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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • 18 Juin : La résistance est plus que jamais à l’ordre du jour !, par Christian Vanneste.

    “Il n’y a qu’une fatalité, celle des peuples qui n’ont plus assez de forces pour se tenir debout et qui se couchent pour mourir. Le destin d’une nation se gagne chaque jour contre les causes internes et externes de destruction.”

    Cette citation du Général de Gaulle prend toute sa vigueur un 18 Juin. Ce jour-là, en 1940, de Gaulle était bien l’un des seuls à ne pas vouloir se coucher, et le seul à incarner la France debout. 

    christian vanneste.jpgCertes, beaucoup refusaient la soumission à l’Allemagne nazie, mais sans avoir ni la vision, ni la position qui allaient transformer la volonté en réalité. Les jeunes Robert Galley ou Yves Guéna prenaient la route puis la mer pour continuer le combat avec l’Angleterre, plusieurs personnalités en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis, et jusqu’au Brésil n’acceptaient pas le caractère inexorable de la défaite, d’autres encore voyaient en Pétain l’occasion d’un répit qui permettrait de préparer le redressement du pays, mais le seul qui élevait ces sentiments jusqu’à en faire un objectif et une stratégie s’appelait de Gaulle. C’était chez lui d’abord l’expression d’une philosophie largement inspirée par Bergson, une philosophie de la vie en lutte permanente contre la mort. Une nation est un être vivant au sein duquel s’opposent les forces de l’énergie créatrice et les germes de dissolution. Les “héros”, les hommes qui font l’histoire en surmontant la fatalité, en brisant, ne serait-ce que pour un temps, un destin qui paraissait inexorable ne sont pas les agents du sens de l’histoire, mais au contraire ceux qui parviennent à le détourner.

    Bien sûr, cette résistance au cours de l’histoire n’est jamais absolue. Elle ressemble à la navigation quand elle utilisait le vent sans jamais l’affronter de face. De Gaulle a résisté à l’Allemagne nazie parce qu’il savait que ses forces n’étaient pas supérieures à celles du monde libre, parce que sa connaissance de l’histoire lui enseignait que l’Empire de la Mer l’emporte presque toujours sur celui de la Terre. Vingt ans plus tard, il ne résista pas à la marée descendante de la décolonisation parce que la France face au monde entier n’en avait pas les moyens. La manière dont il le fit, avec la brutalité qu’exigeait la brièveté du temps qu’il lui restait pour redresser le pays, a laissé des traces, donnant l’impression que la France pouvait se coucher, désespérant les plus patriotes, et délivrant toute une jeunesse, celle de 1968 de ses obligations envers la Nation. Mais le message de 1940 demeure, lui, intact. Certes, l’Allemagne pouvait gagner la guerre : à l’époque, il ne lui restait qu’un ennemi, l’Angleterre, et Hitler lui abandonnait bien volontiers les océans dès lors qu’elle lui laissait les mains libres pour conquérir à l’est l’espace vital du grand Reich. Dans ce cas, l’illusion de la “collaboration” se serait vite dissipée. La France, encore réduite au nord et à l’est, dépecée peut-être, serait devenue le parc récréatif de la grande Allemagne. De Gaulle savait cela, et il savait aussi qu’en Angleterre comme aux Etats-Unis les forces opposées à cette évolution étaient suffisantes pour poursuivre la lutte, parce qu’elles s’incarnaient notamment à Londres en un autre briseur de destin, Churchill. Ce qu’il ne savait pas très bien, en revanche, c’est à quel point les dictatures nazie et fasciste étaient conduites par des hommes médiocres qui allaient accumuler les erreurs et lui donner raison autant que les forces productives des Etats-Unis et la ténacité britannique.

    Devant la puissance nazie, de Gaulle n’a pas plié le genou. Il a suscité d’abord chez une poignée de patriotes, souvent politiquement très à droite, l’esprit de résistance, puis à mesure que l’Axe multipliait les fautes et les défaites, “l’espoir changea de camp, le combat changea d’âme”, la gauche le rejoignit jusqu’aux communistes, ceux qui avaient suivi Pétain en voyant en lui le sauveur, s’y résignèrent en constatant le désastre d’un pays entièrement occupé et d’une flotte sabordée. La lutte d’une nation restaurée se poursuivait à partir de son Empire. C’est ce que de Gaulle avait voulu en 1940, et que les faux réalistes, les esprits pratiques, bref ceux qui se couchent, avaient refusé. La leçon du 18 Juin est encore puissante de nos jours : elle permet de distinguer les responsables politiques qui défendent l’indépendance et le rang de la France dans le monde, à la mesure de ses moyens face à des pays que leur démographie, leur étendue, le dynamisme de leur économie, et leur capacité militaire placent bien au-dessus du nôtre, ce qui n’était pas le cas en 1940. La France n’a pas perdu la guerre. Elle a perdu quelques batailles en laissant s’effondrer son économie, en minant la cohésion nationale par une immigration suicidaire, en abandonnant son exigence d’excellence dans le domaine de l’éducation. Ceux qui, aujourd’hui demandent à la France de se noyer dans l’Europe et de se dissoudre dans le monde, d’effacer son identité et sa fierté, alors qu’ils ont depuis longtemps contribué à nos défaites ressemblent beaucoup aux collaborateurs de 1940 : c’est le parti de la lâcheté, de la soumission, le parti de l’étranger ! La résistance est plus que jamais à l’ordre du jour.

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : vidéo, spectacle son et lumière du Château royal de Blois.

    (Pour une bonne  qualité de vidéo à Paramètre choisissez : Qualité 720P )

    De juin à novembre, le château royal de Blois propose  à ses visiteurs un spectacle saisissant : dès la tombée de la nuit, effets spéciaux immersifs et projections monumentales s’emparent de l’architecture grandiose des lieux.

    Un château qui s’effondre, qui tremble face à Catherine de Médicis, ou encore un Duc de Guise plus vivant que jamais : amours, drames et secrets virevoltent sur les quatre façades, tour à tour sublimées ou simultanément révélées dans un spectacle unique de  à 360 degrés. Une véritable merveille mettant en valeur l’histoire de France et le magnifique patrimoine que nous ont laissé les Rois de France.

     

    Ce spectacle de 45 minutes est proposé tous les soirs dans la cour du Château (sauf les 13/07, 27/08 et 09/09)

    • Juin, juillet, août : 22h30 (sauf les 24 juillet et 28 août : 22h45)
    • Septembre : 22h00
    • Octobre et novembre : 19h15

    https://www.chateaudeblois.fr/

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal

  • Sur TV Libertés, et si on parlait de châtiment divin ? - Terres de Mission n°217.


    Eglise universelle : Une pandémie pourrait-elle être un châtiment divin ?

    Dans la revue Sedes sapientiae, le père Albert-Marie Crignon a rédigé un article intitulé :

    "Gouvernement divin et rétribution divine". Il s'agit, à l'encontre des positions dominantes, même dans l'Eglise, de savoir si une pandémie pourrait être un châtiment divin. Le Dieu qui punit de l'Ancien Testament n'a-t-il pas fait place au Dieu qui pardonne de la nouvelle alliance ? Certes, cependant le propre d'un père n'est-il pas de savoir corriger ses enfants turbulents ? Analyses et réflexions.

    Eglise en France : Méditations sur la messe

    Le confinement aura eu cet effet bénéfique de permettre à monsieur l'abbé de Tanouarn d'approfondir le mystère insondable de la messe en 73 méditations regroupées dans un petit ouvrage : "Méditations sur la messe". De précieuses réflexions pour mieux s'imprégner du sommet du culte catholique.

    Eglise en France : Le château de Sacha Guitry devient une école catholique

    Acquis en 1937 par Sacha Guitry, le château de Ternay, à Fontenay-le-Fleury, à proximité de Versailles, est depuis 2015 une école catholique, le cours sainte Clotilde. Sœur Marie-Pascale et sœur Diane-Marie nous présentent l'histoire, illustre, de ce château ainsi que les travaux patrimoniaux, effectués et ceux en cours, au service d'un projet pédagogique centré sur la transmission de notre patrimoine religieux et national.

  • De Washington à Kaboul... « Mahmoud » : un des pires échecs de Washington en Afghanistan, côté renseignement, par Xavier

    Xavier Raufer nous narre, en exclusivité, l'histoire d’un des pires plantages américains en Afghanistan. Elle débute dans un taxi de Washington...

    2.jpgJ’avais promis.

    Tant qu’un soldat américain resterait en Afghanistan, motus et bouche cousue ! Mais Vincent Cannistraro, cher vieil ami qui me narra l’histoire est mort en 2019. L’ultime GI est en passe de quitter Kaboul. Au passage, un peu comme un voleur, mais bon : Vietnam… Somalie… Irak – un classique du genre.

    Vince, 27 ans de CIA, est une légende de l’espionnage américain, dont il occupa la plupart des fonctions majeures : Directeur du renseignement au Conseil national de sécurité… Chargé du renseignement au cabinet du ministre de la Défense,… chef analyses & opération du Counter-Terrorism-Center-CIA, j’en oublie. Il prend sa retraite en 1991, mais reste actif comme consultant. Nous nous voyons souvent, à Washington ou à Paris.

    Dans sa maison de McLean, Virginie (voisine de Langley, siège de la CIA), un après-midi de l’été 2003, Vince me détaille l’histoire qui suit. D’usage, chez les seigneurs du renseignement, Vince en était un, la confiance règne : entre amis, on se dit seulement « c’est chaud, tu gardes ça pour toi ». Voici donc ce que j’ai tu, dix-huit ans durant.

    Un soir de l’automne 2000, Vince rentre en taxi, de Washington chez lui. Il bavarde avec le chauffeur à l’accent familier – de fait, le taxi est un Pachtoune et Vince, sur ordre de R. Reagan, livra les premiers missiles sol-air Stinger aux moudjahidine afghans. « Dis, tu ne serais pas Pachtoune, par hasard ? » Étonné, le chauffeur – ici nommé Mahmoud, le lecteur comprendra pourquoi – dit que oui ; la conversation s’engage. Vince reste vague sur son séjour afghan… ingénieur, comme ça. Arrivé chez lui, Vince prend la carte de Mahmoud : quand il me faudra un taxi, je t’appellerai, on parlera du pays, dit-il en riant.

    Deuxième caractéristique des seigneurs du renseignement : leur flair.

    Les mois passent. Parfois, Vince sollicite Mahmoud. Puis, c’est le cataclysme du 11 septembre 2001. Le 9 octobre, l’invasion de l’Afghanistan débute. Vers novembre, se souvient Vince, il appelle pour une course un Mahmoud inquiet. Arrivé à McLean, l’homme, d’usage discret, se confie à Vince. Il a un problème… seul aux États-Unis… Vince lui semble sage et de bon conseil… Voudrait-il l’écouter ? Cinq minutes plus tard, devant un café, Mahmoud fait à Vince le récit suivant. Mais que d’abord, le lecteur saisisse la situation. L’Amérique combat férocement la coalition Ben Laden-Taliban…. D’autre part, Washington dépense des dizaines de milliards de dollars par an pour ses services spéciaux, supposés les meilleurs du monde. Ceci rappelé, écoutons Mahmoud.

    Quand les Taliban conquièrent Kaboul en 1996, leurs sponsors pakistanais et saoudiens les poussent à former un gouvernement et une vraie armée, avec état-major, etc. Pour l’armée de l’air, le mollah Omar et ses proches cherchent le profil ad hoc : bonne tribu pachtoune… clan puissant… Idée, dit un mollah : on pourrait prendre Mahmoud, un type sérieux et pieux, ex-pilote de chasse de l’armée afghane de Babrak Karmal (prosoviétique, MAIS pachtoune…). Un autre objecte : « mais il est chauffeur de taxi en Amérique… Faites-le venir, dit le Mollah Omar, on verra bien ».

    Voici Mahmoud face au Mollah Omar et les chefs Taliban. Rentrer à Kaboul n’enchante pas l’ex-pilote de Mig. Ses gains en dollars font vivre sa famille afghane ; mais, même si c’est celle d’un « chef d’état-major de l’armée de l’air de l’Émirat islamique d’Afghanistan », sa paie à Kaboul sera maigre. À la fin, le Mollah Omar tranche « Ici, en hiver, tout s’arrête et d’abord la guerre. Tu n’as qu’à revenir ici les mois sans neige pour diriger l’armée de l’air ; entre temps, continue ton taxi à Washington ». Ce qui s’accomplit bel et bien – jusqu’au 11 septembre.

    27 ans de CIA – Vince sait trop bien que le renseignement fourmille d’histoires dingues. Contenant une vaste rigolade – le chef d’état-major de l’aviation des Talibans longeant en taxi le siège de la CIA pour le conduire chez lui… Vince demande à Mahmoud :

    « Au moins, tu n’as dit ça à personne ?

    – Non, juré M. Vince, je n’ai eu confiance qu’en vous…

    – Alors continue comme avant, ne change rien. SURTOUT n’appelle personne en Afghanistan, profil bas, compris ?

    – Oui, M. Vince. Et si je puis demander encore… J’essaie d’améliorer mon anglais, vous lisez beaucoup la presse. Or j’économise pour ma famille… Pouvez-vous me donner quelques journaux à lire, quand vous faites appel à moi ?

    – Bien sûr Mahmoud, on fait comme ça ».

    Les semaines passent. Vince prend Mahmoud pour une course. « Attends-moi, ce sera bref. Tiens, voilà le Washington Post, lis-le entre temps ». Vince revenu trouve Mahmoud ébahi devant la Une du journal, où figure une grande photo du Mollah Omar, enfin identifié – photo qui fait ensuite le tour du monde. « Alors, s’amuse Vince, ton chef est devenu une star ? » – « J’ignore qui est ce type », répond Mahmoud – « Mais c’est le mollah Omar… tu m’as dit toi-même qu’il t’avait recruté ! » S’écrie Vince « Non, M. Vince. Pour moi, Omar est comme un frère, je combattais à ses côtés quand il fut blessé. J’ai souvent prié dans sa mosquée de Kandahar… Cet homme n’est pas Omar, je suis formel ».

    Rentré chez lui, Vince appelle un ex-collègue de la CIA, fier de l’identification du mollah… Ces vipères de pakistanais ont dû cracher le morceau… On a payé cher, mais ça valait le coup… Peu après, le Mollah Omar, supposé encerclé à Kandahar, s’esbigne d’autant mieux que sur les barrages, les militaires US ont tous la photo du mollah-bidon.

    Une fois encore, Washington aura payé pour se faire rouler… Omar meurt de maladie en 2013, dans sa province natale. Ah oui : sa maison était voisine d’une base américaine… Tels sont les aléas de guerres néocoloniales. Où est l’ennemi ? Qui est-il ? Dur à démêler par voie d’algorithmes et selon une logique « good guy-bad guy ».

    Jusque vers 2010, j’ai demandé à Vince des nouvelles de Mahmoud – toujours fidèle au poste. Le temps a passé… Vince âgé désormais, plus très en forme… Et Mahmoud, aujourd’hui peut-être septuagénaire : retraité ? Rentré au pays ? Ou bien toujours taxi, dans la capitale d’une superpuissance un peu désarmée par les entourloupes exotiques… ?

     

    Xavier Raufer

    Docteur en géopolitique et criminologue.

    Il enseigne dans les universités Panthéon-Assas (Paris II), George Mason (Washington DC) et Université de Sciences politiques et de droit (Pékin)

    Source : https://atlantico.fr/

  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Grand froid.

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    Grand froid, une comédie dramatique (2017) de Gérard Pautonnier, avec Jean-Pierre Bacri, Olivier Gourmet et Arthur Dupont

    guilhem de tarlé.jpg« Mais, si l’on ne mourrait plus
    J’crèv’rais d’faim sur mon talus :

    J’suis un pauvre fossoyeur ».

     

    Selon Zweck (Olivier Gourmet)  il s’agit là de l’un des deux personnages essentiels dans l’existence, celui qui gagne « (son) pain sur l’dos des morts ». Je n’ai malheureusement pas vu l’autre, Sage-femme, dans lequel jouait déjà Olivier Gourmet.

    Cette comédie, Grand froid, n’est pas à mourir de rire, mais elle nous réchauffe quand même le cœur, malgré quelques longueurs, en nous faisant sourire et parfois rigoler, comme autrefois Brassens, sur un sujet que l’on qualifie aujourd’hui de « glauque » .

    Coïncidence ? 15 jours avant, nous étions allés voir Tunnel, et ce corbillard nous conduit maintenant au bout du tunnel. Le héros de l’histoire s’en réjouit comme du  « plus beau jour de (sa) vie »… 

     

    « Elles sont révolues
    Elles ont fait leur temps
    Les belles pom, pom, pom, pom, pom, pompes funèbres ».

  • Sur TV Libertés, Terrorisme, la France désarmée de Macron – Le Samedi Politique avec Xavier Raufer.


    En moins d’un mois, la France a subi trois nouveaux attentats islamistes.

    Le 3 octobre dernier, un Pakistanais s’attaquait à deux journalistes devant les anciens locaux de Charlie Hebdo, alors même que le procès des attentats de janvier 2015, dans ces mêmes bureaux, et à l’hyper cacher de Vincennes, se tient devant la Cour d’assises spéciale du Tribunal de Paris.

    Le 16 octobre, c’est Samuel Paty, un professeur d’histoire-géographie, qui est sauvagement assassiné puis décapité par un Tchétchène. La victime avait montré les caricatures de Mahomet pendant un cours. S’en étaient ensuite suivies des menaces sur les réseaux sociaux de la part de parents d’élèves, jusqu’à ce que l’affaire arrive aux oreilles d’Abdoulakh Anzorov, qui décida ainsi de se "venger" de ce blasphème.

    Le 29 octobre, c’est un clandestin Tunisien, Brahim Aouissaoui, récemment débarqué en Europe par l’île de Lampedusa en Italie qui frappe à Nice, dans la basilique Notre-Dame. Il y tue trois personnes, dont deux femmes. Une des victimes a été retrouvée décapitée.

    Pourquoi la France est-elle devenue la cible privilégiée des islamistes ?

    Emmanuel Macron a-t-il raison de brandir le droit au blasphème ?

    Quel rôle tient le président turc, Recep Tayyip Erdogan, dans cette atmosphère terroriste ?

    Peut-on véritablement se protéger de ce type d’attaques ?

    Le criminologue Xavier Raufer, répond à toutes ces questions avec précision dans cette émission.

  • « Islamogauchisme, la trahison du rêve européen »- Un film écrit et réalisé par Yves AZEROUAL.


    « Ce film est dédié à #SamuelPaty et à toutes les victimes du terrorisme islamiste. »
    Pourquoi et comment une poignée d'intellectuels et de politiques de gauche et d'extrême gauche, peu nombreux mais très influents dans les médias et dans la mouvance des droits de l'homme, ont-ils imposé une véritable sanctuarisation de l'islam dans l'espace politique français au point d’en devenir complaisant avec l’islamisme au nom du #PasDAmalgame? Pourquoi ces intellectuels et ces politiques, pour la plupart agnostiques et libertaires ont ils sombré dans l’#IslamoGauchisme avec son idéologie victimaire et sa culture de l’excuse ?
    Dans son documentaire choc, Yves Azéroual identifie les racines du mal, pointe les agissements troubles de personnalités politiques, médiatiques, associatives et intellectuelles, les complicités idéologiques, et, in fine, met en exergue les risques, pour notre démocratie européenne, de voir l’islam politique et radical s’imposer au détriment de l’Islam des Lumières. Dans un face à face inquiétant avec l’extrême droite.
     
    Intervenants : Jean-Luc BENNAHMIAS ; Jean BIRNBAUM ; Zorah BITTAN ; Christophe BOURSEILLER ; Laurent BOUVET ; Pascal BRUCKNER ; Jean-François COLOSIMO ; Raphaël ENTHOVEN ; Caroline FOUREST ; Jacques JULLIARD ; Djorje KUZMANOVIC ; Christophe MADROLLE ; Céline PINA ; François PUPPONI ; Mohamed SIFAOUI ; Dany TROM ; Philippe VAL ; Judith WAINTRAUB ; Marc WEITZMANN ;
     
    Yves Azeroual est journaliste, essayiste, romancier, créateur de plusieurs chaines de télévision dont i télé et d’émissions dont « Secrets d’Histoire ». Il a écrit et réalisé une quinzaine de documentaires.

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  • Sur le blog ami de La Couronne : le Comte et la Comtesse de Paris ont rendu hommage à Louis XVI en la cathédrale St-Maur

    Ce jeudi 21 janvier 2021, à l’occasion de la commémoration des 228 ans de l’exécution du roi Louis XVI, le chef de la Maison royale de France, Monseigneur le Comte de Paris s’est rendu avec son épouse à la messe en l’honneur de Louis XVI, célébrée en la cathédrale Saint-Maurice de Mirepoix par le Père Naït-Saadi. Conformément à son souhait de rencontrer les français, Monseigneur le Comte de Paris sera désormais présent chaque 21 janvier dans une ville différente de France et de Navarre.

    À l’issue de la célébration, le chef de la Famille royale de France et son épouse, ont rencontré les personnes présentes et échangé longuement avec eux sur le parvis de la Cathédrale avant de répondre aux questions des journalistes de La Dépêche, présents sur place pour couvrir la présence de l’héritier des rois de France ( Voir le reportage vidéo et l’article de La Dépêche ).

     

    Juste avant cette cérémonie, Monseigneur était également l’invité de L’Heure des Pros sur C News ; le Prince a répondu aux questions du journaliste Pascal Praud concernant la place de l’histoire monarchique en France.  (Intervention de Monseigneur le Comte de Paris sur C NEWS )

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    Source : https://www.la-couronne.org/

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : livre: «Marie-Louise d’Orléans. La princesse oubliée, nièce de Louis XIV».

    Parution le 6 mai prochain de cette biographie « Marie-Louise d’Orléans. La princesse oubliée, nièce de Louis XIV. »

    En voici le résumé : « Le sort de Marie-Louise d’Orléans (1662-1689), fille de Philippe d’Orléans, donc nièce de Louis XIV, et première épouse du roi Charles II d’Espagne, a de quoi nourrir l’imaginaire romantique.

    Tous les éléments sont réunis pour en faire une héroïne tragique : la naissance princière, l’enfance dans une cour enchantée, le mariage forcé, l’époux horriblement contrefait, la belle-mère hostile, la mort subite (due à un empoisonnement ?) et, à l’arrière-plan, des soupçons de galanterie et même de sorcellerie, à l’ombre de la plus puissante des légendes noires, celle de l’Inquisition espagnole.

     

    Son histoire est le drame d’une princesse qui, comme tant de ses semblables, n’est qu’un outil de la politique internationale : elle doit quitter sa famille et son pays pour épouser un homme inconnu, vivre dans une cour étrangère et se consacrer corps et âme à son royaume d’adoption – de surcroît rongée par l’obsession d’une maternité impossible.

    Mais Marie-Louise ne parviendra jamais à se détacher véritablement de sa patrie et de sa famille. L’Espagne lui demeure étrangère : elle a la faiblesse de le laisser voir à ses sujets, on ne le lui pardonnera pas. Pourtant, si mal aimée de son vivant, elle finira par être regrettée, autant de la population que de son mari, qui évoquera plus d’une fois, avec nostalgie, sa beauté et sa grâce. »

    Vous pouvez pré-commander ce livre directement sur le site de la maison d’édition : ici

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal/

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : 15 août : Le château de Versailles célèbre la fête nationale du Royaume de France en

    Dimanche 15 août, jour de la fête nationale du Royaume de France, le château de Versailles s’est éclairé de milliers de bougies ! Pour cette date exceptionnelle, le palais a mis à l’honneur les feux royaux, si chers à l’histoire de Versailles. Flammes, lasers et une centaine de drones ont survolé le grand canal, une première en France.

    C’est dans une ambiance magique, accueillis par des bougies sur les Parterres que les visiteurs ont été immergés dans une soirée lumineuse au son des plus belles musiques baroques signées Lully, Haendel, Gluck, Rameau, dans une ambiance mystérieuse aux chatoiements et scintillements les plus surprenants. Flammes monumentales sur la Grande Perspective des jardins, bosquets au ciel zébré par la lumière d’un laser.

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    Alors que le soleil s’apprête à se coucher, des centaines de drones tournent, virevoltent et changent de forme au dessus la Grande Perspective des jardins. Violet et vert, ils s’assemblent pour représenter un rectangle, puis un losange, un soleil enfin une fleur de lys et au final… un sublime feu d’artifice signé des meilleurs artificiers mondiaux, les magiciens du collectif Groupe F (vous avez sans doute déjà vu leur grands gestes, lors d’évènements faisant référence : le passage à l’an 2000 à la Tour Eiffel, les Jeux Olympiques de Rio, leurs nombreux spectacles au Château de Versailles et dernièrement leur performance à l’occasion du passage à 2021). Vous pouvez voir une vidéo Facebook de ce feu d’artifice : ici

    Merci au château de Versailles pour cette formidable Nocturne de Feu organisée volontairement le 15 août, jour de la  fête nationale du Royaume de France.

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : « L’Apothicairerie de la Reine » au château de Chenonceau.

    L’Apothicairerie de la reine, créée par Catherine de Medicis renaît en 2019 au château de Chenonceau dans le lieu même où elle existait autrefois : le bâtiment des Dômes. Cette pièce atypique, qui avait entièrement disparue au fil des siècles, a pu être reconstituée à son emplacement d’origine grâce à des documents retrouvés dans les archives.

    Ses boiseries ainsi que son étonnante collection de 300 bocaux, pots et mortiers proviennent d’un ensemble racheté dans un palais florentin. L’impressionnant meuble présentant toute cette collection a nécessité 14 mois de travail pour ensuite être installé sur tous les murs.

    Dès l’entrée, vous ferez un bon 500 ans en arrière et serez transportés dans cette ambiance ensorcelante et troublante de l’époque ! En pratique, l’accès à cette salle est libre et inclus dans le billet d’entrée du Château. Elle est ouverte tous les jours à partir du 15 juin de 10h à 18h

    Un peu d’Histoire

    Catherine de Médicis était épouse d’Henry II et mère de 5 enfants notamment François II, Charles IX et Henri III qui régnèrent sur la France. Elle accueillait à Chenonceau des savants et aimait être entourée de scientifiques. Nostradamus, célèbre pour ses prédictions occupait au Château les fonctions d’herboriste et d’apothicaire. Il concoctait de nombreux breuvages médicinaux essentiellement à base de plantes qui servaient à soigner les locaux. La Reine, elle, avait son propre médecin « ordinaire » : Augier Ferrier.

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    Photos : Twitter du Château de Chenonceau

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal

  • Châteaux de sable, de Louis-Henri de la Rochefoucaud, par Guy Adain.

    Voilà un livre à tiroirs, pétillant, drôle, grave, unique et indispensable pour nous les amoureux du lys :

    Après que l’abominable crime de régicide-parricide fut commis, quand l’âme de la France fut jetée aux « Cerbères » enragés des Sans-culottes, et recouverte de chaux vive « LeRoy »…

    Horrifiée, hallucinée, sidérée, cette pauvre âme en peine transformée en fantôme SDF, se mit à divaguer dans l’Île Saint Louis.

    Fantôme bien sympathique qui nous raconte son errance. Jamais il n’avait pu parler et nous dire son histoire d’après couperet…

    Louis-Henri de La Rochefoucauld l’auteur, nous donne un magnifique testament inconnu jusqu’alors.

    Il faut promouvoir ce livre, c’est une pépite rare qui mérite d’être largement diffusé et lu.

    C’est un livre de saison, qui ne peut attendre (vous comprendrez en le lisant), un livre actuel d’une fraîcheur absolue mais qui souffrirait de se faner…

     

    Le fantôme de Louis XVI puisque c’est de lui qu’il s’agit, remet les pendules à l’heure…1,789 n’est pas le Nombre d’Or bien sûr, en bon serrurier il a les clefs pour remonter toutes les horloges…

    Savourez ce livre, c’est un régal, il est fait pour « nous » par un des « nôtres » !

     

    Guy Adain

    12/09/2021

     

    https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/no_rubrique/le-blues-de-laristo/

  • Sur la page FB de nos amis du Courrier Royal : livre : « Les Maisons de Bourbon-Montpensier » par Christophe Frayssines

    Notre ami, Christophe Frayssines de Montvalen vient de réaliser un remarquable ouvrage généalogique et héraldique consacré aux princes des Maisons de Bourbon-Montpensier.

    Parmi les noms qui émaillent l’histoire de France, celui des Bourbon-Montpensier n’est pas le moins brillant. À côté du déroulement chronologique des branches titulaires, le site de Montpensier et la ville voisine d’Aigueperse, ce sont vu évoluée au même temps que le comté (en 1434), puis du duché de Montpensier (en 1539). Descendants, à la cinquième génération, de Robert de France (1256-1318), Comte de Clermont (Robert de Clermont), Seigneur de Bourbon, sixième fils de Saint Louis, les membres des maisons (comtale puis ducale) de Montpensier étaient princes des Fleurs de Lys, mais puînés, si bien qu’ils se virent contraints de briser les armes pleines des ducs de Bourbons. De la fin du Moyen Âge au XVIIème siècle, des personnalités affirmées défilèrent sous les arcades de la royauté, derrière la bannière frappée de l’écu des Montpensier.

    Grâce aux recherches effectuées dans des archives et des documents référencés, ce second ouvrage que propose Christophe Frayssines de Montvalen  dresse un portrait de chaque membre illustre des deux branches de la Maison de Bourbon-Montpensier, que ce soit en généalogie, en héraldique ou en faits historiques.

     

    Pour se procurer l’ouvrage : il suffit d’en faire la demande à l’auteur à cette adresse : cfrayssinesdemontvalen@gmail.com

    Le coût d’impression est de 25 euros, sans frais d’envois.

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

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    Ce n'est pas parce que c'est la CGT qui le dit - ici... - que nous allons dire le contraire !...

    Nous irons simplement plus loin, beaucoup plus loin qu'elle : nous, nous serons vraiment révolutionnaires, révolutionnaires de cette révolution sur laquelle est fondée notre actuel Système, et dont le rôle historique central a été, finalement, de mettre l'Argent au pouvoir, de lui ouvrir toutes grandes les portes du pouvoir, de  le sacrer Argent-Roi... ce qui a eu comme conséquence de créer le cataclysmique état de chose actuel dans notre pays, qui ne cesse d'être déclassé, de reculer, de s'appauvir, de se tiermondiser...

     Nous ne nous contentons pas de dénoncer - même si ce qu'il dit est juste, comme le fait ce manifestant - :  en prônant l'alter-révolution - terme que nous préférons à "contre-révolution" - nous remettons en cause pour remettre en ordre; nous voulons abattre le Système qui a fait "ça" à sa racine, nous voulons rendre à la France un Régime qui soit français, c'est-à-dire libre "absolument" de tout : Argent, Partis, Étranger, Groupes de pression, Intérêts privés de caste ou de classe...

    Ce Régime, nous le connaissons bien, puisque c'est celui qui a fait la France, et qui en a fait la première puissance du monde sous Louis XVI, lorsqu'elle éclata la funeste et sanguinaire révolution, terroriste et totalitaire, dont est issu notre Système actuel...

     

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    1. Ce Puy du Fou qui les rend fou ! Comment ça, "ré-écrit" l'Histoire de la Révolution ? C'est le contraire qui est vrai : ce sont les révolutionnaires qui ont bâti un phénoménal mensonge d'État, qui ont écrit une histoire totalement fausse, qu'ils ont imposée aux petits français par leur maudite école des "hussards noirs de la République", à partir du moment où celle-ci, fondée sur les faussetés hoistoroiques et les balivernes idéologiques de la Révolution a été instaurée en France, pour notre plus grand malheur... Ce sont eux, les descendants, héritiers et continuateurs des terroristes sanguinaires et déments qui ont ré-écrit l'Histoire, en la falsifiant. En occultant le Totalitarisme sanguinaire et génocidaire de "leur" révolution, crime auquel ils ajoutent velui de mémoricide puisque, deux siècles après, ils ne reconnaissent toujours pas ce Génocide vendéen, le premier des Temps modernes, qu'ils ont monstrueusement et méthodiquement perpétré...

    Et le film du Puy du Fou ne fait que remettre les choses à l'endroit !

    Pour leur rafraîchir la mémoire, ou, simplement, les instruire, nous allons prochainement publier en feuilleton notre Album

    TOTALITARISME OU RÉSISTANCE ? VENDÉE, GUERRE DE GÉANTS...

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    Entièrement d'accord avec Véronique Besse, Déptée de Vendée, Conseillère municipale aux Herbiers :

    1 BIS. Rappelons que Libé - qui se pose en donneur de leçon effarouché - a proposé des "Une" comme "ça" ! :

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    On serait comme ces enragé(e)s de LFI, avec leur langage ordurier, on dirait à Libé : "Mangez vos morts"

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    1 TER. Par contre, on change d'air, on quitte l'égout et ses miasmes pour un bonne séance de respiration d'air pur, frais et sain. Merci et Bravo à France catholique pour sa "Une" :

    France Catholique
    "En avant-première, la couverture de notre prochain numéro, consacré à la résistance vendéenne face à la Terreur révolutionnaire. À paraître le 27 janvier."

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    4. D'accord avec Matthieu Bock-Côté :

    "Le Canada n'est pas seulement pour le Québec un cadre contraignant qui lui a été imposé par l'histoire mais un cadre politico-idéologique hostile à son existence nationale et visant la dissolution de son identité. L'indépendance, pour notre peuple, est une question de survie."

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    VIVE LE QUÉBEC LIBRE !

     

    5. Et, puisque nous parlons du Québec en cette période du 21 janvier, signalons aux lecteurs cette "entrée" de notre Éphéméride du 21 janvier : 

    1948 : Le "Fleurdelisé" devient le drapeau officiel du Québec...

    https://www.herodote.net/21_janvier_1948-evenement-19480121.php

    Vive le Quebec Je me souviens libre!
     

    6. Clément Weill-Raynal fait bien de dénoncer (sur tweeter) l'impostute et le mensonge du "khmaire vert" escrolo de Lyon :

    "Mensonge. Salah Hamouri n'est pas un "ancien prisonnier politique". Il a été condamné à 7 ans de prison en Israël pour son implication dans une tentative d'assassinat du Grand rabbin d'Israël. A moins, que M. Grégory Doucet ne considère que tuer un rabbin soit un acte "politique"

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    7. Le Système poursuit et accélère sa politique de dé-francisation de la France, et d'installation forcée de l'Islam (dont nous ne voulons pas) chez nous... De Gilbert Collard :

    "Pendant que les déboulonneurs laïcards font la chasse à la Vierge à l'Île de Ré, à Goussainville, le maire, proche de la mouvance islamiste, transforme un gymnase en mosquée ! src : Mosquée de Goussainville"

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    À DEMAIN !

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  • Au Cinéma : Mademoiselle Ogin, par Guilhem de Tarlé

    1A.jpgArt et Essai :  Mademoiselle Ogin, un film japonais (VOSTF) de 1962 réalisé par Kinuyo Tanaka, avec Tatsuya Nakadai (le samouraï Ukon), Ganjirô Nakamura et Ineko Arima (Sen no Rikyu, maître de thé, et sa fille Ogin).

    Mademoiselle Ogin… C’est le sixième et dernier film de la réalisatrice Kinuyo Tanaka, mise à l’honneur durant tout le week-end par le cinéma d’art et d’essai de Châteauroux. Après Maternité éternelle, et en regard d’une offre cinématographique grand public peu attirante et/ou trop longue (Avatar ou Babylon) nous avons continué notre immersion japonaise.

    Il s’agirait à nouveau d’une « histoire vraie » à la fin du XVIème siècle. Alors que leguilhem de tarlé.jpg christianisme est proscrit, la fille du maître de la « cérémonie du thé », qui officie auprès de l’empereur, est amoureuse d’un samouraï chrétien.
    En ce sens, ce long métrage fait écho à l’excellent film de Martin Scorsese (2017), Silence, sur la persécution des chrétiens dans le Japon du XVIIème siècle.

    On reprochera à ce film ses lenteurs.

    Pour ma part, j’évoquerai particulièrement ma stupéfaction de voir ce peuple, ignorant des chaises, fauteuils et canapés, vivant en permanence au ras du sol, accroupi.