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"Depuis la ville de Yerres, je souhaite vous montrer la Maison et le Parc Caillebotte, un haut lieu de l'Impressionnisme en France que nous avons fait restaurer avec mon équipe municipale ! C'est devenu la première destination touristique de l'Essonne. Faisons vivre notre patrimoine !"
Le premier ministre et le ministre de l'Intérieur s'est rendu ce vendredi à Dijon, près d'un mois après les violences qui ont secoué la ville. Il a assuré les forces de l'ordre de tout son soutien.
Ici , les armes de France peintes sur une façade de cette commune, évocation du rayonnement de la ville royale de Guillaumes depuis le rattachement de la Provence à la France en 1481.
Ici l'une des lanternes de la place Vendôme. La place Vendôme est l'une des cinq places royales de la ville. Son architecture est due à l'architecte Jules Hardouin-Mansart.
La ville de Chartres présente jusqu’aux fêtes de fin d’année le spectacle “Chartres en lumières” avec des illuminations de 23 sites dans le cœur de ville de Chartres. Chartres en lumières est un événement gratuit de mise en valeur du patrimoine par la lumière.
Chaque soir, de la tombée de la nuit à 1 h du matin, vous êtes invités à plonger dans un univers féérique haut en couleurs, en découvrant d’une manière atypique les sites incontournables du cœur de ville. Venez découvrir ou redécouvrir autrement les trois portails de la cathédrale, le musée des Beaux-Arts, les ponts et lavoirs des bords de l’Eure, l’église et la rue Saint-Pierre, le théâtre, la médiathèque… Vous pourrez même devenir le scénographe de l’ancienne chapelle Sainte-Foy. La Fête de la lumière est le point culminant de Chartres en lumières. À cette occasion, de nombreuses animations sont organisées à travers la ville en complément des illuminations habituelles. Ce rendez-vous attire une foule de curieux tous les ans.
"A Yerres dans ma ville le maire a décidé d'autoriser les commerces de proximité à rester ouverts. Assez de ce confinement aussi incohérent qu’inefficace ! On entasse les consommateurs dans les grandes surfaces mais on ferme les petits commerces qui ont fait des efforts pour limiter les risques sanitaires. Adoptons des règles de bon sens !"
Extrait du Bilger (début) : A l'antenne, on parle sale !
On s'interroge gravement : La radio en fait-elle trop ? Comme si la réponse n'était pas évidente. Comme si, de plus en plus, sexe, insultes, gros mots, vulgarités, salacités et inélégances ne prospéraient pas dans l'univers médiatique, notamment, en effet, à la radio. Devant ce constat irréfutable - il suffit d'être attentif au langage et de l'entendre quotidiennement souillé par ceux qui au contraire devraient se faire un honneur de le cultiver le mieux possible -, les réactions négatives, quasiment outragées n'ont pas manqué. La plus significative est celle d'Yves Bigot qui, responsable des programmes deRTL, défend la verdeur des mots et profère cette justification aussi péremptoire qu'elle est discutable, "à l'antenne, on parle vrai". Je peux le rassurer ou l'inquiéter : à 'On refait le monde', sur RTL, si on essaie de parler vrai, on échappe pourtant au pire ! A suivre son propos à la lettre, "le parler vrai" imposerait la dégradation des mots, la dénaturation du langage, l'abaissement du vocabulaire et l'utilisation systématique de ce qui, dans une société normalement constituée et civilisée, est perçu comme des provocations et grossièretés. Il conviendrait donc de multiplier ces effets sales de style, cette indécente course à la trivialité, pour demeurer nuancé. Le ciblage obsessionnel de certains attributs sexuels serait, par exemple, indispensable à la radio ou à la télévision parce que cette dernière n'est évidemment pas épargnée.
Le juste, bel et émouvant hommage de Christophe Dickçès à Soljénitsyne (sur tweeter) :
"L'individu est poussée jusqu’à un tel excès que la société elle-même se trouve désarmée devant certains de ses membres, et le moment est venu pour l’Occident de ne plus tant affirmer les droits des gens que leurs devoirs. » Soljenitsyne toujours présent #Archipel#50ans
1. Eugénie Bastié cite Samuel Huntington :
"Samuel Huntington dans Le choc des civilisations : "La démographie dicte le destin de l’histoire, les mouvements de population en sont le moteur. La question n’est pas de savoir si l’Europe sera islamisée ou l’Amérique hispanisée. La question est de savoir si l’Europe et l’Amérique deviendront des sociétés déchirées entre deux communautés distinctes et en grande partie opposées, appartenant à deux civilisations. (...) Une immigration importante ne peut que produire des pays divisés entre chrétiens et musulmans..."
On peut rajouter à ce propos ce que disait Pierre Boutang : il y a place en France pour plusieurs communautés; il n'y a pas de place pour deux civilisations...
2. (Sur Sud radio) "Les agriculteurs de France sont abandonnées..." Guillaume Bigot défend énergiquement nos paysans :
4. (Source : Le Figaro) Tandis que le drame de Crépol a ravivé les débats sur le racisme anti-blancs, @mbockcote revient sur la construction idéologique qui vise à nier son existence. Selon le sociologue et essayiste, c’est justement parce qu’il est contesté qu’il est important de le nommer...
5. De Céline Pina, sur Sud Radio, à propos de la décision aberrante du Conseil d'État, ordonnant à la France de faire revenir un Ouzbek radicalisé expulsé :
"Comment expliquer que l’Etat de droit est utilisé contre nous ? Cette décision revient à ordonner à l’État de ne pas assurer la protection des citoyens..."
(extrait vidéo 4'34) :
6. Évidemment d'accord avec Philippe de Villiers, après l'acte terroriste/islamiste de Bir-Hakeim :
"...Ce qui a été fait lors du #covid, à savoir enfermer les bien-portants, pourrait être mis en place pour les fichés S ! Il y a un choix à faire entre les droits de l’Homme poussés à l’extrême et la préservation de la société. Les fichés S sont en totale liberté alors que leurs cibles sont en semi-liberté, sous protection policière !..."
7. Et, pour terminer cette série d'aujourd'hui sur une note militante :
Puisque les candidats étiquetés écologistes ont emporté cinq cantons sur six de Rennes, l’Action Royaliste Rennaise espère désormais qu’ils seront plus sensibles à la cause des arbres que leurs prédécesseurs et qu’ils rejoindront la lutte pour la sauvegarde des grands arbres menacés dans notre ville par une artificialisation accélérée sur ses périphéries et une densification parfois aveugle en ville même, et cela pas seulement avenue Janvier.
L'Echo républicain nous apprend dans un article publié sur son site internet que Madame la Dauphine de France, S.A.R. la princesse Philomena, duchesse de Vendôme, vient de rejoindre le comité Proximum du centre-ville de Dreux, un groupe d'une quinzaine de personnes qui réfléchit à la mise en place de projets pour mieux vivre, au quotidien, dans la ville et ce afin de contribuer à améliorer la vie quotidienne de la ville et son image.
Vivre le quotidien des Drouais, être intégrée dans les lieux où elle vit tous les jours, tel est le choix qu'a toujours fait la princesse Philomena depuis qu'elle s'est installée, avec sa famille, à Dreux. Le premier projet qui a vu le jour pour le centre-ville convient parfaitement à la princesse. Mettre des panneaux incitant les automobilistes à être plus respectueux des places de parkings pour handicapés correspond parfaitement à l'idée que Philomena se fait de sa ville. « Je voudrais même qu'on aille plus loin. Que Dreux puisse faire comme certaines villes européennes et permettre aux femmes enceintes et accompagnées de très jeunes enfants de se garer elles aussi sur des emplacements réservés. »
Cet engagement citoyen correspond à la vision qu'a la princesse de la vie dans la cité. « Quand on habitait Paris, nous avons toujours entretenu des relations étroites de voisinage. On entend parler de gens qui meurent seuls chez eux et que l'on retrouve des années plus tard, cela fait froid dans le dos. C'est le signe d'une société individualiste où chacun se replie sur soi. » •
Notre pauvre langue française "progresse" chaque jour un peu plus.
Après cet horrible Voilà ! qui ponctue désormais toutes les phrases des gens importants causant dans le poste et qu'ils nous jettent à la figure comme une virgule insolente qui semble nous dire "Si tu veux comprendre, tu n'as qu'à chercher toi-même les mots que je suis incapable de trouver", voici que Juste fait maintenant irruption dans la bouche de ceux qui parlent le Jeune.
Loin de toute idée de justice et à peine moins de justesse, cet adjectif est utilisé à tout bout de champ en lieu et place des adverbes simplement ou purement, ce qui donne par exemple: "Je suis juste contente", "elle est juste cool", etc.
La palme revient à cette chanteuse dont j'ai oublié le nom et qui, interviewée il y a quelques jours à la radio, concluait par un vibrant "C'est juste voilà !". Comprenne qui pourra...
Mais, finalement, cela m'aura peut-être évité d'entendre débiter des âneries bien pires encore.