média.

    Zem­mour est donc l’homme à abattre car il col­lec­tionne toutes les pho­bies : xéno­phobe, homo­phobe, isla­mo­phobe, trans­phobe et pour­quoi pas, étant don­né sa sil­houette svelte, grossophobe…Ou encore zoo­phobe ?

    Il est éton­nant, du reste, que la pho­bie tombe sous le coup de la loi. Car la pho­bie, c’est la peur et la peur n’est pas ration­nelle.  C’est comme la peur de la COVID 19, lar­ge­ment entre­te­nue par les auto­ri­tés avec le sou­tien des médias, et celle-là est non seule­ment légale, mais est en passe de deve­nir obli­ga­toire.

    A quand une loi sur la Zem­mou­ro­pho­bie ?

    Source : https://www.actionfrancaise.net/

  • Libération de Sophie Pétronin : ”100 jihadistes remis dans la nature, un prix très cher”, estime un spécialiste de la sé

    Sophie Petronin, 75 ans, a été libérée jeudi 8 octobre après avoir été retenue en otage au Mali pendant près de quatre ans. (STRINGER / AFP)

    "Ils vont reprendre les armes immédiatement", affirme Peer de Jong, ancien aide de camp des présidents François Mitterrand et Jacques Chirac.

    "Cela n’a pas de prix de libérer des personnes prises en otage, mais quoi qu'il en soit, le prix est très, très cher", a réagi Peer de Jong, ancien aide de camp des présidents François Mitterrand et Jacques Chirac et coauteur de Sécurité et développement dans le Sahel, du concept à la réalité (Editions l’Harmattan), vendredi 9 octobre sur franceinfo après la libération de Sophie Pétronin.

    12.jpgSelon lui, la libération d’une centaine de jihadistes la semaine dernière comme éventuelle monnaie d’échange "est une réelle catastrophe" pour le Mali.

    franceinfo : Pourquoi était-ce si difficile d'obtenir la libération de Sophie Pétronin ?

    Peer de Jong : C’est certainement une question de prix. Les négociations ont toujours un prix. Ce sont les Italiens et les Français, il fallait payer quelque chose. Les négociations ont tourné autour de la rançon qu'il fallait payer. En fait, il y avait un quatrième personnage, c’est Soumaïla Cissé, un homme politique très connu qui était en campagne électorale pour les élections législatives au Mali. Il y a eu un déclic qui était qu’un homme politique très connu au Mali a été fait prisonnier. La solution qui a été trouvée était de l’échanger contre des prisonniers d'Al-Qaïda qui étaient en prison au Mali.

    Le Mali a été le théâtre d'un putsch militaire au mois d'août. Est-ce que ce putsch a permis d’accélérer la libération de Sophie Pétronin ?

    À l'évidence, les événements politiques au Mali au mois d'août ont été déterminants. Je pense que les conditions de la négociation ont été transformées et que des deux côtés, on avait besoin d'apaisement et de trouver une solution. C’est à l'évidence le Conseil national du salut du peuple (CNSP), l'émanation politique de la junte [qui a pris le pouvoir au Mali], qui a pu négocier et transformer les négociations qu’ils avaient mis en place avec Al-Qaïda. Al-Qaïda, c’est le Jnim [Jama'at nusrat al-islam wal-muslimin, ou Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, une organisation salafiste]. Le Jnim, c’est une espèce de consortium terroriste qui amalgame Al-Qaïda. Un système assez nébuleux. C’est relativement compliqué de négocier avec ces structures-là. Mais à l'évidence, c’est le CNSP qui a trouvé la solution pour pouvoir négocier avec eux.

    La junte militaire au pouvoir au Mali a fait libérer le week-end dernier plus d'une centaine de jihadistes de prison. Cela n’était pas suffisant, il fallait une rançon en plus ?

    La rançon financière que vous évoquez, personne n'en saura jamais rien ou on saura dans quelques années ce qui a été négocié. De toute façon, la libération d'une centaine de jihadistes qui étaient en prison, on parle de 200, c'est une réelle catastrophe pour le pays. Cela n’a pas de prix de libérer des personnes prises en otage, mais quoi qu'il en soit, encore une fois, le prix est très, très cher. Cent jihadistes remis dans la nature c’est quand même relativement dur à avaler pour les combattants, pour l'armée malienne, etc. Et bien évidemment, ils vont reprendre les armes immédiatement. Il n'y a aucune raison qu'ils restent tranquillement à faire de l'agriculture. Ils vont repartir sur le terrain.

    Avec la libération de Sophie Pétronin, il n'y a plus d'otages français aux mains de jihadistes. Est-ce que cela peut permettre à l'armée d'avoir un peu plus les coudées franches ?

    Je ne pense pas. Cette notion n’était pas prise en compte pour des raisons liées à une série de facteurs. Le premier, c'est que personne ne savait où elle était réellement. Le deuxième facteur, c'est que les opérations militaires Barkhane sont à Gao, globalement à l’est du Mali, ce qu'on appelle la région des Trois frontières. Madame Pétronin était... n’importe où. Le Mali est un pays immense. Le fait que madame Pétronin soit prise en otage n'entrait pas en ligne de compte dans les opérations militaires que les Français montaient.

    Source : https://www.francetvinfo.fr/

  • Islamisme : en France, la déscolarisation des petites filles s’accélère !, par Marie Delarue.

    Mardi se tenait, à la Sorbonne, sous la houlette de Jean-Michel Blanquer, le « séminaire national annuel des coordonnateurs des équipes académiques “Valeurs de la République” ». En langage vernaculaire, une énième rencontre autour de la laïcité, mot-valise et notion aléatoire sur la définition de laquelle il n’y a pas moyen de s’accorder…

    5.jpegJ’aimerais dire que le constat est unanimement partagé mais, hélas, ça renâcle toujours à gauche. L’évidence est pourtant là, dans les chiffres remontés par « les référents laïcité » de chaque académie : les faits sont de plus en plus précoces et la majorité des cas sont liés à l’islamisme. Comme le confie au Parisien Jean-Pierre Obin, ancien inspecteur général de l’Éducation nationale et auteur – en 2004 ! – d’un rapport sur les contestations de la laïcité en classe, rapport aussitôt enterré par François Fillon : si les chiffres qui remontent au ministère paraissent faibles, c’est parce que « plus du tiers des enseignants ont déclaré s’être déjà autocensurés “pour éviter des incidents”. En zone d’éducation prioritaire, ils sont même majoritaires avec 54 % ! Une bonne partie des faits passe ainsi sous les radars. »

    Les choses bougent, et pas dans le bon sens ! Ainsi, il apparaît, aujourd’hui, que le primaire est très largement concerné, avec plus d’un tiers des signalements. Premières visées : les petites filles. C’est une évidence pour tous les acteurs de l’Éducation nationale, même si « aucune statistique officielle n’est cependant disponible pour mesurer l’ampleur d’un phénomène qui est double », écrit le journal L’Opinion dans un long article consacré au sujet. Victimes d’une culture entretenue par des mères qui ne remettent pas en cause leur soumission, « soit les petites filles ne sont jamais scolarisées, soit, après quelques années, elles sont retirées de l’école ». Au mieux, c’est-à-dire au pire, elles sont « scolarisées » dans des écoles clandestines, telles celles découvertes la semaine passée à et la semaine précédente à Sevran. On y accueillait « des petites filles de trois ans entièrement voilées », ce qui, soit dit en passant, est une totale ineptie au regard de la religion musulmane.

    Jean-Louis Auduc, ancien directeur de l’IUFM de l’académie de Créteil, explique à L’Opinion le fossé culturel qui s’est creusé, favorisé par la lâcheté des gouvernements qui, depuis des décennies, ferment les yeux : « L’école ne joue plus le rôle d’émancipation qu’elle a eu pour les premières générations d’immigrés. Même dans des familles maghrébines où pourtant les mères ont bien réussi à l’école, le recul est important mais il l’est plus encore dans les familles originaires d’ subsaharienne. » Au cœur du problème, le décrochage des garçons entretenus dans leur toute-puissance. « Les filles réussissent mieux, poursuit Jean-Louis Auduc, c’est un fait. […] Or, cette réussite des filles est souvent vue comme dangereuse, mettant en cause la virilité des frères et la position des pères. C’est terrible à dire mais un père musulman peut avoir honte du succès de sa fille. D’où la tentation de ne pas les scolariser ou de leur faire quitter l’école, ce qui est plus difficile car ados, les filles se rebiffent et leurs amies ou le collège les protègent. » La crise sanitaire a dramatiquement accentué cette entreprise d’enfermement, multipliant ces filles « cloîtrées chez elles, sous la surveillance des grands frères ».

    Jean-Louis Auduc le rappelle : « Il y a trois ou quatre ans, la propagande de Daech avait visé la France, pays “où les filles deviennent juge, médecin ou professeur”, et avait promis que l’islam allait rétablir la place des garçons. »

    Si l’on peut louer, aujourd’hui, la lucidité de ce monsieur, on est toutefois tenté de lui demander ce qu’il a fait, lui, depuis son poste éminent de formateur, pour enrayer la catastrophe annoncée…

     

    Marie Delarue

    Ecrivain, musicienne, plasticienne
     

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Non, l’assassin de Victorine n’est pas un « père de famille ordinaire », par Gabrielle Cluzel.

    On le sait, le métier de journalistes est, hélas, en France, parmi les plus impopulaires. Selon un sondage récent, les Français ont ainsi jugé anxiogène et catastrophiste le traitement du coronavirus par les médias. Ils sont même 60 % à juger la couverture trop importante. Que l’on se rassure, la « grande » presse ne fait pas toujours dans la tragédie dramatique, elle sait même être souvent euphémisante et incroyablement optimiste.

    gabrielle cluzel.jpegLa preuve par le choix des mots.

    Le 1er octobre, BFM TV nous apprend qu’« une bagarre éclate dans une salle du lycée Paul-Éluard de Saint-Denis : un élève de première technologique âgé de 20 ans a poignardé l’un de ses camarade (sic) âgé de 16 ans ». Ce n’est pas très gentil. Copier sur le voisin, lui piquer une bille, lui tirer la natte, le bousculer à la cantine, passe… mais le poignarder, non, vraiment, ce camarade de classe dépasse les bornes. Penser à lui faire copier vingt fois sur l’ardoise Velleda « Le couteau n’a pas sa place à l’école en dehors de la cantine, je le laisse à la maison », ça lui servira de leçon. Il est vrai qu’on a connu dans les goulags des « camarades » fort peu amènes à côté desquels celui-là, malgré son arme blanche, peut passer pour presque sympa. Il est vrai que puisqu’on en parle, c’est sur le terreau de Seine-Saint-Denis que le Parti communiste en mal d’électeurs essaie de se faire la cerise, et que l’on trouve sans doute donc là-bas quelques camarade de (lutte de) classe.

    Le 3 octobre, Le Huffington Post s’est fait l’écho d’une mise en garde de Twitter : « Testé positif au coronavirus, le président américain a été admis à l’hôpital […] Une nouvelle que certains ont reçu (sic) avec un peu trop d’enthousiasme (sic) sur les réseaux sociaux. » « Vu le contexte, explique la journaliste, Twitter a jugé bon de rappeler que les tweets qui se réjouissent ou espèrent la mort de quelqu’un seront supprimés. » Pour Le Huff, souhaiter la mort de son prochain – en tout cas quand celui-ci s’appelle Donald Trump -, c’est déborder de bonheur. Les tempéraments joyeux, c’est quelque chose.

    Le 14 octobre, alors que le meurtrier de vient d’avouer, Le Parisien choisit de titrer : « Le mystère Ludovic B. “petit délinquant” et “père de famille ordinaire” » (sic). On sait que le coup du pater familias irréprochable fonctionne du feu de Dieu depuis Simenon et Chabrol. Le notable qui s’installe en charentaises dans le fauteuil crapaud du salon en attendant que Madame, qui vient de mettre le rôti au four et fait réciter la poésie au petit, l’appelle à table alors qu’il vient de violer et assassiner une fillette dans les bois a toujours beaucoup de succès. Ce scénario a alimenté la littérature et la cinématographie des années 60-70, d’abord parce que l’épouvante naît du contraste – le sang sur les murs des maisons bourgeoises est un grand classique des films d’horreur, et c’est, du reste, pour cela que l’affaire Dupont de Ligonnès fascine tant -, ensuite parce que la société péri-68arde raffolait de ce genre de coupable.

    A-t-on si soigneusement effacé la figure du père pour ne plus seulement savoir à quoi il ressemble ? Non, « un père de famille ordinaire » n’est pas un délinquant, même « petit », il n’est pas « connu de la justice pour des affaires de stupéfiants » (Le Parisien), n’a pas été « condamné à une dizaine de reprises pour des délits de droit commun » ( Match), il ne consomme pas de cocaïne. Avoir un enfant de 6 mois ne suffit pas à faire d’un voyou de 25 ans ce « bon père de famille » auquel se référait, jadis, le Code civil. Assassiner une jeune fille de 18 ans, en revanche, mue à coup sûr ce « petit délinquant » en grand criminel. Et c’est bien de cela, et rien que de cela, qu’il s’agit.

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Violents combats au Haut-Karabakh où les Arméniens reculent, par Antoine de Lacoste.

    Les combats se poursuivent au et l’armée azerbaïdjanaise poursuit sa progression, malgré une farouche résistance arménienne. Sa supériorité en hommes et en matériel lui a permis de pénétrer dans le territoire proprement dit du Haut-Karabakh et de menacer la ville clé de Chouchi (appelée aussi Shushi).

    antoine de lacoste.jpgAu début de l’offensive, déclenchée par le sud, le 27 septembre dernier, la progression des agresseurs n’était pas encore trop inquiétante. Elle se déroulait en plaine et dans les territoires annexés par l’Arménie après la fin de la guerre en 1994. Le Haut-Karabakh, stricto sensu, ne semblait pas menacé et l’on se demandait même si c’était vraiment un objectif de l’Azerbaïdjan de le reconquérir alors que cette enclave est presque exclusivement peuplée d’Arméniens.

    Mais, galvanisé par le très actif soutien turc, le président Aliev semble maintenant décidé à aller jusqu’au bout. Une double offensive se déploie donc depuis plusieurs jours : tout d’abord vers le corridor de Lachine afin de couper l’enclave de son voisin l’Arménie. La route stratégique n’a pas encore été reprise mais les Azerbaïdjanais sont tout près et elle n’est, en tout cas, plus praticable. Le ravitaillement sera donc plus difficile et s’il reste une autre route au nord, celle-ci est extrêmement dangereuse. Quant aux blessés, ils ne pourront plus être évacués vers Erevan, la capitale de l’Arménie, mais à Stepanakert, capitale du Haut-Karabakh.

    La seconde offensive est plus importante encore : elle vise la ville historique de Chouchi. Située sur les hauteurs, sa chute mettrait la capitale Stepanakert sous le feu de l’artillerie azérie et des redoutables drones généreusement fournis par la . L’envoyé spécial du Monde décrit des combats violents sur les pentes qui mènent à Chouchi, d’où les fantassins azerbaïdjanais ont pour l’instant été repoussés. Mais pour combien de temps ?

    L’écart en matériel est trop important pour être comblé en quelques semaines. Israéliens et Turcs fournissent des armes sophistiquées à l’Azerbaïdjan depuis plusieurs années, tandis que l’Arménie a des armes russes plus anciennes. « Une guerre de retard », commentaient des officiers arméniens inquiets. L’écart en effectifs est essentiel, lui aussi : si tous les hommes du Haut-Karabakh (et de tous âges) sont au front, l’armée arménienne est restée en Arménie, le pays ne pouvant pas déclencher une guerre ouverte avec l’Azerbaïdjan. Il y a 10 millions d’habitants en Azerbaïdjan, tandis que 150.000 Arméniens peuplent le Haut-Karabakh, et si de nombreux volontaires arméniens sont venus prêter main-forte à leurs frères (certains sont même venus de France), cela ne peut évidemment rétablir l’équilibre.

    Dans ce contexte, l’attentisme russe laisse perplexe. Certes, un camp de volontaires islamistes syriens en partance pour l’Azerbaïdjan a été anéanti par l’aviation russe dans la province d’Idleb, mais c’est tout (la source syrienne s’est d’ailleurs tarie, ensuite). Poutine et Lavrov (le ministre des Affaires étrangères) privilégient la voie diplomatique, mais les trois cessez-le-feu annoncés depuis un mois sont restés lettre morte.

    On comprend bien que Moscou ne veuille pas couper les ponts avec Bakou, ce qui jetterait définitivement l’Azerbaïdjan dans les bras d’Ankara. Peut-être, aussi, que la Russie fait payer aux Arméniens leur intransigeance, puisque depuis 1994, ils refusent de rendre les territoires azéris conquis autour du Haut-Karabakh.

    Quoi qu’il en soit, le temps presse et Erdoğan se frotte les mains.

  • Guerre dans le Haut-Karabakh : pour les Arméniens, la situation devient critique !, par Pierre Arette.

    Que se passe-t-il dans la république d’Artsakh, ce 29 octobre, au 33e jour de guerre ?

    Depuis l’agression azerbaïdjanaise du dimanche 27 septembre, la situation semble s’être lourdement dégradée pour la petite république autoproclamée et son allié arménien. Les progrès tactiques – et peut-être à terme stratégiques – des forces de Bakou paraissent indéniables.

    8.pngSur le plan militaire : le front arménien semble avoir commencé à céder vers les 16 et 17 octobre, par une percée azerbaïdjanaise au sud-est du Karabakh, moins accidenté, sur les bourgades du rayon de Fizuli, aujourd’hui ville fantôme ; suivie d’une progression par l’axe routier sud jusqu’aux zones plus montagneuses du sud-ouest, sur Zangilan, à 5 km de la frontière arménienne, tombée le 20 octobre ; et d’une remontée vers le nord sur le rayon frontalier de Qubadli, « libérée » le 25 selon le président Aliyev. Au total, depuis le début du conflit, plus d’une centaine de localités, dont trois « villes », seraient aux mains des forces de Bakou ; soit une zone de plus de 1.600 km2. Leur objectif étant, maintenant, de poursuivre la percée vers le nord, depuis Aşağı Fərəcan (rayon de Latchin et limite nord de leur progression) en remontant par la vallée de l’Akera pour couper le corridor du col de Latchin/Berdzor, voie d’accès stratégique la plus courte entre l’Arménie et le .

    Sur le plan psychologique : l’enclave d’Artsakh comptait environ 150.000 habitants, avant le début du conflit. Beaucoup ont dû abandonner leurs foyers devant l’intensité des bombardements ennemis : 70.000 à 75.000 civils déplacés, environ 50 % de la population de l’enclave, réfugiés pour la plupart à Erevan. Les forces azerbaïdjanaises disposent, en effet, d’un armement efficace ; vecteur de stress : les lance-roquettes BM-30 Smerch (« Tornade »), montés sur véhicules, mobiles, exportés par la Russie depuis les années 1990, dignes successeurs des « orgues de Staline » ; combinés, surtout, avec des dizaines de drones tueurs : les israéliens Orbiter 1K et les turcs Bayraktar TB2, déployés depuis 2015. Armes presque imparables en zone accidentée.

    Le nombre des victimes reste, pour l’heure, indéterminé du fait d’une propagande constante des deux partis qui déclarent avoir tué « des milliers » d’ennemis ; mais affirmait, voici huit jours, qu’on approchait vraisemblablement des 5.000 morts. Pour lui, le conflit serait entré maintenant « dans la pire de ses variantes ». Puissance régionale hégémonique, la Russie, qui maintient des rapports équilibrés avec les deux États rivaux, ne peut risquer un enlisement qui lui serait économiquement préjudiciable, ni l’écrasement de son allié civilisationnel arménien qui déstabiliserait la zone au profit de la . Cette petite phrase en dit long. Pour l’instant, les gardes-frontières russes, déployés le long de la frontière arménienne, garantissent son inviolabilité. Si la situation se dégradait irrémédiablement pour Erevan, Moscou devrait engager un rapport de force contraignant avec Bakou.

    « Nous comprenons qu’une telle situation, quand une partie importante du territoire azerbaïdjanais est perdue, ne peut continuer », a ajouté le président russe, parlant d’une guerre ayant ses racines dans une « lutte territoriale » et un « affrontement ethnique ». Reste à savoir s’il entend légitimer, par ces mots, un état de fait imposé par la guerre perdue par Bakou en 1994 ; ou, sur le constat de l’avantage acquis des forces azéries après un mois de guerre, amener les belligérants à renégocier un compromis de frontières.

    Vladimir ne tolérera certainement pas une épuration ethnique contre les Arméniens de l’Artsakh au nom du panturquisme. Mais, à l’heure de la difficile négociation politique qu’il s’apprête à mener, le résultat du combat pour Latchin sera déterminant. La défense de ce col ne doit pas devenir le Điện Biên Phủ des Arméniens !

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Retour à Métro-boulot-dodo, mais en beaucoup moins bien !, par Christian Vanneste.

    La France schizophrène ? Au sens étymologique du terme plus que dans sa signification psychiatrique, la France, sa conscience collective, sont coupées en deux parts qui sont en contradiction l’une avec l’autre et ne sont pas loin d’infliger au peuple français le supplice de l’écartèlement promis aux régicides. Il y a en haut un pouvoir qui distille l’angoisse et étrangle les libertés de la majorité des Français. Ceux-ci, soumis à la peur de la pandémie, voient leur vie se restreindre jour après jour comme une peau de chagrin. 

    christian vanneste.jpgD’un confinement l’autre, entre deux couvre-feux, la règle exclut les lieux de convivialité où on se ressourçait entre amis, proscrit les réunions qui permettaient à la pensée de s’exprimer sans frein, morcelle la cité en individus soucieux de sauver leur peau en évitant les autres. Mais il y a en bas, non sans complicité avec le haut, une attaque systématique et dissolvante contre tout ce qui pouvait protéger et rassurer l’individu.

    De manière obsessionnelle, l’information est monopolisée par la peur du virus, entretenue sans cesse par des messages angoissants. Pendant ce temps, l’immense majorité de ses habitants continue à vivre, mais de plus en plus mal. La situation actuelle fait renaître l’expression “métro, boulot, dodo” emblématique des années 1960, à l’époque où la France connaissait la croissance et le plein emploi, mais où  “elle s’ennuyait”, selon la formule de Pierre Viansson-Ponté, dans un article du Monde. Cet “ennui” dans la monotonie d’un quotidien qui ressemblerait bien aujourd’hui au bonheur perdu, traduit assez bien le divorce qui s’est produit entre le microcosme de l’oligarchie parisienne et le peuple français. Voilà des décennies que de prétendues élites occupent le pouvoir en imposant leurs priorités à une France qui en crève. Pierre Béarn dans son poème avait écrit : “métro, boulot, bistro, mégots, dodo, zéro”. On ne regrettera pas la diminution des “mégots”, mais ils sont remplacés par les “joints”. On constate la fermeture des bistrots et, avec elle, la disparition d’un havre de socialisation. On déplore la raréfaction du travail. Ce qui en reste sépare les Français dans un nouvel archipel entre ceux qui vont au travail, masqués et entassés dans les wagons, culpabilisés au volant de leur voiture, ceux qui n’y vont pas parce qu’ils n’en ont pas ou plus et ne sont désormais que des consommateurs plus ou moins capables de consommer, et ceux qui  bossent à domicile, parfois seuls. Quant à ceux qui vivent avec leur famille ou leurs proches dans des logements assez grands et qu’un chauffeur vient chercher pour les conduire à leur bureau, ils sont à part, mais ce sont eux qui décident de la vie des autres.

    Ce sont eux qui en démolissant systématiquement la famille traditionnelle au nom d’une illusoire libération ont généré cette “foule solitaire” qui fait de moins en moins d’enfants et qui s’en occupe si peu. L’Express reprenait récemment l’anathème de Gide, ce riche héritier pédophile : “familles je vous hais”, pour montrer que la famille est la cible de plusieurs livres récents qui en font le foyer des turpitudes, de Yann Moix à Camille Kouchner en passant par Raphaël Enthoven. Violences, viol, pédophilie : la famille serait coupable, qu’il s’agisse de maltraitance infantile, de viol, de pédophilie. Mais à y regarder de près, entre les élucubrations d’une âme compliquée prête à tout pour satisfaire son narcissisme et les déboires des familles décomposées, recomposées, redécomposées, explosées, est-ce la famille qui est l’accusée, ou sa destruction par des esprits pervers ? La manoeuvre consistant à appeler inceste un viol commis par un beau-père consiste justement à mettre en accusation la famille quand c’est sa désintégration et sa “recomposition” qui sont en cause. Xavier Gorce, dessinateur au “Monde” avait ironisé sur la complexité des “liens” créés par les nouvelles configurations “familiales” et sur la relativité des normes comportementales qui en résultait, Alain Finkielkraut avait plus sérieusement posé la question du consentement, que le Sénat vient de relancer en inscrivant l’âge de 13 ans comme celui à partir duquel il pourrait être pris en compte. L’humoriste, écoeuré par les excuses du “Monde” est parti, le philosophe, lui, a été chassé de LCI, tandis que Cohn-Bendit continue d’afficher sa nullité intellectuelle et morale sur les écrans. L’air de rien, de la “révolution” de 1968 contre le triptyque “métro-boulot-dodo”, ce qu’il en reste est le triptyque bien abîmé avec chômeurs et SDF, avec moins de liberté, notamment de s’exprimer, moins de bonheur en famille, avec beaucoup plus de violences aussi comme le souligne le “lynchage” de Yuriy, ce garçon de 15 ans massacré dans le 15e arrondissement par une bande, tardivement révélé par la presse et non élucidé par la police. Le Covid est un puissant éteignoir !

    Source : https://www.christianvanneste.fr/

  • François de Rugy n’est pas seulement allergique au homard. Il l’est aussi, semble-t-il, au catholique…, par Gabrielle Cl

    Demain ne meurt jamais, disait James Bond. Un homme politique non plus. Même après un tragique bad buzz. La preuve par . Le Français candide s’imaginait peut-être que le ci-devant ministre de la Transition écologique et solidaire, la tête basse et le front rouge, irait en robe de bure et bottes en caoutchouc planter des choux, enfin piquer de la mâche, en bon Nantais qu’il est, jusqu’à la nuit des temps.

    gabrielle cluzel.jpegPenses-tu. Il a retrouvé, en août 2019, son poste de député – où il se fait discret un certain nombre de mois avant de se présenter, en juillet 2020, à la présidence du groupe LREM de l’Assemblée. Il échoue. Mais en décembre 2020, on lit dans le quotidien Ouest-France qu’il sera tête de liste aux élections régionales de 2021 pour la région Pays de la Loire.

    Il est nommé, peu après, président de la commission spéciale parlementaire sur le projet de loi «  », sur proposition de Christophe Castaner, son concurrent victorieux à la présidence du groupe LREM à l’Assemblée.

    Un choix que l’homme ayant dénié à Notre-Dame sa qualité de cathédrale ne doit pas regretter, tant François de Rugy marche avec un talent certain dans ses pas et ses bourdes.

    On l’a bien compris, le projet de loi refuse de cibler nommément son objet. On a trouvé le mot flou de « séparatisme » plus astucieux que celui d’« » car il joint l’utile – ne pas froisser l’électorat des banlieues, il ne faut jamais insulter l’avenir, surtout si près d’échéances électorales – à l’agréable : s’ouvrir la riante perspective d’inclure dans le périmètre d’autres catégories de population, en particulier les catholiques, qui ont la particularité pénible de ne pas adhérer avec tout l’enthousiasme et la ferveur nécessaires au progressisme sociétal « en marche ».

    « Ce n’est pas nouveau que les religions veuillent prendre la main sur la vie des gens à travers l’école, les clubs sportifs », explique donc, avec assurance, François de Rugy en commission à l’Assemblée, « cela a existé massivement avec la religion catholique. »

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    Mais bien sûr. Comparer adroitement l’enseignement catholique, qui a fondé l’instruction en France, l’a portée durant des siècles, lui a donné son excellence et sa rigueur, et qui a été proprement décalquée par les hussards noirs de la République qui n’avaient d’autre ambition que rivaliser avec elle, avec les écoles coraniques ? Mettre en parallèle le patronage, le scoutisme qui ont sauvé tant d’enfants en déshérence, jusqu’à faire de tant d’entre eux de bons soldats qui tomberont pour la patrie, et l’entrisme islamique dans les salles de sport. Pourquoi se gêner ?

    Les sœurs de la Charité devront-elles aussi demander pardon d’avoir « pris la main » durant des années « sur la vie des gens » dans les hôpitaux, les maternités, soignant les malades, assistant les parturientes, sans relâche, horaires, repos hebdomadaire, syndicat, revendication, grève, rétribution propre ? Quel attentat, au juste, ont-elles fomenté, planquées derrière leur cornette ? Avant elles, quelle sorte de séparatisme terroriste pratiquait sainte Catherine de Sienne, du Tiers Ordre dominicain, quand elle soignait les pestiférés ?

    Assimiler tous les musulmans aux islamistes est de l’amalgame, mais assimiler toutes les religions, en particulier le catholicisme, à l’islamisme ne stigmatise personne.

    François de Rugy – c’était sa ligne de défense, la preuve irréfragable de son innocence dans l’affaire que l’on sait – est intolérant au homard. Il est visiblement tout aussi allergique au catholique.

    Tout mélanger, pourtant, c’est tout banaliser. Instiller l’idée que l’islamisme ne serait qu’un catholicisme un peu rugueux n’ayant pas fait son aggiornamento. Pourquoi, somme toute, s’en inquiéter ?

     

    Gabrielle Cluzel

    Ecrivain, journaliste
  • Le Système est l'héritier du Terrorisme révolutionnaire, négationniste/révisionniste et matrice des Totalitarismes moder

    Aujourd'hui (12) : Dans la Loire, les sinistres noyades du sinistre Carrier...

    (documents tirés de notre Album : Totalitarisme ou Résistance ? Vendée, "Guerre de géants...")

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    Aujourd'hui, Robespierre porte costume et cravate, il affiche une apparence distinguée, et loge sans vergogne dans les appartements de la Royauté, tâchant de ressembler à ces autres Rois ou Présidents du monde.

    Mais il ne s'agit que d'un masque, d'une leurre, d'une Tartuferie institutionnalisée : c'est "le chaos figé des conservateurs du désordre" qui est en place, sous des apparences "normales" et policées; et ce chaos n'est rien d'autre que l'héritier assumé du "chaos explosif des révolutionnaires".

    Voici quelques exemples de ce que fut ce "chaos explosif" des révolutionnaires de 1789/1793, si fanatiques qu'ils ont eux-mêmes baptisé leur méthode de gouvernement (?) "la Terreur"; de ses aspects monstrueusement inhumains, d'une atroce barbarie, qui préfiguraient les épouvantables horreurs du marxisme-léninisme et du nazisme...

    Et voilà pourquoi, chaque année, nous signalons cette date du 21 janvier à nos compatriotes comme celle du début de notre décadence, comme l'origine de tous nos maux, comme la matrice et le ventre - hélas fécond - d'où sont sortis les abominations qui ensanglantent le monde depuis lors...

    Voici quelques aspects de ce que fut la Terreur révolutionnaire en Vendée, et ce qu'en ont dit quelques uns de ceux qui ont oeuvré à sa mise en œuvre "systématique", au sens premier du terme...

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    Aujourd'hui (12) : Dans la Loire, les sinistres noyades du sinistre Carrier...

    (documents tirés de notre Album : Totalitarisme ou Résistance ? Vendée, "Guerre de géants...")

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    C'est lui qui a proféré cette horreur :

    "Nous ferons un cimetière de la France plutôt que de ne pas la régénérer à notre manière et de manquer le but que nous nous sommes proposé"

     

    5.000 personnes tuées en quatre mois par ce "missionnaire de la Terreur" (le mot est de Jules Michelet).

    Carrier arrive à Nantes, centre du commerce avec les îles et de la traite des noirs, à la fin de septembre. Il est alors un conventionnel obscur, dont personne encore n'avait entendu parler.

    C'est un homme nerveux, irascible, que la constante idée de la mort a désaxé. Très grand, maigre, brun, la face plate, le front fuyant, la bouche convulsive, toujours gesticulant, ce qui lui donne l'air d'un pantin désarticulé.


    Cet Auvergnat, ancien procureur, est probe et le demeurera. Mais, buvant déjà en Auvergne, il a glissé depuis à l'ivrognerie décidée.

    Dans le terrorisme appliqué aux provinces, Carrier peut être tenu pour un esprit original. La guillotine est lente, la fusillade - dont on a fort usé déjà - fait trop de bruit. Or il faut déblayer les prisons de Nantes qui regorgent et où s'est insinué le typhus. Pour les vider, la Loire est là, si large, par endroits si profonde, et dont les tourbillons sont si "officieux"...

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    Comme on ne peut noyer tous les prisonniers à la fois, on choisit parmi eux, on établit des préséances.

    D'abord les prêtres condamnés à la déportation. Pour la première fois, à la fin de brumaire, quatre-vingt-dix sont conduits, dévêtus et les mains liées derrière le dos, dans une gabarre à trappe jusque devant Paimboeuf. Là, la trappe joue, ils coulent. Cet essai de "déportation verticale", comme dit agréablement l'inventeur, ayant bien réussi, encouragé par son principal complice, le créole Gaullin, Carrier le renouvelle en Frimaire.

    D'autres noyades suivent, sept en tout qui font deux milles victimes, au bas mot, car on n'en a pas tenu registre. Prêtres, religieuses, unis en "mariages républicains", "brigands" vendéens, fédéralistes, aristocrates, femmes, enfants même, la "baignoire nationale" restera sans conteste le chef-d’œuvre de la Terreur.

    Carrier a "expliqué" (!) tranquillement ses crimes : 

    "Le nombre des brigands est incalculable... La guillotine étant trop lente, et attendu qu'on dépense de la poudre et des balles en les fusillant, on a pris le parti d'en mettre un certain nombre dans de grands bateaux, de les conduire au milieu de la rivière, et là, on coule le bateau à fond. Cette opération se fait continuellement..." 

     

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    C'est "çà", la Révolution !

    C'est "ça" qui fut voulu et ordonné par Robespierre et sa bande de psycopathes de la Convention; et fidèlement exécuté sur le terrain par "les Bleus", qui ont perpétré là le premier Génocide des Temps modernes, doublé d'un mémoricide puisque, deux siècles et demi après, celui-ci n'est toujours pas reconnu

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    Le visage de Robespierre reconstitué par Philippe Froesch, présenté à Barcelone en décembre 2013, par un spécialiste de la reconstruction faciale, qui dit avoir utilisé les techniques du FBI et du cinéma, et un médecin légiste, qui en a profité pour donner la liste des maladies dont souffrait le révolutionnaire... 
  • L’insécurité ? Rien qu’un « sentiment », vous dit-on…, par Marie Delarue.

    Dans un sondage réalisé par l’institut CSA dont les résultats ont été rendus publics le 27 mai, il apparaît que 81 % des Français pensent que la justice de ce pays est trop laxiste. Dans le détail, 37 % sont tout à fait d’accord avec cette affirmation et 44 % plutôt d’accord quand 1 % seulement la réfutent.

    6.jpgPlus intéressant encore, ce sont majoritairement les jeunes qui pointent ce manque de sévérité, soit 83 % des 18-24 ans et 88 % des 25-34 ans ; ce taux n’atteint “que“ 77 % chez les 35-49 ans.

    Et carrément époustouflifiant, cette fois, l’opinion est majoritaire quel que soit le bord politique, y compris à  (79 %) ou La France insoumise (67 %). Seuls les sont partagés (51 %).

    Qu’en dit le ministre Dupond-Moretti ? Il dit que les Français ont tort : ils sont abusés par leurs sens. Le laxisme de la justice, c’est comme l’ : un « sentiment ». Et le ministre d’avancer des chiffres au poids et à l’épaule : 132.000 peines de prison ferme ont été prononcées en 2019 contre 120.000 en 2015. Il ne dit pas combien sont réellement exécutées… Ne dit pas non plus que sur les décisions de justice rendues chaque année, 30 % sont un simple rappel à la loi. Ne parle pas bien sûr des délais entre la commission du délit et le jugement, ce qui conforte le sentiment d’impunité.

    Les Français sont donc idiots, ou trop sensibles. Toutefois, quand la télé d’É

    tat s’en mêle, il devient difficile de taire la vérité. On espère donc que les duettistes Dupond-Moretti et Darmanin auront regardé le 27 mai le reportage d’Envoyé spécial (France2) intitulé « Des trafiquants aux portes de l’école ».

    Une école élémentaire, dans un quartier “défavorisé“ totalement livré aux trafiquants. C’est à , au Chemin-Bas d’Avignon, où l’on a monté des grilles de trois mètres de haut autour de l’école Georges Bruguier parce qu’un dealer s’y est réfugié, en décembre dernier, pour échapper à la . On se tire dessus à proximité, en fond sonore pendant les récréations. Dix policiers ont été envoyés en renfort mais « les voitures de patrouilles, repérées par les guetteurs, sont régulièrement caillassées ». Le quartier est une zone de non-droit absolu où, en mars dernier, des camions de CRS ont été attaqués au mortier d’artifice et contraints de rebrousser chemin.

    La , tout ou presque en vit. « C’est une toile d’araignée », dit une mère qui a accepté de témoigner. Elle raconte : « Il y a une maman, son fils guettait. Il a voulu arrêter. Ils lui ont défoncé la porte. Ils ont tout saccagé chez elle, en sa présence. Le petit, ils l’ont mis en sang, il s’est retrouvé aux urgences, et la maman, elle était impuissante. Elle n’a jamais porté plainte parce qu’elle savait ce qui allait se passer derrière. Tout le quartier le sait. »

    Dans ce quartier où 60 % des familles vivent sous le seuil de pauvreté, on recrute les guetteurs à la porte de l’école : 100 euros la journée pour faire le chouf.

    « Le 4 janvier 2021, les responsables d’écoles du Chemin-Bas et du Clos-d’Orville, à Nîmes, ont adressé une lettre ouverte au président de la République, restée pour le moment sans réponse », apprend-on. Il y a plus urgent : par exemple prendre des sanctions sévères contre les militaires qui savent, eux, qu’ils seront bientôt le dernier recours dans ces quartiers en sécession.

    À propos de justice, j’ai un exemple concret pour le ministre. Victime d’une agression avec violence en février 2017, j’ai été avisée après plusieurs mois qu’un juge d’instruction devait être nommé. Quatre ans se sont écoulés. J’ai fini par oublier… le juge, pas l’agression. Et puis voilà un mois on m’a appelée pour me dire que mon agresseur allait passer devant le tribunal des enfants début mai. J’ignorais qu’on l’avait retrouvé. On m’a juste demandé si je voulais « me porter partie civile », espérant peut-être que je dirais non. Le juge était souffrant. Le procès est reporté à l’automne.

     

    Marie Delarue

     

    Ecrivain, musicienne, plasticienne

  • Le pass sanitaire obligatoire : une usine à gaz coercitive, par Marie Delarue.

    Les autorités médicales ont, ces dernières années, fait la guerre à l’homéopathie qui, nous dit-on, n’aurait au mieux qu’un effet placebo. En revanche, « la dose homéopathique », elle, est vantée par les autorités médicales.

    Ainsi l’OMS, qui veut vacciner tous les citoyens de cette planète, juge qu’« une telle obligation ne pourra être instaurée que de façon progressive ». À dose homéopathique, donc. Trois gouttes de persuasion tous les matins à jeun.

    2.jpgL’Académie de médecine est pour. Il faut piquer tout le monde, vu que « Les mesures individuelles (gestes barrières) et collectives (couvre-feu, confinement) sont incapables de contrôler dans la durée » l’épidémie de Covid-19.

    On va commencer par « les professions essentielles : enseignants, professions de santé, police et fonction publique en général, services d’approvisionnement en alimentation, eau, énergie, argent liquide et matériel informatique ». Cela, en préalable, aux « activités professionnelles comportant un contact avec le public », à savoir commerces, restauration, hôtellerie, établissements culturels et sportifs, avant « toutes les activités comportant déplacements ou rassemblements » tels voyages internationaux, cures thermales, événements associatifs, enfin les « avant la rentrée universitaire 2021 » et les donneurs de sang.

    On en oublie ? Non, liste Le Figaro, puisque les adolescents et les petits enfants sont aussi dans le viseur. Et de rappeler que « les vaccins protégeant contre 11 maladies sont obligatoires chez les nourrissons », alors pourquoi pas 12, hein ? C’est vrai, quoi, balancer un peu plus ou un peu moins de charge virale dans un organisme immature, quelle importance ?

    O-BLI-GA-TOI-RE, et pis c’est tout ! Allez hop, on ne discute pas !

    Malgré tout cela, notre Président jure que non : personne ne sera obligé d’y passer. C’est un choix individuel : soit on se confine à vie, soit on se fait piquer. C’est simple comme la citoyenneté : consommation + vaccination.

    Pour nous aider dans la prise de décision, les vingt-sept États membres de l’Union européenne ont décidé, mardi, de la mise en place urgente d’un « “certificat numérique” permettant une réouverture large et coordonnée des pour les citoyens vaccinés, testés ou immunisés ». Comme titre l’édito de Libération : «  : il était temps ! »

    Sur le papier, ou plutôt sur le smartphone, c’est simple. Dans la réalité, c’est un vrai casse-tête. L’Élysée l’admet : « Impossible de faire du pass sanitaire une condition pour voyager. Il sera au mieux un outil de fluidification », chaque État demeurant maître de ce qu’il exige ou accepte (quels tests, quels vaccins, quarantaine ou no, etc.). De plus, « même les personnes complètement vaccinées ne seront pas tout à fait à l’abri d’un durcissement des mesures », car « si la situation du pays d’origine se détériore, le pays d’arrivée reste libre d’introduire de nouvelles restrictions. Il devra simplement en informer la Commission et les États membres 48 heures à l’avance. »

    Vous pensez pouvoir être tranquille en renonçant aux à l’étranger ? Erreur. À partir du 9 juin prochain, si vous voulez aller au restaurant,vous devrez non seulement respecter la distanciation sociale et le port du masque, mais présenter votre « carnet de rappel numérique » dont l’utilisation sera rendue obligatoire par un décret dans les jours prochains. La CNIL est pour.

    Avis aux récalcitrants : « Une personne qui refuse de scanner le code ou de laisser ses coordonnées de manière manifeste – ou emploie un pseudonyme volontairement farfelu – peut se voir interdire l’accès du lieu concerné. Et les gérants de ces mêmes lieux qui refuseraient d’appliquer ces mesures seront, eux, passibles d’une amende, voire risqueront la fermeture administrative de leur établissement. »

    Question de ma voisine : ils croient vraiment que je vais embaucher quelqu’un pour faire la police à l’entrée ?

     

    Marie Delarue

    Ecrivain, musicienne, plasticienne

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    1. "66 millions de décapitables" (1) : d'accord avec Philippe de Villiers :

    https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/politique/macron-linfluenceur-est-le-grand-responsable-de-ce-drame-philippe-de-villiers-reagit-a-lassassinat-dun-pretre-vendeen-par-un-refugie-rwandais/

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    2.  "66 millions de décapitables" (2) : d'accord aussi avec Lionnel Luca :

    Lionnel Luca
    "Les larmes de crocodiles c’est pour les imbéciles ! Quand un État laisse un individu qui a mis le feu à un bâtiment public en liberté il est forcément responsable du crime suivant ! Tout le reste n’est que fadaises !"
     
    • En effet, pourquoi le Système laisse-t-il entrer en France des gens dont il dit qu'il ne peut pas expulser ? C'est évidemment faux : au Danemark, qui a décidé de cesser l'accueil des immigrés, le chiffre de demandeurs d'asile s'est effondré, preuve que, quand on veut, et si on veut, on peut !...
     

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    3. "66 millions de décapitables" (3) : d'accord aussi avec Alexandre del Valle :

     "Rappel. Comme maints jihadistes, l’assassin Rwandais arrivé illégalement en France, qui a incendié la cathédrale de #Nantes, est présenté comme un « déséquilibré », et le gouvernement n’a jamais voulu l’expulser."

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    4. "66 millions de décapitables" (4) : d'accord aussi avec Andréa Kotarac :

    "...Ca commence par une entrée illégale en France pour quelqu’un qui ne remplit aucun critères du droit d’asile et ça finit par un incendie et un meurtre plusieurs années après. Et personne ne doit répondre de cette situation lunaire ?..."

    (extrait vidéo 0'54) :

    https://twitter.com/AndreaKotarac/status/1424801771973709828?s=20

     

    5. "66 millions de décapitables" (4) : d'accord aussi avec Éric Zemmour : 

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    6. En écoutant France inter : "Pas de contrôle ou un contrôle visuel : les débuts très timides du pass sanitaire en terrasse"...

    https://www.franceinter.fr/societe/pas-de-controle-ou-un-controle-visuel-les-debuts-tres-timides-du-pass-sanitaire-en-terrasse

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    7. Quand le Ministre de la des-Éducation nationale se fait taper sur les doigts (et donc accuser carrément de mensonge) par le champion olympique Evan Fournier, "ça la fout mal" (pour le Ministre) : Dalida chantait "Paroles ! Paroles ! Paroles !..." Evan Fournier, lui, cogne largement plus fort !... Dans l'extrait vidéo ci-dessous (0'54) on entend Jean-Michel Blanquer dire :

    "On a réussi à avoir des médailles d'or dans les sports collectifs (…) cela dit quelque chose d'ailleurs : le hand, le volley et le basket sont des sports très pratiqués dans les écoles (…) Cela montre que le système scolaire a beaucoup d'importance".

    Pan sur le bec immédiat du champion :

    "Au contraire monsieur le ministre @jmblanquer. Notre culture sportive à l'école est désastreuse. Si mes coéquipiers et moi même sommes arrivés à l'élite de notre sport c'est grâce aux associations sportives, aux clubs, aux bénévoles mais en aucun cas grâce à l'école."
     

    https://twitter.com/EvanFourmizz/status/1424758619183198210?s=20

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    À DEMAIN !

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  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    1. Tant qu'il y aura des Bercoff !...

    André Bercoff
    "J’adore tous les cons qui n’ont pas encore compris - et les cyniques qui font semblant de ne pas comprendre - qu’il n’y a plus désormais qu’un seul pouvoir en #France : l’exécutif.

    Le reste : muets du Sérail, fidèles castrats et potes du jackpot. Tous les autres ? Faites vos jeux."

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    2.  ... et des Messiha ! :

    Jean MESSIHA
    "On incite les non-piqués à se piquer. On veut même les voir au bout d’une pic. Mais la #racaille qui pique on ne la pique jamais. Le #gouvernement se pique de la politique #sanitaire qu’il veut épique mais sur le #sécuritaire il est non priapique. #Gouvernement de porcs-épiques !"

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    3. Gabrielle Cluzel a raison : ce très mauvais gouvernement est fort avec les faibles, faibles avec les forts. Il traque les Français non vaccinés mais fiche une paix royale aux délinquants, à qui il  a abandonné des quartiers entiers de ce qui fut, sous les Rois, "la douce France"... Comment expliquer qu'on a confiné 67 millions de personnes, qu'on menace d'une vie atroce les gens non vaccinés, alors qu'on est incapable de faire mener une vie terrible à ces délinquants ! Il y a bien un manque de volonté politique, une capitulation en rase campagne...

    (extrait vidéo 2'15)

    https://twitter.com/Je_Puig/status/1419735065504985091?s=20

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    On nous pardonnera d'être obligés de reprendre ses propos vulgaires, dignes de lui peut-être, mais pas de nous et de nos lecteurs : un conseiller ministériel a dit "Les non-vaccinés, il faut qu’ils aient une vie de merde". On préférerait, nous, que ce soient les délinquants qui aient une vie de merde ! Et que les conseillers du Chef de l'État employassent un langage plus châtié...

     

    3 BIS. Il faut dire qu'il n'est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre : au moment où l'on fait mémoire du cinquième anniversaire de l'assassinat du Père Hamel, Darmanin ose dire (et il n'est pas viré sur le champ) :

    "La barbarie à laquelle nous nous confrontons depuis de nombreuses années n’a pas de nationalité, ni de religion"

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    Ah, bon ? Les deux jeunes assassins du Père n'avaient pas de religion ? Pourtant, tous les médias ont bien été obligés de dire qu'ils étaient membres de celle qui s'appelle "de paix et d'amour", qu'ils se réclamaient de l'organisation "État islamique", et qu'ils avaient publié des vidéos d'allégeance au Califat : drôlement bien renseigné, notre Sinistre de l'Intérieur ! Avec un pied nickelé pareil aux commandes, on est rassuré !!!!

     

    5. Santé/Covid 19 : L’ivermectine atténue les symptômes de la Covid-19 dans un modèle animal selon l’Institut Pasteur…

    https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/ivermectine-attenue-symptomes-covid-19-modele-animal

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    5 BIS. Alors que le gouvernement conditionne l'abandon des gestes barrières au passe sanitaire, le médecin urgentiste et directeur médical de Doctissimo s'inquiète des conséquences sanitaires de ces nouvelles mesures : pour le Docteur Kierzek, "Le passe sanitaire pourrait aggraver l'épidémie"... :

    https://www.lefigaro.fr/vox/societe/dr-kierzek-le-passe-sanitaire-pourrait-aggraver-l-epidemie-20210726

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    7. L'Europe résistante se met en place, dans tous les domaines, et elle grandit, et c'est tant mieux ! Deux exemples :

    • 8 pays de l’UE refusent le matraquage LGBT : Bulgarie, Croatie, Pologne, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Tchéquie, Hongrie. Tous ont refusé de signer le soutien à la marche des fiertés de Budapest...

    • Le chancelier Sebastian Kurz déclare que "les réfugiés afghans n’ont rien à faire en Europe". Pour lui, l’immigration est un facteur d’antisémitisme, de misogynie et d’homophobie. Il vient d’interdire les Frères Musulmans en Autriche...

     

    8. Et pour terminer cette série d'aujourd'hui par un sourire : il n'est pas "trop", notre Macron, là ? "Trop", Comme on dit en langue "djeun" ? Les mauvaises langues disent que les Polynésiens se sont fichus de lui : à bien y réfléchir, à bien y regarder de plus près, on croit entendre comme une petite voix qui nous susurre (comme dans Kaamelott) : "C'est pas faux !..."

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    À DEMAIN !

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