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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Roland Hureaux a raison : La mise en garde à vue de Nicolas Sarkozy ne grandit pas notre Justice

     

    Par Roland Hureaux

    TRAVAUX DIVERS - Largeur +.jpgC'est, selon son habitude, à une fine analyse que Roland Hureaux se livre ici [Boulevard Voltaire - 22.03]. Nous n'avons pas plus que lui, ménagé nos critiques à l'encontre de Nicolas Sarkozy, durant son quinquennat. Le moins que l'on puisse dire est que nous n'avons pas été de ses soutiens ou de ses partisans. Néanmoins, eu égard à la fonction de Chef de l'Etat que Sarkozy a exercée, notre avis est que Roland Hureaux a raison. Que son analyse est juste. Rappelons qu'il fut l'un des participants au colloque d'Action française du 7 mai 2016, à Paris, « Je suis royaliste, pourquoi pas vous ? »    LFAR

     

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    Loin de nous l’idée d’approuver, après coup, l’action de Nicolas Sarkozy pendant son quinquennat. Nous avons eu l’occasion, en son temps, de critiquer beaucoup de ses initiatives.

    Il a tout de même eu le mérite de ne pas se répandre en repentances humiliantes pour la France et à ne pas mettre à l’encan notre patrimoine industriel, comme le fait l’actuel Président.

    La guerre de Libye a été une des plus désastreuses qui soit par ses conséquences : diffusion de l’arsenal du dictateur libyen dans la moitié nord de l’Afrique, ouverture de la Méditerranée à l’immigration de masse. Sarkozy ne l’a, certes, pas décidée seul, mais il s’était assez mis en avant pour qu’on la mette à son débit.

    Il reste que sa mise en garde à vue, même pour une affaire concernant la Libye, est quelque chose de profondément choquant.

    Voilà, une fois de plus, le témoignage d’une grave perte de repères de notre appareil judicaire.

     

    Le risque de fuite ou de disparition de preuves, qui aurait pu la justifier, était en l’occurrence nul, bien entendu. 

    La justification théorique sera sans doute l’égalité des justiciables devant la loi que certains secteurs de l’opinion ratifieront peut-être. Mais qui ne voit se profiler, derrière ce beau principe, la vieille envidia démocratica, qui pousse à se payer un ancien chef de l’État, lequel figurait sur l’inacceptable « mur des cons ».

    Il faut aller plus loin. Nicolas Sarkozy a occupé pendant cinq ans une fonction sacrale : certes, le président de la République ne guérit plus les écrouelles comme jadis les rois, mais il a conservé le droit de grâce ; il dispose, depuis 1963, du droit exclusif d’actionner l’arme nucléaire. Il promulgue les lois et garantit l’indépendance de l’autorité judiciaire. L’ancien Président est toujours membre du Conseil constitutionnel. Qu’il soit bon ou mauvais dans ce rôle, il est, pendant le temps de son mandat, l’autorité suprême de la nation. C’est, de toutes les façons, une charge écrasante. Tout cela mérite des égards. Il faut une certaine dose de vulgarité pour ne pas s’en rendre compte.

    Les anthropologues (de Frazer à Girard) ont montré comment, dans les sociétés « premières », le roi a vocation soit à gouverner, soit à être mis à mort, pas toujours de manière symbolique, mais rien entre les deux. Sous la prétendue égalité, c’est pour cette deuxième option qu’ont opté les juges qui ont voulu l’humilier.

    Mais il n’est pas nécessaire d’être anthropologue pour sentir ce genre de choses d’instinct. C’est ce qu’Orwell appelait la « décence commune » (common decency). Dans ce domaine comme dans d’autres, un juridisme borné et souvent mesquin a pris sa place. Il est bien des choses qui ne vont pas dans le royaume du Danemark.

    La garde à vue de Sarkozy ne grandit pas notre Justice.   

    Essayiste
  • Société • Ça doit être sympa, d’être de gauche…

     

    Par Gabrielle Cluzel

    Une excellente chronique qu'on ne peut qu'approuver, parue dans Boulevard Voltaire du 23.10. 

    Rappelons pour ceux qui l'ignoreraient que Gabrielle Cluzel a participé - d'ailleurs brillamment - au colloque du Cercle de Flore « Refonder le bien commun », du 13 mai dernier, à Paris (Illustration ci-dessous).  LFAR 

    2654943674.jpgÇa doit être sympa, d’être de gauche. D’être du côté des gentils, des bons, du bien, de ceux qui ont toujours raison.

    Christine Boutin vient de se retirer de la politique. Beaucoup de remerciements, bien sûr, mais il faut lire, aussi, les injures que cette annonce suscite. Il faut voir les seaux d’immondices que des anonymes, bien planqués derrière les volets occultants des réseaux sociaux, lui déversent sur la tête. Comme à chacune de ses interventions, d’ailleurs. Et elle, stoïque, ne répond rien. Peu ou prou comme Ludovine de La Rochère, et avec le même flegme, elle subit quotidiennement les flèches hargneuses, graveleuses, misogynes, ordurières, insultantes… de ceux-là qui arborent, deux tweets plus bas, le plus sérieusement du monde, le hashtag #BalanceTonPorc. Si Christine Boutin devait balancer tous les porcs qu’elle a, malgré elle, côtoyés, il ne suffirait pas d’une journée.  

    C’est chouette, d’être de gauche. On peut être schizophrène, de la plus grossière mauvaise foi… et se sentir dans son bon droit. 

    On dénonce, donc, le harcèlement sexuel, avec des airs douloureux de rosière outragée, mais – on ironise – « faut-il que vous ayez le front bas et l’esprit puritain ! » – on s’indigne avec effroi – « Goebbels, va ! » – si vous suggérez qu’on pourrait commencer par balancer (à la poubelle ou, en tout cas, hors de l’espace public) ces « œuvres d’art » autoproclamées imposant au passant un regard aussi poétique sur la femme et la sexualité que le « vagin de la reine », le plug anal ou, récemment, devant Beaubourg, « Domestikator » (sic). 

    C’est bien, d’être de gauche. On peut mettre ses neurones sur off, son cerveau en vacances, déserter toute réflexion critique en laissant simplement une alarme qui détecte les effractions dans la maison pensée unique : elle fonctionne avec quelques mots clés, s’appelle réductio ad hitlerum (ou, variante, ad FNum, ad LMPTum, ad SensCommunum) et, quand elle couine, fait un boucan de tous les diables. Aucune chance que le brigand téméraire – suicidaire ? – tente une nouvelle incursion. 

    C’est commode, d’être de gauche, parce qu’on fait sa propre loi. Robin de La Roche l’évoquait, hier, avec l’éloquence qu’on lui connaît : on peut publier, à l’instar d’Europe 1 sur l’Action française, les plus grossières Fake News – imaginons, mutatis mutandis, un fiché S soupçonné de passer à l’action qui aurait un court moment fréquenté telle mosquée, puis l’aurait quittée ne la trouvant pas assez « radicalisée »… que dirait-on du journal qui oserait titrer : « Enquête sur cette mosquée islamiste qui fomentait un attentat » ? – et continuer à plastronner sans complexe, auréolé du Décodex.

    Ça fait rêver, d’être de gauche. Ou pas. Le joker permanent qu’est l’anathème est mère de l’indigence intellectuelle la plus crasse. Plus besoin de réfléchir, de justifier, de traquer in petto ses propres incohérences avant de s’exprimer, puisqu’on ne démontre plus : on assène. On tient les autres licou serré, mais on se laisse aller, pour soi, avec paresse – qui jugerait les juges ? – à la pensée relâchée.

    Leur tyrannie intellectuelle aura eu cet effet purificateur de forcer le camp qu’ils exècrent à l’exigence, l’honnêteté, la rigueur, car observé, surveillé, matraqué, celui-ci n’a pas le droit à l’erreur. Et c’est sans doute le meilleur service qu’ils lui auront, involontairement, rendu.   

    Ecrivain, journaliste

    Son blog

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    Si c'est Goldnadel qui le dit !

    Sur CNews, Goldnadel a annoncé qu'il publiait le mois prochain le "MANUEL DE RESISTANCE AU FASCISME D'EXTRÊME GAUCHE".

    "Les fachos ont changé de côté", dit-il.

    À suivre...

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    1. Et toujours l'humour bienvenu de Gilles-William Goldnadel !!!!! Cette fois, le "pan sur le bec" est pour Rama Yade qui, se voulant sans doute chantre (ou "chantresse", pour féminiser ?) de la culture de l'effacement, a proféré, passant devant une statue de Colbert :   "passer à Paris devant la statue de Colbert est une micro-agression". Réaction immédiate de Goldnadel :

    G-William Goldnadel
     
    "Longtemps qu’elle n’avait pas proféré une micro-connerie si mignonne."
     
    • La réaction de Zemmour n'est pas mal non plus :
     
    Eric Zemmour
    "Je tiens à assurer Rama Yade de tout mon micro-soutien face au micro-drame qu'elle micro-traverse."

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    2. Conclusion du procès en appel de Karim Zéribi : il a été définitivement condamné, ce mercredi 17, à 3 ans de prison avec sursis et à 80 000 € d’amende. Il a été aussi privé de ses droits civils, interdit de gérer quelque association qu ce soit, et déclaré inéligible pour une durée de 5 ans. Son domicile lui a été aussi confisqué ! Rien que ça !!!!!

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    3. Le rapport du Secours catholique publié ce jeudi démontre l’ampleur de la pauvreté en France: jusqu’à 7 millions de personnes, soit 10% de la population française, ont demandé une aide alimentaire en 2020 !

    https://www.leparisien.fr/economie/selon-un-rapport-du-secours-catholique-pres-de-10-de-la-population-sest-rendue-a-la-soupe-populaire-en-2020-18-11-2021-IXNC5ZCXLVHCHMC4PUOZGSRXNI.php#xtor=AD-1481423553

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    4. Entièrement d'accord avec Rafik Smati : il faut enseigner le Grec et le Latin à l'école, pour lutter efficacement contre la soi-disant "culture woke", qui n'est en fat que le remplacement de notre culture traditionnelle par la sous-culture états-unienne...

    https://twitter.com/AvecRafikSmati/status/1461388678673190918?s=20

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    5. Au moment où Éric Zemmour se retrouve devant le tribunal pour des propos tenus sur les mineurs isolés, il est bon de ré-écouter ce que disait France 2 à la même époque !...

    https://twitter.com/dobsky33/status/1461260426235285505?s=20

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    6. Le "IEL" et Le Petit Robert ? Pas si "neutres" que cela ! Tout à fait d'accord avec Gabrielle Cluzel...

    https://twitter.com/Je_Puig/status/1461483367891881985?s=20

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    7. "Pays de fous",? Oui, Gabrielle Cluzel, mais, surtout, Système de fous !

    SYSTÈME POURRI !

    https://twitter.com/CNEWS/status/1461752165412786179?s=20

    La seule action qui vaille la peine d'être menée est une action "réellement d'opposition, c'est-à-dire prêchant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)

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    8.                                              Saccage Paris

    Paris bobo, Par'Hidalgo, Paris pas beau !

    Une courte vidéo pour voir comment (pour 20 millions d'euros, tout de même !) la Marie de Paris a saccagé la Place de la République (qui aurait un nom bien plus agréable si elle s'appelait, par exemple, Place de France : on peut toujours rêver, non ?...)

    https://twitter.com/ChaRocher/status/1461419688462897162?s=20

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    À DEMAIN !

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  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    On connaissait la comptine enfantine "Trois petits tours et puis s'en vont..."; Macron l'actualise à sa façon avec son voyage de campagne électorale à Marseille : "Trois petits jours et puis s'en va..." Macron à Marseille,  c'est en effet "l'arroseur" (pour reprendre le mot de Zemmour) qui arrive avec tout plein de chèques pour rénover "les quartiers" (en réalité, des zones pourries par les trafiquants de drogue qui y font la loi) et pour que tout aille bien désormais partout ! C'est donc, tout simplement, un énième "plan banlieues", qui ne servira à rien, comme les autres, sauf à gaspiller et stériliser NOTRE argent, qui serait bien mieux employé ailleurs (Santé, Défense, Infrastructures, Recherche, Augmentation des salaires...). Déjà, entre 2014 et 2020, 34 milliards d'euros ont été perdus pour la France... et Macron, chef actuel du Système qui nous ruine et nous déclasse inexorablement va continuer "ça" !

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    La seule solution pour en sortir ? Mener une action "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)

    1. Jean-Pierre Pernaut parle de Didier Raoult : "...C'est une sommité mondiale (...) Il faut bien se soigner avec quelque chose..."

    (extrait vidéo 1'44)

     

    https://twitter.com/TPMP/status/1432778994236248067?s=20

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    2. Accueillir des Afghans ? CERTAINEMENT PAS ! Le bon sens de Gabrielle Cluzel (et de bien d'autres, dont "nous"...) :

    (extrait vidéo 1'31)

    https://twitter.com/Je_Puig/status/1432412039041912854?s=20

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    D'Éric Zemmour :
    "Nous n'avons aucun devoir d'accueillir le moindre Afghan. Les Afghans sont de grands guerriers, alors s'ils ne sont pas contents du gouvernement taliban, qu'ils le combattent."
     
    Pensée pour Timothy, jeune savoyard de 19 ans, massacré le 31 août 2019 par le "migrant" afghan islamiste Sultan Marmed Niaz à un arrêt de bus de Villeurbanne.  C'est la sécurité des Français qui est une priorité, pas l'angélisme à deux balles des mal-généreux !

     

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    3. Au-delà des ridicules et mensongères déclarations martiales, les vrais problèmes internes de LR sur l'immigration, expliqués par Charlotte d'Ornellas, qui souligne leur absence totale de légitimité sur le sujet :

    (extrait vidéo 1'28)

    https://twitter.com/SierraTango74/status/1432982524507140099?s=20

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    4. L’explosion de la population extra-européenne en France : un état des lieux... :

    https://fr.irefeurope.org//Publications/Articles/article/L-explosion-de-la-population-extra-europeenne-en-France-etat-des-lieux-et-mesures-a-prendre?utm_source=IREF&utm_campaign=b3b4bdd50d-EMAIL_CAMPAIGN_2021_08_30_04_51&utm_medium=email&utm_term=0_190b7c560e-b3b4bdd50d-403258424

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    5. Tweeté par Régis de Castelnau : quand la Mairie de Paris "écrit inclusif" mais ne maîtrise pas l'orthographe !... :

    Régis de Castelnau
    "Brillant. Madame Hidalgo, faudra quand même penser à réviser vos conjugaisons. Ça pourrait être utile pour vos affiches de campagne et votre profession de foi… #saccageparis"

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    6. Le Maire de Metz en correctionnelle pour détournement de fonds et prise illégale d'intérêts... Commentaire (sur tweeter) de l'AF Metz :

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    Action Française - Metz
     "N'oublions pas que M. Grosdidier est tellement habitué au clientélisme, qu'il finance ses propres associations avec les deniers publics."

    https://www.lepoint.fr/politique/le-maire-de-metz-renvoye-en-correctionnelle-pour-detournement-de-fonds-et-prise-illegale-d-interets-31-08-2021-2440824_20.php#xtor=CS2-239

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    7. Sur AleteiaUn salon "Désir d’enfant" doit se tenir prochainement à Paris septembre. Le député LR de Meurthe-et-Moselle Thibault Bazin a écrit au ministre de la justice pour interpeller le Garde des Sceaux sur la tenue d’un événement qui fait ouvertement la promotion de la GPA, pourtant interdite en France...

    https://fr.aleteia.org/2021/07/29/salon-desir-denfant-le-depute-thibault-bazin-ecrit-a-eric-dupont-moretti/

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    À DEMAIN !

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

    Restauration/restitution de Notre-Dame de Paris : entièrement d'accord avec La Tribune de l'Art !

    "À Notre-Dame, il reste d’autres éléments du jubé à retrouver. Il serait impensable de ne pas le faire sous prétexte d’un délai donné par @EmmanuelMacron. Les fouilles doivent aller à leur terme après la restauration des voûtes et de la flèche, quel que soit le délai supplementaire."

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    1. Et restons encore un peu avec La Tribune de l'Art, qui signale l'excellent ouvrage de Didier Rykner, "lanceur d'alerte" comme on dit aujourd'hui :

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    240 pages, 83 illustrations, 19 euros.

    Cliquez sur l'image pour pouvoir lire aisément l'excellente présentation de l'ouvrage

     

    1 BIS. L'ouvrage vu par :

    "Didier Rykner pousse un cri d'alerte sur l'état du patrimoine urbain parisien et tire à boulets rouges sur ce qu'il considère être un saccage en règle de sa ville."

    (Marianne)

    "Didier Rykner livre ici un brûlot à l’encontre de la gestion du patrimoine urbain, artistique, architectural, paysager de Paris par l’équipe municipale d'Anne Hidalgo."

    (Les Échos)

    "Si vous avez encore quelque indulgence pour la politique municipale d'Anne Hidalgo et de son équipe, il vous faut lire, d'urgence, ce formidable petit livre."

    (Le Point)

    "Le journaliste Didier Rykner a mené l’enquête rigoureuse et assassine dont les Parisiens avaient besoin pour comprendre les errements de la majorité municipale."

    (Le Figaro)

    "Didier Rykner assume un parti pris radical, qui était déjà celui du préfet de Napoléon III."

    (Libération)

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    1 TER. On terminera - temporairement... - sur ce sujet avec ces trois minutes (et un peu plus), pendant lesquelles la responsable est clairement désignée : Anne Hidalgo...

     

     

    4. (Dans Sciences et Avenir) Le point sur les trésors retrouvés par les archéologues sous Notre-Dame de Paris :

    https://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/archeologie/les-archeologues-devoilent-en-details-les-tresors-retrouves-sous-notre-dame-de-paris_162887

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    5. Damien Rieu a de l'humour... (sur tweeter) :

    "La terre pourrait se réchauffer de +4 à +6 degrés en cas d’élection de MLP. Dans son dernier rapport, le GIEC supplie les Français "de ne pas délibérément accélérer le réchauffement climatique" et invite à se reporter massivement sur la candidature d’Emmanuel Macron."

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    6. Philippe Ballard remet les choses au point sur les vieilles ficelles et recettes du Front républicain, qui ne marche plus, ou sur cette cinquantaine de sportifs bien riches et bien payés qui ont appelé à "faire barrage". La fin de ce court extrait vidéo (1'34) est meilleur que le début, il est même excellent :

    Philippe Ballard
     "Que pense Dimitri #Payet, qui a signé la tribune appelant à faire barrage à Marine, du fait que la coupe du monde de football 2022 ait lieu au #Qatar - pays qui ne respecte pas les droits de l'homme, qui finance l'islamisme et qui condamne à mort les homosexuels ?"
     

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    7.  Nous avons souvent dit, et nous le redisons encore une fois : Agnès Verdier-Molinié ferait une excellente ministre du Roi de France (aux Finances, par exemple). Elle affirme, avec raison :

    "Après l'élection, tout ce qui a été mis sous le tapis (la dette gigantesque, le déficit commercial abyssal, le déficit public colossal) va remonter à la surface et on aura à retardement le débat dont les Français ont été privés" 

    (extrait vidéo 2'20)

    https://twitter.com/JL7508/status/1514900826753581063?s=20&t=Wy1s_i14tMtdlUNCo9q2pQ

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    Ce Système est fou, il nous ruine, il lance à toute vitesse le "véhicule France" contre le mur en béton de la Dette...

    C'est contre lui qu'il faut se battre, c'est lui qu'il faut détruire, avant qu'il n'ait détruit la France tout à fait...

    Plus que jamais, notre action française est indispensable, une action "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)

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    À DEMAIN !

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  • L'Afrique Réelle n°124 - Avril 2020, par Bernard Lugan.

    Sommaire

    Actualité :
    - Seule l’histoire permet de comprendre les conflits du Sahel
    - Pourquoi le Burkina Faso est-il l’épicentre du jihadisme sahélien ?

    Dossier : L'afrocentrisme
    - Le contre-sens historique de Cheikh Anta Diop
    - Black Athena, cette imposture scientifique

    Bernard Lugan.jpgEditorial de Bernard Lugan

    Deux principaux fronts sont ouverts au Sahel. A l’ouest dans la région des « Trois frontières » (Mali-Niger-Burkina Faso) et à l’est, dans la région des « Quatre frontières » (Nigeria-Niger-Tchad-Cameroun), autour du lac Tchad. 
    Ici, les 23 et 24 mars, Boko Haram a porté de rudes coups aux armées du Nigeria et du Tchad. Au Nigeria, un convoi parti de Maiduguri est tombé dans une embuscade, laissant plus de 100 morts sur le terrain. 
    Au Tchad, où Boma, la principale garnison de la province du Lac, a été prise par Boko Haram, les forces tchadiennes déplorent plus de 100 morts. 
    Avec sa végétation compacte aux racines enchevêtrées, la région est un milieu difficile pour des forces mécanisées habituées à une guerre de mouvement et peu familières de ce milieu palustre. 
    Les réalités géographiques, anthropologiques, ethniques et historiques, font de cette région un foyer favorable à Boko Haram, mouvement ancré sur deux ethnies transfrontalières, les Kanouri et les pêcheurs Buduma/Yedina, qui se désignent sous le nom de « Peuple des herbes ». 
     
    Tant à l’ouest qu’à l’est, ces conflits s’inscrivent dans le temps long. Nous sommes en effet en présence d’une conflictualité résurgente enracinée dans le lointain passé de peuples dont la problématique n’est pas celle des « droits de l’homme », moins encore celle de la démocratie. Pas davantage celle du « vivre ensemble » ou du « développement ». D’où l’incapacité des Européens à les comprendre, donc à prétendre les résoudre. 
    Antérieures à l’islamisation, les racines de ces conflits ne sont pas religieuses car le jihadisme sahélien est d’abord la surinfection de plaies anciennes et le paravent d’intérêts économiques ou politiques à base ethnique. Refuser de le voir relève de l’idéologie (Voir à ce sujet mon livre Les guerres du Sahel des origines à nos jours).
     
    En Algérie où les hydrocarbures fournissent entre 95 et 98% des exportations et environ 75% des recettes budgétaires, la loi de Finances 2020 est basée sur un baril à 50 dollars. 
    S’il se prolongeait, l’actuel effondrement des cours va donc provoquer une crise majeure. D’autant plus que la production baisse. Ainsi, durant le 3e trimestre 2018, la branche des hydrocarbures dans son ensemble a décliné de 7,8%. Au 4e trimestre, la production de pétrole brut et de gaz naturel a chuté de 3% et le raffinage de pétrole brut de 12% (Office national des statistiques 12 janvier 2019), car les gisements s’épuisent. 
    Encore plus grave, aucune découverte majeure susceptible de redresser le volume des productions n’a été faite. De plus, le coût d’un champ pétrolier ou gazier algérien est plus élevé que chez les autres grands producteurs de pétrole. 
    Le déficit commercial algérien qui était de 6,11 milliards de dollars fin 2019 va donc exploser et l’Algérie va devoir emprunter afin de sauver la paix sociale. Illustration de la catastrophe annoncée, pour rééquilibrer son budget, l’Algérie aurait besoin d’un baril à 100 dollars…
  • Bernard Lugan : « Le retour de la Russie en Afrique »

    Crédit photo : Institut Iliade 

    Par Bernard Lugan,

    Historien et spécialiste de l’Afrique.

    Découvrez ci-dessous l’éditorial du numéro 106 de L’Afrique Réelle (octobre 2018), lettre d’information proposée par Bernard Lugan. 

     

    De la Libye à la Centrafrique et du Burkina Faso au Mozambique, après plus de deux décennies d’absence, la Russie fait aujourd’hui son grand retour en Afrique. Avec méthode, mais également fracas. Evgeny Korendyasov, le directeur des études russo-africaines, a en effet déclaré à l’Académie des Sciences de Russie : « Il y aura une bataille pour l’Afrique ». 

    Pourquoi ce soudain intérêt russe pour le continent africain ? 

    La question est au cœur des interrogations des dirigeants des pays de l’OTAN. 

    Quant aux responsables français, littéralement sidérés et enfermés dans leurs présupposés idéologiques, ils ne peuvent que constater  l’ « intrusion » de Moscou dans le « pré carré » africain.  

    Leur vision économique des rapports humains les rendant incapables de se mettre « dans la tête des Russes », ils font donc fausse route quand ils analysent la politique de ces derniers comme une volonté de contrôle des matières premières africaines. A la différence de la Chine, l'immense Russie en regorge. 

    La politique africaine de Moscou est clairement géostratégique mais, pour le comprendre, il est nécessaire de raisonner comme les Russes. Or, ces derniers se sentent agressés après avoir été repoussés par des Européens obéissant quasi servilement aux sanctions imposées par  Washington. L’immixtion de l’OTAN en Ukraine, puis la dénonciation du rattachement de la Crimée et la volonté de faire tomber l’allié syrien, le tout accompagné d’incessantes campagnes de dénigrement dans le monde occidental, sont autant d’arguments venant conforter l’impression d’un complot ourdi contre la Russie. 

    Prise dans le cercle hostile que l’OTAN referme chaque jour un peu plus sur elle - le président Trump a même parlé d’installer une base militaire permanente en Pologne -, la Russie a donc décidé de briser son isolement en traçant son propre cercle dans lequel elle va chercher à enfermer ceux qui l’encerclent.  

    Voilà pourquoi elle s’installe en Afrique, continent disposant de plus de 50 voix à l'ONU. Mais alors que la Chine s’y implante en endettant ses partenaires-créanciers, la Russie investit le secteur militaire et sécuritaire avec ses livraisons d’armement (voir  pages 14 et 15) accompagnées d’« instructeurs ». 

    Cette stratégie de désencerclement englobe déjà la Turquie, l’Iran, la Chine et l’Inde. A terme, plus de six des sept milliards d’habitants de la planète pourraient  graviter autour d’elle.  

    Que pèsera alors le petit milliard restant (essentiellement Etats-Unis, UE et peut-être Japon), qui aura perdu à la fois l’initiative stratégique et le pouvoir économique ? 

    Prisonnière de la politique étrangère américaine, l’UE qui sera la grande perdante de cette recomposition planétaire risquera alors de sortir de l’histoire.  Avant de devenir le déversoir d’une Afrique surpeuplée.   ■ 

    Au sommaire du numéro

    Actualité :

      Nord Mali : Une guerre qui n’est pas d'abord religieuse

      Afrique du Sud : La récession

    Dossier : Quelle stratégie poursuivent les Russes en Afrique ?

     L’URSS et l’Afrique (1960-1991)

     La nouvelle politique africaine de la Russie

     La méthode russe : les ventes d'armes

     Comment le quai d’Orsay a offert la Centrafrique à la Russie 

    Source :  L’Afrique Réelle

  • Geoffroy de Lagasnerie n’est ni un dingue, ni un fou, ni un clown, mais (peut-être) l’enseignant de vos enfants… …et ça,

    Les propos de Geoffroy de Lagasnerie tenus sur France Inter ont dû faire pâlir d’envie, je n’ose pas dire du haut du Ciel, Robespierre, Staline et Pol Pot réunis.

    « Je suis contre le paradigme du débat, de la discussion et je l’assume » ou encore « Je pense que nous perdons notre temps dans des chaînes d’info à débattre avec des gens inconvaincables et que nous ratifions la possibilité qu’ils fassent partie de l’espace du débat » ou, enfin, « Il faut reproduire un certain nombre de censures dans l’espace public pour rétablir un espace où les oppositions justes prennent le pouvoir sur les opinions injustes »

    11.jpegCertains, sur les réseaux sociaux, semblent découvrir et y vont de leur commentaire peu amène, voire insultant : mais d’où sort « ce dingue », « ce fou », « ce clown » ? Comme si un totalitarisme dogmatique si décomplexé ne pouvait être qu’un canular, bien sûr. Sûrement un olibrius entré par effraction qui s’est installé au culot devant le micro face à une Léa Salamé et un Nicolas Demorand tellement décontenancés qu’ils n’ont pas osé le virer.

    Mais ils se fourvoient. Geoffroy de Lagasnerie est l’une de nos têtes pensantes, l’un de nos mandarins. Il a son rond de serviette – en argent – sur France Culture et sur France Inter. Le site de France Inter mentionne, ainsi, que le 8 octobre 2019, « Charline Vanhoenacker et Alex Vizorek [recevaient] Geoffroy de Lagasnerie, sociologue et philosophe » pour ses livres L’Art de la révolte et La Conscience politique : « Bien qu’il soit issu d’une famille catholique et cultivée de la bourgeoisie parisienne, et qu’il ait suivi des études royales, des bancs du lycée Janson-de-Sailly à l’École normale supérieure [de Cachan, NDLA], Geoffroy de Lagasnerie impose sa radicalité en s’insurgeant contre l’ordre établi, l’absence de révolte chez les gens de droite, les violences policières et sociales, le racisme et toute sorte de discrimination qui place les minorités (de genre, de classe, de sexe) comme cibles des inégalités. » Il est également invité sur Arte et Canal+ et interviewé – entre autres – par Slate et Les Inrocks.

    L’an passé, il a aussi cosigné un livre avec Assa Traoré, Le Combat Adama, chez Stock, un « livre de lutte sur les violences policières », évoquant « un système d’élimination systématique des jeunes garçons noirs et arabes entre les mains de la police » : « Les gendarmes qui ont tué Adama sont des acteurs de ce système » (Le Point).

    Et tandis qu’Assa Traoré portait la bonne parole anti-flics dans les lycées de banlieue, Geoffroy de Lagasnerie la distillait dans l’enseignement supérieur des beaux quartiers.

    Car quand il ne se consacre pas à ses écrits – Geoffroy de Lagasnerie dirige la collection « à venir » des Éditions Fayard, où il édite ses propres bouquins, mais aussi ceux, notamment, de Judith Butler -, il enseigne ! Il enseigne, depuis 2013, la philosophie et la sociologie à l’École nationale supérieure d’arts de -Cergy. Il est habilité, depuis 2018, à diriger des recherches à la Sorbonne. Il anime des séminaires, toujours à la Sorbonne (un des thèmes, au hasard : « Lutter contre l’, la ségrégation, le racisme, la discrimination, les violences policières… »), mais aussi, par exemple, à Dauphine. Il donne également des conférences (Sciences Po Paris, Rennes, Bordeaux, universités Paris IV, Paris I, Lille III, ENS Ulm). La dernière a eu lieu le 30 septembre.

    Mais cela, lui seul et ses amis en ont le droit. Ainsi, en 2014, a-t-il appelé à boycotter « Les Rendez-vous de l’Histoire de Blois » en raison d’une conférence inaugurale confiée à… Marcel Gauchet.

    Antifa de salon, il camoufle la violence de son propos dans un ton de séminariste en propédeutique et une phraséologie cuistre passablement hermétique, mais le fond, pourtant, est là… D’ailleurs, il l’affirme : « La non-violence, ça n’existe pas » (France Inter).

    Geoffroy de Lagasnerie n’est ni un dingue, ni un fou, ni un clown, mais l’enseignant de vos enfants. Et c’est ça qui est dingue.

     

    Gabrielle Cluzel

     
    Ecrivain, journaliste
  • Fin de fictions

     

    Un article de Bertrand Renouvin *

    2293089609.14.jpgOn sait que nous n'avons pas que des points d'accord avec Bertrand Renouvin. Ici, aucun désaccord si ce n'est l'étiquette « ouvertement xénophobe » que Renouvin s'autorise un peu facilement à coller sur des ministres du nouveau gouvernement italien suivant le vocabulaire conformiste des médias. Mais sur le fond, qui concerne la France, l'Europe et le monde, nous partageons son analyse qui a le mérite de la lucidité et de la clarté. On la lira avec profit.  LFAR 

     

    Royaliste numero 1147.jpgL’Union européenne se présentait comme l’accomplissement heureux de l’histoire de l’Europe. Les prophètes de cette « Union » ne se sont jamais interrogés sur son inachèvement programmé – puisqu’elle refusait d’englober la Russie. Ses artisans n’ont jamais saisi l’impossibilité logique d’une « intégration » qui supposait in fine la désintégration des Etats nationaux – alors que les nations européennes sont la condition même de l’existence du concert européen et de la civilisation européenne. Ses thuriféraires n’ont jamais voulu reconnaître qu’il fallait choisir entre l’Europe européenne et la soumission aux Etats-Unis. Et les fabricants de traités n’ont jamais voulu comprendre que ces textes empilés depuis 1958 ne pouvaient fonder une unité politique mais seulement produire une caricature d’institutions démocratiques et une « gouvernance » parodique.

    La somme des impossibilités et des incapacités a produit des noeuds de contradictions. Par différents moyens bureaucratiques et de plus en plus antidémocratiques, les européistes ont retardé les explosions sans voir qu’ils fabriquaient eux-mêmes les barils de poudre, les mèches et les briquets. Le carcan monétaire suscite la révolte populaire partout dans la zone euro. La crise migratoire provoquée par les guerres américaines et à l’américaine, dont l’Union fut complice ou partie prenante au prétexte qu’il existerait un « Occident », a été gérée de manière irresponsable par Berlin et Bruxelles, qui ont engendré des réactions populaires dans les pays frontières de l’Union et en Allemagne.

    Les élites du pouvoir, des affaires et des médias clament que ces populismes sont ineptes, vulgaires, dangereux, fascistoïdes… mais le travail du négatif se poursuit et s’accélère. Alors, à Bruxelles et à Berlin, on fait la part du feu pour sauver le coeur du système. On laisse le FPÖ faire ce qu’il veut en Autriche puisqu’il ne conteste pas l’euro. En Italie, le président de la République ne s’oppose pas à l’arrivée de ministres ouvertement xénophobes mais il refuse de nommer un adversaire déclaré de l’euro. De fait, la Commission européenne fera tous les compromis nécessaires sur les migrations, car pour ses fonctionnaires il ne s’agit que d’une gestion des flux qui relèvent selon les cas du laisser-faire, de la régulation ou du refoulement.

    Mais pour sauver la « monnaie unique », pas de compromis possible ! Contre les dissidents potentiels, contre les hérétiques, la guerre a été, est et sera sans pitié. Soutenus par la presse allemande, jamais avare d’injures quand il s’agit des Grecs, le gouvernement de Berlin et ses annexes de Bruxelles et Francfort ont montré en 2015 qu’ils pouvaient anéantir les velléités de résistance d’un gouvernement et infliger au peuple une punition qui ne sera jamais levée. En Italie, la formation du gouvernement issu des élections s’est accompagnée de manoeuvres de sérail et d’opérations financières de déstabilisation orchestrées par les commentaires et les couvertures haineuses de la presse allemande. Emmanuel Macron est lui aussi confronté à la rigidité allemande mais, parce qu’il ne touchait pas à l’essentiel, son projet de réforme de la zone euro a bénéficié d’un rejet poli, assorti de concessions apparentes sous la forme d’un petit budget d’investissement et d’un éventuel « fonds monétaire européen » chargé de traiter à la schlague les Etats trop endettés.

    La rigidité allemande n’empêchera pas l’explosion de la zone euro. Elle pourrait même accélérer une dynamique libératrice qu’Emmanuel Macron refuse d’anticiper. De même, le président des riches refuse d’admettre la fin de la fiction du marché mondialisé. Les Etats-Unis ont toujours voulu le libre-échange pour les autres mais pas pour eux. Donald Trump le rappelle brutalement à des « partenaires » qui lui opposent leur foi naïve dans les vertus du compromis entre membres du club occidental. En retirant sa signature du communiqué final du G7, le président des Etats-Unis a ajouté à l’affirmation de sa volonté de puissance une humiliation calculée. Les fiers-à-bras de Paris et d’Ottawa, comme la dame* teutonne, continueront de courber l’échine en quémandant des aménagements dans le régime des coups de bâton.  •

    * Royaliste, 12-25 juin 2018

  • Emmanuel Macron seul face à la rue : son entourage a raison d’être très inquiet, par Frédéric Sirgant.

    Il est toujours bon d’écouter ceux qui ne pensent pas comme vous : ma belle-sœur et , par exemple. La réciproque devrait être plus systématique aussi. Tout le monde s’en porterait mieux. Donc, Le Monde

    2.jpegAprès les éditoriaux de complaisance pour le pouvoir et la décision du Conseil constitutionnel, ce samedi matin, une petite voix discordante, celle de Solenn de Royer : « : le Président seul face à la rue, une stratégie périlleuse. »

    Je fais partie de ceux qui, au-delà du débat sur la vaccination et le périmètre d’extension du passe, ont été stupéfaits de la décision d’, le 12 juillet. Sur le fond et sur la forme, il précipitait de nouveau le pays dans un état de tension dont nul n’avait besoin. Pour moi, c’était clair, il remettait « le feu ». Le faisait-il exprès ? Ma question était purement rhétorique, comme le confirment les différents off des gens bien informés, jusqu’à Solenn de Royer : « Une posture qui le sert en partie. “Face à la rue, il est comme un poisson dans l’eau”, observe Jérôme Sainte-Marie, de PollingVox, selon lequel le Président aurait un “intérêt pratique” à mettre en scène cette confrontation. […] C’est aussi un moyen pour lui de se poser comme l’homme de la raison et du progrès face à des forces présentées comme conservatrices, voire obscurantistes. “Dans ce face-à-face, il a clairement l’avantage”, résume M. Sainte-Marie. De fait, Macron l’alimente. » Merci de le confirmer.

    Toutefois, passé les truismes sur l’habileté de cette stratégie de la tension, les observateurs interrogés par Le Monde pointent plusieurs risques majeurs qui devraient davantage inquiéter l’Élysée et la majorité et qui pourraient se retourner violemment contre Emmanuel Macron :
    – l’extrême personnalisation du conflit, centrée sur le Président qui n’est plus protégé ni par un Premier ministre fusible, ni par des corps intermédiaires soit soumis, soit piétinés : « C’est après lui qu’ils en ont », résume M. Fourquet ;
    – le retour des pages sombres des affrontements antérieurs : les « rodomontades » de 2017 (« Qu’ils viennent me chercher ! »), la fuite précipitée du Puy-en-Velay en 2018. En fait, rien n’est oublié, et il suffit d’une piqûre de rappel pour que ces lignes du CV d’Emmanuel Macron se remettent à clignoter en rouge.

    Cette stratégie de la tension lui assure le soutien de ce fameux « cercle de la raison » devenu, depuis le 12 juillet, celui du passe sanitaire. Macron fait le pari que le mouvement n’aura aucun débouché politique et que, sans opposant d’envergure, il sera réélu. C’est aller vite en besogne. D’une part, sa majorité pourrait demander des comptes à ce pyromane qui, non content d’avoir déjà le feu à la grange (l’épidémie plus quelques autres gros dossiers : , , à terre), se plaît à l’allumer délibérément dans la bergerie. Surtout si le feu s’étend, comme le montre ce quatrième samedi de manifestations. D’autre part, c’est oublier que, même s’il était réélu par défaut, ce nouvel épisode de mépris et d’autoritarisme constituerait un nouveau boulet qui resurgirait, comme les précédents, à la moindre fièvre sociale. Nous ne sommes plus dans un processus d’atomisation et de dispersion des luttes mais d’accumulation : s’il n’a pas la révolution avant , il pourrait bien la subir après.

    Solenn de Royer insiste sur les dangers de cette stratégie de la tension qui commencerait à inquiéter vraiment jusque dans l’entourage du Président : « Au sein de la majorité, certains regrettent mezzo vocce que le Président tende au lieu d’apaiser. Et font valoir qu’avec les foules, on sait comment ça commence, jamais comment ça finit. Autrement dit, jouer avec la rue, c’est jouer avec le feu. »

    Le feu… Tiens, si Le Monde se met, même avec trois semaines de retard, à en faire son dernier mot, tout espoir n’est peut-être pas perdu sur la capacité du cercle de la raison à avoir quelques éclairs de lucidité. Dans l’immédiat, le Président a mis le feu et il joue avec. Oui, il y a de quoi être inquiet…

     

    Frédéric Sirgant

    Professeur d'Histoire

  • Algérie : derrière les immenses manifestations de rejet de la candidature de Bouteflika, le saut dans l’inconnu est assu

     

    Par Bernard Lugan,
    Historien et spécialiste de l’Afrique.
    oooooooooooooo 

    3499426859 - Copie.jpgLa candidature à un cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika, mort-vivant muet et paralysé dont les sorties, sanglé sur un fauteuil roulant, relèvent du pathétique, passe très mal en Algérie.

    L’ampleur des manifestations de rejet de cette candidature et, avec elle, de tous les profiteurs du régime, FLN en tête, est telle, qu’à moins d’un retournement de situation, le temps de survie du clan Bouteflika semble compté. D’autant plus que les forces de sécurité paraissent gagnées par le doute et que l’armée n’est plus un bloc monolithique. 

    830x532_manifestation-alger-contre-5e-mandat-president-bouteflika-22-fevrier-2019.jpgQuoiqu’il en soit, c’est d’une Algérie ruinée et divisée dont vont hériter ceux qui auront la très lourde tâche de tenter d’éviter le naufrage d’un pays fracturé entre arabisme et berbérisme avec, en arrière-plan, les islamistes en embuscade. Comment pourront-ils redresser un pays frappé au cœur par l’épuisement de ses réserves pétrolières quand 60% des recettes budgétaires et 95% des recettes en devises dépendent des hydrocarbures ? Selon l’Office national des statistiques en date du 12 janvier 2019, durant le 3° trimestre 2018, la branche des hydrocarbures dans son ensemble a baissé de 7,8%, la production de pétrole brut et de gaz naturel a décliné de 3% et le raffinage de pétrole brut de 12%.

    La baisse de la production des hydrocarbures et les variations des cours font que les recettes baissent et que l’Etat doit donc puiser dans ses réserves de change pour financer ses importations. Comme l’Algérie ne produit rien, ou alors en quantités insuffisantes, elle doit en effet tout acheter sur les marchés extérieurs, tant pour nourrir, qu’habiller, qu’équiper ou que soigner sa population.

    Les réserves algériennes de change qui étaient de 170 milliards d’euros en 2014, avant l’effondrement des cours du pétrole, ne sont plus que de 62 milliards au début 2019 et, selon les projections, elles atteindront 34 milliards en 2021.

    Dans ces conditions, comment l’Etat pourra-t-il acheter la paix sociale avec une croissance démographique gommant toute possibilité de développement ? Comment relever une Algérie au bord de l’explosion avec un taux de chômage des jeunes atteignant au moins 40%, une immense misère sociale, une industrie inexistante, une agriculture ruinée, un système bancaire d’un autre temps et une administration apoplectique ?

    Comment faire redémarrer une Algérie pillée par la nomenklatura satrapique enkystée autour du clan Bouteflika et qui, entre 2000 et 2015, avant donc l’effondrement des cours, a « dilapidé » les 600 milliards de dollars rapportés par la vente des hydrocarbures, dans des « flux sortants » de plusieurs centaines de milliards de dollars auxquels s’ajoutent plus de 100 milliards de dollars dépensés « à la discrétion des gouvernements » (El Watan 31 janvier 2016), délicat euphémisme servant à habiller l’opacité de leur destination… ?.  

    Comme personne ne voudra revendiquer un tel héritage, nul ne voulant associer son nom aux décennies de mise des ressources publiques au service d’un clan familial, la rupture est donc annoncée. Au profit de qui ? L’avenir peut être proche nous le dira. 

    Bernard Lugan

    dimanche 24 février 2019 

    * Voir mon livre Algérie, l’histoire à l’endroit.

    111743376.JPG

    Le blog officiel de Bernard Lugan  

    Quelques articles sur le sujet dans Lafautearousseau ...

    Inquiétante fin de règne en Algérie
    Tristes nouvelles d'Algérie
    Bouteflika veut livrer l’Algérie aux islamistes
    Algérie : l’heure de vérité approche pour le clan Bouteflika
    Un ancien ministre algérien prédit l’effondrement de l’Algérie en 2019
  • Grand Débat : Quelle sera l'utilité de tant de palabres ?

    Entre président de la République et bonimenteur 

    580234331.2.jpg

    Le « Grand Débat » s'est imposé au Pouvoir comme une issue à l'impasse et au danger.

    Il a été une porte de sortie devant l'urgence. Il s'est imposé après que Paris eut vécu des samedis de guerre civile, après qu'un ministre et ses collaborateurs aient dû être exfiltrés de leur ministère - porte cassée, locaux envahis - et qu'un certain jour, à ce qui se dit, l'on ait dû prévoir un hélicoptère pour exfiltrer aussi le président de la République de l'Élysée, s'il l'avait fallu.  

    11480238lpw-11503457-sommaire-0000403245001-jpg_4804328.jpgLes pouvoirs, si pressants en temps ordinaire, sont fragiles devant la colère du peuple. Ainsi de Louis XIV enfant emmené à Saint-Germain pour fuir la fronde de Paris, Louis XVI prisonnier quittant le Louvre nuitamment dans l'intention de rejoindre l'armée de l'Est, Thiers réfugié à Versailles d'où il matera la Commune de Paris. De Gaulle en 68 craignit aussi un moment de se laisser « faire aux pattes »* - c'était son expression - dans l'Élysée qu'il quitta alors en grand secret pour Baden. 

    Le Pouvoir a eu peur certains des samedis de novembre et décembre 2018 et le renouvellement hebdomadaire du phénomène, ajoutait  à l'angoisse. Quand tout cela finira-t-il ? Comme un couple royal menacé par l'émeute - toujours proche de la Révolution - le couple présidentiel objet d'une étonnante détestation personnelle a bien dû se poser cette question - dont on n'a toujours pas la réponse en ce début de février.  

    Alors, on a ouvert le Grand Débat, on a organisé la palabre, le Chef de l'État est descendu dans l'arène, omniscient, omniprésent, au point de paraître «  en faire trop ». Il y démontre des heures d’horloge durant sa connaissance du détail, son goût pour l'intendance, son imprégnation technocratique, sa maîtrise des dossiers, son agilité de débatteur. Une haute perception de la France, une pensée politique cohérente et claire, non. Point du tout. 

    AssembléeNationale3.jpgAlors, à la trappe les débats parlementaires, les auditions grotesques, les commissions, les partis. Exit la démocratie représentative ... Le vieux parlementarisme façon XIXème ou XXème  a peut-être vécu les derniers temps de son règne et il n'y aura pas grand monde pour le pleurer. C'est leur échec, leur obsolescence, leur discrédit et leur faillite que consacre le Grand Débat. Et, en parallèle, le « Vrai Débat », celui que les Gilets Jaunes ont nommé ainsi : le leur.  

    Ainsi Macron – le « souverain » - est-il en dialogue direct avec les Français. Ainsi, chez les gilets jaunes les Français parleront-ils entre eux. Et, comme en 1789, par une curieuse tentative de retour au réel, l'on ouvrira des cahiers de doléances, l’on débattra. Toujours comme en 1789, une dose certaine de récupération idéologique et partisane ne manquera pas de s'exercer. Et la question d'argent - comment répartir la charge de l'impôt, qui le paiera, qui profitera le plus de sa fonction redistributive - ne manquera pas d'être prégnante, sinon dominante. En tout temps, le consentement à l’impôt, la question d’argent, est chose sociale et politique. 

    Bainville.jpgQuelle sera l'utilité de tant de palabres en dehors de leur fonction cathartique ? Sur quoi déboucheront-elles ? Bainville à propos de 1789 et des débats qui préparèrent les États Généraux, nous donne la clé d'une éventuelle réponse à cette question d'actualité : « Ils soulevaient tous les problèmes et n'en résolvaient aucun »**. 

    Pour les résoudre, quand le flot des paroles s'épuise et vient se briser sur le mur des nécessités, il faut une autorité qui tranche, décide, et soit assez reconnue, ait assez la confiance des gens, pour mettre à peu près tout le monde d’accord. 

    Une telle autorité est ce qui manque le plus à la France d'aujourd'hui comme elle a manqué à la France en 1789. On sait, pour parler par antiphrase, qu'il ne s'ensuit pas de très bons résultats.  

    * Terme de fauconnerie 
    ** Histoire de France

    Retrouvez l'ensemble des chroniques En deux mots (114 à ce jour) en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

  • La contagion des idées d’Éric Zemmour : Raphaël Glucksmann se « zemmourise »-t-il ?, par Isabelle Marchandier.

    Les idées de Zemmour s’apparentent à une tache d’huile qui s’étend sur les rivages d’idées proches des siennes mais aussi opposées aux siennes. À tel point que certains intellos issus des rangs de la gauche progressiste sont en passe de se « zemmouriser ».

    4.jpegC’est un peu ce qui est arrivé à Raphaël Glucksmann, au micro de Jean-Jacques Bourdin, pas plus tard que jeudi 23 septembre.

    Sans surprise, le député européen est interrogé sur le « phénomène/moment Zemmour » qui sature l’espace médiatique depuis la rentrée. Pas question de botter en touche sur le front de l’indifférence, comme l’a fait, au même moment, l’un des VRP de la Macronie, le délégué général d’En Marche ! Stanislas Guerini, invité à la matinale de Sud Radio, qui a refusé de s’exprimer sur la polémique autour de la une de Paris Match sur Zemmour photographié dans l’eau collé serré près de sa conseillère. Pas question, non plus, de discréditer le polémiste en décrétant que les sujets tels que l’immigration, la question identitaire et civilisationnelle de la France qu’il place au cœur du débat sont de purs fantasmes. Raphaël Glucksmann affronte la question et livre une analyse qui prend des airs de confession.

    Comme tout bon philosophe, Glucksmann pratique l’étonnement pour faire table rase de ses préjugés et avoue sans ambages son erreur : « Il est l’opposé de ce que je pensais », déclare-t-il, avant de poursuivre en reconnaissant l’authenticité de l’engagement du polémiste. « Il a la flamme, il a la foi, quelque chose que les autres ont perdu », reconnaît-il, le jour où un sondage révèle la crise de foi des Français. Glucksmann fait presque l’éloge d’un Zemmour qui, grâce à son « parler vrai », se distingue du jargons techno, téléguidé, hors-sol débité mécaniquement à longueur de discours par des professionnels de la politique. Zemmour emporte l’adhésion et imprègne les consciences par la force de ses convictions. Et pour Glucksmann, cette force réside dans le récit national qu’il propose aux Français. Et là, le journaliste du Figaro a un boulevard. Car « c’est le vide qui lui fait face et qui lui fait place », constate Raphaël Glucksmann, avant de lâcher : « C’est à cause de nous » si Zemmour prospère. Par ce « nous », il désigne les élites politico-médiatiques qui sont incapables, d’après lui, de « projeter notre pays dans une histoire qui donne sens » et de proposer « un projet qui mobilise », « une aventure collective qui nous dépasse ». Les conservateurs antimondialistes dans l’âme boivent du petit lait en entendant ce mea culpa prononcé par celui qui déclarait, en 2018, de « se sentir plus chez lui à New York ou à Berlin qu’en Picardie ». Ce n’est plus le même son de cloche, aujourd’hui.

    Raphaël Glucksmann serait-il prêt à admettre qu’un pays n’est pas un territoire sans âme, désincarné, sans identité ? En tout cas, il ose le mot « identité », qui n’est plus si malodorant, et reconnaît l’existence d’une «  identitaire » qu’il explique par le « renoncement » des élites à préserver notre souveraineté, notre industrie, notre autonomie. Zemmour, sors de ce corps !

    De manière indirecte, doit-on comprendre que Raphaël Glucksmann confesse l’erreur stratégique d’une gauche qui s’est laissée berner par le miroir aux alouettes de la mondialisation sans frontière et transnationale ? En tout cas, celui qui faisait partie du camp des thuriféraires de la mondialisation heureuse a tourné casaque. De mondialiste, Glucksmann est devenu souverainiste et ne supporte plus de voir notre pays traité en vassal des grandes puissances.

    Force est de constater qu’Éric Zemmour accentuerait le revirement idéologique des citoyens du monde qui, avant le Covid, associaient allégrement souveraineté et repli identitaire. Décidément, on aurait tous quelque chose en nous de Zemmour !

    Toutefois, ne nous emballons pas trop vite. Derrière les mots, il y a le sens que l’on met. Si Raphaël Glucksmann parle le même langage que les conservateurs souverainistes, ce n’est pas pour le même projet commun. Le « contre-récit » qu’il appelle de ses vœux pour combler le vide et combattre Éric Zemmour sur l’échiquier de la bataille culturelle est moins historique qu’écologique. Reste à savoir comment mère Gaïa, qui appartient à tous, peut calmer la détresse identitaire et générer un sentiment d’appartenance à une seule et même nation. La maïeutique « zemmourienne » a encore du chemin à faire…

     

    Isabelle Marchandier

    Journaliste.

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

    Voilà, voilà…On attend avec impatience votre décision sur la licéité de son expulsion, Conseil d’État !

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    1. Pas mal, pour illustrer et dégonfler le bobard de "l'essence chère"...

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    En gros, pour un plein de cent euros, on ne met que quarante euros d'essence, mais soixante euros de taxes, prélevées par le Système sur-taxeur, voleur, spoliateur...

    Une telle sur-taxe d'un produit, quel qu'il soit, cela ne se voit nulle part au monde...

     

    2. Nous ne sommes ni de près ni de loin proches de Thomas Guénolé ("intellectuel engagé à gauche", comme on dit dans le jargon !) dont nous avons souvent combattu les prises de position ici-même. Raison de plus pour apprécier cette charge furieuse du-dit Guénolé contre Houria Bouteldja...

    (extrait vidéo 2'12)

    https://twitter.com/ajplusparodie/status/1556689382194573312?s=20&t=-oiTfadTJMfC3gh90x5mkA

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    Ici Houria Bouteldja est à l'extrême-droite (pour une fois !), écoutant la charge de Guénolé...

     

    3. Des chiffres sur la scandaleuse AME, relayés par l'Observatoire de l'immigration et de la démographie :

    Aide médicale d'État (AME) : les chiffres Répartition par nationalité des bénéficiaires de l'AME à Saint Denis (IGF/IGAS - 2018) :
    1. Algérie,  
    2. Côte d'Ivoire,  
    3. Mali,  
    4. Maroc...
     
    On dit ça, on dit rien...
     

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    4. Deux ados se sont gravement blessés alors qu’ils s’amusaient à mettre leur vie en danger - leur vie et, surtout, celle des autres ! - en conduisant des deux roues à fond de train en pleine ville à Verdon-sur-Mer, en Gironde. L’un d’entre eux se trouve en urgence absolue. Comme nous ne sommes pas des charognards, nous n'allons pas nous réjouir de leur "malheur", mais nous n'allons pas pleurer non plus. Ceux qui font ce qu'il ne faut surtout pas appeler "rodéos sauvages", car le terme est, finalement, laudatif (on se croirait presque dans une compétition sportive, entre champions de haut niveau !...) sont des fous et des criminels en puissance. En voilà deux qui vont peut-être commencer à comprendre leur douleur, et peut-être celle des autres. Espérons que cela fera réflechir les autres cinglés dangereux qui font la même chose partout dans le gigantesque foutoir, la gigantesque pétaudière/poubelle en quoi le Système a transformé notre beau pays, par son immigration massive insensée, qu'il nous impose depuis des décennies... 

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    Pour info : ce que font les Anglais pour lutter contre cette forme de cinglerie/voyoucratie criminelle :

    https://twitter.com/GilbertCollard/status/1556919694367547392?s=20&t=2gR0lkps__zwUvfwEG7f9w

     

    5. Chez Bercoff, notre excellent ami Bernard Lugan (Bernard !...) répond en direct à un auditeur qui est en plein "dans la fausse histoire" (le pauvre !). Bercoff, lui, boit du petit lait... BRAVO, BERNARD !

    (extrait vidéo 1'27)

    https://twitter.com/Ericvincent34/status/1556862895606173700?s=20&t=uL2-F7Xutzw-zKH4LZJv3Q

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    Bernard Lugan répond aux aux décoloniaux, aux islamo gauchistes et aux terroristes de la repentance...

    Comme on comprend parfaitement ceux qui aimeraient écouter l'émission dans sa totalité (58 minutes), la voici :

     

    6. D'accord avec Thierry DUGAT (Député Renaissance, on n'est pas sectaire, à lfar !) 

    "C'est le p'tit bonhomme qui aime mettre la main aux fesses des dames et qui n'a toujours pas démissionné. Il est vrai que pour le protéger, sa copine @MathildePanot a déclaré que ce n'était que ça !! Autrement dit, pourquoi se priver ?"

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    7. Dialogue en partie surréaliste, mais en tout cas réjouissant ! 

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    À DEMAIN !

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

    Dans Atlantico, un point de vue intéressant, et en tout cas à connaître, sur l'évolution de la situation en Ukraine (avec une ou deux traductions "malheureuses, mais, bon...)
     

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    1. Tous les vendredis, l'appel à la prière et le prêche sont diffusés par haut-parleurs à l'extérieur de la mosquée An-Nour de Creil. Les habitants du quartier sont excédés : il faut que les pouvoirs publics fassent cesser cette provocation (il y a neuf mosquées à Creil, donc, il ne s'agit pas d'un manque de place...). Et, sinon ? Pourquoi pas une "initiative citoyenne" ?

    la "preuve" en treize secondes :

    https://twitter.com/ASabatou/status/1501234387437953031?s=20&t=7oU_rdCGkYVCOv7lLWQRmA

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    1 BIS. L'Islamisme/Islam (c'est la même chose) avance, tant qu'on ne l'arrête pas. Après les provocations du voile dans le sport (affaire des "hijabeuses" ou cette prière diffusée dans la rue à Creil, ce sont sept policiers de Saint-Denis menacés sur des affiches montrant leurs visages Celles-ci étaient accompagnées d'un message invitant à s'en prendre directement aux policiers. Un message dont le style délicat et la grammaire impeccable en disent long sur la volonté d'assimilation de ses auteurs ! "Bais** leur maman la pu**sa vaut que dal c la cité". Pour eux, La Pléiade, ce n'est manifestement pas pour demain ! Par contre, une bonne expulsion de masse...

    https://www.lefigaro.fr/faits-divers/wanted-sept-policiers-de-saint-denis-menaces-sur-des-affiches-montrant-leurs-visages-20220311?utm_medium=Social&utm_campaign=echobox&utm_source=Twitter&origine=VWT16001#Echobox=1646995648-1

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    3. Pécresse/Détresse a menti : elle était bien "contre le nucléaire" en 2018, alors que, maintenant, elle se dit "pour" mais ne veut pas admettre qu'elle a été "contre" : vous avez pigé ? La preuve en dix-sept secondes, par l'image et le son :

    https://twitter.com/djipipi/status/1502562085309493251?s=20&t=7oU_rdCGkYVCOv7lLWQRmA

    À propos, vous avez des nouvelles de Douglas ?

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    3 BIS. Autre mensonge de Pécresse/Détresse : nous en parlions ici-même, hier, en voici aujourd'hui la preuve par le son et l'image (en vingt et une secondes) :

    https://twitter.com/LouvesMatthieu/status/1502381583659057153?s=20&t=7oU_rdCGkYVCOv7lLWQRmA

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    5. Pas mal (trouvé sur tweeter) :

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    6. Jean-Christophe Buisson continue, inlassablement, d'alerter sur l'Arménie et l'agression permanente qu'elle subit de la part de l'Azerbaïdjan musulman, qui n'a qu'un seul but : "effacer" l'Arménie de la carte, et de l'Histoire... :

    "La carte des 7 villages #armeniens d'#Artsakh #HautKarabakh pris pour cibles par l'armée azerbaïdjanaise ces 8 derniers jours (avec 1 mort et plusieurs blessés dont des civils). Et toujours pas une seule institution internationale pour s'en inquiéter, le signaler, le dénoncer !"

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    7.                                               saccageparis

    Il paraît que cet article agace considérablement le rigide Belliard, adjoint escrolo à la Mairie-qui-saccage-Paris...

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    Cliquez une première fois sur l'image pour l'agrandir, puis utilisez le zoom...

    Ce sieur Belliard dépense "un pognon de dingue" (qui a dit cela, au fait ?...) pour asphyxier Paris, mais pas un sou pour le Patrimoine, semble-t-il : ci-dessous, une porte de la Place Louis XV (dite, par le Système, de la Concorde, sans doute parce qu'on y a assassiné Louis XVI et Marie-Antoinette, et pas mal d'autres qui, eux, méritaient bien la guillotine qui y trônait...)

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    À DEMAIN !

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