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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • On a tous quelque chose en nous... du Festival Interceltique de Lorient !

    Le festival interceltique de Lorient a fêté ses 50 ans samedi 8 août dans un contexte particulier. "Finie la grande parade traditionnelle et les dix jours de fête. Place cette année à un seul et unique concert, devant 5.000 spectateurs à peine au Moustoir, avec quatre bagadoù : le bagad de Cap Caval, Kemper, Sonerien an Oriant et Roñsed-Mor. 

    Rendez-vous l'année prochaine !

    En attendant, voici Nolwenn Leroy, qui  chante le Bro gozh ma zadoù au stade de France avant la finale Rennes-Guinguamp...

  • Devançant la Sierra Leone, le Niger n'est plus le pays le plus pauvre d'Afrique de l'Ouest, par Ilyes Zoua­ri.

    Pré­sident du CERMF (Centre d’é­tude et de réflexion sur le Monde francophone)

    www.cermf.org

    info@cermf.org

    Notre amiIlyes Zoua­ri, spé­cia­li­sé dans le déve­lop­pe­ment des pays fran­co­phones en Afrique, nous fait l’honneur de nous livrer régu­liè­re­ment le résul­tat de ses ana­lyses pré­cises et équi­li­brées. 

    3.jpgAin­si, depuis des années, il démontre que mal­gré le contexte de la post-déco­lo­ni­sa­tion, les états fran­co­phones s’en sortent plu­tôt mieux que les états anglo­phones, mal­gré les pro­pos sou­vent affir­ma­tifs de la presse et de la classe poli­tique anglo-saxonne, relayés chez nous par des médias incultes ou volon­tai­re­ment aveugles, atlan­tistes et réso­lu­ment hos­tile à tout ce, qui rap­pe­lant la culture fran­çaise et sa por­tée civi­li­sa­trice, consti­tue un obs­tacle au « mar­ké­ting » mon­dia­liste. (NDLR)

    En venant de dépas­ser en richesse par habi­tant la Sier­ra Leone, pays anglo­phone côtier, le Niger encla­vé a quit­té la place long­temps occu­pée de pays le plus pauvre d’A­frique de l’Ouest, ain­si que les dix der­nières places du conti­nent africain. 

    Selon les don­nées de la Banque mon­diale, le Niger affi­chait un PIB par habi­tant de 555 dol­lars fin 2019, dépas­sant ain­si le niveau de richesse de la Sier­ra Leone (504 dol­lars), désor­mais pays le plus pauvre de l’en­semble de l’A­frique de l’Ouest. L’é­vo­lu­tion posi­tive du Niger, géo­gra­phi­que­ment péna­li­sé par son encla­ve­ment, est le fruit des nom­breuses réformes accom­plies, et conso­li­dées par l’en­vi­ron­ne­ment favo­rable que pré­sente l’es­pace UEMOA. Tou­te­fois, le pays devra pro­chai­ne­ment rele­ver d’im­por­tants défis afin de pour­suivre son développement.

    Un pays réfor­ma­teur et en forte croissance…

    Cette pro­gres­sion résulte de la forte crois­sance enre­gis­trée ces der­nières années par ce pays de 24 mil­lions d’ha­bi­tants, et qui a atteint une moyenne annuelle de 6,3 % sur la période de huit années allant de 2012 à 2019. Sur cette même période, la Sier­ra Leone (8 mil­lions d’ha­bi­tants) affi­chait une hausse annuelle de son PIB de 4,2 % en moyenne, mal­gré le faible niveau de déve­lop­pe­ment du pays. Certes, le Niger affi­chait déjà un PIB total près de trois fois supé­rieur à celui de la Sier­ra Leone, mais il n’é­tait pas pour autant plus riche, le cri­tère du PIB par habi­tant étant le plus per­ti­nent pour com­pa­rer le niveau réel de richesse (le simple mon­tant glo­bal du PIB don­nant tou­jours un grand avan­tage aux pays les plus peu­plés, même si leur éco­no­mie est sous-développée).

    La crois­sance robuste du Niger résulte en bonne par­tie des réformes accom­plies, et notam­ment en matière de bonne gou­ver­nance et d’a­mé­lio­ra­tion du cli­mat des affaires. Ain­si, et sur ce der­nier point, le pays a fait un bond consi­dé­rable dans le clas­se­ment inter­na­tio­nal Doing Busi­ness de la Banque mon­diale, pas­sant de la 173e place en 2012 à la 132e place en 2020, et talon­nant désor­mais le Nige­ria (131e). Le Niger fait même lar­ge­ment mieux que des pays comme l’An­go­la (177e, et une des prin­ci­pales éco­no­mies d’A­frique sub­sa­ha­rienne, du fait de son impor­tante pro­duc­tion pétro­lière), ou encore l’É­thio­pie, pas­sée de la 111e à la 159e place. Cette der­nière, où les répres­sions poli­cières et les ten­sions inter­eth­niques ont fait plu­sieurs cen­taines de morts ces quelques der­nières années, est d’ailleurs l’un des pays connais­sant les plus fortes ten­sions sociales sur le conti­nent, avec en par­ti­cu­lier l’A­frique du Sud (où l’on compte plus de 15 000 homi­cides par an). Pour sa part, la Sier­ra Leone occupe aujourd’­hui la 163e place du classement.

    Au pas­sage, il convient de noter que la per­for­mance du Niger contre­dit clai­re­ment les pro­pos régu­liè­re­ment tenus par un cer­tain nombre de com­men­ta­teurs, et selon les­quels une forte crois­sance démo­gra­phique empê­che­rait un pays de pro­gres­ser et de se déve­lop­per. Une théo­rie qui vise d’ailleurs sou­vent le Niger, dont le taux de fécon­di­té est le plus éle­vé au monde, avec une moyenne esti­mée à 7,1 enfants par femme en 2019 (et tou­te­fois en baisse, par rap­port à un niveau de 7,6 enfants en 2015). Ce taux est d’ailleurs bien supé­rieur à celui de la Sier­ra Leone, esti­mé à 4,2 enfants. De plus, il est éga­le­ment inté­res­sant de noter que le Niger ne fait désor­mais plus par­tie des dix pays les plus pauvres du conti­nent, se pla­çant aujourd’­hui à la 11e place des pays les moins riches (le Sou­dan du Sud arri­vant en der­nière posi­tion, dans un clas­se­ment où il n’y a aujourd’­hui plus qu’un seul pays fran­co­phone par­mi les cinq pays afri­cains les plus pauvres, à savoir le Burun­di). Cette évo­lu­tion favo­rable s’ob­serve éga­le­ment au niveau du taux de pau­vre­té, pas­sé de 50,6 % en 2011 à 40,8 % en 2019. Un taux encore assez éle­vé, mais qui a bais­sé de près de 20 % en seule­ment huit ans. 

    Les avan­cées réa­li­sées par le Niger devraient d’ailleurs lui per­mettre de quit­ter pro­chai­ne­ment les toutes der­nières places du clas­se­ment inter­na­tio­nal rela­tif à l’in­dice de déve­lop­pe­ment humain (IDH), publié chaque année par l’O­nu, mais qui a pour défaut de se baser sur des don­nées sou­vent rela­ti­ve­ment anciennes pour les pays en déve­lop­pe­ment, et ne pre­nant donc pas en consi­dé­ra­tion les toutes der­nières évo­lu­tions éco­no­miques et sociales (le Sou­dan du Sud, pays le plus pauvre du monde, exsangue et en par­tie détruit par une ter­rible guerre civile, demeure ain­si mieux clas­sé que le Niger…). De même, cer­tains pays ne sont pas réper­to­riés faute de don­nées dis­po­nibles, comme la Soma­lie (qui est pro­ba­ble­ment, avec le Sou­dan du Sud, l’un des deux pays les moins bien clas­sées en matière de déve­lop­pe­ment humain).

    Par ailleurs, les réformes accom­plies par le pays, ain­si que l’en­vi­ron­ne­ment favo­rable que pré­sente l’es­pace UEMOA, qui n’est autre que la plus vaste zone de forte crois­sance du conti­nent, avec une hausse annuelle du PIB de 6,4 % en moyenne sur la longue période de huit années allant de 2012 à 2019, devraient per­mettre au Niger de dépas­ser assez rapi­de­ment un second pays ouest-afri­cain, éga­le­ment côtier, à savoir le Libe­ria. En Effet, ce der­nier affi­chait un PIB de 622 dol­lars par habi­tant fin 2019, après une crois­sance annuelle moyenne s’é­tant éta­blie à seule­ment 1,8 % envi­ron sur la période 2012 – 2019 (chiffre approxi­ma­tif, les don­nées rela­tives à l’an­née 2015 étant impré­cises). Une crois­sance qui devrait se main­te­nir à un niveau assez faible pour les quelques pro­chaines années, selon les pré­vi­sions de la Banque mondiale.

    … mais d’im­por­tants défis à relever

    Si le Niger est sur la voie du pro­grès, le pays devra tou­te­fois faire face à d’im­por­tants défis dans les années à venir, et en par­ti­cu­lier en ce qui concerne la bonne ges­tion des futures res­sources qui pro­vien­dront de la mon­tée en puis­sance de la pro­duc­tion pétro­lière, d’une part, et la lutte contre la menace ter­ro­riste venant de l’ex­té­rieur et d’in­té­rieur de ses fron­tières, d’autre part.

    En effet, le Niger est sur le point de deve­nir l’un des prin­ci­paux pro­duc­teurs de pétrole du conti­nent, avec un volume qui devrait atteindre les 500 000 barils par jour d’i­ci 2025 (contre seule­ment 20 000 aujourd’­hui), et lui per­mettre de dis­pu­ter au Gha­na le rang de troi­sième pro­duc­teur d’A­frique sub­sa­ha­rienne (la pro­duc­tion gha­néenne devant pas­ser d’en­vi­ron 200 000 à 500 000 barils par jour sur la même période). Cette aug­men­ta­tion consi­dé­rable de l’ac­ti­vi­té pétro­lière pro­cu­re­ra au pays de très impor­tants reve­nus, de l’ordre de plu­sieurs mil­liards de dol­lars par année et dépas­sant très lar­ge­ment les recettes liées à l’ex­trac­tion de l’u­ra­nium. Ain­si, le pétrole pour­rait repré­sen­ter non moins de 68 % des recettes d’ex­por­ta­tion du pays en 2025, soit bien davan­tage que l’u­ra­nium pour lequel le pays n’est d’ailleurs plus aus­si stra­té­gique que par le pas­sé. En effet, il en est aujourd’­hui le cin­quième pro­duc­teur mon­dial avec une part de seule­ment 6 % en 2019, loin der­rière le Kaza­khs­tan (42 %), le Cana­da (13 %), l’Aus­tra­lie (12 %) et la Nami­bie (10 %), pre­mier pro­duc­teur afri­cain en la matière (le Niger ne four­nit d’ailleurs plus que 32 % de l’u­ra­nium impor­té par la France). 

    Si l’é­mer­gence d’une nou­velle source de reve­nus est une chose théo­ri­que­ment posi­tive, force est de consta­ter, tou­te­fois, que l’exis­tence d’im­por­tantes recettes liées à l’ex­ploi­ta­tion pétro­lière s’ac­com­pagne sou­vent, dans les pays du Sud, par un déve­lop­pe­ment consi­dé­rable des phé­no­mènes de cor­rup­tion et de détour­ne­ments de fonds publics, empê­chant les popu­la­tions locales de béné­fi­cier plei­ne­ment de ces richesses. Par ailleurs, l’im­por­tance de ces reve­nus est sou­vent de nature à éloi­gner les pays concer­nés de l’ac­com­plis­se­ment des réformes néces­saires à un déve­lop­pe­ment solide et durable, qui ne peut pas­ser que par la diver­si­fi­ca­tion de l’é­co­no­mie. Les méfaits poten­tiels d’une impor­tante pro­duc­tion d’hy­dro­car­bures peuvent d’ailleurs s’ob­ser­ver au Nige­ria voi­sin, pays gan­gré­né par la cor­rup­tion et la mau­vaise ges­tion, et dont les hydro­car­bures repré­sentent encore 94 % des expor­ta­tions du pays, 60 ans après son indé­pen­dance. Un pays qui est aujourd’­hui en déclin (avec une crois­sance éco­no­mique lar­ge­ment infé­rieure à sa crois­sance démo­gra­phique), qui a récem­ment été dépas­sé en richesse par habi­tant par la Côte d’I­voire (deve­nue le pays le plus riche d’A­frique de l’Ouest), et dont la mon­naie a per­du près de 60 % de sa valeur face au dol­lar depuis 2014… et plus de 99 % depuis sa créa­tion en 1973.

    Le Niger, qui n’a­vait déjà pas tou­jours été exem­plaire dans la ges­tion de recettes liées à l’ex­ploi­ta­tion de l’u­ra­nium, devra donc démon­trer que les mau­vaises expé­riences vécues par de nom­breux pays ne sont pas une fata­li­té, d’au­tant plus que les pays du Nord ayant une impor­tante pro­duc­tion pétro­lière et gazière (comme la Nor­vège, le Royaume-Uni, le Cana­da et les États-Unis) par­viennent à gérer cor­rec­te­ment leurs res­sources. Mais le Niger devra éga­le­ment faire face à un autre défi au cours des pro­chaines années, et qui à trait aux acti­vi­tés ter­ro­ristes menées sur son ter­ri­toire, qu’elles soient réa­li­sées par des indi­vi­dus en pro­ve­nance d’autres pays du Sahel ou d’A­frique du Nord, à l’ouest et au nord, ou du Nige­ria au Sud. 

    L’ar­mée nigé­rienne, qui est d’ailleurs une des armées les mieux struc­tu­rées de la région, pour­ra comp­ter sur l’ap­pui mili­taire de la France et des États-Unis. De plus en plus pré­sents, les amé­ri­cains ont notam­ment construit une impor­tante base de drones à Aga­dez, dans le nord du pays (et qui s’a­joute, entre autres, à leur grande base mili­taire de Dji­bou­ti, de loin la plus impor­tante des bases étran­gères en Afrique, avec envi­ron 4 000 hommes). Tou­te­fois, cela ne devrait pas empê­cher le Niger de demeu­rer dans une situa­tion sécu­ri­taire pré­caire, et ce, notam­ment du fait de la pro­bable mon­tée du ter­ro­risme venant de l’in­té­rieur même du pays, consé­quence du déve­lop­pe­ment d’un extré­misme reli­gieux ali­men­té par des idéo­lo­gies en pro­ve­nance de l’ex­té­rieur. Des idéo­lo­gies contraires aux tra­di­tions reli­gieuses de ce pays presque entiè­re­ment musul­man depuis de nom­breux siècles, et qui semblent, hélas, s’en­ra­ci­ner davan­tage au Niger que dans les autres pays fran­co­phones du Sahel. 

    Le Niger devra donc lut­ter acti­ve­ment contre ces dérives qui consti­tuent une véri­table menace pour sa sécu­ri­té et ses inté­rêts. Le pays devrait notam­ment prendre des mesures cou­ra­geuses visant à empê­cher la tenue de dis­cours extré­mistes par des per­sonnes étran­gères ou par des natio­naux ayant été for­més dans des pays connus pour abri­ter des idéo­lo­gies contraires aux tra­di­tions nigé­riennes. Cepen­dant, cette lutte ne pour­ra être menée avec suc­cès que si le pays conti­nue à pro­gres­ser paral­lè­le­ment sur la voie de la trans­pa­rence et de la bonne gou­ver­nance, afin de par­ve­nir à une réduc­tion impor­tante et durable de la pau­vre­té par une bonne répar­ti­tion des richesses actuelles et futures, d’une part, et par la mise en place d’une éco­no­mie diver­si­fiée et non dépen­dante d’une seule acti­vi­té, d’autre part.

    Source : https://www.actionfrancaise.net/

  • Le monde tel qu'il est vraiment ?

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    "Nous vivons au sein d'une même civilisation globale. Elle n'est rien de plus qu'une mince couche qui recouvre et cache l'immense variété de cultures, de peuples, de mondes religieux, de traditions historiques et d'attitudes héritées de l'Histoire."

    (Vaclav Havel, écrivain, ancien président de la République tchèque)

     

  • Des millions de gens, grâce à Stéphane Bern, entendent parler positivement des grands moments et des grands personages d

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    Le "Secrets d'histoire" de France 2 sur Richelieu a réussi à réuni 3,5 millions de spectateurs (18,1 % de parts de marché), juste derrière les "Enfants de la Télé", sur la Une, avec 3,6 millions de téléspectateurs (20,6 % de parts de marché).

  • A propos de Jacques Bainville : merci à Anne-Lyse pour la précision...

    bainville le meilleur.jpg        "A propos de Jacques Bainville, je signale aux possesseurs de tablettes Kindle (et à ceux qui, possédant une tablette sous Android 4, ont pu télécharger le logiciel de Kindle) que son Histoire de France est téléchargeable pour 1,97 € sur la boutique Kindle..."

             A vos tablettes !...

  • Le numéro de mars de Politique magazine....

     POLITIQUE MAGAZINE MARS 2012.jpg

    POLITIQUE MAGAZINE N° 101.jpg

    Le dossier central de ce numéro 195 est consacré à la Hongrie, qui effectue un spectaculaire mouvement de retour sur ses Racines, son Histoire, ses Traditions...

    Trois entretiens, dans ce numéro : avec Claude Allègre ("Sortir des considérations politiciennes"), avec Philippe Nemo ("Au coeur des blocages français") et avec, justement, l'ambassadeur de Hongrie en France, Dr. Laszlo Trocsanyi ("Une véritable Constitution européenne)... 

  • La livraison de janvier du Réseau Régain....

            Au sommaire de janvier ( http://reseau-regain.net/ ) :

            Éditorial (Dialogue sur l'intégration). Hommage à Jacqueline de Romilly. Retour sur le film Des hommes et des dieux. Dossier : Jean-Marie Paupert (suite). Écologie (Promenade en Provence). Notre Histoire (Louis XIII à Richelieu).....

     

  • Vu sur le Blog d'Hilaire de Crémiers : L'identité nationale et l'islam

    Une nouvelle vidéo vient d'être postée sur le Blog d'Hilaire de Crémiers :

    L'identité nationale et l'islam

    Il est impossible d'intégrer des populations à des abstractions. Le multi culturanisme est un échec. Il faut revenir aux ''fondamentaux'' de l'histoire de France. 

  • Patrimoine, Racines, Traditions : Paris au Moyen-Âge...

    Merci à A.L. qui nous a envoyé ce très intéressant document. Il est bien dommage qu'Hautefort n'accepte pas ce "format", ce qui prive de la musique et du défilement sous forme de film; mais on garde quand même l'essentiel, en prenant une bonne leçon d'art et d'histoire...

    Paris_au_Moyen-Age.pps

  • Culture & Nationalité • Finkielkraut a raison ! Il dit là l'essentiel ...

     

    « Il ne revient pas au droit d'oublier que la France est une nation pourvue d'une histoire et d'une culture. »

    Entretien avec   Vincent Trémolet de Villers donné au Figaro, le 9.09.2016

    [Entretien sur lequel nous reviendrons]

  • Toulon, ce jeudi 18 mai, une conférence de Laurent Dandrieu à ne pas manquer !

     

    Le Café Histoire de Toulon recommande vivement la conférence qui sera donnée par Laurent Dandrieu - rédacteur en chef de l'hebdomadaire Valeurs actuelles - le 18 mai 2017, à la Salle Saint Paul de Toulon : « Eglise et immigration »

  • A lire, demain ... George Steiner

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    Dans notre nouvelle série Grands auteurs ou acteurs de l'Histoire, vous aurez à lire, demain, des réflexions de Georges Steiner qui débutent par cette affirmation singulière et paradoxale : « Donner à quelqu'un tout ce qu'il veut, c'est pour moi l'insulte suprême à la dignité humaine ».

    A ne pas manquer ! u   

  • Demain, ne manquez pas notre Ephéméride du jour...

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    2008 : Parution de l' Aristote au Mont Saint Michel, de Sylvain Gouguenheim.

    L'Ephéméride du jour vous propose un résumé court, mais complet, de cet ouvrage majeur, indispensable pour répondre aux billevesées, travestissements de l'Histoire et autres mensonges aussi énormes qu'abracadabrantesques de ceux qui ne craignent pas le ridicule en affirmant (comme le fit Jacques Chirac) que la France avait... des racines musulmanes !

  • Sur la page facebook du Souvenir Vendéen...

    La chaîne Histoire rediffuse au début du mois de mars la série de documentaires de Franck Ferrand, « L'ombre d'un doute ».

    L'épisode intitulé « Robespierre, bourreau de la Vendée ? », qui était jusqu'à présent "écarté" sera diffusé :
    – Le jeudi 5 mars 2020 à 13h35 ;
    – Le vendredi 13 mars 2020 à 14h30.

  • Atlantico : 25 ans après son entrée en vigueur, le sombre bilan du traité de Maastricht

     

    Une petite histoire apocryphe et romancée ?

    Michel Rocard, 27 août 1992, Ouest-France :

    « Maastricht constitue les trois clefs de l’avenir : la monnaie unique, ce sera moins de chômeurs et plus de prospérité ; la politique étrangère commune, ce sera moins d’impuissance et plus de sécurité ; et la citoyenneté, ce sera moins de bureaucratie et plus de démocratie »...