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  • A la découverte de l'homme Maurras : Joseph Boze, peintre de Louis XVI, défendit héroïquement la Reine Marie-Antoinette

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Aujourd'hui : Joseph Boze, peintre de Louis XVI, défendit héroïquement la Reine Marie-Antoinette devant le soi-disant "tribunal" révolutionnaire...

    "...Joseph Boze fut peintre de Louis XVI...."

     

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    Né à Martigues le 7 février 1745, mort à Paris le 25 janvier 1826, Joseph Boze fut un portraitiste de talent.


    Il représenta aussi bien Louis XVI, Mirabeau, La Fayette, Marat, Barnave...


    Cité à comparaître au pseudo-procès de Marie-Antoinette, il déclara aux Conventionnels hurlants et vociférants : "Ma tête serait sur le billot que je ne témoignerais pas contre Sa Majesté"...

    Cette sombre et calamiteuse période où la France fut livrée à la folie sanguinaire d'une bande de malades mentaux hystériques, est connue sous le nom de "Révolution française"; elle a encore ses thuriféraires aujourd'hui, et le Système qui nous gère déclare fièrement (!) dans le préambule de notre Constitution qu'il est établi sur la base "des principes de 1789" : Terreur, Génocide, Xénophobie !

    Dans ce temps horrible, Joseph Boze fut l'un de ces innombrables héros qui sauva l'honneur du nom français...

     

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    Portrait de Marie-Antoinette, par Joseph Boze

    lafautearousseau

  • Famille de France • Naissance de la princesse Jacinthe Elisabeth-Charlotte Marie de France : une joie familiale et franç

     

    3818747318.jpgLe prince Jean a annoncé cette joyeuse nouvelle en ces termes :

    « Je m’associe à la princesse Philomena pour vous annoncer avec joie la naissance de la princesse Jacinthe Elisabeth-Charlotte Marie, notre cinquième enfant, hier soir, neuf octobre deux mille dix-huit, à Dreux. Toutes deux se portent bien. »

    Jean de France, Duc de Vendôme,

    Domaine royal de Dreux, le 10 octobre 2018.

    Le prince Jean de France
    (Page facebook)

    Lafautearousseau, englobant l'équipe du site aussi bien que ses lecteurs, exprime au Prince et à la Princesse ses sentiments de joie, de confiance et de fidélité. Sous l'angle du Destin national, si malmené et compromis par les jeux politiciens et par la faiblesse des hommes en charge de notre pays, le renouvellement de la Famille de France qui se réalise ainsi, est aussi une chance, un recours, une possible incarnation pour notre patrie. Il faut  remercier les Princes de les maintenir - eux aussi fidèlement.  

  • Sur Valeurs Actuelles, ENTRETIEN : ”C'est une guerre faite à l'Humain”, avec Jean-Marie Le Méné.

    Entretien avec le magistrat Jean-Marie Le Méné, sur les dangers de la loi bioéthique. Retour sur ce qui pourrait être une nouvelle forme d'#eugénisme.

  • Les délires écolos n’ont plus de limites : ils veulent interdire aux enfants de rêver !, par Marie d'Armagnac.

    Souvenez-vous : municipales 2020, EELV remporte plusieurs grandes mairies : Poitiers, Bordeaux, Lyon, Strasbourg, Grenoble. À la faveur d’une abstention très forte, des maires écologistes, rouge-vert, se sont donc retrouvés aux affaires. 

    3.jpgOn aurait pu imaginer, de leurs points de vue, que cette accession au pouvoir serait l’occasion de montrer leurs capacités de gestion et leur vision politique ailleurs que dans les manifestations « grétinistes » ou les mouvements zadistes. Il était temps de passer de l’agit-prop à la gestion institutionnelle.

    Las ! Ils font, depuis six mois, preuve d’incompétence lourde et de cécité politique : ce ne sont que des révélateurs, en creux, de leur idéologie plus verte que rouge, qui flirte non seulement avec tous les délires de l’époque, mais aussi, plus sérieusement, avec l’idéologie islamiste. L’affaire de la mosquée de Strasbourg, que la mairie veut financer à hauteur de 2,5 millions d’euros, en est un exemple.

    On rappellera rapidement, également, que les délires écolos ne sont pas seulement loufoques, bizarroïdes et inoffensifs : les bobos écolos n’ont plus rien à voir avec une vision fantasmée d’un flower power revisité. La nocivité de leurs actions, qui sont autant d’insultes au bon sens que d’avancées dans l’entreprise de déconstruction nationale, commence à apparaître. Les premières décisions des mairies EELV ont eu comme conséquence de susciter une belle unanimité… contre elles. À Lyon, par exemple, exit le Tour de France, manifestation éminemment populaire, car jugé trop « machiste et polluant » ; pas le temps, non plus, pour le nouveau maire, Grégory Doucet, de s’inscrire dans la longue tradition du Vœu des échevins à la basilique Notre-Dame de Fourvière, qui remonte à 1643, sous prétexte de laïcité… mais pas le temps, le lendemain, d’invoquer ladite laïcité en se rendant à la pose de la première pierre de la mosquée de Gerland.

    On pourrait aussi évoquer la polémique bordelaise sur le sapin de Noël, « arbre  », dont le maire a privé ses administrés, petits et grands. Il est vrai qu’après l’année passée, ils n’avaient sûrement pas besoin d’inutiles joies simples.

    Ces jours-ci, c’est le maire de Poitiers, Léonore Moncond’huy, estampillée EELV, qui supprime les subventions accordées à deux aéro-clubs et n’invoque, comme motif, rien de moins qu’un changement de civilisation : « L’aérien ne doit plus faire partie des rêves des enfants aujourd’hui. » Après la police de l’arrière-pensée déjà bien installée, voici la police du rêve. Si elle a reconnu une maladresse d’expression devant le tollé qu’elle a suscité, on a pu voir sur BFM TV, le 5 avril, Pablo Pillaud-Vivien, responsable éditorial de la revue d’extrême Regards, s’approprier cette réflexion et déclarer : « L’avion ne peut plus faire rêver, car il est intrinsèquement lié au réchauffement climatique […] les rêves, ceux des enfants comme ceux des adultes, sont aussi des constructions sociales et, à ce titre, il est tout à fait légitime que le politique s’attache à les construire ou à les déconstruire. Les politiques n’ont pas la mainmise sur les rêves mais l’imaginaire, c’est aussi ce qui nous permet de faire peuple, c’est ce qu’il faut qu’on co-contruise, pour que ces imaginaires soient plus résilients, moins agressifs envers notre environnement. »

    Entre les prêtres mis en garde à vue pour non-respect de la nouvelle morale « covidienne » et la résurgence virulente du maoïsme incarnée par les Verts, on se dit que la France, depuis quelques mois, est en voie de sinisation accélérée.

     

    Marie d'Armagnac

    Journaliste
    Journaliste et auteur
  • Loi contre le séparatisme : la foire aux amendements d’une loi faible et mal ficelée, par Marie d'Armagnac.

    Après son examen à l’Assemblée, c’est au tour du Sénat d’examiner la loi confortant les principes républicains censée lutter, dans la vraie vie, contre le séparatisme islamiste. Seulement voilà, à mal nommer les choses – ou même pas du tout -, on ne peut prétendre les combattre.

    La preuve par l’exemple.

    2.jpgTout récemment, deux polémiques sont venues éclairer d’un jour nouveau la faiblesse de la réponse des autorités face à l’expansion islamiste : la subvention apportée par la mairie de à une mosquée soutenue par l’association Millî Görüş (Confédération islamique Millî Görüş, CIMG) et l’obligation faite par une décision du tribunal administratif au maire d’Albertville d’accorder un permis de construite à une école musulmane par cette même association. Elle scolariserait 400 enfants, sur les 1.200 que compte la commune savoyarde. Difficile de ne pas y voir un exemple clair de volonté séparatiste.

    Rappelons, au passage, que Millî Görüş est une association fondée dans les années 70 par Necmettin Erkaban, ancien Premier ministre d’Erdoğan, qui gère plus de 600 mosquées en occidentale, dont 71 en France. Elle est une association de promotion de la conscience islamique à travers des écoles, des centres culturels et des mosquées. Cette association, membre du très officiel Conseil français du culte musulman (), fait pendant, comme l’explique Jean Marie Guénois dans Le Figaro, au Comité de coordination des musulmans turcs de France. Ces deux associations représentent 14 % de l’ de France.

    Et depuis janvier 2020, Fatih Sarikir, membre de Millî Görüş et figure montante de l’islamisme radical, est secrétaire général du CFCM, mais aussi, selon Le Parisien, président de l’Union européenne pour l’enseignement musulman privé (onze groupes scolaires en France).

    Millî Görüş est donc un interlocuteur habituel des pouvoirs publics.

    Lorsque Le Figaro publie, il y a quelques jours, le cri de colère du maire d’Albertville qui dénonce cette décision de , sa tribune fait grand bruit : les débats au Sénat sur la loi confortant les principes républicains ont lieu au même moment, ce qui est un peu gênant. Fidèle à sa stratégie de réaction en fonction de l’actualité, le gouvernement a proposé un amendement de dernière minute donnant aux préfets le pouvoir d’empêcher l’ouverture d’écoles hors contrat « pour des motifs tirés des relations internationales de la France ou de la de ses intérêts fondamentaux ».

    On peut difficilement faire plus flou… et on ne voit pas bien comment cela va se traduire en termes de décisions de justice. L’arbitraire comme l’idéologie ont le champ libre.

    Cela suscite plusieurs réflexions. Tout d’abord, cette loi ne ressemble plus à rien. Tout à la volonté de ne pas froisser la communauté musulmane de France, le gouvernement a d’abord longtemps tergiversé sur la dénomination de cette loi, proposant, in fine, l’expression « conforter les principes républicains ». Dès le départ, ne pas nommer, et donc ne pas viser le séparatisme islamiste, en mettant sur le même pied tous les séparatismes, réels ou supposés, relève du fantasme et de l’hypocrisie bien plus que de la vision claire : l’ennemi n’est pas désigné, la loi est ainsi privée de son objet premier.

    Et cette faiblesse de départ entraîne le bricolage d’une loi à coups d’amendements.

    Celui proposé par le gouvernement « permettra de s’opposer à l’ouverture d’écoles comme celle d’Albertville par le Millî Görüş », explique Beauvau. Mais comment le gouvernement pourra-t-il s’opposer à la création, l’année prochaine, de dix nouvelles écoles hors contrat affiliées à Millî Görüş après en avoir fait un interlocuteur institutionnel ?

     

    Marie d'Armagnac

    Journaliste
    Journaliste et auteur
  • Livre : La Guerre des idées. Enquête au cœur de l’intelligentsia française, d’Eugénie Bastié, par Marie d'Armagnac.

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    Jeune journaliste au FigaroVox et auteur d’essais remarqués sur le féminisme, Eugénie Bastié s’est attaquée, cette fois-ci, à l’intelligentsia française, cette « passion française » qu’elle côtoie quotidiennement et dont elle a saisi le pouvoir d’attraction et de répulsion qu’elle suscite chez nos contemporains.

    6.jpgCe vaste panorama qu’elle dresse des idées politiques contemporaines est salutaire : les cibles d’Eugénie Bastié sont précises, ses priorités bien définies, son propos alimenté par une vaste connaissance de l’histoire des idées qui lui vient aussi bien de sa formation que de ses fréquentations. Pour cet essai, l’auteur a en effet rencontré une trentaine d’intellectuels de tous bords, l’aidant à affiner l’analyse qu’elle donne du débat intellectuel contemporain.

    Dès les premières pages, l’auteur fait le constat du retour « de la guerre froide des idées » – , sectarisme, culture du clash – au détriment de cette période bénie des années 80-90 où prévalait « une éthique de la discussion » qui permettait en toute courtoisie mais non sans vigueur à BHL de débattre avec Maurice Bardèche sur le plateau d’« Apostrophes ».

    Certes, le niveau du débat intellectuel a baissé, les gens ne lisent plus. « Un professeur d’université était autrefois un notable, aujourd’hui c’est un prolétaire » (Olivier Babeau), et, à partir des années 2000, le retour de l’Histoire marqué par les attentats du 11 septembre, la crise financière de 2008, le péril islamiste et la crise migratoire a signé celui du débat conflictuel.

    Les intellectuels ont une vraie responsabilité dans cette difficulté à débattre réellement, aujourd’hui, en : Bastié parle ainsi avec raison d’une nouvelle trahison des clercs. L’intellectuel généraliste, dont la vaste érudition s’ouvrait à de nombreux domaines au-delà de son champ d’études, a fait place à l’hyperspécialiste, souvent en difficulté dès qu’il s’agit d’avoir une réflexion, une hauteur de vue propice à éclairer le débat contemporain. Conséquence de cela : la montée en puissance des vulgarisateurs médiatiques, aux dépens, souvent, de la nuance, de la subtilité et de la justesse d’analyse. Cette trahison des clercs, on la retrouve d’ailleurs dans cette folie importée des USA que sont les nouvelles idéologies indigénistes, racialistes et autres gender studies dont les universités françaises, Sciences Po en tête, se gargarisent. L’auteur dénonce ainsi la pitoyable défense d’une gauche en mal d’idées originales, d’une social-démocratie faillie : cette radicalisation de la pensée de gauche, cette guerre des identités, Eugénie Bastié la voit en effet comme le fruit de l’impuissance de la gauche « SOS Racisme ». La seule option qui leur reste, pour offrir une vision systématique du monde, après la mort du marxisme et de ses avatars, est la déconstruction. On est passé de la puissance du logos au règne du pathos : cancel culture et « wokisme » tentent avec violence de s’imposer par le biais de l’imparable victimisation : c’est le droit à ne pas être offensé. On ne peut pas mieux « tuer » le débat !

    En face, il y a, nous dit l’auteur, le renouveau conservateur dont elle nous dit qu’il n’a pas supplanté l’hégémonie culturelle de la gauche, mais qu’il a réussi à fortement la fragiliser. Pas de triomphalisme, donc, mais une vraie : des intellectuels médiatiques, dont l’influence se mesure notamment par des succès éditoriaux affolants, une jeune garde intellectuelle qui vient en renfort, des mouvements et cercles de réflexion nés de . Car le déclenchement fondateur de cette sortie du bois, de cette nouvelle visibilité de la pensée conservatrice, ce catalyseur d’énergies, ce furent bien les manifestations de 2013. L’auteur y voit aussi le rôle de , ce qui nous paraît contestable.

    Aujourd’hui, même si « l’espace proprement intellectuel s’est incroyablement rétréci » (Marcel Gauchet), l’auteur veut croire, malgré une nette radicalisation des débats, à un pluralisme retrouvé. L’irruption des réseaux sociaux et la gravité d’une situation historique inédite ont fait se lever bien des tabous.

    Puisse-t-elle avoir raison sur le long terme !

    La Guerre des idées Broché – Livre grand format, 11 mars 2021

     

     

    Marie d'Armagnac

    Journaliste et auteur
  • Sur France Culture : « Il faut renverser la famille, c’est le seul moyen de lutter contre l’inceste », par Marie Delarue

    L’information, en ce printemps 2021 qui approche, tourne en boucle autour de deux sujets majeurs : la pandémie et l’. On y ajoute quelques corollaires : les et le viol.

    La pandémie recrute ses victimes très majoritairement parmi les hommes ; la chose se dit peu. Certes, la guerre des sexes fait rage, mais depuis que la rédemption de l’humanité s’épelle en LGBTQI+, pas question de reconnaître que le chromosome Y est un facteur de comorbidité.

    6.jpgLa chose est en effet acquise dans l’opinion qui compte : les hommes sont tous coupables. Coupables d’odieux forfaits sur les femmes et leurs enfants.

    Pas un jour ou presque ne passe sans qu’on balance sur la place publique le nom d’un homme – célèbre, de préférence – pour révéler à son propos les pires horreurs, cela, dans une « confusion des genres » qui ne laisse pas d’étonner. On semble, en effet, confondre désormais dans une même dénonciation ce qui toucherait les femmes et les enfants. Ainsi de l’accusation qui touche Patrick Poivre d’Arvor par une femme dont personne, jusqu’ici, n’avait entendu parler et dont le nom s’étale désormais dans la presse. À ses dires engagée dans une relation consentie avec PPDA, elle aurait pris conscience, quelque quinze ans plus tard, qu’elle n’était pas si consentante que cela. Ou pas toujours.

    L’histoire en rappelle d’autres surgies dans le sillage de #balancetonporc mais en diffère en cela qu’on l’assimile aujourd’hui aux affaires d’inceste. À bien y regarder, le néo-féminisme actuel se révèle profondément régressif : il fait des femmes d’éternelles petites filles, enfants inconscientes de ce qui leur arrive et incapables de se défendre face au mâle prédateur exerçant sur elles une fascination mortifère.

    Courant toujours après l’opinion pour rattraper les faits divers, le législateur travaille actuellement sur trois propositions de loi (rien de moins) pour renforcer la protection des mineurs victimes de violences sexuelles. Au menu : seuil d’âge, prescription, crime spécifique d’inceste, etc.

    France Culture a consacré une émission au problème. S’y exprimait une historienne du crime – et de celui-là en particulier, sans doute – dont les solutions sont pour le moins radicales. Mme Anne-Claude Ambroise-Rendu (c’est son nom) estime, en effet, que le problème est moins celui des hommes, espèce qu’on ne saurait au fond guérir de sa sexualité perverse, que celui d’un système, à savoir la . « Au centre des drames de l’inceste, il y a la famille moderne, post-révolutionnaire et pyramidale, où les hommes se voient encore aujourd’hui comme des chefs de famille pour les femmes et pour les enfants », dit-elle.

    Elle est rejointe dans son analyse par l’anthropologue Dorothée Dussy qui voit dans l’inceste « le paroxysme de la domination masculine. Une affaire de pouvoir d’homme, donc, qu’incarne la cellule familiale et qui façonne ensuite la soumission de tout individu issu de cette cellule familiale à d’autres soumissions, à d’autres hommes de pouvoir ».

    La solution ? En finir avec la famille. Mme Ambroise-Rendu l’affirme : « La défense de la famille est une idéologie délétère qui s’affiche partout dans les films, les livres, etc. » « La famille doit être remise en question », dit-elle, car elle repose sur un concept qui « continue de nuire aux droits des femmes ». Le problème, déplore-t-elle, c’est que la société n’y est pas encore prête « car il faudrait reconnaître la violence masculine, remettre en cause le patriarcat qui structure notre société et l’idée que la famille est basée sur l’amour et le respect, reconnaître enfin que la sexualité masculine a des aspects inquiétants »

    Enfin, regrette-on sur France Culture : « En France, toucher à la famille, c’est se préparer à affronter des défenseurs féroces et très bien organisés. »

     

    Marie Delarue

    Ecrivain, musicienne, plasticienne
     
  • Sur TV Libertés, pour un Etat protecteur contre l'Etat profond - Politique & Eco n°307 avec Yves-Marie Adeline.


    Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Yves- Marie Adeline pour son livre : "L’économie encadrée".

    Ni entièrement libre, ni administrée, mais encadrée... telle doit être l’économie, dont Yves-Marie Adeline nous rappelle le principe : être mise au service des particuliers. Et puisque les particuliers vivent en société, l’Etat a la responsabilité d’encadrer les relations entre eux, conformément à sa vocation qui est de favoriser l’harmonie sociale. Cette harmonie sociale, l’Etat ne peut y tendre que s’il est lui-même une garantie contre les fièvres politiques, aujourd’hui, celles de l’oligarchie. Autrement dit, l’harmonie sociale ne peut pas être séparée de l’harmonie politique. Cette garantie, Yves-Marie Adeline professe qu’elle ne peut résider que dans l’établissement préalable d’une institution indisponible, posée comme clef de voûte de l’ensemble. On pense à la monarchie dans cette république qui est déjà une monarchie élective.

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : livre: «Marie-Louise d’Orléans. La princesse oubliée, nièce de Louis XIV».

    Parution le 6 mai prochain de cette biographie « Marie-Louise d’Orléans. La princesse oubliée, nièce de Louis XIV. »

    En voici le résumé : « Le sort de Marie-Louise d’Orléans (1662-1689), fille de Philippe d’Orléans, donc nièce de Louis XIV, et première épouse du roi Charles II d’Espagne, a de quoi nourrir l’imaginaire romantique.

    Tous les éléments sont réunis pour en faire une héroïne tragique : la naissance princière, l’enfance dans une cour enchantée, le mariage forcé, l’époux horriblement contrefait, la belle-mère hostile, la mort subite (due à un empoisonnement ?) et, à l’arrière-plan, des soupçons de galanterie et même de sorcellerie, à l’ombre de la plus puissante des légendes noires, celle de l’Inquisition espagnole.

     

    Son histoire est le drame d’une princesse qui, comme tant de ses semblables, n’est qu’un outil de la politique internationale : elle doit quitter sa famille et son pays pour épouser un homme inconnu, vivre dans une cour étrangère et se consacrer corps et âme à son royaume d’adoption – de surcroît rongée par l’obsession d’une maternité impossible.

    Mais Marie-Louise ne parviendra jamais à se détacher véritablement de sa patrie et de sa famille. L’Espagne lui demeure étrangère : elle a la faiblesse de le laisser voir à ses sujets, on ne le lui pardonnera pas. Pourtant, si mal aimée de son vivant, elle finira par être regrettée, autant de la population que de son mari, qui évoquera plus d’une fois, avec nostalgie, sa beauté et sa grâce. »

    Vous pouvez pré-commander ce livre directement sur le site de la maison d’édition : ici

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal/

  • Le comte de Paris, Jean d'Orléans, invité à Orléans le 8 mai, par Marie-Hélène Herouart, Alexandre Frémont, France Bleu

    Le comte de Paris assistera à la messe du 8 mai en la cathédrale d'Orléans en compagnie de son épouse. © Maxppp - DR

    Le comte de Paris, Jean d'Orléans, assistera ce samedi 8 mai à la cérémonie religieuse célébrée chaque année à Orléans en l'honneur de Jeanne d'Arc. C'est la première fois que le prétendant au trône de France assiste à cet office religieux, selon l'association universelle des amis de Jeanne d'Arc. 

    Comme tous les ans, sauf l'an dernier à cause de la situation sanitaire, une cérémonie religieuse est célébrée dans la cathédrale d'Orléans le 8 mai, en l'honneur de Jeanne d'Arc, la pucelle d'Orléans. Cette année, "un invité de rang" sera présent dans la cathédrale selon l'association universelle des amis de Jeanne d'Arc, en la personne du comte de Paris, Jean d'Orléans, qui a accepté l'invitation de l'association à participer à la messe célébrée en hommage à la "saint martyre" ce samedi à 10h30 dans la cathédrale d'Orléans. Il sera l'invité d'honneur de la messe.

    Sa présence est "exceptionnelle" selon Alain Hugon, l'un des représentants de l'association interrogé par France Bleu Orléans, "c'est la première fois depuis au moins deux décennies qu'un invité de ce rang [autrement dit, un prétendant au trône de France, NDLR] assiste à cette messe". 

    Une messe célébrée par le président de la conférence des évêques

    Le Prince d'Orléans et duc de France sera accompagné de son épouse. L'occasion pour eux de rencontrer le président de la conférence des évêques, Monseigneur Éric de Moulins-Beaufort, en chaire à Reims. Il co-célébrera la liturgie aux côtés de Monseigneur Jacques Blaquart, l'évêque d'Orléans. La jauge maximale dans la cathédrale sera de 500 personnes, en raison des règles sanitaires anti Covid-19.

    Source : https://www.francebleu.fr/

     

    Merci à Frédéric de Natal et au Courrier Royal d'avoir relayé cet article.

    https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/frederic.denatal

    https://www.facebook.com/groups/7958684901

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : le soulier porté par Marie-Antoinette pour sa montée à l’échafaud vient de rejoindre

    Le soulier porté par la reine Marie-Antoinette, et perdu lorsqu’elle est montée à l’échafaud, est désormais présenté à la Conciergerie dans la collection permanente à proximité de l’emplacement de son cachot, transformé en chapelle expiatoire en 1816.

    On peut lire sur la note qui accompagne le soulier :

    « Soulier que portait la Reine Marie-Antoinette le jour néfaste où elle monta à l’échafaud. Ce soulier fut ramassé par un individu au moment où la Reine le perdit et acheté immédiatement par Monsieur le comte de Guernon-Ranville. »

    Dépôt du Musée des Beaux-Arts de Caen. Vous pouvez consulter la notice de Christophe Marcheteau de Quinçay, Attaché de conservation au musée des Beaux-Arts de Caen avec ce lien: http://www.paris-conciergerie.fr/Actualites/Le-soulier-dit-de-Marie-Antoinette#book/

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal

  • Livres • Trémolet de Villers : Tel qu’en lui-même… Jean-Marie Le Pen écrit ses mémoires

     

    PAR JACQUES TRÉMOLET DE VILLERS

     

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    La lecture du premier tome des mémoires de Jean-Marie Le Pen laisse une impression contrastée. L’œil attentif découvre, dans ce pavé foisonnant d’herbes et de fleurs, mais aussi d’épines, plusieurs écritures. Toutes de la même main, mais pas du même temps.

    Le début – l’enfance, les parents, les grands-parents, la Bretagne, le Morbihan, la mer, jusqu’à l’adolescence, la mort du père, l’aventure du maquis – est écrit d’une plume soignée, voire recherchée dans l’emploi de mots attachés au travail de la mer, à la terre de Bretagne, aux embruns de La Trinité-sur-Mer. C’est, de loin, la partie la plus émouvante du récit.

    Viennent ensuite les années de la corpo de droit, du quartier latin, de l’Indochine et de l’engagement volontaire dans les paras de la Légion. Le lecteur, qui a eu droit au passage de la ligne, au doublement du cap Horn par les cap-horniers, aux naufrages des marins près de Belle-Isle ou de Lorient, s’attend à ce que la même plume leur fasse revivre Saïgon, l’envoûtement de cet Extrême-Orient qui donna « le mal jaune » à tant de nos soldats, officiers, administrateurs des colonies, marins de tous grades. Le style ne suit pas – c’est raconté comme des observations techniques sur les erreurs militaires, sur la liquidation par Mendès-France. Déjà la politique l’emporte sur l’observateur, le soldat ou l’écrivain.

    L’engagement

    Au retour, c’est l’aventure Poujade, l’élection à l’Assemblée du plus jeune député de France, l’Algérie française, l’engagement à nouveau pour montrer que le député ne reste pas loin de l’effort de guerre… Mais que peut faire un chef de corps d’un lieutenant-député déjà célèbre ? C’est plus encombrant qu’autre chose. Le Pen raconte la bataille d’Alger, le problème de la torture et de la lutte contre le terrorisme. Le sujet est bien traité, mais c’est plus le député qui parle que le soldat.

    La IVe République tremble sur ses bases déjà fragiles. Le Pen, accompagné de son ami Demarquet cherche à gagner Alger, conscient que c’est là-bas que tout se passe. Ils jouent de malheur. On les prend pour de dangereux exaltés, voire des terroristes. Ils sont raccompagnés à Madrid, rappelés, raccompagnés à nouveau. Bref, l’opération est ratée. Les gaullistes raflent la mise. On connaît la suite, que l’auteur a du mal à raconter, car elle est trop douloureuse – les révoltes, l’armée, l’OAS, l’abandon des harkis, les prisons, le procès Salan.

    Vient l’élection présidentielle au suffrage universel direct. Le Pen raconte qu’il présente Tixier, après avoir pensé à Lacoste-Lareymondie… s’estimant lui-même trop jeune. Tixier dépasse à peine les 5 %… C’est la déception, la rupture, puis la marche hésitante et groupusculaire vers ce qui deviendra le Front National.

    En refermant le livre nous avons, en définitive, peu appris sur l’homme. Il aime sa Bretagne et la France. Il aime les femmes et a du succès auprès d’elles. Il nous le dit, pas toujours avec discrétion. Il se marie et devient père… Mais cela ne tient pas une grande place dans sa vie : « Je passe en courant embrasser ma progéniture et mon épouse ». Il aime chanter et danser. Il aime être le premier, depuis sa plus tendre enfance. « Le Pen, c’est le Chef en breton ».

    Que reste-t-il ?

    web_Source0.jpgDe ses nombreuses rencontres masculines, civiles et militaires, il ne semble pas qu’il ait jamais vraiment admiré quelqu’un : Poujade au début, mais il est vite déçu ; Hélie de Saint-Marc, mais il le trouve politiquement « petit bourgeois », « devenu vache à lait de son neveu Laurent Beccaria ». Pour l’auteur des Champs de braise et des Sentinelles du soir, c’est un peu court. Il cite sa déposition à son procès… en lui trouvant « un peu de pathos », mais quand même de la grandeur. C’est aussi un peu court.

    Tixier a fait pour Salan une plaidoirie magnifique, mais il boit trop et court trop les femmes. Il n’aurait pas dû le lancer comme candidat à la présidence de la République. C’est le regret de sa vie. D’ailleurs il était moins bon à la tribune qu’au Palais et catastrophique à la télévision. Là aussi, c’est un peu court. Pour qui a fréquenté Tixier, comme ce fut ma chance et mon honneur, ces travers ont existé – la boisson et les femmes – mais que pesaient-ils à côté du véritable génie oratoire, au Palais et à la tribune, celle des meetings plus que celle de l’Assemblée ? Tixier, par le procès Salan, est entré dans l’histoire judiciaire et dans l’histoire littéraire, à l’égal de Cicéron – voire, disait le Bâtonnier Charpentier, plus haut que Cicéron… à l’égal de Démosthène. Style noble en même temps que dépouillé, simple et efficace, à contre-pied de là où on l’attendait là où il se projetait lui-même, mémoire infaillible et péroraison sublime improvisée à l’audience, selon les réquisitions : « Le Procureur général me fournira ma conclusion » ! Ce très grand art savait se reproduire dans des affaires plus modestes, beaucoup moins glorieuses, mais servies avec le même talent. N’avoir pas vu, pour ce qu’ils étaient, Denoix de Saint Marc et Tixier-Vignancour, c’est un grave défaut de perception. Il ne peut s’expliquer que par le regard de l’auteur, beaucoup trop centré sur lui-même.

    Peut-il en être autrement dans des mémoires ? Le Pen nous donne une synthèse brillante et claire de sa vision politique, plutôt sombre, pour ne pas dire désespérée, mais tout cela, hormis l’enfance et l’adolescence, la Bretagne, les parents et la mer, reste à la surface des êtres et des événements. L’ensemble manque de recul et de profondeur. Peut-être aurait-il eu intérêt à se relire, au moins dans la seconde partie où la phrase est plus relâchée et où des erreurs de détail, inexactitudes de faits pour qui a connu ce temps, gênent la lecture.

    La fin, en revanche, les cinquante dernières pages retrouvent quelque chose de l’allant du début. Les phrases sont plus parlées qu’écrites. Mais en s’adressant directement au lecteur – « il faut que je vous explique » – Le Pen nous fait entrer dans la confidence et se livre à celui qui le lit, en toute franchise, tel qu’il est ou tel qu’il se voit : sentinelle ? Prophète ? En tout cas un personnage hors du commun et dont la liberté de parole a une vertu libératrice.

    En notre temps où s’étend « le monde clos fermé de barbelés », c’est un courant d’air frais et puissant – le vent du large – qui passe et cela fait du bien.   

    Jacques Trémolet de Villers

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : en ce 16 octobre, jour anniversaire de l’exécution de la reine Marie-Antoinette et d

    Voici un petit rappel historique utile trouvé sur Facebook que nous nous permettons de relayer sur cette page, en remerciant son auteur qui, en peu de mots, dit tout !

    Terrorisme et république. La république est née en coupant des têtes avant de les montrer au peuple.
    Faites une rapide recherche sur l'origine du mot terrorisme et vous constaterez qu'il est attesté pour la première fois en 1794. Il désigne le régime de la terreur mis en place par la république.
    Contrairement aux préjugés 85 % des condamnés étaient des roturiers (8,5 % de la noblesse, 6,5 % du clergé)
    17 000 condamnations à mort et près de 40 000 victimes si l'on compte les personnes assassinées sans jugement. Il ne s'agit là "que" des guillotinés, la révolution dans son ensemble ce sont des centaines de milliers de victimes..
    En ce jour anniversaire de l'exécution de Marie-Antoinette, qu'on ne vienne pas me parler des "valeurs de la république".
     
  • Pour Frédérique Vidal, l’islamo-gauchisme à l’université est une affaire réglée. Sauf à Sciences Po Grenoble ?, par Mari

    C’était en février dernier – une éternité. Invitée de Jean-Pierre Elkabbach, sur CNews, qui lui demandait de commenter la une du Figaro « Comment l’ gangrène les universités », Frédérique Vidal, notre ministre de l’Enseignement supérieur, faisait une réponse qui allait déclencher les foudres de la bien-pensance. 

    8.jpg« Je pense que l’islamo-gauchisme gangrène la société dans son ensemble, et que l’université n’est pas imperméable, l’université fait partie de la société », disait-elle alors, ajoutant : « Ce que l’on observe, à l’université, c’est que des gens peuvent utiliser leurs titres et l’aura qu’ils ont. Ils sont minoritaires et certains le font pour porter des idées radicales ou des idées militantes de l’islamo-gauchisme en regardant toujours tout par le prisme de leur volonté de diviser, de fracturer, de désigner l’ennemi, etc. » Et d’annoncer, dans la foulée, l’ouverture d’une enquête par le CNRS « sur l’ensemble des courants de recherche sur ces sujets dans l’université ». CNRS qui refusa, d’ailleurs, de la mener.

    On se souvient du tollé qui s’ensuivit et de la pétition, signée par 600 universitaires, appelant à la démission de Frédérique Vidal. On se souvient aussi de la polémique qui, dans la foulée, souleva l’IEP de Grenoble où deux enseignants, accusés d’islamophobie, voyaient leurs noms placardés sur la façade de l’établissement sous les mots « Des fascistes dans nos amphis. L’islamophobie tue. » Ce que la branche locale de l’ crut bon de relayer sur les réseaux sociaux… avant de s’excuser platement sur Twitter de cette initiative « maladroite et dangereuse ». Quelques mois après l’assassinat de Samuel Paty, c’était tout simplement un appel au meurtre.

    Ce vendredi 15 octobre, au micro de France Info, Marc Fauvelle a invité le ministre à revenir sur les propos qu’elles avait tenus voilà moins de huit mois. « Au travers de tout ce que ces quelques secondes ont généré, on a remis du débat et de la discussion dans les établissements », s’est-elle félicitée. Et d’ajouter, béate :  « Je crois que ce débat a été salutaire parce qu’aujourd’hui, à l’université de nouveau, on a une liberté d’opinion, on a la capacité de parler de tout. »

    Un miracle, en somme, le mot n’est pas trop fort. Où Vidal passe, l’islamo-gauchisme trépasse. Il n’y a qu’à demander.

    Marc Fauvelle est tout de même sceptique : « Vous voulez dire qu’il a suffi d’en parler, comme vous l’avez fait, pour régler quasiment la question ? » Pas déstabilisée, Mme Vidal confirme : « Oui. Vous savez, souvent, il suffit d’en parler. Et à partir du moment où on lève le tabou, les gens – au sein des universités, notamment – parce qu’ils se sentent de nouveau capables d’avoir une pluralité des recherches […] Les choses se sont nettement améliorées de ce point de vue là. »

    Et donc, dans ce monde universitaire miraculeusement débarrassé de l’islamo-gauchisme et de ses scories, de mauvais esprits sont retournés du côté de l’IEP Grenoble. Et qu’ont-ils trouvé ? Rien de réjouissant.

    C’est le site de l’UNI (seul syndicat étudiant de droite) qui rapporte : « Le anxiogène ne s’est pas amélioré dans l’école. Les professeurs mis en danger ne reçoivent toujours aucun soutien de la part de l’administration malgré la persistance des menaces. » C’est dans ce contexte déjà plus que lourd que l’association Cafet’ en Kit, agréée par Sciences Po Grenoble et disposant d’un espace exclusif dans l’IEP pour distribuer ses repas, ne propose à partir de maintenant que de la viande halal. Le responsable de l’UNI ajoute : « Cette décision vient de l’association, mais a probablement été approuvée par la direction : si, malgré le communiqué d’hier, il n’y a pas de réponse de l’institution, c’est qu’ils ont eu vent du projet en amont, ou bien qu’ils cautionnent cette politique. »

    Qu’en pense Mme Vidal ?

     

    Marie Delarue

    Ecrivain, musicienne, plasticienne

    Source : https://www.bvoltaire.fr/