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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Provence : L'Action française fait sa rentrée aujourd'hui ! Vous êtes attendus !

     

    Jeunes et anciens de Marseille, de Provence ou même des régions voisines, seront bienvenus, sont même attendus, à cette réunion de rentrée qu'annonce  - et à laquelle invite - la très esthétique affiche ci-dessus.

    La réunion se tiendra donc au local d'Action Française Provence, 14 rue Navarin à Marseille, ce samedi 8 octobre à partir de 16 heures. 

    Dès à présent, nous conseillons à nos lecteurs et amis désireux de participer, de réserver leur après-midi du samedi 8 octobre ...

    Les jeunes seront présents en nombre et les anciens auront à cœur de venir soutenir leur action, courageuse, déterminée et militante, dans la tradition des camelots du roi.  •  LFAR

    Renseignements : 06 08 31 54 97 

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    Lundi 4 octobre : Petit tractage matinal devant les lycées Perrier, et Saint Joseph Les Maristes pour préparer cette réunion de rentrée du 8 octobre ! Venez nombreux !

  • Action française • A l'ère des « viuels », l'AF mobilise une nouvelle génération militante

     

    Nous vivons, c'est un fait, le temps des écrans. Ceux des téléviseurs, mais davantage encore aujourd'hui, ceux des ordinateurs, des tablettes et des smartphones. Fabrice Hadjadj résume le phénomène par la formule « in vitro veritas » qui caractérise, qu'on les aime ou pas, les évolutions en cours.

    La communication politique évolue en conséquence. Ainsi, les écrans que nous avons dits supplantent les murs, les platanes et autres lieux où s'exprimaient naguère les opinions; et les « visuels » triomphent sur les dits écrans des affiches d'hier, même s'ils ne les suppriment pas complètement.

    Il y avait jadis des talents pour composer des affiches esthétiques et attractives. Des affiches donc efficaces. Ainsi, à Marseille, on disait d'un camelot du roi bien précis de l'entre-deux-guerres qu'il faisait chanter les murs. Mais il y a aussi de jeunes talents, à l'Action française d'aujourd'hui, pour faire chanter les portables, les tablettes,  les ordinateurs et les pages Facebook avec des visuels de bon goût, talent et sens de la communication. 

    Exemple : celui qui est repris en titre, relevé sur la page Facebook d'Action française Provence

    Que les anciens se rassurent : les moyens évoluent, ce n'est pas ce qui est important; l'objectif est inchangé : appeler les jeunes Français tout particulièrement, mais les autres aussi, à se joindre au grand Mouvement plus que centenaire qui persiste comme l'écrivait Thierry Maulnier à l'occasion du rassemblement royaliste de Montmajour en 1971, « à aimer la France et à ne pas désespérer d'elle ».  LFAR   •

     

    marseille.etudiants@actionfrancaise.net

    https://fr-fr.facebook.com/actionfr...

     

  • Action française Provence : un nouveau et excellent « visuel » d'affirmation royaliste

     

    A lire sur Lafautearousseau

    Action française • A l'ère des « viuels », l'AF mobilise une nouvelle génération militante

  • L'Action Française Provence : un exemple d'activité intense et réussie ...

     

    Dans son enquête de l'été dernier, « Aujourd’hui, le royalisme », Politique magazine avait titré l'un de ses articles : « L'AF-Provence, section modèle* ». De fait, cette qualification ne se dément pas.

    Au camp d'été de l'Action Française, le Camp Maxime Real Del Sarte, la participation des jeunes Provençaux a été nombreuse et remarquée, en raison de leur dynamisme et de leur efficacité.

    La semaine dernière - lundi 10 - nous avons fait écho à la réunion de rentrée d'Action Française Provence**. Une réunion qui a fait grand bruit (presse, télévision ...) parce que tenue et réussie - le samedi 8 octobre - malgré les violences de la gauche radicale, organisées pour « l'interdire » ... Sans succès !

    Le vendredi suivant, 14 octobre, a eu lieu la première conférence du cercle Estienne d’Orves : un exposé d'Antoine de Crémiers sur « l’empirisme organisateur », thème maurrassien très classique, confronté, en l'occurrence, comme il se doit, à l'actualité et aux problèmes de la France contemporaine. Nombreuses réflexions et débats du côté des militants !

    Le lendemain, samedi 15, à Marseille, l’Action française est dans la rue. les militants se sont rendus sur un des lieux incontournables de Marseille : le marché du Prado. Ils ont tenu un stand au beau milieu de la foule, ont diffusé des tracts sur le thème de l’urgence à sortir de l’Union européenne. De belles rencontres et des discussions enrichissantes à la clé ! 

     

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    La conférence du vendredi 14 octobre, 14 rue Navarin

     

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    Un stand de presse, affiches et tracts, dans la foule, marché du Prado

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    Les tracts, de mains en mains ...

     

    A lire aussi dans Lafautearousseau ...

    * Enquête « Aujourd’hui, le royalisme » : l'AF Provence vue par Politique magazine

    ** L'Action Française Provence a réussi sa réunion de rentrée malgré les violences de la gauche radicale

  • Message du Prince Jean de France aux participants de la réunion de rentrée d'Action Française Provence

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    Domaine Royal, le 7 octobre 2016


    Chers Amis,

    Vous vous réunissez, aujourd'hui, pour votre rentrée. Je suis par la pensée et par le coeur avec vous.

    Notre pays ne se porte pas bien. L'idée monarchique fait son chemin, grâce à vous. Continuez. Elle est incarnée par la Maison de France. J'agis, à la place qui est la mienne, à Dreux déjà. En temps voulu, j'agirai plus largement.

    Il faut renouer le pacte national. Travaillons dans ce sens au service du bien commun, de la France et des Français.

    Votre affectionné,

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  • Action Française • Un nouveau site à découvrir, celui de la jeune génération royaliste en Provence

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    Action Française - Provence  [NOUVEAU SITE]

    Venez découvrir notre nouveau site internet

    https://provence.actionfrancaise.net

  • Décryptage : Le président d'Action Française Provence écrit au préfet de police des Bouches du Rhône

  • Sur le site officiel de l'Action française : La violence du pays légal, l’éditorial de François Marcilhac

    La rhétorique libérale n’a finalement pas changé, depuis le XIXe siècle : il existe toujours des classes dangereuses dont les honnêtes gens doivent se méfier. Depuis le déclenchement du mouvement des Gilets jaunes, il n’est de cesse dans les médias officiels et chez les responsables du pays légal, de dénoncer le retour d’une prétendue violence politique, voire un ensauvagement de la société française, fût-ce en créant cette violence, comme en témoigne la liberté d’action des black blocs lors des manifestations que l’exécutif veut discréditer.

    maxresdefault.jpgDe cette rhétorique de la peur participe également la diabolisation d’actes passant jusque là pour de simples chahuts : les actions des agriculteurs opposés au CETA traitées cet été d’ « attentats » par Castaner ou encore Macron qualifiant l’intrusion de quelques grévistes au siège de la CFDT, syndicat proche du gouvernement et de la Commission européenne, rien moins que de « honte pour notre démocratie », avant d’être lui-même, quelques heures plus tard, l’objet d’un charivari, évidemment criminalisé, à la sortie d’un théâtre parisien. Il serait toutefois injuste de dater de Macron le retour de cette rhétorique, et de la violence du pays légal à l’encontre du pays réel que cette rhétorique a pour but de justifier. Si, le mardi 14 janvier, le président du groupe communiste à l’Assemblée nationale, André Chassaigne, a, non sans raison, accusé le gouvernement d’avoir « rompu avec la doctrine française du maintien de l’ordre, qui repose sur la prévention des troubles, l’absolue nécessité de l’usage de la force et une réponse proportionnée à la menace », il convient de noter que, sous Hollande, la Manif pour tous, sans que cela émeuve alors la gauche, était accusée de provoquer, par le simple fait de manifester, haine « homophobe » et violence d’ « extrême droite », ce qui a permis au pouvoir de rompre une première fois avec la doctrine française du maintien de l’ordre. Et déjà, le Conseil de l’Europe de dénoncer l’exécutif français pour l’extrême violence de sa répression.

    Il est vrai qu’avec Macron la violence du pays légal à l’encontre des Français est encore montée d’un cran : plusieurs dizaines de manifestants mutilés, incarcérations préventives innombrables, une pluie encore jamais vue de condamnations à de la prison ferme de simples opposants et dénégation par le pouvoir des violences policières, jusqu’à ce que Macron lui-même, bientôt relayé par Castaner, leur patron, lâche ceux qui ont fait le sale boulot à la demande de l’exécutif.

    À l’approche des élections municipales et se sachant déjà dans une mauvaise posture, le pouvoir, qui voit les grèves s’essouffler mais ignore quelles formes peut prendre le mal être de la société française, dont l’opposition majoritaire à la réforme des retraites n’est qu’un des symptômes, se sait piégé par la stratégie de la tension qu’il a lui-même choisie. Donnant des gages illusoires en rappelant les forces de l’ordre à l’éthique, après les avoir incitées à rompre avec elle, le pays légal sait qu’il gouverne désormais au-dessus d’un volcan. Diviser pour mieux régner peut se retourner contre soi, lorsque ceux qu’on a voulu opposer s’aperçoivent qu’on les a bernés. Macron a tout d’abord désigné à l’hostilité des classes moyennes les Français les plus pauvres ou les plus précaires en méprisant ouvertement les Gilets jaunes. Or, aujourd’hui, tant avec une réformes des retraites dont les classes moyennes, quel que soit leur statut — public, privé, salarié, indépendant — seront les premières perdantes, qu’avec un dégringolade des services publics les plus nécessaires — hôpitaux, pompiers, police, justice —, toutes les composantes du pays réel s’aperçoivent enfin que Macron et ses satellites leur ont menti. Et que nous sommes tous concernés par la politique de destruction de la société française actuellement menée.

    À cette violence du pays légal au service de l’oligarchie, opposons une détermination sans faille : celle du pays réel à recouvrer les voies du Bien commun.

  • Vu sur la page FB de l'Action française Lyon : François Bousquet ”Le courage est contagieux”.

    Francois Bousquet nous donne des pistes de réflexion, pour sortir de cet état groupusculaire et se "dégetthoïser".

  • Soutien total à notre camarade de l'Action française Ile de France.

    A la suite de la manifestation anti PMA/GPA, un de nos militants a été interpellé et emmené dans un commissariat parisien.

    Aujourd'hui les opposants aux dérives bioéthiques sont en permanence réprimés par les forces de l'ordre : contrôles d'identités abusifs, gardes à vue, poursuites judiciaires...

    Aidez nos militants à continuer le combat en faisant un don : https://www.actionfrancaise.net/agir/faire-un-don/

  • Sur Infos Toulouse, Marianne pendue : l’Action française s’explique.

    Une action matinale qui a enflammé la classe politique toulousaine toute la journée. En cause, l’exécution symbolique de l’effigie de Marianne, et plus généralement du régime républicain. Face à la polémique, l’Action Française sort du silence. 

    Il y a des symboles auxquels il ne vaut mieux pas toucher. C’est le cas de Marianne, symbole de la République française qui a été symboliquement condamnée à mort par une poignée de militants royalistes, samedi 29 février sur le Pont-Neuf à Toulouse. Une action coup de poing qui a déclenché l’ire de toute la classe politique toulousaine, de l’ensemble des candidats aux élections municipales et même du président du département. Le porte-parole local de l’Action Française, Nicolas Viau s’explique dans nos colonnes. 

    Infos-Toulouse : En quoi consistait votre action ?
    Nicolas Viau : Samedi 29 février à l’aube, nous sommes allés au Pont-Neuf de Toulouse pour pendre une effigie de Marianne sous l’arche principale. Nous avons lu un acte d’accusation du régime républicain et nous avons accompagné la pendaison de quelques slogans et fumigènes.
    L’action a fait l’objet d’un clip.

     

    « La monarchie a fait la France et l’a conduit à son apogée. Au contraire, le système républicain détruit le pays que nous aimons, le ruine et l’humilie. Nous condamnons à mort la république. Nous condamnons Marianne parce qu’elle nous trahit. » En plus de notre militantisme quotidien, nous envisageons de nouveaux coups d’éclat dans les temps
    prochains.

    Pourquoi avoir fait ça ?
    Par cette action, nous souhaitons alerter sur les méfaits du système républicain. Royalistes parce que nationalistes, nous affirmons que la république détruit notre pays et qu’elle est un régime profondément irresponsable. Le système des partis est une compétition permanente qui divise nos forces au lieu de les unir. La république dresse les Français les uns contre les autres et soumet le pouvoir à la dépendance des lobbies et de la puissance financière. De plus, la brièveté des mandats rend impossible une politique dans le long terme.

    Concrètement, on juge une politique à ses résultats. Le bilan de la république est extrêmement grave pour notre pays :
    – Quatre invasions, dont une migratoire aujourd’hui.
    – Deux guerres mondiales et des générations entières massacrées.
    – Un État omniprésent et confiscateur.
    – Aucune continuité politique et historique
    – Reniement de notre identité française et chrétienne par la loi de 1905.

    Qu’avez-vous à répondre à ceux ayant condamné votre action, dénonçant notamment « la violence symbolique » qu’elle dégageait ? Que pensez-vous particulièrement de la condamnation du candidat RN ?
    Nous avons rapidement réagi au tollé qu’a suscité notre action. Comme d’habitude, la république s’acharne à défendre ses symboles et ses prétendues valeurs mais est incapable d’assurer la défense de nos intérêts nationaux et du bien commun. Sur Twitter, nous nous sommes indignés.

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    « Il est honteux et inquiétant que notre action potache d’hier ait davantage retenu l’attention des médias et élus républicains que notre action du 30 novembre dernier, qui visait à alerter sur le rachat américain de Latécoère, entreprise française, fleuron stratégique. Par ce deux poids deux mesures flagrant, nos élus prouvent qu’ils sont d’avantage attachés à des symboles abstraits qu’au service du bien commun », dit le tweet. 

    Concernant la réaction de Quentin Lamotte il est dommage qu’il ait cédé à la pression d’une gauche assez paranoïaque pour soupçonner Moudenc de liens avec nous…

    Y a t-il un lien entre cette action et l’utilisation dans la même journée du 49-3 pour fait passer en force la réforme des retraites ?
    À l’origine non, puisque l’action était prévue depuis un moment déjà. Mais on peut dire que c’est une heureuse coïncidence. Lors de l’action justement, nous accusions la république d’avoir anéanti nos libertés locales et professionnelles. Les corps de métiers et les localités étaient les lieu d’une démocratie authentique. La république a perpétuellement lutté contre eux pour centraliser son pouvoir. L’autonomie de nos communautés vivantes est désormais remplacée par la bureaucratie et l’étatisme.

    Par l’usage désormais coutumier du 49–3 pour faire passer en force des propositions impopulaires, le parlementarisme du régime illustre plus que jamais la rupture profonde entre notre peuple et ses élites, comme les gilets jaunes en firent la démonstration.
    Nous invitons donc tous les Français à se rassembler pour sauvegarder notre nation et condamner ce régime qui nous détruit. Plus que jamais nous pouvons dire : pour que vive la France, vive le Roi !

    Nous accusons la république de dresser les Français les uns contre les autres. Alors que nous avons tant besoin d’unité, le système des partis condamne le pouvoir à une compétition permanente. La république divise nos forces au lieu de les unir. Une politique sérieuse exige le temps long dans tous les domaines, or le système des mandats
    empêche toute vision d’ensemble et ne peut penser qu’à court-terme. Le pouvoir en république est nécessairement instable et irresponsable, car les élus agissent en vue
    de leur réélection et savent bien que leurs fautes seront vite oubliées. 
    Nous accusons la république d’être soumise aux lobbies et aux puissances financières,
    De sacrifier les intérêts vitaux de notre pays aux intérêts particuliers. En république, c’est l’argent qui règne. Et le pouvoir dépend des caprices de l’opinion soumise à la démagogie.
    Enfin, nous accusons la république d’avoir anéanti nos libertés locales et professionnelles.
    Les corps de métiers et les localité étaient les lieu d’une démocratie authentique. La république a perpétuellement lutté contre eux pour centraliser son pouvoir. L’autonomie de nos communautés vivantes est désormais remplacée par la bureaucratie et l’étatisme.

    Propos recueillis par Étienne Lafage.

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  • Marianne pendue en effigie par l'Action française : suites... Sur la page facebook de Frédéric de Natal...

    On appréciera la remarque des plus risibles de SOS Racisme dans cette affaire. Mon commentaire -réaction laissé en bas de cet article : "Etant donné qu'il y a un regain de monarchisme en Europe, en Afrique et en Amérique du Sud avec la multiplications des titres sur le sujet dans la presse nationale et internationale (qui a le mérite d'aller au delà des caricatures habituelles que nous servent les journalistes français et encore faut-il s'y intéresser), toute polémique que peut avoir cette "pendaison symbolique", elle révèle aussi autant l'état actuel de déliquescence de la France qu'elle illustre aussi la fin d'un régime à bout de souffle. Quand on pense que 17% des français souhaitent le retour de la monarchie et que 29% sont prêts à voter pour un candidat royaliste, s'il présentait un programme crédible, que des députés et élus locaux ont reconnu durant la crise des GJ qu'il manquait peut-être " un roi à la France" , un arbitre naturel, il y a de quoi se demander si en effet, ce n'est pas une solution à exploiter aujourd'hui face à la crise qui menace de faire éclater le pays. D'ailleurs le mag "L'incorrect " a enquêté sur les royalistes ce mois comme l'ont fait avant lui le Figaro, les Inrocks ou encore le mag Diplomatie pour ne citer qu'eux. Preuve que l'idée est loin d'être aussi saugrenue que cela".

  • L'Action française condamne à mort la République et pend Marianne à Toulouse.

    Pendaison de Marianne à Toulouse.

    Le porte-parole de la section, Nicolas Viau, s'explique.

    "Par cette action, nous souhaitons alerter sur les méfaits du système républicain. Royalistes parce que nationalistes, nous affirmons que la république détruit notre pays et qu’elle est un régime profondément irresponsable."

    Le régime républicain démocratique plonge la France dans la nuit depuis maintenant deux siècles :

    Les motifs de condamnation sont les suivants :

    - 4 invasions, dont une migratoire aujourd'hui.
    - Deux guerres mondiales et des générations entières massacrées
    - Un Etat omniprésent et confiscateur
    - Aucune continuité politique et historique
    - Reniement de notre identité française et chrétienne par la loi de 1905.