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Rechercher : Rémi Hugues. histoire

  • Deux vidéos à ne pas rater vous seront proposées cette semaine

    Ces deux vidéos seront les suivantes :

    Colloque du cercle Vauban du 6 décembre 2014  1/8  

    Extraits du colloque du Cercle Vauban, « Pour un nouveau régime », le 6 décembre 2014 à Paris.

    Frédéric Rouvillois évoque « l'Etat décapité, la dépendance en question ».

    Jacques Trémolet de Villers parle de « La justice à la dérive, bilan et perspectives ».

    et d'autre part : 

    Charles Maurras : un portrait politique

    Entretien avec Olivier Dard, historien, agrégé, docteur en histoire contemporaine et professeur à l’université Paris-Sorbonne - Paris IV. UNE VIDÉO DU CERCLE HENRI LAGRANGE 
     
  • Paris : la conférence de Gilles Varange, c'est ce soir...

     Cercle Histoire, culture et patrimoine :

    Mardi 18 novembre 2014 

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    La nouvelle guerre froide

    Les tensions américano-russes décryptées, Comment l’Europe se fait piéger.

    Par Gilles Varange

    Journaliste à Politique magazine et à la Nouvelle Revue Universelle, ancien grand reporter à la Voix du Nord, Ecrivain 

    Rendez-vous à partir de 19H30 - Conférence à 20H00 précises - Libre participation aux frais

    Salle Henry de Seilhac de l’A.S.I.E.M. - 6, rue Albert de Lapparent - 75007 Paris - Métro : Ségur, La Motte-Piquet, Cambronne

     

  • A Paris, aujourd'hui ...

     

    « Du point de vue le plus terrestre, du point de vue politique, ce qu'il y a d'incomparable, chez Jeanne d'Arc, c'est la justesse du coup d'oeil, le bon sens, la rectitude du jugement.

    Pour sauver la France créée par ses Rois, confondue avec eux, il fallait relever la Royauté. Pour relever la Royauté, il fallait rendre confiance et prestige à l'héritier qui finissait par perdre espoir et, peut-être, douter de sa naissance même.

    C'est pourquoi la première rencontre de Jeanne et de Charles VII est si émouvante. Le geste de Jeanne reconnaissant le Dauphin qui la met à l'épreuve, et tombant à ses genoux, est décisif. Le principe sauveur, la monarchie, est désigné. »  •

     

    Jacques BAINVILLE,  HISTOIRE DE FRANCE

  • Paris, le 8 novembre ... Conférence de Bernard Lugan : « Panorama des crises africaines »

     

    Les mardis de Politique magazine

    Conférence le mardi 8 novembre 2016

     « Panorama des crises africaines »

    par Bernard Lugan
    historien africaniste, auteur de Histoire de l’Afrique du Nord (Le Rocher)

    Rendez-vous à partir de 19h00 - Conférence à 19h30 précises
    Participation aux frais : 10 euros -  Etudiants et chômeurs : 5 euros

    Salle Messiaen
    3, rue de la Trinité  75009 Paris  Métro: La Trinité, Saint-Lazare

    Renseignements :  Politique magazine, 1, rue de Courcelles, 75008 Paris

    Tél. 01 42 57 43 22

  • Café actualités d’Aix en Provence : Reprise ce soir

    Cette fois, ce n’est pas un mauvais rêve, ou l’effet d’une vision trop pessimiste du temps présent. L’histoire connaît ainsi de brutales accélérations… Nous parvenons très précisément là où nous ont conduits, au nom du bien, toutes les « autorités » politiques, religieuses, enseignantes…qui nous ont débarrassés des derniers fondements de notre civilisation.

    Psychorigides et monomaniaques, ils persistent, et nous convient à ouvrir nos portes….au nom de la morale et… des exigences économiques (Croissance quand tu nous tient !) accomplissant ainsi un crime contre l’humanité.

    Après l’hybris (Démesure, illimitation….) les sagesses antiques nous disent que vient inévitablement Némésis (Châtiment).

    Il y aura sans doute beaucoup de choses à dire, et de nombreux participants pour en parler. 

  • Café actualités d’Aix en Provence : Reprise mardi 6 ocobre

    Cette fois, ce n’est pas un mauvais rêve, ou l’effet d’une vision trop pessimiste du temps présent. L’histoire connaît ainsi de brutales accélérations… Nous parvenons très précisément là où nous ont conduits, au nom du bien, toutes les « autorités » politiques, religieuses, enseignantes…qui nous ont débarrassés des derniers fondements de notre civilisation.

    Psychorigides et monomaniaques, ils persistent, et nous convient à ouvrir nos portes….au nom de la morale et… des exigences économiques (Croissance quand tu nous tient !) accomplissant ainsi un crime contre l’humanité.

    Après l’hybris (Démesure, illimitation….) les sagesses antiques nous disent que vient inévitablement Némésis (Châtiment).

    Il y aura sans doute beaucoup de choses à dire, et de nombreux participants pour en parler.  

  • CINEMA • Erick Dick : « La Vendée a lutté contre l’agression culturelle »

     

    par Raphaël de Gislain

    Auteur d’un documentaire en forme de voyage sur les traces du chef vendéen le plus emblématique, le réalisateur Eric Dick remet Charette à l’honneur. Alors que son film vient de sortir, Politique magazine l’a rencontré.

    Pourquoi cet intérêt pour les guerres de Vendée ?

    Avant tout, je suis vendéen et l’histoire des guerres de la Vendée militaire fait partie de mon identité, de ma culture ; elle est toujours présente pour les habitants de la région et nous la portons en nous. Cette histoire revêt un caractère universel ; les Vendéens ont souffert ; ils ont été exterminés par cette nouvelle république parce qu’ils croyaient en Dieu, en leur roi et qu’ils ont refusé de mettre de côté leurs convictions. Ils en sont sortis grandis.

    Par quel prisme racontez-vous l’histoire de ce peuple ?

    La première chose qui m’importait était de donner la parole aux Vendéens. Les rares documentaires qui existent sur le sujet donnent un point de vue assez parisien des évènements, souvent centré sur Robespierre. A l’opposé, j’ai tenu à ce que cette période tragique, de 1793 à 96, soit rapportée par des gens du terroir et du peuple. C’est leur sentiment qui m’a intéressé, et l’aspect légendaire autant que la vérité historique. L’autre point était de m’attacher à un héros ; en l’occurrence Charette. Il demeure le plus emblématique. Il a rassemblé les maraîchins, avec le panache d’un guerrier qui aimait faire la fête. Mille fois il aurait pu avoir les honneurs, partir en Angleterre ou encore virer sa veste, mais il est resté fidèle à sa foi en la monarchie, quitte à se retrouver seul.

    Vous ralliez-vous à la thèse du génocide ?

    Je pense qu’il y a eu beaucoup d’exagération de la part des militaires et qu’on a fait en sorte que le peuple vendéen soit très affaibli. Y-a-t-il eu des ordres qui venaient d’en haut pour exterminer méthodiquement une population ou les exactions furent-elles le fait de généraux zélés des colonnes infernales ? Mon rôle, en tant que réalisateur, n’est pas de trancher. Avec ce film, j’espère surtout délier les langues. Il semble qu’aujourd’hui l’heure de la « victoire des vaincus » ait sonné et que d’aucuns demandent des comptes…

    En quoi serait-ce une histoire d’actualité ?

    Voilà un peuple qui a osé se dresser et se battre contre ce qui représentait à ses yeux une invasion, craignant de voir ses croyances anéanties. Ce soulèvement contre un envahisseur peut se transposer aisément à notre époque, où l’islamisation est ressentie de plus en plus comme une agression culturelle. Je pense qu’à terme, les mêmes causes conduiront aux mêmes effets…

    Comment peut-on voir votre film ?

    Aucun producteur n’ayant voulu participer, j’ai eu recours à des financements propres… Il est donc important que les gens puissent le voir. Le film va être distribué au cinéma dans plus de 80 salles, à Paris comme en province. Il sera ensuite décliné en séries télévisées dans le courant de l’année 2016 et disponible en VOD. 

    C’était une fois dans l’Ouest, d’Eric Dick, Zedig distribution, 120 min. En salles. Toutes les informations sur le site : www.cetaitunefoisdanslouest.a3w.fr/ 

     

     

  • Albert Camus :« Cet échafaud ne marque pas un sommet, il s’en faut. Certes, c’est un répugnant scandale »

     

    albert_camus.jpgLe 21 janvier, avec le meurtre du Roi-prêtre, s’achève ce qu’on a appelé significativement la passion de Louis XVI. Certes, c’est un répugnant scandale d’avoir présenté, comme un grand moment de notre histoire, l’assassinat public d’un homme faible et bon. Cet échafaud ne marque pas un sommet, il s’en faut. Il reste au moins que, par ses attendus et ses conséquences, le jugement du roi est à la charnière de notre histoire contemporaine. Il symbolise la désacralisation de cette histoire et la désincarnation du Dieu Chrétien. Dieu, jusqu’ici, se mêlait à l’histoire par les Rois. Mais on tue son représentant historique, il n’y a plus de roi. Il n’y a donc plus qu’une apparence de Dieu relégué dans le ciel des principes.

    Les révolutionnaires peuvent se réclamer de l’Evangile. En fait, ils portent au Christianisme un coup terrible, dont il ne s’est pas encore relevé. Il semble vraiment que l’exécution du Roi, suivie, on le sait, de scènes convulsives, de suicides ou de folie, s’est déroulée tout entière dans la conscience de ce qui s’accomplissait. Louis XVI semble avoir, parfois, douté de son droit divin, quoiqu’il ait refusé systématiquement tous les projets de loi qui portaient atteinte à sa foi. Mais à partir du moment où il soupçonne ou connaît son sort, il semble s’identifier, son langage le montre, à sa mission divine, pour qu’il soit bien dit que l’attentat contre sa personne vise le Roi-Christ, l’incarnation divine, et non la chair effrayée de l’homme. Son livre de chevet, au Temple, est l’Imitation de Jésus-Christ. La douceur, la perfection que cet homme, de sensibilité pourtant moyenne, apporte à ses derniers moments, ses remarques indifférentes sur tout ce qui est du monde extérieur et, pour finir, sa brève défaillance sur l’échafaud solitaire, devant ce terrible tambour qui couvrait sa voix, si loin de ce peuple dont il espérait se faire entendre, tout cela laisse imaginer que ce n’est pas Capet qui meurt mais Louis de droit divin, et avec lui, d’une certaine manière, la Chrétienté temporelle. Pour mieux affirmer encore ce lien sacré, son confesseur le soutient dans sa défaillance, en lui rappelant sa « ressemblance » avec le Dieu de douleur. Et Louis XVI alors se reprend, en reprenant le langage de ce Dieu : « Je boirai, dit-il, le calice jusqu’à la lie ». Puis il se laisse aller, frémissant, aux mains ignobles du bourreau.

     

    Albert Camus

    L’homme révolté, La Pléïade, pages 528-529

     

  • La Pologne et nous, par Gérard Leclerc.

    La visite accomplie par Emmanuel Macron en Pologne a permis, en l’espace de quelques jours, de reposer la question de nos relations avec ce pays, auquel tant de liens historiques et affectifs nous rattachent. Le but du président français était de surmonter les divergences entre les deux pays en tenant un discours résolument positif : « Sur chaque grand dossier européen, il ne peut pas y avoir d’accord durable et viable si la Pologne et la France ne travaillent ensemble. »

    gerard leclerc.jpgDonc, en dépit des critiques répétées de Bruxelles à l’égard du gouvernement de Varsovie, en dépit de l’attitude conciliatrice de la diplomatie française à l’égard de la Russie de Vladimir Poutine, le climat est au rapprochement. Et pour tous ceux qui gardent au cœur l’amour de la Pologne, patrie de saint Jean-Paul II, c’est un sujet de satisfaction.

    Que l’on revienne précisément au temps de Jean-Paul II, dont l’avènement en 1978 marque un extraordinaire retournement de situation et l’on peut s’étonner et même s’attrister de la façon dont la Pologne s’est éloigné de nous. Avec quelle attention passionnée n’avons-nous pas suivi les événements qui ont amené la chute du communisme, avec les voyages triomphaux du pape et l’épopée de Solidarnosc. Beaucoup d’entre-nous ont coopéré avec la résistance polonaise, convoyant des aides matérielles dans toutes les régions du pays. Ce fut le moment aussi de faire meilleure connaissance avec une culture et une littérature qui nous faisait comprendre l’âme d’un pays, celui de Mickiewicz et de Cyprian Norwid cher à Karol Wojtyla.

    Je me suis moi-même investi à l’époque, en publiant au moins deux livres sur le sujet, essayant de rassembler tout ce qui à travers l’histoire, dès le Moyen Âge, nous avait rapprochés, Polonais et Français. J’ai été heureux de lire lundi dans Le Figaro, une belle page signée Laure Mandeville qui n’hésite pas à parler d’une histoire d’amour, même si elle est compliquée. Le général de Gaulle, souhaitait ardemment que cette histoire se poursuive et professait que, dans notre intérêt supérieur, il fallait que « la Pologne soit forte ». Certes, la Pologne dirigée par le parti Droit et Justice est très loin d’une certaine culture libérale-libertaire dominante en Europe. On parle d’une position conservatrice chrétienne, très éloignée de la France des réformes dites sociétales. Mais n’est-ce pas le bien commun du continent qui exige que notre histoire commune se poursuive ?

    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 6 février 2020.

  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Le traître

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    Art et Essai : Le Traître, un film italien (vostf) de Marco Bellocchio, avec Pierfrancesco Favino (Tommaso Buscetta), Fausto Russo Alesi (le juge Giovanni Falcone) et Nicola Cali (Toto Riina).

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    « Mon histoire, c’est l’histoire d’un amour
    (…)

    Un roman comme tant d’autres

    Qui pourrait être le vôtre »

     

    Cette « Histoire d’un amour » fait partie de la bande son qui est une raison suffisante pour aller voir ce Traître même si son « roman », évidemment, ne pourrait être le nôtre :

    « Lasciatemi cantare
    Perché ne sono fiero
    Sono un italiano
    Un italiano vero »

    Tommaso Buscetta est un sicilien (« Un Siciliano vero ») et un mafieux… il n’est pas un mafieux « repenti »… il est un « homme d’honneur » et dénonce Cosa Nostra quand celle-ci se corrompt dans la drogue et le meurtre de femmes et d’enfants.

    C’est l’histoire de l’assassinat du juge Falcone, victime de l’alliance (permanente) politico-mafieuse, et Buscetta dénoncera le « démocrate-chrétien » Andreotti.

    Je suis trop ignorant des affaires italiennes pour en juger , mais les hologrammes français de ces gens-là ne me laissent aucune illusion (vous avez dit « démocrate » ?  vous avez dit « chrétien » ?).

    Le tout, et j’en reviens à la bande son, avec le Nabucco de Verdi et le Chœur des esclaves…

    Mes amis comprendront combien cette musique peut m’émouvoir…

     

    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plus de 400 autres sur mon blog Je ciné mate.

    Pour mémoire  

     

    Titre

    Violent/scabreux

    Date

    Il aurait été très dommage de ne pas le voir

    Hors normes

    non

    10/11/2019

    Une bonne soirée

    Le Traitre

    oui

    19/11/2019

    Un très bon film

    Midway

    non

    11/11/2019

    Un bon film

    La Belle Époque

    Oui

    09/11/2019

    Très intéressant

    Le Retour des Poilus

    non

    13/11/2019

    A revoir en VF

    La Famille

    non

    08/10/2019

    J’aurais pu ne pas le voir

    Martin Eden

    non

    17/11/2019

    Je m’y suis ennuyé

    Shaun le Mouton LE FILM,
    La ferme contre-attaque

    non

    29/10/2019

    Je n’ai pas aimé du tout

    Nous finirons ensemble

    non

    12/05/2019

    Le film à retenir depuis le 1er janvier

    Le chant du loup

    Non

    15/03/2019

     

  • Vu sur la page FB de nos amis du GAR : « Imposer la Monarchie à un pays ancré depuis si longtemps en République, cela es

    N'insultons pas l'avenir, dit l'historien comme le politologue : l'Histoire est pleine de surprises et d'imprévus, et elle ne suit pas un sens unique et obligatoire, au contraire de ce que pensaient les marxistes et de ce que pensent aujourd'hui les libéraux ou les européistes.

    Il faut être plein d'humilité face à elle et à ses circonvolutions, parfois heureuses, parfois terribles, souvent complexes, mais il ne faut pas renoncer à « la faire » ou, du moins, à en infléchir le cours, autant que faire se peut : il n'y a pas de fatalité « définitive » et se résoudre à celle-ci serait s'abandonner à tout Pouvoir sans limites (qu'il soit politique ou économique à travers les féodalités partisanes ou financières, par exemple), au risque d'y perdre toute liberté...

    Certes, la possibilité d'une instauration monarchique en France paraît fort lointaine et, surtout, difficile, compliquée. Mais rien n'est impossible, et, d'ailleurs, « impossible n'est pas français », dit-on : l'exemple espagnol, maintenant un peu ancien mais proche de nous par la géographie, est la preuve que ce qui paraît hautement improbable en certains cas est toujours possible ! Le roi restauré par la volonté d'un dictateur n'a pas été son jouet, et Juan Carlos, que l'on croyait timide et emprunté, s'est avéré être un véritable Chef de l’État capable de mener la transition démocratique sans faillir ni défaillir (1), et, malgré les difficultés actuelles, la Monarchie perdure à travers son fils et successeur, Philippe VI (Felipe, en espagnol).

    Pour la France, il y a, apparemment, le fort attachement des Français à 1789 et à ses suites institutionnelles républicaines. En fait, c'est beaucoup moins vrai ces dernières années, la recherche historique et la réflexion philosophique comme politique aidant, mais aussi la rupture du « pays réel » avec les gouvernants et les « élites » de la République, encore plus marquée depuis la révolte des Gilets jaunes, plus révélatrice encore que la simple abstention...

    D'autre part, hormis le fait que la part « positive » de la Révolution selon l'opinion (qui n'a pas forcément raison au demeurant, selon le point de vue historique que l'on adopte) est antérieure à l'établissement même de la République en 1792, la Monarchie nouvelle n'aurait pas à entrer en conflit avec l'Histoire, fût-elle désagréable pour les rois et les royalistes, mais à l'assumer (ce qui ne signifie pas pour autant s'y « rallier »...) et à la dépasser. Le regret n'est pas une politique et la Monarchie nouvelle, qui sera évidemment attendue sur ce point, devra veiller à ne pas être une nostalgie romantique ou revancharde : le roi, souverain de tous les Français, est celui qui relie toutes les traditions et toutes les histoires, en les assumant toutes, en tant que « trait d'union » institutionnel...


    (1) : il ne s'agit pas ici de juger de la pertinence de la politique du roi d'Espagne Juan Carlos mais de considérer son succès stratégique alors qu'il paraissait condamné à être balayé par le vent de l'Histoire et de la révolution...

  • Aux Mercredis de la NAR : #60 - René Cagnat pour son livre “Le désert et la source”.


    Mercredi 27 novembre, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions René Cagnat à l'occasion de la sortie de son livre “Le désert et la source ”. Sur le thème “ Super-puissances et islam dans la région centre-asiatique”. Ancien colonel, docteur en sciences politiques, spécialiste du renseignement et de la réflexion géostratégique, René CAGNAT réside en Asie centrale, qui est le sujet de plusieurs de ses livres qu’il avait bien voulu nous présenter. Il revient parmi nous avec un nouveau livre – « Le désert et la source » aux éditions du Cerf – dans lequel il évoque l’histoire récente de l’Asie centrale, le jeu des puissances et le djihadisme. Il présentera son expérience et sa réflexion lors d’une conférence sur “La région centre-asiatique et l’Europe en tant que proies des super-puissances et de l’islam”.

  • Macron est allé voir Raoult : que se sont-ils dit ?...

    Pour rire beaucoup !

     

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  • Paris ce mercredi 3 avril, conférence de Philippe Delorme, Le calvaire du Dauphin du Temple. A ne pas manquer !

    Philippe Delorme, historien et journaliste, donnera une conférence consacrée au destin tragique du petit roi Louis XVII, dans la salle paroissiale de Saint-Germain‑l'Auxerrois, à l'initiative de l'Ordre de l'Etoile et de ND du Mont-Carmel et de l'Institut d'Histoire des Monarchies.

    Tous seront les bienvenus !

    L'entrée est gratuite, mais les participants seront invités à participer à la souscription en vue d'offrir le buste de Louis XVII, œuvre de Catherine Cairn, au Musée des Guerres de l'Ouest, de Reynald Secher.

    Renseignements à ce sujet sur https://loulsxvii.jimdofree.com/  ■

  • Lu sur Paris-Match : le tapis offert par le roi des Français Louis-Philippe à Notre-Dame de Paris a pu être sauvé

    (Paris Match | 

     

    Détail du tapis du choeur de la cathédrale Notre-Dame de Paris, au Mobilier national à Paris, le 12 septembre 2019
    Détail du tapis du choeur de la cathédrale Notre-Dame de Paris, au Mobilier national à Paris, le 12 septembre 2019 (STEPHANE DE SAKUTIN / AFP)

    Commandé par Charles X et offert à la cathédrale par Louis-Philippe, le tapis monumental du chœur de Notre-Dame de Paris a été sauvé après l’incendie. Il sera présenté lors des prochaines Journées du patrimoine.

    Le feu ne l’avait pas touché. Mais les tonnes d’eau déversées par les pompiers pour éteindre l’incendie de Notre-Dame de Paris, le 15 avril 2019, faisait craindre pour la conservation de l’immense tapis du chœur. Une pièce maîtresse des lieux, à l’histoire royale.