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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Mieux vaut en rire... : parlez-vous la novlangue socialiste ?

    ane-qui-rit.jpgLe Figaro décrypte les éléments de langage utilisés par le gouvernement depuis ces derniers mois (article payant du 22 janvier que nous vous proposons gratuitement). 

    Ne plus dire Égalité hommes-femmes, mais dire Égalité femmes-hommes. "Pour une raison toute bête, explique-t-on au ministère des Droits des femmes, c'est par ordre alphabétique. Il n'y a pas de raison que les femmes soient en deuxième position !"

    ● Ne plus dire L'école maternelle mais dire La première école. "Changer le nom en “petite école” ou “première école”, c'est neutraliser d'une certaine manière la charge affective maternante du mot “maternelle”." (Sandrine Mazetier, députée PS, le 1er février 2013)

    ● Ne plus dire Travailler pour le pays mais dire Faire France. "Il s'agira donc, désormais, de “faire France” en reconnaissant la richesse des identités multiples." («Refonder la politique d'intégration », 2013)

    ● Ne plus dire Bâtir une société harmonieuse mais dire Faire de l'en-commun. "De la conception à la gestion des espaces publics, comment construire un “en-commun”." («Refonder la politique d'intégration», 2013)

    ● Ne plus dire Se lancer dans des projets mais dire Produire des possibles. "Il faut changer de paradigme, proposer une nouvelle forme d'action publique, pour produire des “possibles” à l'intersection des valeurs de la République et du respect des gens eux-mêmes et de leurs capacités à coproduire de l'action publique." ("Refonder la politique d'intégration", 2013)

    ● Ne plus dire La France évolue mais dire Les dynamiques plurielles de la société. "L'histoire enseignée se réfère à des figures incarnées qui demeurent très largement des “grands hommes” mâles, blancs et hétérosexuels. Il y a donc un enjeu fort à faire évoluer le “panthéon” des figures censées incarner les grands mouvements, les époques et les dynamiques plurielles de la société." ("Refonder la politique d'intégration", 2013)

    ● Ne plus dire Couple homosexuel dans l'impossibilité de procréer mais dire Confronté à "l'infertilité sociale". "La présente proposition de loi a pour objet d'ouvrir l'assistance médicale à la procréation à tous les couples infertiles, qu'il s'agisse d'une infertilité médicale ou “sociale”." (Proposition de loi déposée au Sénat par cinq sénateurs socialistes le 19 juillet 2013)

    ● Ne plus dire Être enceinte mais dire Être en état de grossesse médicalement constaté. "La collaboratrice libérale en état de grossesse médicalement constatée a le droit de suspendre sa collaboration" (Projet de loi pour l'égalité entre les hommes et les femmes, septembre 2013)

    ● Ne plus dire Les parents et les médecins mais dire Les acteurs impliqués dans la conception. "Aujourd'hui, la filiation biologique n'est plus la seule filiation possible ; il y a une multiplication des acteurs impliqués dans la conception et l'éducation des enfants." (Dominique Bertinotti, commission des lois, réunion du 18 décembre 2012)

    Ne plus dire Construire la société française mais dire Le Nous inclusif et solidaire. "L'enjeu est dès lors de rendre possible l'identification à une communauté politique plurielle, c'est-à-dire une communauté concrètement caractérisée par des identités diverses et hétérogènes - que ce soit en raison d'une histoire faite d'immigration, de colonisation ou tout simplement et plus généralement de la pluralité des identités sociales et politiques et des croyances morales qui traversent la société - mais néanmoins capable de s'identifier positivement à un “Nous”. Ce que nous nommerons un Nous inclusif et solidaire." ("Refonder la politique d'intégration", 2013)

    ● Ne plus dire Donner aux élèves la même éducation mais dire Bâtir du commun. "Il revient à l'École française de contribuer à bâtir du commun." (Vincent Peillon, charte de la laïcité à l'école)

    ● Ne plus dire L'avenir des jeunes Français mais dire Leur devenir de citoyen. "Il s'agit d'accompagner les élèves dans leur devenir de citoyen." (Vincent Peillon, charte de la laïcité à l'école)

    ● Ne plus dire Personnel scolaire chargé de veiller à la discipline mais dire Groupes académiques climat scolaire. "Afin de rendre effective cette lutte contre les violences, des “groupes académiques climat scolaire” sont par ailleurs déjà constitués pour aider localement chaque école et établissement." (Site du ministère de l'Éducation nationale).

    ● Ne plus dire Détruire l'identité sexuée mais dire Déconstruire les stéréotypes de genre. "La création du programme “ABCD de l'égalité”, qui s'adresse à l'ensemble des élèves de la grande section de maternelle au CM2 et à leurs enseignants, vise à déconstruire des stéréotypes de genre." (Site du ministère de la Santé, décembre 2012)

     

    La rédaction vous conseille :

  • Conseils de lecture de ce week-end : deux livres sur François 1er

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    Le Roi et la Salamandre, nutrisco et extinguo, «  Je m'en nourris et je l'éteins »   

     

    On connaît le visage et la prestance de François Ier grâce au portrait de cour réalisé en 1527 par Jean Clouet (Musée du Louvre), puis, par Le Titien, qui en fera une représentation moins hiératique en le représentant de profil et esquissant un sourire, en 1539 (visible au Musée du Louvre, salle de la Joconde). Le peintre vénitien s’était servi pour modèle d’une médaille gravée par Benvenuto Cellini deux ans auparavant. Le premier témoignage valide des actions du monarque, se trouve dans le Quarante cinquième Discours des Vies des Hommes illustres de Brantôme qui, à la mort de François Ier, avait 7 ans ! De surcroît, Brantôme est plus chroniqueur qu’historien et son œuvre est restée celle d’un courtisan, malgré les coups de griffes que le malicieux écrivain s’amusait à porter.

    Fils de Charles d’Angoulême et de Louise de Savoie, François Ier appartient à la branche de Valois-Angoulême. A sa naissance, Charles VIII règne. Il est jeune. Suite à son décès accidentel, c’est son cousin Orléans qui devient roi, sous le nom de Louis XII. Ce dernier, malgré tous ses efforts – une répudiation et deux mariages ! – n’aura pas d’enfant mâle. Et à la naissance de François son père est encore vivant. Son accès au trône eut donc lieu par défaut. On pourrait noter que ce type d’intronisation, dû au hasard, est curieusement lié au prénom, avec des résultats assez divers.

    Sacré roi de France le 25 janvier 1515, il reste une figure emblématique de la puissance royale française en lutte perpétuelle contre ses deux pairs : Charles Quint et le roi Henri VIII d’Angleterre. Mais il est aussi l’incarnation de la Renaissance, tour à tour condottiere, amoureux des arts et des lettres, grand bâtisseur, réformateur de l’administration, notamment religieuse, juridique et fiscale. A cet égard, l’ordonnance de Villers-Cotterêts, reste l’exemple de la modernisation de l’État. Au cours de ce siècle tumultueux, sous le signe de la Salamandre, il attisa parfois malheureusement le feu des passions, notamment dans son combat contre le protestantisme naissant, mais tenta aussi de l’éteindre, parfois maladroitement.

    Mais on ne pourra dénier à François Ier la consolidation et la centralisation du royaume de France… et l’instauration de l’absolutisme royal.

    C’est ce dernier aspect qui semble avoir inspiré principalement Max Gallo. L’auteur prolifique prouve une fois de plus son talent pour d’évocation d’un personnage historique. On ne saurait nier que l’éducation donnée par la mère du futur roi, et de façon prémonitoire, influença fortement le futur monarque. François Ier est homme, avec ses défauts – sa vie privée le prouve -, mais il est aussi l’incarnation d’un pays, d’une culture et le garant de la justice, si cruelle soit-elle. En cela il est bien de la lignée de son ancêtre Saint Louis.

    On lira cet ouvrage, écrit sur le rythme d’une cavalcade, en appréciant la présentation des chapitres qui met en exergue, sous forme d’appel, une phrase situant l’action, l’évènement ou la décision politique.

    Max Gallo signe un ouvrage captivant, dont le style épique n’est pas lointain du langage cinématographique d’Abel Gance.

    François Ier ; roi de France, roi chevalier, prince de la Renaissance française, de Max Gallo, édition Xo, 384 pages, 19.90 €

     

    On ne pourra pas porter un jugement sur le règne de François Ier sans avoir le plaisir de découvrir le livre de Franck Ferrand paru simultanément. Cet historien éminent a le don de susciter, par le biais des ondes radiophoniques, télévisuelles et par son talent littéraire, un nouvel engouement pour l’histoire de France que le mammouth tente d’éradiquer pour des raisons idéologiques. Son ouvrage, remarquablement documenté, est l’antithèse de l’œuvre de Max Gallo, bien qu’ils se rejoignent sur de nombreux sujets. Il ne s’agit donc pas d’un panégyrique, mais, de façon humoristique, d’un massacre à la tronçonneuse du Roi Chevalier, surnommé aussi « Grand Colas » ou « François au Grand Nez ». Il nous présente le monarque sans aucune concession, dominé par sa mère, manipulé par ses maîtresses et ses favoris, très dispendieux, négligeant les opportunités de paix avec ses adversaires, partisan de la censure, et, surtout, parjure à l’issue de la défaite de Pavie en laissant en otages ses enfants (le dauphin François et son frère cadet Henri) durant quatre ans, pour le prix de sa liberté.

    La plume de Franck Ferrand, acerbe mais toujours élégante, a pour ambition d’amener un éclairage lucide sur celui qu’il considère comme un Roi bien éloigné de sa légende.

    François Ier, roi de chimères, de Frank Ferrand, Flammarion, 237 pages, 19,90 €.

    Ces deux ouvrages, écrits par des historiens éminents, sont à lire concomitamment tant l’histoire est une science exacte dans les faits, mais toujours sujette à l’interprétation selon les sensibilités de ceux qui l’écrivent. Une double lecture jubilatoire !  u

    Par Bruno Stéphane-Chambon - Politique magazine

  • L'écologie politique aujourd'hui. Partie 1 : Les Verts du XXIe siècle, héritiers des royalistes d'antan ?, par Jean-Phil

    Les élections municipales de 2020 « virent au vert », affirmait un observateur au soir de la « vague verte » qui s’empare, avec des scores parfois sans appel, de grandes villes, voire de métropoles qui semblaient promises « ad vitam æternam » aux partis « sérieux », c’est-à-dire de la droite et de la gauche classiques et « républicaines », ce dernier adjectif n’indiquant pas grand-chose, en fait, sur l’attachement des susdits aux institutions de la République…

    jean philippe chauvin.jpgMais la très forte abstention, peu surprenante au regard de la situation autant psychologique que politique, ne peut tout expliquer, loin de là, et, en démocratie électorale, « les absents ont toujours tort », ce que soulignait d’ailleurs le premier ministre lui-même dans son intervention havraise du soir. Si les Verts (Europe Ecologie-Les Verts, selon leur étiquette) peuvent conquérir des municipalités, c’est aussi parce qu’ils correspondent à la nouvelle sociologie des grandes villes : un journaliste, parlant en terme de classes, signalait qu’ils représentaient le nouveau « vote bourgeois » quand les classes plus populaires, désormais, désertaient les urnes pour préférer des formes d’action directe (Gilets jaunes, par exemple) ou des stratégies d’indifférence ou de retrait volontaire, motivées par le « déni » parlementaire du référendum de 2005 et par les impasses du dilemme « populistes ou démocrates » qui conforte toujours un peu plus le Système contemporain au profit d’un « pays légal » qui sait se renouveler éternellement sans menacer son Pouvoir…

     

    Bien sûr, les Verts appartiennent au camp de la Gauche avec, parfois, une pointe de sectarisme qui, dans les cas extrêmes, n’a rien à envier à celui des partisans robespierristes de La France Insoumise ; bien sûr, leur idéologie s’inscrit dans l’européisme et le mondialisme tout en dénonçant les souverainismes et nationalismes qui, pourtant, peuvent représenter des formes « populaires » de contestation et d’affirmation politique des nations historiques ; bien sûr, ils paraissent plus attentifs à la circulation des vélos en ville qu’à la sécurité des citoyens et des commerces en périphérie ; bien sûr… Mais, au-delà de cela, leur écologisme, pour incomplet et opportuniste qu’il soit, mérite l’attention, et il faut bien reconnaître que c’est, en démocratie, le rapport de forces qui peut faire, aussi, bouger les choses : les royalistes, observateurs attentifs mais trop souvent passifs ou impuissants, ne peuvent le négliger ou le bouder s’ils veulent peser en politique. Car, ne l’oublions pas, les royalistes ont été, historiquement, les premiers à évoquer et à défendre l’environnement, ne serait-ce que face aux principes et effets de la Révolution qui, au nom de la Liberté individuelle et de la Propriété privée libérale, a livré les forêts et les terres aux appétits d’une bourgeoisie urbaine plus soucieuse de profits immédiats que d’investissements sur le long terme. Quand la Révolution française en ses temps républicains s’exclame « Du passé, faire table rase », cela se traduit aussi par la destruction des forêts et des bois (environ 3 millions d’hectares déforestés depuis 1789 jusqu’en 1800…), et ce sont bien les Chouans qui, réfugiés dans les zones de bocage ou les bois de l’Ouest, paraissent comme les meilleurs défenseurs de ces arbres qui les protègent en les cachant… Le royaliste Chateaubriand, quant à lui, ne cesse de se lamenter, et même avant la Chouannerie, du « désert » qui progresse au sein même du pays ! Le XIXe siècle cherchera à réfréner le mouvement de déforestation mais il accentuera de façon dramatique les pollutions par l’industrialisation et l’urbanisation, malgré les dénonciations d’un Barbey d’Aurevilly et d’un Paul Bourget, fervents royalistes et inquiets des conséquences, y compris environnementales, du monde qui naît des révolutions, française et industrielle, en l’espace de moins d’un siècle… Enracinés, comment les royalistes pourraient-ils négliger ce qui nourrit ou assèche la terre, eux qui y sont fondamentalement attachés avec la volonté de transmettre l’héritage des temps passés et de le faire prospérer ?

    Dans ces dernières années, les royalistes du Groupe d’Action Royaliste ont soutenu le refus d’un aéroport à Notre-Dame-des-Landes ; dénoncé l’artificialisation abusive des périphéries urbaines et des campagnes, littorales ou agricoles ; milité contre l’abattage des grands arbres (à Rennes, par exemple) et pour la préservation de la biodiversité, florale ou animale ; etc. Aussi, quand ces thèmes sont portés par d’autres, plus audibles et mieux considérés (en particulier par les médias qui, d’une certaine manière, choisissent « leurs » écologistes), pourquoi devrions-nous nous plaindre ? Durant des années, le combat écologiste, largement moqué par une Droite libérale qui ne valait, sur ce plan-là, guère mieux que la Gauche social-démocrate, paraissait comme un combat d’arrière-garde réservé à quelques utopistes chevelus ou à de vieux propriétaires traditionalistes, accrochés à leurs paysages anciens, entre landes et talus… Et, malgré les vibrants discours des caciques des grands partis sur le « développement durable » (un oxymore ?), ce sont bien le bétonnage et l’arboricide urbain, les transports aériens polluants et la mondialisation énergivore, etc. qui poursuivaient irrémédiablement leurs progrès et leurs dégâts : il a fallu l’épreuve du confinement pour, enfin (mais sur un temps trop réduit), voir diminuer les pollutions liées au rejet de gaz à effet de serre ou de particules fines dans l’atmosphère ! Il est d’ailleurs possible que cette période durant laquelle la nature a repris quelques uns de ses droits ait aussi motivé, ou plutôt conforté le choix de nombreux électeurs citadins pour les listes se réclamant de l’écologie.

     

    Je connais néanmoins toutes les limites de cette poussée électorale des Verts, liées souvent à leurs propres conceptions de l’écologie et de la politique qui ne sont pas forcément les miennes ni celles des royalistes en général. La complaisance de certains de leurs nouveaux élus municipaux envers les communautarismes contemporains, leur strabisme politique, leur inclination aux utopies européistes et mondialisées ne me sont guère agréables à lire et à entendre, et je ne les partage pas. Mais, une fois nos précautions prises et nos préventions affirmées, il convient de ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain : nombre de leurs électeurs et, même, de leurs militants ont la volonté de changer le cours de la mondialisation libérale et écocide, et de préserver ce qui peut et doit l’être, y compris à rebours des grandes tendances de la métropolisation et de la société de consommation, vite revenue de son évanouissement du printemps confiné. Pourtant, il n’est pas inutile de penser l’écologie au-delà même des partis qui s’en réclament : l’écologisme intégral, né puis théorisé au sein du petit monde royaliste dans les années 1980, pose la question de la nature même de la société mais aussi de l’homme qui y vit, et de son rapport à l’environnement, non pour nier les conflictualités mais pour les maîtriser et les apaiser sans détruire ni l’un ni l’autre…

     

     

    (à suivre)

  • Discipline sanitaire : l’inversion des pôles À quand un Mai 68 de droite ?, par Roland Hureaux.

    L’incident qui a eu lieu à l’église Saint-Eugène de Paris, le soir du Samedi saint, est significatif de certaines évolutions de l’opinion française. Tout en étant rattachée au diocèse, cette église se caractérise par l’emploi fréquent du rite « extraordinaire » à base de chant grégorien. Lors de la veillée pascale, beaucoup de pratiquants ne portaient pas le ce qu’a dénoncé un jeune homme en publiant une vidéo de la cérémonie sur Youtube.

    12.jpegCe qui est significatif, c’est que, face à ce que certains n’hésitent pas à appeler une « dictature sanitaire », c’est à que l’on trouve, semble-t-il, les plus récalcitrants, en particulier ceux qui doutent de l’utilité des mesures gouvernementales.

    Au contraire, ceux qui portent le masque avec scrupule – et sans doute crainte et tremblement – sont souvent des gens du centre et de la gauche, en phase avec le Président actuel. En tous les cas, ceux qui soutiennent sont généralement respectueux des règles.

    La tradition française voulait pourtant que la droite soit le parti de l’ordre et de la discipline – Thiers, Maurras, Pétain – et que la gauche soit, au contraire, celle de la fronde, de l’individualisme, de l’indiscipline – l’idéologie aujourd’hui dominante à gauche, sous ses trois variantes : !, socialiste, écologiste, vient de Mai 68, où on écrivait sur les murs « Il est interdit d’interdire ». Il y a bien, en France, une tradition « anarchiste de droite », mais elle pesait peu*.

    Aux États-Unis, c’est pareil : les États qui ont décidé d’abandonner toute discipline sanitaire et refusent la vaccination de masse sont le Texas et les autres États du Sud qui ont voté . Biden, lui, se laisse voir en toutes circonstances masqué comme les Dalton à la banque.

    Il y a, certes, l’exception de la , de tradition de gauche et rebelle à la discipline internationale du confinement.

    Je ne sais s’il reste des rebelles à la discipline sanitaire à l’extrême gauche : les Insoumis semblent se soumettre ; nous en connaissons qui expriment leur dissidence à titre privé, mais aucune grande voix issue de ce côté-là ne s’est, à notre connaissance, élevée pour la contester.

    La discipline à gauche, l’esprit de révolte à droite : nous assistons à ce que les physiciens appellent une inversion des pôles. Elle n’est pas pour rien dans le trouble qui règne aujourd’hui dans les esprits.

    À la rigueur pourrait-on l’expliquer par le fait que, la gauche mondialiste étant au pouvoir dans tout l’Occident, l’indiscipline ne peut venir que des opposants, donc de la droite ; quand la droite bourgeoise était aux commandes, il y a bien longtemps, c’était l’inverse.

    Il semble, cependant, que l’on assiste à un phénomène plus profond.

    L’actualité nous offre d’autres exemples de cette inversion : ainsi, à la dernière élection présidentielle américaine, l’électorat blanc riche a voté à gauche, le pauvre a voté à droite. Une nouvelle donne socio-politique qui commence à traverser l’Atlantique.

    La conclusion, au moins provisoire, est que si l’on veut comprendre ce qui se passe aujourd’hui dans ci-devant libre, il faut résolument abandonner les schémas du passé. À droite comme à gauche, il est temps de mettre les pendules à l’heure. À quand un mai 68 de droite ?

     

    * Il y avait aussi sous Staline des gens de gauche disciplinés, mais c’est autre chose.

     

    Roland Hureaux

    Essayiste
  • Éric Zemmour : « La France, terre de violences et patrie de la guerre civile »

    Manifestation à Toulouse, le 26 janvier. - Crédits photo : AFP

    blue-wallpaper-continuing-background-wallpapers-bigest-images - Copie.jpgLe thème de « la haine française » molle ou violente, est ancien. Haine de soi ou haine entre soi. Maurras en a traité il y a un siècle dans un livre - Quand les Français ne s'aimaient pas, (1916) - dont le titre a été des milliers de fois repris en divers sens.  Aux exemples qu'il donne, Zemmour aurait pu ajouter la Fronde, la Commune ou l'épuration. D'autres encore. Son analyse appliquée à l'actualité est d'une grande lucidité. Comme d'habitude. (Figaro Magazine du 1.02)LFAR

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    Des blessures à la tête, des gens éborgnés, des mains arrachées.

    A chaque semaine, son nouvel acte de manifestations de « gilets jaunes ». A chaque semaine, son nouveau lot de heurts, de violences, de blessures graves. Les « gilets jaunes » se plaignent des brutalités policières. Les policiers se plaignent de la violence des manifestants. Dialogue de sourds. Les deux camps n'ont pas tort. Depuis novembre, il y a eu, dans les rangs de la police, plus de mille blessés. Mais on n'avait jamais vu depuis Mai 68 les forces de police aller ainsi au contact des manifestants, les viser à tir tendu, à face d'homme et à courte distance ; jamais on n'avait vu charger la police à cheval, jamais on n'avait vu des blindés se mettre en branle, jamais on n'avait vu les effectifs de la BAC se déployer et attaquer. Depuis la mort de Malik Oussekine, en 1986, la police française s'enorgueillissait de ses méthodes pacifiques, qui évitaient le contact, et donc les risques de blessures ou de morts, ce que ne faisaient pas ses homologues anglo-saxonnes.

    Mais c'était avant. Avant le 1er décembre. Avant le saccage de l'Arc de triomphe retransmis par les télévisions du monde entier. Une humiliation nationale qui a été lavée par un changement de doctrine policière. Désormais, le temps du contact est revenu. Et le temps des dégâts aussi. D'où cette impression d'inédit, de deux poids deux mesures. D'abord, ce ne sont pas des « gilets jaunes » qui ont saccagé l'Arc de triomphe, mais des bandes de pillards venus de banlieue. Et puis on se souvient justement des émeutes de banlieue de 2005. Alors, aucune manifestation n'était déclarée (!) et pourtant les émeutiers ne furent jamais inquiétés. C'était le temps de l'ancienne doctrine. Celle du refus de tout contact. Une doctrine qui est toujours d'actualité dans les banlieues, lorsque les forces de police sont accueillies à coups de boulons, molestées, quand leurs voitures ne sont pas brûlées, y compris avec des hommes à l'intérieur.

    Jamais le ministre de l'Intérieur ne donna alors l'ordre aux forces de police de charger - bien au contraire ; jamais non plus les ministres, les députés de la majorité ne se permirent de lancer des insultes et d'accabler les banlieues du mépris dont elles abreuvent les « gilets jaunes ». Déjà, lors de la manifestation de 2013 de la Manif pour tous, on avait remarqué que les ordres donnés aux policiers étaient moins tendres. Mais le pacifisme des manifestants avait alors évité le pire.

    En banlieue, la passivité des forces de l'ordre a été interprétée comme de la faiblesse ; le rapport de force a changé d'âme ; la peur a changé de camp. On comprend que les policiers ne veuillent pas revivre ça. Mais pourquoi se venger sur les « gilets jaunes »? Cette violence, cette fureur, cette colère, venues de toutes parts, rappellent à ceux qui l'avaient oublié que la France a toujours été un pays violent, un pays de haines mal recuites, d'affrontements brutaux, de luttes des classes, de guerres de religions et de guerres civiles. La France est ce pays où les Français passent beaucoup de temps à ne pas s'aimer et même à se détester les uns les autres. Et ce temps semble bel et bien revenu. ■

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    Eric Zemmour

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    La Grande Mosquée de Paris annonce porter plainte contre Michel Houellebecq après des "propos très graves qu’il a tenus au sujet des musulmans de France" : elle fait référence à une conversation publiée dans la revue "Front populaire", dans laquelle Michel Houellebecq estime que "le souhait de la population française de souche" est "que les musulmans cessent de les voler et de les agresser".

    En somme, la grande mosquée de Paris dépose plainte contre Michel Houellebecq, qui a le tort de dire la vérité... La question est donc : Y-a-t-il encore de la liberté de pensée et de parole pour les écrivains et les philosophes chez nous ? Ou bien les décrets d'application de la Charia vont-ils paraître incessamment sous peu au Journal Officiel de la (soi-disant) République (soi-disant) française ?


    https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/12/28/la-grande-mosquee-de-paris-annonce-porter-plainte-contre-michel-houellebecq_6155932_3224.html

     

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    SOUMISSION ?

     

    À L'ISLAM, À SA CHARIA

    ?

     

    NON ! JAMAIS !

     

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    1. L'Union pour la Réintégration des Soignants communique : 

    "Nous ne sommes ni de gauche ni de droite, nous sommes des #SoignantsSuspendus qui veulent récupérer leur travail  Ceci dit, bien qu'apolitique, nous nous souviendrons de qui vote ou non la réintégration des #soignants. Suivez-nous sur Twitter pour nous soutenir" 

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    2. La Cocarde Étudiante a raison : il faut en finir avec le mythe de l'étudiant étranger perçu comme une chance pour la France. N’oublions pas que la meurtrière de la petite Lola, Dahbia B, a pu rentrer en France légalement grâce à un visa étudiant. N’oublions pas non plus que ce visa est arrivé à expiration et que cette femme algérienne n’a jamais été expulsée...

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    3. Pierre Gentillet aussi, a raison :

    "Pénurie de lits et de matériels à l’hôpital : la situation est ajd pire que lors de la 1ère vague. Chacun voit maintenant que les gestes barrières et les attaques contre les non-vaccinés n’avaient qu’un but : masquer la faillite de l’hôpital dont les politiques sont responsables."

    (extrait vidéo 0'53)

    https://twitter.com/Pierre_GTIL/status/1608196747532341248?s=20&t=PJn8dNA6G6pnIkFUYQoO2A

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    4. Merci à Verlaine pour l'info (sur tweeter) :

    "Après avoir planté des arbres en talons aiguilles, Emmanuelle Marie-Pierre, Maire écolo du 12e à Paris, nous informe qu'elle est actuellement à New-York. Elle s'est assise sur son bilan carbone pour la fête mais promis à la rentrée elle fera chier Mme Michu et sa vieille Clio"

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    5. "FUMISTERIE !" : la juste réponse de SOS Éducation au clip délirant de PapNdiaye, faisant la promotion de l'anglais... :

    "Commencez par respecter le droit à l’instruction des enfants: lire-écrire-compter-comprendre en français la langue de leur pays ! C’est votre devoir et il n’est pas rempli. Priorité à l’instruction ! Vu le désastre du niveau actuel, tout autre objectif est de la fumisterie."

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    https://twitter.com/soseducation/status/1608390315886661632?s=20&t=5Tmp9qEeLYE5_tVLSQc-5g

    En "ouverture" de ce clip lamentable, on commence très fort :

    "Atout dans le monde du travail, ouverture internationale... La maîtrise des langues vivantes est une des clés de la réussite des élèves. Avec le plan d’apprentissage de l’anglais que nous venons de lancer, nous allons améliorer le niveau des élèves."

    À bas ce Ministère pourri et anti-français de la des-Éducation nationale !

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    6. La spectaculaire conversion d'Amnesty International ! L'Association renie le migrantisme/sans-papiérisme/sans-frontiérisme etc... et prône le droit des Français à vivre comme ont toujours vécu les Français en France, sur la terre de leurs ancêtres, avec leurrs coutumes, moeurs, traditions, religion etc... Il se murmure même qu'Amnesty va s'abonner aux comptes tweeter et facebook de lafautearousseau !!!!! Maurras avait raison : "Tout désespoir en politique est une sottise absolue..."

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    7. Et l'on terminera cette série d'aujourd'hui en félicitant Christine Kelly :

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    À DEMAIN !

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    On avait déjà eu le Prix Nobel donné à Annie Ernaux, militante de la nullité vulgaire; voici que la Palme d'Or du Festival de Cannes est remise à une Justine Triet, qui profite de l’audience médiatique pour prononcer un misérable discours politique qui se veut gauchiste...

    Profitons-en pour parler de vrai cinéma, Festival de Cannes oblige, et pour signaler ou rappeler qu'un vrai, grand et beau film est disponible en DVD, et qu'il n'a rien coûté au contribuable, lui.

    Justine Triet, parfaite représentante de cette gauche-caviar bobo/gaucho, gavée de subventions publiques, a osé parler de "l'exception culturelle française" : "Vaincre ou mourir", film magnifique qui n'a reçu aucun centime de subvention, est un véritable représentant de cette "exception culturelle française", et fait honneur à la France et à l'esprit français, à la différence de la misérable bobote Triet et de son parterre de gavés !...

    Ce à quoi l'on a assisté à Cannes ne montre qu'une chose : que le talent et la qualité sont inversement proportionnels aux subventions accordées par le Système (avec NOTRE argent)...

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    1. Matthieu Bock-Côté : la liberté d'expression menacée... (dans Face à l'info) :

    (extrait vidéo 9'04)

    https://twitter.com/CNEWS/status/1662555627716001792?s=20

    TV

     

    2. La tension monte à Calais, où trois Gendarmes ont été blessés par des envahisseurs, que le Pays légal et "populo-gobe-tout" (pour reprendre la formule de Maurras ) appellent "migrants"... L'article de Marc Eynaud dans Boulevard Voltaire :

    https://www.bvoltaire.fr/la-pression-monte-dans-le-nord-trois-gendarmes-blesses-par-des-migrants/?feed_id=27119&_unique_id=64723d670e359

    Démantèlement d'un important campement de migrants à Calais

     

    3. Évidemment d'accord avec Jean Messiha (1/2)... :

    "La gauche explique depuis 40 ans que les migrants sont une richesse. Du coup pourquoi veut-elle tant cacher “les richesses” de Paris aux touristes pour les #JO2024 ? La gauche a peur que les touristes découvrent le désastre migratoire et son impact en matière d’insécurité !"

    (extrait vidéo 1'26)

    https://twitter.com/JeanMessiha/status/1662393110926696448?s=20

     

    3 BIS. ...et 2/2 : sure le harcèlement scolaire, qui tue, et l'inaction coupable de PpaNDiaye :

    "...Les parents de #Lindsay ont alerté l’#EN sur le harcèlement de leur fille. Aucune réponse de #PapNdiaye. Il était occupé à organiser des ateliers maquillage où des hommes déguisés en femmes se dandinent à 4 pattes, en string et enduits de monoï, devant des gamins de 4 ans !..."

    (extrait vidéo 1'37)

    https://twitter.com/JeanMessiha/status/1662453944273055744?s=20

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    5. (Dans Le Courrier du soir, 1/2Scandale à Bruxelles : la Commission Européenne blanchit le mari de Von Der Leyen qui a touché 320 millions de l’UE...

    https://lecourrier-du-soir.com/scandale-a-bruxelles-la-commission-europeenne-blanchit-le-mari-de-von-der-leyen-qui-a-touche-320-millions-de-lue/

     

    5 BIS. (Et encore dans Le Courrier du soir, 2/2) Coup de théâtre en France : Macron a menti en disant avoir investi 19 milliards dans le système de santé...

    https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-en-france-macron-a-menti-en-disant-avoir-investi-19-milliards-dans-le-systeme-de-sante/

     

    7. En Wallonie... De CHEZ NOUS :

    "DÉFENDONS NOTRE HÉRITAGE  Alors que @LesEngages_be et leur président Maxime Prévot enterrent définitivement leur héritage chrétien, Chez Nous  est désormais le seul parti qui défend nos traditions, notre héritage, notre culture. Nous vous le promettons : nous ne renoncerons jamais à ce qui fait notre identité !  Le nouveau CDH n’en a plus rien à faire, en faisant élire des députés voilées et en renonçant à continuer son combat. Chez Nous, nous sommes les seuls à défendre notre héritage  Plus d'infos sur cheznous.be

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    À DEMAIN !

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  • 11 NOVEMRE : C'EST LA SEVERITE, POUR DES JEUNES QUI SONT, AVANT TOUT, DES PATRIOTES

    L’on sait – certains grands médias l’ont mentionné – que parmi les manifestants du 11 novembre, il y avait un bon nombre de militants d’Action française. En général, des jeunes.  

    Leurs dirigeants ont confirmé qu’ils n’ont, à aucun moment, troublé la cérémonie proprement dite, place de l’Etoile. Les sifflets se sont produits sur les Champs-Elysées, au passage de François Hollande. Il s’agissait donc, pour les manifestants, de marquer leur opposition à sa politique et à sa façon d’exercer sa fonction.   

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    Trois militants d’Action française, parmi lesquels le secrétaire général étudiant, ont été déférés au parquet, après 48 heures  de garde à vue. Leur situation est compliquée par l’ambiance tendue en ce moment, tension encore amplifiée par l'affaire de l'hebdomadaire Minute.  La tentation des magistrats pourrait être de prononcer des peines exemplaires. 

    On ne peut s’empêcher de constater que le gouvernement tente d’exploiter ces incidents autant qu’il est possible et, même, au-delà du convenable ; et de remarquer comment, à l’opposé des traitements laxistes réservés aux groupes qui, habituellement, troublent très gravement l’ordre et la sécurité publique dans notre pays, c’est la rapidité, la sévérité, la sanction lourde qui frappent des manifestants, principalement des jeunes, qui sont, avant tout, des patriotes.

    lafautearousseau

     

  • Manif Pour Tous : ”On est les gentils, on n'est pas les méchants”

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    On sait la part que l'Action française a prise, sans discontinuer, dans l'organisation de la Manif Pour Tous. Spécialement sa jeunesse. Si on ne le sait pas, nous le disons.

    Voici qu'au vu de la manifestation du 5 octobre dernier, Xavier Dolan s'est déclaré très ému par ces démonstrations de haine [Vidéo].

    Regardez, cela ne dure que 1' 12".

    Mais, à la suite du prêchi-prêcha de Xavier Dolan, les jeunes d'Action française y ont ajouté leur réponse, scandée dans la rue de Paris : "On est les gentils, on n'est pas les méchants".

    Ils ont raison : ils sont fondamentalement les gentils, parce que leur unique objectif est la défense de notre pays, la défense de notre héritage de civilisation. Et lorsque, comme leurs ainés, pour aller à l'essentiel, ils veulent, d'un grand désir, en finir avec l'actuel régime aujourd'hui exécré de tous, et rendre au pays son régime fondateur, ils ne sont encore rien d'autre que les gentils.

    C'est ce qu'ils doivent être, c'est ce qu'ils sont, et c'est comme les gentils qu'ils doivent être perçus.  Lafautearousseau  u

     

     

     Source : C.R.A.F

     

  • Images du Camp Maxime Real Del Sarte, « une université à succès », qui s'est tenue cet été

    Les 184 participants de l'édition 2016 ...

     

    L'université d'été du PS, édition 2016, n'a même pas pu se tenir, ayant été reportée, en réalité annulée, officiellement pour « risques de violences ». Oui, mais lesquelles ? Les Républicains ont tenu la leur à La Baule, après s'être outrageusement entredéchirés ... Après et avant, aussi, sans nul doute.

    Croit-on anodin, sans effet à terme, sans importance ni sens, que dans la situation de désarroi où est le Pays, l'Action Française ait réuni 184 jeunes Français, dans la campagne roannaise (photo), pour une semaine de travail et de réflexion anxieuse mais ardente et joyeuse, sur l'avenir de la France ? Sur « dix axes de salut national » ? N'y voit-on pas un assez sérieux motif d'espoir français ?     

    Le Camp Maxime Real Del Sarte s'est tenu au château d'Ailly, près de Roanne, du 21 au 28 août et cette édition, encore une fois, a été marquée par la qualité de la formation intellectuelle et militante ainsi que par la bonne humeur.

    Ci-dessous une vidéo qui n'est évidemment pas un compte-rendu mais plutôt une évocation de ce Camp où une nouvelle jeunesse d'Action Française a surtout travaillé pour la France.   

     

    [A noter que le CMRDS 2017 se déroulera du 20 au 27 août 2017 de nouveau au Château d’Ailly]  

     #CMRDS2016

    #UdtAF

  • Pour aujourd'hui, encore des images : celles du Cortège Traditionnel de Jeanne d'Arc 2019

     

    blue-wallpaper-continuing-background-wallpapers-bigest-images - Copie.jpgOn sait que chaque deuxième dimanche de mai, depuis près d'un siècle, l'Action Française rend hommage à celle qui a sauvé la France alors que tout semblait perdu.

    L'Action Française a fondé, imposé le Cortège Traditionnel qui atteste de la permanence du patriotisme français.

    Aujourd'hui, depuis les marches de l'Opéra, le Cortège gagne la rue de Rivoli, jusqu'à la statue de Jeanne d'Arc, place des Pyramides. 

    Les images qui suivent disent mieux que les mots ce qu'est ce cortège, où les jeunes sont nombreux et les anciens ne manquent pas à leur engagement de toujours.

    Place des Pyramides sont remis des insignes distinctifs qui consacrent le simple dévouement d'un certain nombre de militants de différentes provinces et qui attestent des services qu'ils rendent à notre cause. Une intervention rappelant le sens de cette manifestation qui est toute de fidélité sans détours à la France et au Prince, le Chef de la Maison de France, puis la Royale concluent le Cortège.  L'intervention qui a conclu le Cortège a été prononcée par Henri Bec, président de notre Mouvement. Nous en publierons cette semaine le texte intégral.

     

    Place à quelques images qui se suffisent à elles-mêmes. 

    lafautearousseau

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    Photos : AF Paris - Pierre Builly - Marc Van de Sande

  • Eric Brunet sur RMC : « Et si on essayait la monarchie parlementaire pour rassembler le pays ? »

    Illustration La Couronne 

     

    Dans son émission « Carrément Brunet », diffusée sur RMC lundi 20 novembre, le journaliste Eric Brunet évoque la question d’un éventuel retour de la monarchie parlementaire en France, dans une émission intitulée : « Et si on essayait la monarchie parlementaire pour rassembler le pays ? ». 

    Durant cette émission, Eric Brunet expose les avantages d’une monarchie parlementaire, ses inconvénients, ainsi que le comportement monarchique des présidents de la République. La France conserverait une tradition monarchique indéniable mais souffrirait du syndrome de Louis XVI. Durant cette émission, un extrait d’une récente intervention de S. A. R. le prince Jean de France fût diffusée, l’Alliance royale fut interviewée, la Nouvelle action royaliste citée, et l’Action Française évoquée.

    Notre avis : Eric Brunet a le mérite de soulever la question, sur une radio de grande écoute. Preuve que le problème du régime politique continue d'exister en France. Sur la formulation même de la question posée qui prédéfinit la forme que pourrait prendre une future monarchie française comme sur les réponses apportées, au demeurant fort diverses, l'on peut bien-sûr être réservés ou en désaccord. En tout cas, le débat ne manque pas d'intérêt.  Lafautearousseau 

  • En Français s'il vous plaît !

    Aujourd'hui, dans l'excellente rubrique "Dire... , Ne pas dire..." du site de l'Académie française  :

    Recommandation sur les équivalents français à donner au terme podcast et à ses dérivés

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    (chronique publiée les lundis, mercredis et vendredis; suggestions et commentaires de lecteurs bienvenus !...)

    À partir d’un nom de marque (iPod), créé pour désigner un baladeur numérique, s’est développée en anglais une série lexicale (podcast, to podcast, podcasting), qui s’est francisée dans notre langue essentiellement sous les formes substantive « un podcast » et verbale « podcaster ».

    Or l’usage de ces termes en français est souvent source de confusion. Il convient de distinguer plusieurs notions :
    - le programme audio, couramment désigné aujourd’hui par l’anglicisme "un podcast"  ;
    - l’action, pour le diffuseur, de mettre à la disposition du public un tel programme (to podcast) ;
    - l’action, pour l’auditeur, de télécharger un tel programme, couramment désignée aujourd’hui par l’anglicisme "podcaster", ou de l’écouter ou de le réécouter ;
    - enfin le service de diffusion offrant à l’usager la possibilité d’accéder à tout moment à un programme choisi dans un ensemble de titres proposés (podcasting).

    La Commission d’enrichissement de la langue française recommande d’utiliser les termes suivants :
    - "audio" n.m., "audio à la demande (AAD)", voire "programme" ou "émission à la demande" ;
    - "télécharger", "écouter", "réécouter" ;
    - "service audio à la demande".

  • COMMUNIQUÉ DE PRESSE : Bordeaux, 11 novembre : L'esprit de Résistance.

    À l'attention du service politique

    Bordeaux, mercredi 11 novembre 2020

    En ce 11 novembre, plusieurs hommages ont eu lieu en Aquitaine, notamment à Bordeaux, à Libourne, à Langon et à Pau. Les jeunes cadres aquitains ont fait mémoire aujourd'hui des camelots du Roi tombés durant la Grande Guerre et des étudiants d'Action française qui, le 11 novembre 1940, bravèrent l'interdit de l'occupant allemand de célébrer la victoire : la manifestation fut durement réprimée.

    Alors que notre pays, dont les libertés et la sécurité semblent plus que jamais remises en cause, les poilus de 14-18 et les résistants de 1940 doivent nous inspirer l'esprit de courage, de dévouement à la patrie mais aussi de résistance.

    La mémoire de nos glorieux anciens et leurs sacrifices nous obligent à garder et à transmettre cette espérance. Jacques Bainville disait que la France était une œuvre de l'intelligence et de la volonté, nous voudrions ajouter qu'elle est une œuvre de l'espérance.
    La République, que ce soit sous sa troisième ou cinquième mouture, n'a jamais su préparer ni prévoir les orages qui venaient : hôpital public taillé en pièces, terrorisme islamiste, GAFA favorisés, petits commerçants écrasés au lieu d'être soutenus.

    Comme en 1914, ceux qui préviennent des dangers à venir sont immédiatement combattus et pourchassés.
    Nous continuerons de rappeler aux Français qu'il n'y a rien à attendre d'un régime qui abandonne les siens et ne pense qu'à son propre intérêt. Seule une politique guidée par le Bien Commun et la défense du pays réel pourra sortir la France de l'impasse.

    Honneur aux héros, honneur aux Camelots du Roi ! Vive la France !

    La fédération Aquitaine de l'Action française

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  • L'Union Royaliste Provençale* a rudement bien fait d'inviter André Bercoff pour une conférence-débat brillante ce 21 jan

     

    blue-wallpaper-continuing-background-wallpapers-bigest-images - Copie.jpgParticipants nombreux, salle pleine, ambiance chaleureuse ; assistance captivée par un André Bercorff au parler vrai, direct, nature, informé de tout, plein d'humour et même de drôlerie ; un débat sur la situation explosive de la France et du monde nourri par de nombreuses questions, une excellente organisation de la soirée, un riche buffet où les conversations se sont multipliées, pour clôturer la rencontre ... Nous n'en dirons pas davantage sur cet événement qu'une vidéo mise en ligne dans les prochains jours fera revivre intégralement, notamment pour nos lecteurs qui souhaiteront la regarder en France et ailleurs. Voilà de la bonne besogne, à l'honneur de l'Action Française.  Lafautearousseau

    En attente de la vidéo, nous nous contenterons ici de mettre en ligne les photos qui suivent, précédées de celles de la Messe célébrée auparavant en la Basilique du Sacré-Coeur - église comble - par Monseigneur Jean-Pierre Ellul, recteur de la basilique tandis que l'homélie - belle et profonde - était donnée par le père Antoine Deveaux.  

    Messe en la basilique du Sacré-Coeur

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    Conférence-débat 

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    André Bercoff - Jean Gugliotta, président de l'Union Royaliste Provençale

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    Vue partielle de l'assistance [1]

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    Vue partielle de l'assistance [2]

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    Un groupe de jeunes d'A.F. avec André Bercoff,  J. L. Hueber et G. Bertran de Balanda 

    1939836_498902073553223_1794630765_n - Copie.jpg* L'Union Royaliste Provençale est la fédération régionale du Centre Royaliste d'Action Française, 10 rue Croix-des-Petits-Champs 75001 PARIS