UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : Rémi Hugues. histoire

  • Café Histoire de Toulon ce mercredi 18 juillet, causerie d'Anne Brassié

     

    Faut-il déconstruire les dé-constructeurs, en ce cinquantième anniversaire des barricades étudiantes ? Professeur de français puis critique littéraire dans la presse écrite, à Radio Courtoisie et à TV Libertés Anne Brassié a pu constater l‘évolution du monde culturel depuis 68 et son rétrécissement à quelques slogans bien limités.  Elle va donner la primeur de sa réflexion aux amis du Graal ainsi qu'aux vacanciers de passage. Celle-ci arrivera en contrepoint de sa passionnante causerie de l'été dernier sur « la culture au service du Bien ».  • 

    Le Grall, Pub associatif des missionnaires de la Miséricorde (adhésion 1 €)
    377 avenue de la République, 83000 Toulon
    La soirée pourra se poursuivre autour d’une pizza (Participation aux frais)
    Contact : cafehistoiredetoulon@gmail.com

  • Aux Mercredis de la NAR : #76 - Eric ANCEAU pour son livre ”L'histoire des élites, Des Lumières au grand confinement”.


    Enseignant à Sorbonne Université, spécialiste de l’histoire politique et sociale de la France et de l’Europe contemporaine, Éric Anceau vient de consacrer un ouvrage aux Elites françaises, Des Lumières au grand confinement. La relation entre le milieu dirigeant et le peuple est presque toujours difficile et parfois explosive comme le montrent les nombreuses révolutions qui ont secoué notre pays.

    De fait, toute nouvelle élite tend à oublier qu’elle est au service de l’Etat et de la nation et finit par se constituer un groupe privilégié qui suscite des réactions de colère, des mouvements de révolte ou une nouvelle révolution. Réfléchir sur l’histoire des élites françaises en compagnie d’Éric Anceau permet de mieux saisir le moment historique que nous vivons : celui d’un désir latent ou exprimé de renouvellement des élites.

     

    La NAR sur le net :

    FB : https://urlz.fr/9p5M

    Twitter : https://twitter.com/NARoyaliste

    Site : http://nouvelle-action-royaliste.fr

  • ”Clarifier” donne carte blanche à Jean-François Chemain, pour une Petite histoire de la conquête islamique...

    6.jpg

    Jean-François Chemain est diplômé de Sciences Po Paris, agrégé et docteur en Histoire. Il a enseigné durant 10 années en ZEP, dans la région lyonnaise. Il est auteur de nombreux ouvrages sur la France, la laïcité et l’islam

    Petite histoire de la conquête islamique

    Dans une vidéo aisément consultable sur le net, l’ayatollah chiite Sabah Hussieni Shobar affirme tranquillement : « La plupart des pays musulmans ont été conquis par l’épée, et alors ?  C’est notre devoir de musulman, Dieu nous le demande ! La seule vraie religion doit se propager par l’épée. Les armées musulmanes arrivent dans un pays, elles proposent la conversion, si les gens acceptent, tant mieux, sinon on les tue. Sauf les gens du Livre s’ils acceptent de payer l’impôt. Toutes les flatteries visant à apaiser les juifs et les chrétiens sont à cet égard inutiles ». Les choses ont le mérite d’être clairement résumées. Et elles se sont toujours bien passées ainsi.

    La bataille de Yarmouk (636), selon une illustration catalane du XIVe siècle (BNF, Wikimédia Commons)

    Lorsque, en 620, Mahomet commença d’avoir ses « révélations » coraniques, le bassin méditerranéen était entièrement chrétien depuis plus de trois siècles, le Décret de Thessalonique, promulgué par Théodose en 380 en ayant fait la religion officielle de l’Empire romain. Ce dernier subsistait encore en Orient sous le nom d’Empire byzantin, dirigé par un basileus se considérant comme le lieutenant du Christ sur Terre. L’Empire d’Occident avait pour sa part disparu, mais les royaumes barbares lui ayant succédé s’étaient tous convertis, à commencer par celui du Franc Clovis. Cette christianisation s’était effectuée, pour l’essentiel, pacifiquement, les trois premiers siècles ayant été marqués par la persécution, tant il est vrai que « le sang des martyrs est semence de chrétiens » (Tertullien). Mais il ne faut pas, pour être honnête, minimiser le fait que, devenu chrétien, l’Empire comme les royaumes germaniques, usèrent de la contrainte sur les païens et les hérétiques, en vertu d’un principe formulé plus tardivement (1555) : cujus regio, ejus religio (chacun doit suivre la religion de son royaume).

    L’irruption de l’islam changea la donne. Son expansion se fit brutalement puisqu’en 732, c’est-à-dire exactement un siècle après la mort de son « prophète », il avait pénétré au cœur de la Gaule. Par le sabre, et au galop rapide des chevaux arabes. Le prosélytisme violent fait en effet partie de son ADN. Le « verset du sabre » est à cet égard parfaitement explicite :

    « Lorsque les mois sacrés seront écoulés, combattez contre ceux qui associent (à Dieu) où que vous les trouviez, pressez-les, tendez-leur des embuscades, mais s’ils renoncent, font acte d’engagement et versent la contribution de solidarité, Allah pardonne, il fait miséricorde ».

    (IX,5)

    Le musulman doit faire la guerre au chrétien, parce qu’il associe un fils à Dieu, et ce jusqu’à ce qu’il se convertisse. En vertu de la règle de l’abrogation, évoquée dans notre précédent article, on admet que 120 versets « pacifiques » sont abrogés par ce « verset du sabre », qui figure dans la dernière sourate « révélée » à Mahomet. On a pu écrire que « l’islam est la sacralisation de la razzia bédouine » (Robert Lewis).

    Mahomet meurt donc en 632, et dès lors les armées musulmanes s’élancent à l’assaut du monde chrétien. Bornons-nous à égrener la litanie de leurs conquêtes : la Syrie (636), la Palestine dont Jérusalem (638), l’Egypte (642), la Cyrénaïque et la Tripolitaine (648). L’Afrique du Nord de Tertullien, saint Cyprien, Lactance et saint Augustin, est attaquée dès 649, mais ne tombe définitivement qu’en 711, au terme de huit campagnes militaires. Puis ce sont l’Espagne (714), la Provence (719), la Bourgogne (ravagée en 725, avec la destruction de nombreuses abbayes et le pillage de villes comme Sens, Langres, Autun), jusqu’au coup d’arrêt porté par Charles Martel à Poitiers (732).

    Les musulmans, après Poitiers, restaient implantés en Provence, autour de leur citadelle de la Garde-Freinet, dans ce massif des Maures qui leur doit son nom, comme sans doute la vallée de la Maurienne, s’y livrant à des pillages, des destructions d’églises et de monastères, l’enlèvement de personnes destinées à l’esclavage. Les activités esclavagistes musulmanes au détriment des populations chrétiennes d’Europe se sont étendues à l’ensemble du bassin méditerranéen, dès le début du IXe siècle. Les sarrasins allèrent jusqu’à enlever contre rançon l’abbé Maïeul de Cluny, en 972, près d’Orsières, dans le Valais, alors que celui-ci se rendait à Rome. Cet enlèvement choqua vivement et donna le signal d’un soulèvement général de la Provence, en 990. Les attaques sont incessantes : la Crète (827), la Sicile (830), Rome (846), les Baléares (902) … Le pape Jean II est surtout célèbre pour avoir personnellement dirigé l’armée qui réussit, en 915, à réduire la colonie arabe du Garigliano, à proximité de l’abbaye du Mont-Cassin. Au cours du même siècle (997), les armées d’Al-Mansur (« le Victorieux ») prenaient et pillaient Saint-Jacques-de-Compostelle, ce chef de guerre ne menant pas moins de 57 expéditions contre les chrétiens en Espagne.

    Après l’essoufflement de la conquête arabe, la deuxième vague d’invasion fut le fait des Turcs, face auxquels l’Empire byzantin céda régulièrement du terrain, à partir de la défaite décisive de Mantzikert (1071), face aux Seldjoukides, qui leur donna l’Anatolie. Le vieil Empire millénaire tomba définitivement en 1453, sous les coups cette fois d’une autre dynastie turque, les Ottomans. La route de l’Europe centrale était dès lors ouverte, et passèrent sous le joug, pour plusieurs siècles – nous emploierons ici, pour nous faire comprendre, les noms des États modernes – la Grèce, la Bulgarie, la Bosnie, la Serbie, la Croatie, la Roumanie, la Hongrie, le sud de la Russie (en 1571 un raid mené depuis la Crimée prenait Moscou et en ramenait la population, vendue en esclavage).

    Vienne, capitale des Habsbourg, fut à deux reprises (1529 et 1683) la pointe extrême de la progression turque en Europe, tandis que la flotte ottomane subissait une défaite symbolique à Lépante (1571). Cette dernière n’empêcha cependant pas la prise concomitante de Chypre et la destruction du dernier État croisé (son défenseur, Marc-Antoine Bragadin fut, malgré les promesses de clémence, écorché vif et sa peau ramenée à Constantinople).

    Après l’échec de la deuxième tentative viennoise, l’Empire ottoman déclina doucement au XVIIIe siècle, jusqu’à devenir « l’homme malade de l’Europe » au XIXe. Les Européens se grisèrent alors du sentiment de leur supériorité dans tous les domaines, jusqu’à considérer qu’elle serait définitive. Les peuples soumis des Balkans reconquirent les uns après les autres leur liberté, à l’exception notable de Constantinople, la Révolution russe ayant mis un terme au vieux rêve des tsars d’en refaire une capitale. Les Européens firent des colonies de l’Algérie, de la Tunisie, de la Libye, avant de démanteler ce qui restait de l’Empire ottoman au lendemain de la première guerre mondiale.

    Mais le patient projet islamique de conquête violente de la Terre n’a pas disparu. Comment le pourrait-il, puisqu’il est la volonté divine ? Le réveil musulman, partout dans le monde, est brutal. Il suffit pour s’en convaincre de consulter une carte des conflits actuels : la plupart se trouvent en périphérie du monde islamique. Car l’islam divise le monde en deux : le dar al-islam, ou territoire de l’islam, et le dar al-harb, ou territoire de la guerre.

    Il ne fait dès lors pas de doute que, quelle que soient les velléités pacifiques des millions de musulmans vivant désormais en Europe, petite partie de l’ancien Empire romain chrétien ayant échappé à la conquête islamique ou s’en étant libérée, le Livre sacré auquel ils se réfèrent leur demande toujours de faire la guerre aux chrétiens.

    Jean-François Chemain

  • Histoire & Mémoire • C'étaient les Camelots du Roi, à Marseille sur la Canebière dans les années 1930 [2]

     L'Action Française sur La Canebière, Marseille, 193.

    blue-wallpaper-continuing-background-wallpapers-bigest-images - Copie.jpgL'un des participants à la conférence-débat avec André Bercoff du 21 janvier dernier à Marseille, lui-même Camelot du Roi*, nous a remis la photographie en en-tête. Il s'agit d'un défilé d'Action Française d'avant-guerre (seconde moitié des années 1930). C'est un document d'archive. Il est bon que nous gardions nos traditions, que nous nous souvenions de quelle histoire nous sommes les héritiers et les continuateurs ; et que les jeunes qui nous rejoignent le sachent eux aussi !  

    IMG - Copie (2).jpgLes Camelots du Roi défilent en tête sur la célébrissime Canebière non encore envahie et défigurée par l'Afrique. Les premiers sont venus avec leur bicyclette. Si l'on y regarde de plus près, on remarque que tous portent à la boutonnière de leur veston l'insigne des Camelots du Roi. Celui-là même que, pour certains d'entre nous, nous portons aussi aujourd'hui encore et que nous remettons au fil du temps à des jeunes qui ont fait la preuve de leur engagement à l'Action Française, de leur disponibilité, et de cette libre discipline que nous acceptons tous comme condition d'efficacité.

    Le Camelot en tête du cortège est Georges Boulon, lui-même fils de Marcel Boulon, lui aussi Camelot du Roi - des toutes premières générations. Ainsi va la fidélité à l'Action Française. Quelques-uns d'entre nous ont connu les deux hommes. Marcel Boulon, déjà âgé et son fils Georges, notre aîné. Mais, par surcroît, leur petit-fils et fils, Yves Boulon, Camelot de troisième génération, était présent à la soirée Bercoff où cette photo nous a été remise. Il y a reconnu son père ... La fidélité et la transmission sont elles aussi des valeurs fondatrices qu'il faudra bien réapprendre ! 

    Autres photos déjà publiées sur Lafautearousseau ... Regroupées ici

    1005182982.png

    Les plus anciens reconnaîtront au premier plan à droite de la photo ci-dessus, Jean Lavoëgie, qui fut l'avant-dernier chef des Camelots du Roi de Provence. Il a été après guerre (1960-1990), Secrétaire Général de l'Union Royaliste Provençale, la fédération régionale de l'Action Française. Pierre Chauvet, qui fut, avant-guerre, le dernier Chef des Camelots du Roi de Provence, fut, après-guerre, président de la même Union Royaliste Provençale. 

    686667673.png

    694055088.png

    À remarquer que les Camelots du Roi des années trente, défilaient en ordre, correctement habillés, souvent chapeautés, y compris les plus jeunes, quoique toutes les classes sociales y fussent mêlées. Nous ajouterons qu'ils défilaient en silence, sans cris ni folklore ni agressivité quelconque. C'étaient des gens sérieux, portés par l'amour de la France.  LFAR  

    *Merci à Didier Arnoux 

    Voir aussi dans Lafautearousseau ...

    Histoire • Action Française : Les royalistes sur la Canebière
    Histoire • Action Française : Les affrontements des années 30 à Marseille
  • Histoire & Mémoire • C'étaient les Camelots du Roi, à Marseille sur la Canebière dans les années 30 du siècle dernier

     

    2293089609.14.jpgDimanche dernier, 25 février, nous avons publié un reportage vidéo du banquet des Camelots du Roi de Provence tenu à La Ciotat le samedi 17. Vous avez été nombreux à le regarder [Cf. Lien ci-dessous].

    L'un des participants à ce banquet, lui-même Camelot du Roi*, nous a remis quelques photographies des défilés d'avant-guerre (seconde moitié des années 1930). 

    Les plus anciens reconnaîtront au premier plan à droite de la photo ci-dessus, Jean Lavoëgie, qui fut l'avant-dernier chef des Camelots du Roi de Provence. Il a été après guerre (1960-1990), Secrétaire Général de l'Union Royaliste Provençale, la fédération régionale de l'Action Française. Pierre Chauvet, qui fut, avant-guerre, le dernier Chef des Camelots du Roi de Provence, en était le président.

    On remarquera peut-être que les Camelots du Roi des années trente, défilaient en ordre, correctement habillés, souvent chapeautés, y compris les plus jeunes, quoique toutes les classes sociales y fussent mêlées. Nous ajouterons qu'ils  défilaient en silence, sans cris ni folklore ni agressivité quelconque. C'étaient des gens sérieux, portés par l'amour de la France.  LFAR 

    A voir ce dimanche ... Retour en images.png

     IMG.png

    *Merci à Didier Arnoux 

    Voir aussi dans Lafautearousseau ...

    A voir ce dimanche ... Retour en images

  • Livre : Histoire de l’Égypte, de Bernard Lugan, par Arnaud Florac.

    1A.jpg

    S’il ne devait y avoir qu’une raison d’acheter ce livre qui vient d’être réédité, ce serait évidemment pour faire mentir Bastien Lachaud, inénarrable député insoumis, qui s’était plaint de l’audition du chercheur par le Parlement au motif que ses opinions n’étaient pas les bonnes.

    L’exemple du sectarisme avait été donné, quelques années plus tôt, à l’École spéciale militaire de Saint-Cyr où M. Lugan, malgré ses qualités, avait été déclaré persona non grata, sur demande du cabinet du ministre de la Défense, pour des motifs visiblement idéologiques.
     
    Pourtant, il y a d’autres raisons de se procurer son dernier ouvrage. Cette magistrale de l’Égypte, qui prend place dans une longue liste de livres remarquables (dont une Histoire du Sahel,  recensée dans ces colonnes, et qui a fait date), ne décevra personne. Pour l’historien exigeant, Bernard Lugan remonte aux premiers royaumes (3.500 av. J.-C.) ; pour les enjeux géopolitiques, le fil logique qui mène des Ptolémée à la conquête britannique en passant par l’islamisation est d’une clarté remarquable et aide à saisir toute la complexité de l’Égypte d’aujourd’hui. Les habitués des ouvrages de M. Lugan retrouveront les cartes simples et éclairantes, ainsi que les encadrés précis et complets, qui sont une des marques de son travail.
    L’exemple du sectarisme avait été donné, quelques années plus tôt, à l’École spéciale militaire de Saint-Cyr où M. Lugan, malgré ses qualités, avait été déclaré persona non grata, sur demande du cabinet du ministre de la Défense, pour des motifs visiblement idéologiques.
     
    Pourtant, il y a d’autres raisons de se procurer son dernier ouvrage. Cette magistrale de l’Égypte, qui prend place dans une longue liste de livres remarquables (dont une Histoire du Sahel, recensée dans ces colonnes, et qui a fait date), ne décevra personne. Pour l’historien exigeant, Bernard Lugan remonte aux premiers royaumes (3.500 av. J.-C.) ; pour les enjeux géopolitiques, le fil logique qui mène des Ptolémée à la conquête britannique en passant par l’islamisation est d’une clarté remarquable et aide à saisir toute la complexité de l’Égypte d’aujourd’hui. Les habitués des ouvrages de M. Lugan retrouveront les cartes simples et éclairantes, ainsi que les encadrés précis et complets, qui sont une des marques de son travail.
     
    Les dernières pages, en particulier, sont la preuve qu’une histoire de l’Égypte, surtout rédigée par un tel spécialiste, n’arrive pas à contretemps en 2021. L’avènement de Sissi, qui remonte désormais à près d’une décennie, se prête à une analyse dépassionnée. Sa continuité avec Sadate et Moubarak semble évidente. Par ailleurs, last but not least, une malicieuse « annexe 1 » répond à la question « Qui étaient les anciens Égyptiens ? » On sait que certaines hypothèses « racialistes », du côté progressiste de la barrière bien sûr, défendent l’idée d’une Égypte « noire » qui aurait, comme la en Occident, été le foyer culturel du continent. Il suffit d’une poignée de pages à Bernard Lugan pour démonter cette imposture. L’Égypte ancienne était blanche et n’a pas rayonné sur tout le continent.
     
    Tout comme pour son Histoire du Sahel, il y a fort à parier que l’Histoire de l’Égypte sera difficile à égaler. Les recherches rigoureuses, le ton didactique mais jamais pédant, la vulgarisation brillante sont décidément à mettre au crédit de l’universitaire, qui est sans doute l’un des plus sous-estimés de notre temps. Ce livre est à recommander sans réserve, pour toutes les raisons évoquées, mais aussi parce que l’Égypte tient une place à part sur le continent africain et n’a sans doute pas fini de faire parler d’elle. On ne saurait en connaître trop sur ce pays à l’Histoire immémoriale, à la civilisation singulière et au destin protéiforme.
     

    Arnaud Florac

    bernard lugan.jpgHistoire de l'Egypte: Des origines à nos jours (Français)

     

     

     

     

     

     

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Sur le Cercle Aristote, François-Marin Fleutot : Clovis, aux origines de l'Histoire de France (conférence).

    Le Cercle Aristote vous propose une conférence en ligne de l'historien François-Marin Fleutot autour de Clovis et des origines de la France et de sont Histoire.

  • Sur le Cercle Richelieu, une petite fille nous raconte l'histoire de France : Il était une fois Saint Martin.

    Une petite fille nous raconte l'histoire de Saint Martin.

  • HISTOROCK L'Opéra rock Histoire de France Teaser par Dimitri Casali.


    HISTOROCK "L'Opéra rock qui fait aimer l’Histoire de France"
    Soutenez le projet éducatif HISTOROCK, sur la page Helloasso:
    l'histoire en musique et vidéos pour les jeunes
    Transmettez la passion de l'histoire de France !
    « L’Histoire ne s’apprend pas par cœur, elle s’apprend par le cœur ! »
    Historock a besoin de 70 000 € pour terminer la création et la diffusion de ce spectacle musical, sa Première, le 8 octobre 2021 à Paris, (sera suivie d’une tournée dans toutes les villes de France) et pour la conception du coffret éducatif contenant un livret de 64 pages (avec fiches pédagogiques définitions, exercices d'applications, QCM), le CD des 17 chansons du spectacle ainsi que le DVD des 17 vidéos interprétées par un comédien et commentées par un historien de renom.
    HISTOROCK, un concept éducatif unique :
    L’historien Dimitri Casali nous avait enthousiasmé avec « Napoléon l'Opéra Rock », spectacle musical et éducatif unique en son genre ! Aujourd’hui, il nous propose ce que personne n’a encore fait : un Opéra Rock sur l’Histoire de France en tournée dans toute la France, accompagné de vidéos éducatives gratuites à destination des familles et des professeurs !
    - l’Histoire de la France, HISTOROCK fait revivre et dépoussière notre histoire, en 17 tableaux, de la naissance des cathédrales au général de Gaulle, sur des rythmes de mêlant rock, pop, rap, classique, sons et lumières !
    - 17 vidéos pédagogiques mettant en scène les personnages clés
    En concert live ou en vidéo chez soi, aidez HISTOROCK à continuer de bâtir de nouvelles façons d’enseigner l’histoire aux jeunes générations pour leur transmettre notre héritage, notre culture et les valeurs de la République car c’est par l’Histoire que l’on forme à la citoyenneté.
    L’Histoire de la France comme vous ne l’avez jamais vue !
    HISTOROCK, propose ainsi aux 9-15 ans (du CE2 à la 3e au collège), une façon différente de se réapproprier notre histoire avec un récit national équilibré et fédérateur, tout en restant irréprochable d’un point de vue scientifique.
    -Le spectacle « l’Opéra Rock de l’Histoire de France » fera (re)découvrir les événements et les personnages qui ont forgé notre pays. Un moment unique à vivre en famille, qui restera gravé dans votre mémoire et surtout dans votre cœur !
    -Les vidéos éducatives permettront une diffusion plus large encore de l’Histoire de France auprès des écoles, des jeunes (et des moins jeunes), en France et… partout ailleurs !
    Le projet trois volontés fortes : Transmettre Rassembler Passionner
    • Transmettre et faire aimer l’Histoire de France et ses valeurs à un moment où sa transmission est de plus en plus difficile dans les écoles.
    • Rassembler et sensibiliser le jeune public à notre histoire et lui permettre d’acquérir nos valeurs républicaines pour ainsi mieux vivre ensemble.
    • Passionner grâce à des airs musicaux faciles à retenir, des capsules vidéo, des clips et des spectacles remarquablement mis en scène.
    Si nous voulons marcher vers le futur retournons toujours à nos racines...
  • Sur le blog ami du Courrier Royal : Alexandre Dupilet reçoit le Prix château de Versailles du livre d’Histoire 2021.

    Le Prix château de Versailles du livre d’Histoire 2021 est décerné à l’ouvrage Le Régent, Philippe d’Orléans, l’héritier du Roi-Soleil d’Alexandre Dupilet, paru aux éditions Tallandier. Le Prix Château de Versailles du livre d’Histoire créé en 2018 a pour objectif de soutenir et de mettre en lumière le dynamisme de la production éditoriale en matière de recherche historique.

    40 livres publiés par 23 maisons d’édition ont été reçus, lus et pris en compte par le jury à l’occasion de cette nouvelle édition de la récompense. Rappelons que l’ouvrage primé doit s’inscrire dans le cadre chronologique des XVIIe et XVIIIe siècles et peut concerner la France ou tout autre pays. Son sujet ne doit pas être obligatoirement lié au château de Versailles.

     

    Le résumé de l’éditeur pour Le Régent :

    Promis à rien, petit-fils de France condamné à contempler ses collections et à errer dans les splendeurs de Saint-Cloud et du Palais-Royal, il gouverna pourtant la France durant huit ans, de 1715 à 1723, après la mort de Louis XIV. À la tête de l’État, il mit en chantier de nombreuses réformes, dont certaines, novatrices, comme la polysynodie et le système de Law, ont marqué les esprits. Pour assurer la paix extérieure, il n’hésita pas à s’allier avec l’Angleterre, remettant en cause la politique étrangère menée par Louis XIV. Il n’eut pourtant d’autre ambition que d’assurer la paix du royaume et de préserver le pouvoir absolu du jeune roi Louis XV. Loin d’être un prince libéral, annonciateur du siècle des Lumières, Philippe d’Orléans fut en vérité le digne héritier du Roi-Soleil.

    En s’appuyant sur les dernières avancées de la recherche, Alexandre Dupilet propose un portrait profondément renouvelé de ce prince qui marqua tant l’époque de son empreinte qu’il est désormais devenu pour l’Histoire, le Régent. »

     

    « Le Régent. Philippe d’Orléans, l’héritier du Roi Soleil », Alexandre Dupilet, Tallandier, 2020, 496 p. Vous pouvez trouver ce livre directement sur le site de la maison d’édition : ici

    Source : actualitte.com

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : à méditer et l'histoire le confirme.

    Une citation sur laquelle il n'est pas inutile de méditer, et que l'histoire confirme, de façon parfois brutale :
    « Ceux qui veulent défendre la liberté tout en condamnant l'action directe sont comme ceux qui veulent avoir de bonnes récoltes sans labourer. Ils veulent la pluie sans les orages ni les éclairs. Ils veulent l'océan sans le rugissement de ses eaux. Le pouvoir ne concède rien sans y être acculé. Il ne l'a jamais fait et ne le fera jamais. » Frédérick Douglas ( 4 août 1857)

    Sources : https://www.actionroyaliste.fr/

    https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste

  • NOTRE- DAME A FATIMA: l'Histoire (2e partie) (79), par Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles.

    JEUNESSE SI TU SAVAIS

    https://www.facebook.com/jeunessesitusavais/

    https://www.jeunesse-si-tu-savais.fr/

     

    POUSSIERES D'ETOILES

    https://www.poussieresdetoiles.fm/

    Ouvrez le lien du site à l'aide du moteur de recherche GOOGLE CHROME.

    https://www.youtube.com/channel/UCvYtt4Ws_Uc4Cj0LeLCoEJQ/videos

     

    Et voici le soixante dix neuvième article (aussi en vidéo/audio) qu'ils nous ont adressé, en attendant la suite...

    3 enfants voient la Vierge à Fatima. Leur histoire qui va influencer l'Histoire du monde...

    https://www.poussieresdetoiles.fm/uploads/newscast/0/0/29/ba47da88-5c2f-46ab-8840-6f8c5e7172ca.mp3

    Uniquement à ÉCOUTER en version audio

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : livre : «Le Lion de France , l’histoire épique du roi Louis VIII».

    Sorti ce 2 septembre 2021 du livre « Le Lion de France , l’histoire épique du roi Louis VIII » de Flavien Dupuis. Une belle biographie de ce roi de France qui  pendant trois ans, fut proche de devenir à la fois roi de France, roi d’Angleterre et de Castille…

    En voici le descriptif :

    Que sait-on aujourd’hui de Louis VIII, roi de France pendant seulement trois ans, qui manqua de devenir à la fois roi de France, d’Angleterre et de Castille ? Louis le fils de Philippe Auguste, attendant patiemment dans l’ombre de son père que vienne son heure. Louis le Lion, qui étendit le pouvoir royal jusqu’à La Rochelle et rattacha le Languedoc à la couronne.

    L’histoire du Moyen-Âge dans l’esprit des Français se résume malheureusement trop souvent à une succession de clichés où des rois barbares et ignorants passent leur temps à se battre tout en s’enrichissant sur le dos du pauvre peuple.

    L’auteur a voulu raconter dans ce livre la vie d’un homme oublié fort injustement : celle d’un grand roi éduqué dans la fréquentation des arts et des lettres comme aucun prince avant lui, celle d’un chevalier rompu aux exercices du corps, mais aussi respectueux des usages, de sa foi et de sa dame, celle enfin d’un monarque revenu des illusions de la conquête, et qui contribua au même titre que d’autres grand Capétiens plus connus comme Saint Louis ou Philippe le Bel, à faire de la France le pays qu’elle est aujourd’hui.

    Le fils de Philippe-Auguste et le père de Saint Louis, mari de Blanche de Castille a peu régné il est vrai, moins de 3 ans (1223-1226), et sans doute a-t-il eu la malchance de naitre pour sa postérité entre deux rois capétiens très emblématiques. Et pourtant…

    Faisant face aux agressions de toutes parts, il entreprend une croisade contre les cathares qui a lui permettre d’étendre le royaume de France jusqu’au Rhône et la méditerranée. Louis VIII a assuré l’unité et la continuité de l’aventure nationale. Il l’a fait avec un panache et une bravoure qui, jusqu’à aujourd’hui, ne cesseront d’inspirer ses successeurs.

    Voici le témoignage d’un destin téméraire. Un roi capétiens lettré, cultivé, injustement tombé dans l’oubli, protecteur des arts et des lettres, qui fait mentir les clichés médiévaux.

    Un essai historique passionnant, accessible, qui a du souffle, écrit par un ancien élève de l’École polytechnique, actuellement en poste à la Cour des comptes. Flavien Dupuis, signe ici son premier livre et vient pallier l’angle mort d’un pan jusque-là méconnu de notre récit national.”

     

    « Le Lion de France , l’histoire épique du roi Louis VIII », Flavien Dupuis, Le Cerf

    Vous pouvez trouver ce livre directement sur le site de la maison d’édition : ici

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal

  • Sur le Cercle Aristote, Pierre Yves Rougeyron : L'Epee et le Cimeterre Histoire du choc islam Occident 1 Présentation.


    Pour aller plus loin :

    Pour aller plus loin et commander l'ouvrage : En plus de votre libraire du coin

    https://cerclearistote.com/2021/07/pa...

    https://www.editionsjcgodefroy.fr/liv...

    https://livre.fnac.com/a15738474/Raym...

    https://www.amazon.fr/L%C3%A9p%C3%A9e...

  • Sur TV Libertés, la butte de Vauquois : l'enfer sous terre - La Petite Histoire.


    Théâtre d'un affrontement meurtrier, la butte de Vauquois aura connu toutes les horreurs de la Grande Guerre. À partir de septembre 1914, et pendant les quatres années à venir, Français et Allemands vont se livrer une bataille sans merci. De chaque côté, on va construire des tunnels et galeries afin de faire exploser les positions ennemies. Ainsi, le champ de bataille va se transformer en véritable fourmilière explosive causant la perte de milliers de soldats. Au total, on recensera plus de 500 explosions. C'est à Vauquois que l'horrible guerre des mines atteindra le paroxysme de l'horreur. Retour sur cette bataille où, pendant 1 500 jours, les hommes connaîtront un véritable enfer sous terre.