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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Un pays qui se tient sage.

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    Art et Essai : Un pays qui se tient sage, un film français de David Dufresne.

    guilhem de tarlé.jpgUn pays qui se tient sage… Identité, Souveraineté, Pérennité de la France, Respect de la Vie et Loi naturelle… tant de raisons de ne pas nous tenir sages dans le Politiquement correct qui nous soumet… et l’étincelle fut – comme toujours – dérisoire avec la CSG et la désindexation des retraites, l’augmentation des carburants, la taxe carbone et le 80 km/h tandis que l’idée était lancée de supprimer les chaudières à fuel…

    J’ai toujours mon gilet jaune sur mon tableau de bord, et j’appartiens au « canal historique » qui a investi les ronds-points le 17 novembre 2018. Il s’agissait d’une manifestation de « la France d’en bas », selon l’expression de Raffarin, en révolte contre un gouvernement de bobos, et de godillots, qui méprisent les retraités, les ruraux et les classes moyennes, ces « gars qui fument des clopes et qui roulent au diésel » comme le disait le bBenjamin grivois Griveaux, à l’époque « porte-parole du Gouvernement ».
    Mais si le système, « La République » - comme ils en ont plein la bouche -, gouverne mal… Il se défend bien et la Gauche a pu mettre le grappin sur cette révolte populaire en imposant ses slogans, avant que l’Extrême-Gauche prenne le relais pour semer la guérilla dans les villes.

    Un premier film - J’veux du soleil -  de François Ruffin, député de la « France (soi-disant) Insoumise », avait déjà travesti la réalité des Gilets jaunes pour la seule promotion de son réalisateur…
    Ce nouveau documentaire veut faire le procès de la « violence légitime » de l’État et, au milieu de bavardages interminables, il nous submerge de scènes de violences dites « policières ».

    A noter que les Blacks-Blocs ne sont jamais évoqués, pas plus que les violences commises en permanence dans les quartiers, les banlieues et autres « zones de non-France », pas plus, non plus, que les manifestations de « joie » qui consistent à brûler des voitures par centaines le 1er janvier ou le 14 juillet ainsi qu’en cas de victoire ou de défaite de telle ou telle équipe de foot.
    A noter aussi que les beuglements de certains rappeurs qui « invitent » à « casser du flic » sont passés sous silence.
    Alors, c’est vrai que certaines séquences sont « dures », mais on ne nous montre jamais ce qui s’est passé avant…
    et au-dessus du policier qui frappe – qui se défend peut-être – il y a une hiérarchie, une autorité, un préfet, un Castaner, un Édouard Philippe, un Macron qui a donné des ordres… pour paraître, face à cette violence, le parti de l’ordre et en récolter les dividendes électoraux.
    Enfin faut-il illustrer la mauvaise foi du film par les victimes citées qui remontent à Malik Oussekine (1986) ?  à deux délinquants électrocutés dans un transformateur (2005) ?  Ou à Rémi Fraisse (2014) ?
    Quel rapport avec les Gilets jaunes ?

     PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et 500 autres sur mon blog Je ciné mate.

    Pour mémoire :  un tableau récapitulatif donnant, dans le désordre, un « top ten » des films vus au cinéma depuis le 1er janvier

    Titre

    Réalisateur

    appréciation

    genre

    nationalité

    Date de sortie

    Les Apparences

    Marc Fitoussi

    Un bon film

    Thriller

    Franco-belge

    Septembre 2020

    Dark Waters

    Todd Haynes

    Je recommande

    Biopic, drame

    américain

    Février 2020

    Le cas Richard Jewell

    Clint Eastwood

    Je recommande

    drame

    américain

    Février 2020

    La fille au bracelet

    Stéphane Demoustier

    Je recommande

    Drame, justice

    Français

    Février 2020

    Voir le jour

    Marion Laine

    Un bon film

    Comédie-dramatique

    Français

    Août 2020

    Les choses qu’on dit,
    les choses qu’on fait

  • La convergence des dictatures au pays des Francs !, par Christian Vanneste.

    Un pays muselé physiquement par le masque et mentalement par le politiquement correct, des habitants assignés à résidence entre confinement et couvre-feu, apeurés en même temps par le virus et par le terrorisme, soumis à des régimes d’urgence qui limitent les libertés fondamentales, des citoyens qui ne votent plus normalement et sont condamnés à écouter les discours narcissiques de leur dirigeant : sommes-nous encore en démocratie ? Evidemment, non, c’est une dictature répondront la plupart des gens.

    christian vanneste.jpgOr, ce pays c’est la France, cette société d’individus libres devenue non une nation de citoyens solidaires comme le prétend M. Macron, mais un Etat voué au totalitarisme mou, dont les ressortissants voient converger vers eux tous les processus liberticides mis en oeuvre plus ou moins consciemment par les politiciens qu’ils subissent depuis de longues années.

    Il y a bien sûr la dictature sanitaire qui s’est installée en France, souvent avec l’assentiment des Français inquiets légitimement pour leur santé et pour leur vie. L’excès de peur, la démesure des précautions et des restrictions, le décalage entre les discours angoissants et la réalité des chiffres laissent percer deux conclusions pour le coup inquiétantes : notre vieux pays n’accepte plus le risque, et le pouvoir se sert habilement de cette tendance pour faire accepter des empiètements de plus en plus contraignants sur la vie privée et sur les libertés publiques. La panique actuelle tient moins au nombre supposé des porteurs du virus qu’à l’insuffisance des lits de réanimation. Beaucoup de “testés positifs” ne sont ni malades, ni contaminants, ni vraiment porteurs en raison de la stratégie stupide qui a consisté à vouloir tester tout le monde sans avoir la capacité d’utiliser les résultats immédiatement. Par ailleurs, la mortalité continue à toucher prioritairement des personnes âgées ou atteintes d’autres pathologies. L’âge médian des décès est de 84 ans. 65% sont associés à une comorbidité. Le covid-19 peut-être présent chez une personne décédée sans être la cause déterminante de sa mort. Or l’atmosphère étouffante créée par les informations officielles pèse sur notre vie, sur l’activité du pays. Le couvre-feu répond-il à une nécessité rationnelle ou sert-il avant tout à habituer les Français à réduire dans l’obéissance leur espace de liberté par peur de la sanction plus que par crainte de la maladie ? Le “totalitarisme de la prévention” selon le concept d’Ulrich Beck instille une dictature féminine et maternante : on ne peut qu’aimer un pouvoir qui ne vous veut que du bien….

    C’est exactement le même processus qui accompagne de manière plus lente et plus abstraite la dictature verte à l’oeuvre dans plusieurs municipalités françaises au nom d’un réchauffement climatique qui serait la punition des comportements irresponsables des automobilistes appelés désormais à quitter les villes ou à rouler au ralenti sur les routes. Les variations cycliques de climat ne sont pas nouvelles, le lien entre celles-ci et l’activité humaine reste à démontrer, mais il s’agit avant tout de trouver, comme pour la lutte contre l’épidémie, des coupables et de les punir, d’instaurer des règles restrictives de libertés, notamment celle d’aller et venir, et de susciter des changements de comportements : les festifs nocturnes vont se retrouver à domicile et se contaminer quand même, ceux qui choisiront le deux roues vont davantage risquer leur vie. Si le confinement a vu baisser le nombre de morts sur la route, en revanche celui des motocyclistes et des cyclistes a augmenté… Dans les deux cas, l’interdiction, la surveillance et la sanction, cette trilogie qui progressivement nous fait passer d’un ordre légitime à un Etat de police, cherchent à obtenir la collaboration de ceux qui les subissent. La délation du rétif au confinement ou le regard assassin au distrait sans masque sont des signes troublants qui pour le coup devraient rappeler de mauvais souvenirs. Il est vrai que la notion même de couvre-feu y invite.

    Enfin, il y a la dictature du politiquement correct qui depuis de longues années a instauré une censure au pays de Voltaire. Des lois liberticides, restreignant la liberté de la presse ou imposant une mémoire officielle, ont créé dans le domaine de la pensée et de l’expression un cercle d’interdits, de contrôle et de punition sous la surveillance des associations communautaires. Un véritable terrorisme intellectuel s’est installé avec l’autocensure qui naît inévitablement du risque de la sanction ou même simplement de la polémique qui stigmatisera l’auteur comme controversé ou sulfureux, même s’il n’est pas condamné. L’assassinat d’un professeur par un islamiste révèle la dangereuse spirale dans laquelle notre pays s’est engagé : la députée de la circonscription a parlé d’imprudence de la part de l’enseignant. Malgré les discours bravaches, bien des enseignants seront à l’avenir circonspects et s’autocensureront. Mesure-t-on la convergence entre la dictature du politiquement correct prête à traquer l’islamophobie, et la dictature islamique punissant de mort le blasphème ? Il n’y a aujourd’hui qu’une véritable urgence : redonner à la France le goût de la liberté, inscrit dans son nom même !

    Source : https://www.christianvanneste.fr/

  • Haut-Karabagh : la Russie reprend la main et impose un cessez-le-feu douloureux pour les Arméniens, par Antoine de Lacos

    La Russie a tranché. Elle prend acte de la défaite militaire des Arméniens, accorde à l’Azerbaïdjan de reprendre ses territoires reconquis, mais aussi une partie du , et oblige tout le monde à cesser les combats.

    antoine de lacoste.jpgIl s’agit clairement d’une reprise en main après des semaines de discussions stériles, de cessez-le-feu non respectés, d’observation, voire de passivité. La Russie a choisi de ne pas aider son allié arménien, avec qui elle a pourtant un accord de défense, et de laisser la situation militaire se décanter. La chute de la ville stratégique de Chouchi, ouvrant la voie vers la capitale Stepanakert, a sonné le glas des espoirs arméniens.

    Contrairement aux autres, ce cessez-le-feu sera respecté car, aussitôt après son annonce, deux mille soldats russes accompagnées de blindés ont pénétré dans le Haut-Karabagh pour garantir les termes de l’accord signé dans la nuit du 9 au 10. C’est Poutine lui-même qui a annoncé la signature de l’accord : « Le président de l’Azerbaïdjan Aliev, le Premier ministre de l’ Pachinian et le président de la Fédération de Russie ont signé une déclaration annonçant un cessez-le-feu total et la fin de toutes les actions militaires. »

    L’accord est encore flou sur de nombreux points, en particulier le statut du Haut-Karabagh. Mais il est certain que les Azéris ont obtenu ce qu’ils étaient venus chercher : la reconquête (probablement définitive) des territoires entourant le sud et l’ouest du Haut-Karabagh que l’Arménie lui avait enlevés en 1994 et la création d’un corridor reliant le Nakhitchevan (territoire autonome azéri situé au sud de l’Arménie) à l’Azerbaïdjan. Un deuxième corridor est créé par l’accord et permettra de relier l’Arménie au Haut-Karabagh. L’armée russe est déjà sur place pour sécuriser ces deux corridors.

    Les médias et les diplomates soulignent dans l’ensemble le retour en force de la Russie qui a repris la main et s’est à nouveau imposée comme l’unique arbitre de ce conflit si proche de ses frontières. C’est exact et, forte de ses succès militaires, l’armée azérie était prête à poursuivre l’offensive et aurait sans doute conquis la capitale si Moscou ne l’avait pas obligée à s’arrêter net. Poutine a été paradoxalement aidé par la destruction d’un hélicoptère russe par l’Azerbaïdjan : cet hélicoptère survolait l’Arménie et accompagnait des blindés russes, hors du champ de bataille. Terrifié par cette erreur, le président Aliev s’est platement excusé, sachant que la riposte russe pouvait être terrible et remettre en cause tous ses succès militaires.
    Poutine a eu alors beau jeu de passer l’éponge et d’obliger Aliev à cesser les combats.

    Mais gardons-nous de penser qu’il s’agit d’un triomphe russe. L’intrusion turque dans ce conflit gagné grâce à ses drones (bourrés de composants américains et européens, rappelons-le) et ses avions (américains) fait d’Erdoğan un vainqueur partiel : il a montré que, contrairement à la Russie, son allié avait bénéficié de son soutien total. Certes, les Russes ne sont pas ennemis de l’Azerbaïdjan, et c’est pour cela que la situation était très délicate pour eux, mais c’est tout de même la première fois que la s’aventure dans cette région et elle y gagne, grâce au corridor du Nakhitchevan, un accès direct à l’Azerbaïdjan et, donc, à la mer Caspienne : c’est tout de même beaucoup.

    Quant à la France, très liée à l’Arménie, elle a été inexistante, mais qui s’en étonnera ?

    Antoine de Lacoste

  • La stratégie russe dans le Haut-Karabakh, par Antoine de Lacoste.

    Les armes se sont provisoirement tues dans le Haut-Karabakh. Après une offensive éclair déclenchée par l’Azerbaïdjan, le 27 septembre, un cessez-le-feu a été signé, le 9 novembre, sous l’égide de la Russie. C’est une lourde défaite pour l’Arménie et le Haut-Karabagh, cette région enclavée en Azerbaïdjan qui avait proclamé son indépendance en 1991. Elle perd une part importante de son territoire, dont la ville emblématique de Chouchi, qui abrite un patrimoine chrétien important. 

    antoine de lacoste.jpgQue va devenir ce territoire ? À cela s’ajoute la perte des zones tampons, historiquement azéries, qui entouraient une partie du , en particulier la zone située entre cette république et l’ elle-même.

    Les raisons de cette rapide défaite, malgré une résistance héroïque, sont bien connues : supériorité dans les airs grâce à l’aviation turque et, surtout, aux drones d’origines turque et israélienne, renfort de plusieurs milliers d’islamistes syriens envoyés par Erdoğan et supériorité numérique de l’infanterie azérie dont le pays est soixante-dix fois plus peuplé que le Haut-Karabagh.

    La Russie n’est pas intervenue jusqu’au 9 novembre, où elle a ordonné un cessez-le-feu. Plusieurs tentatives avaient été faites auparavant, mais rejetées par Aliev, le sympathique président azéri qui a traité les Arméniens de « chiens ». Jusqu’à cette date et la prise de Chouchi, Aliev considérait que son effort de guerre n’était pas encore rentabilisé. Après cette date, c’est tout le Haut-Karabagh qui risquait de tomber. C’est donc à un moment stratégique que Moscou a cessé de suggérer pour ordonner. Et Aliev a obtempéré.

    L’intervention de la Russie fut salutaire mais beaucoup se sont étonnés et ont regretté qu’elle fût si tardive. En réalité, il faut bien comprendre que Moscou n’a jamais considéré que ce conflit relevait d’une guerre de religion, et qu’en tant que nation chrétienne, la Russie devait défendre ses frères arméniens.

    Le prisme est autre : l’Arménie et l’Azerbaïdjan appartiennent à l’espace post-soviétique et relèvent de son influence amicale. À cet égard, il n’est pas question, pour la Russie, d’attaquer l’Azerbaïdjan avec qui elle entretient des relations cordiales, qu’elle tient à conserver. Moscou a eu, comme toujours, une attitude prudente et pragmatique : elle n’a pas laissé tomber son allié arménien car le cessez-le-feu du 9 novembre a empêché la chute inéluctable du Haut-Karabagh, mais elle ne s’est pas coupée de son partenaire azéri. Une attitude plus brutale vis-à-vis de Bakou aurait définitivement jeté Aliev dans les bras d’Erdoğan, ce qui est trop dangereux pour la Russie.

    Le vrai problème, c’est la Turquie. La Transcaucasie, cet ensemble qui englobe l’Arménie, la Géorgie et l’Azerbaïdjan, est la porte du Caucase. Et il y a, le long de la mer Caspienne, en face de Bakou, le Turkménistan et le Kazakhstan, puis, un peu plus à l’est, l’Ouzbékistan, le Tadjikistan et le Kirghizistan. On estime ainsi qu’il y a là plus de 100 millions de musulmans sunnites de langue turkmène. C’est cela, l’objectif d’Erdoğan : étendre son influence sur cette zone.

    Moscou surveille tout cela de très près, bien sûr, et fait preuve d’une grande prudence pour ne pas risquer un embrasement qui déstabiliserait ses marches du Sud.

    C’est bien triste pour nos amis arméniens, mais ce sont les enjeux implacables de la géopolitique.

     

    Antoine de Lacoste

  • L’avenir de l’Action française.

    La chro­nique de Sté­phane Blanchonnet

    Mili­ter à l’Action fran­çaise est une chance in­ croyable, celle de s’ins­crire dans une his­toire qui est un cha­pitre incontour­nable de l’histoire de France.

    Stéphane Blanchonnet.pngNon seule­ment l’AF, avec ses 120 ans révo­lus, est la plus ancienne for­ma­tion poli­tique fran­çaise mais encore, par son rayon­ne­ment intel­lec­tuel unique, par le nombre d’artistes, d’écri­vains, de per­son­na­li­tés qu’elle a comp­tés dans ses rangs, appa­raît comme une pro­vince de l’âme fran­çaise, au même titre que le jan­sé­nisme à la fin de l’Ancien Régime ou le roman­tisme dans la pre­mière moi­tié du XIXe siècle.

    Cet héri­tage est riche d’expérience et il est une force dans la me­sure où il nous fait un devoir d’être à sa hau­teur. Tou­te­fois, il peut aus­si être un han­di­cap si nous nous fos­si­li­sons en gar­diens de musée, si nous re­fusons par dog­ma­tisme de consi­dé­rer les erreurs du pas­sé́ (et il y en eut… autre­ment la monar­chie serait res­tau­rée !), si nous négli­geons d’actualiser nos for­mules et nos slo­gans pour les rendre intel­ligibles dans une France qui ne pos­sède pas nos codes et qui n’a plus grand-chose de com­mun avec celle de 1900 dans laquelle s’est for­gée, en même temps que s’élaborait notre doc­trine, une rhé­to­rique per­cu­tante à l’époque mais aujourd’hui par­tiel­le­ment désuète.

    L’avenir de l’AF res­semble à une ligne de crête : d’une part ne jamais aban­don­ner pour plaire au Siècle les idées-forces qui ont fait la lon­gé­vi­té de notre école, notam­ment le natio­na­lisme inté­gral (la conclu­sion néces­sai­re­ment monar­chique du natio­na­lisme fran­çais), dont l’actualité́ ne ces­se­ra jamais tant que la France demeu­re­ra, et, d’autre part, évi­ter le féti­chisme à l’égard des formes d’ac­tion ou des formes rhé­to­riques, par nature contin­gentes, uti­li­sées à un moment ou un autre de la longue his­toire du mou­ve­ment. Le suc­cès de notre cause au XXIe siècle dépen­dra de notre capa­ci­té́ à rele­ver ce défi.

    Chro­nique parue dans « Le Bien Com­mun » n°25

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    Source : https://www.actionfrancaise.net/blog/

  • « Pas de méga entrepôt, ni ici ni ailleurs » : Des centaines d’opposants à Amazon mobilisés en France.

    Les opposants au géant américain de la vente en ligne lui reprochent notamment des destructions d’emplois, de mauvaises conditions de travail, une artificialisation des sols et un impact négatif sur le climat. 

    Plusieurs centaines de militants se sont rassemblés dans plusieurs villes de France, samedi 30 janvier, pour protester contre Amazon, notamment près du Pont-du-Gard, où le géant américain de vente par correspondance projette d’installer un entrepôt de 38 000 m2.

    Les opposants au géant américain de la vente en ligne lui reprochent notamment des destructions d’emplois et de petits commerces, de mauvaises conditions de travail, une artificialisation des sols et un impact négatif sur le climat.

    A l’appel d’associations qui luttent contre ce projet situé sur la commune de Fournès (Gard), à proximité d’un joyau du patrimoine mondial, quelque 800 personnes, selon les gendarmes, 1 400 selon les organisateurs, sont venues planter des arbustes devant deux grandes banderoles proclamant : « Stop Amazon » et « Ni ici ni ailleurs ». Ils ont également formé une chaîne humaine pour montrer l’emprise du projet prévu le long de l’autoroute A9, sur 14 hectares. Des ballons multicolores flottant à 18 mètres montraient sa hauteur, équivalant à un immeuble de cinq étages.

    « Cela fait deux ans que des citoyens de Fournès et des environs luttent contre l’implantation d’un énorme entrepôt d’Amazon. Au début, ils étaient un peu seuls contre tous, mais ils ont réussi à freiner le projet grâce à des recours juridiques » toujours en cours, a expliqué Raphaël Pradeau, porte-parole national d’Attac.

    « La lutte s’est élargie »

    Environ 200 personnes ont aussi participé samedi matin à un rassemblement à Carquefou, dans la banlieue de Nantes, devant un entrepôt logistique d’Amazon, selon les organisateurs. « On dénonce le fait qu’Amazon détruise plus d’emplois qu’il n’en crée et qu’il s’agit d’emplois précaires qui rendent malades, notamment en termes de troubles musculo-squeletiques », a déclaré à l’Agence France Presse (AFP) Sophie Jallier, porte-parole du collectif pour cet événement.

    A Ensisheim, dans le Haut-Rhin, une manifestation a aussi rassemblé une centaine de personnes contre l’implantation d’un entrepôt géant sur un terrain de plus de 15 hectares d’anciennes terres agricoles. « Amazon, Vampire Fiscal », « Stop Amazon », « Pas de méga entrepôt, ni ici ni ailleurs », proclamaient les banderoles. « Aujourd’hui nous dénonçons un système économique à bout de souffle et qui use la planète. Cela nous impose de modifier nos manières de vivre et de réfléchir à des fonctionnements plus résilients », a déclaré Isabelle Schaeffer, membre de l’association Réseau urgence climatique et sociale sud Alsace (Rucssa).

    A Augny, en Moselle, une cinquantaine de personnes se sont rassemblées sur un rond-point devant le site de l’ancienne base aérienne de Frescaty qui doit accueillir un site d’Amazon. « On a conscience qu’on s’oppose à un projet déjà amorcé et qui probablement verra le jour, mais nous estimons qu’il est encore temps de s’y opposer et d’envisager une reconversion du site », a commenté Charlotte Leduc, militante Attac Moselle et membre du collectif Stop Amazon Augny.

    Dans un communiqué, la direction d’Amazon France a commenté les rassemblements, samedi soir, en écrivant que le groupe est « devenu une cible pour certaines organisations qui souhaitent faire connaître les causes qu’elles représentent ». « Plus de 11 000 entrepreneurs et commerçants français s’appuient sur Amazon pour développer leurs activités et leurs emplois », estime la plateforme, avant de considérer que les 9.300 personnes qu’elle emploie « s’accompagnent d’un salaire et d’avantages sociaux compétitifs ainsi que d’excellentes opportunités de carrière ».

    Source : https://www.lemonde.fr/

  • Donc, finalement, on ferme les frontières !, par Georges Michel.

    Donc, finalement, on ferme les frontières. Pourtant, « ce virus, il n’a pas de passeport », expliquait sans rire , le 12 mars 2020, à quelques jours de l’entrée de la France en Grand Confinement. C’était il y a presque un an, il y a presque une éternité.

    3.jpegPar cette affirmation le président de la République se moquait en quelque sorte de tous ces bas du front et autres nez de bœuf qui en appelaient depuis plusieurs semaines à la fermeture moyenâgeuse des frontières. Alors même qu’on s’apprêtait à dresser dans le pays autant de frontières qu’il y avait de communes, voire de quartiers (souvenons-nous du kilomètre à la ronde autour de chez soi), comme au bon vieux temps du chevalier du guet où l’on tombait la herse à l’entrée des villes, la nuit venue.

    Dès le 29 janvier 2020, souvenons-nous, il y a tout juste un an, il y a tout juste une éternité, tweetait : « Les pays, les uns après les autres, ferment leurs frontières terrestres avec la ou suspendent les vols vers ou en provenance de la Chine. Et nous, on continue à ne prendre aucune décision ? » Le virus n’ayant pas de passeport, nous apprendra Emmanuel Macron, un mois et demi après, il n’était donc pas question de fermer les frontières, dans une logique qui échappait, à l’évidence, à tous les esprits rétrogrades de ce pays.

    Ceux qui tiennent salon dans les halls des aéroports internationaux se pâmaient devant cette fulgurance présidentielle, alors que, à bien y réfléchir, on avait rarement entendu une telle sottise. C’était d’ailleurs à l’avenant de la philosophie du chef de l’État en matière de contrôle de l’immigration et de son rapport idéologique, pour ne pas dire pathologique, à la frontière. La frontière, c’est pas bien. Avec le même raisonnement, on peut considérer qu’il ne sert à rien de contrôler les frontières puisque généralement les n’ont pas de passeport. Quelques décapitations plus tard, il semblerait que la doctrine ait quelque peu évolué.

    Souvenons-nous encore, le 13 mars 2020, expliquait, à son tour, sur Europe 1, qu’il n’était pas question de fermer ces satanées frontières. Pas idéologique pour un sou, le docteur Véran. Non, son truc à lui, comme Raymond, c’est la science : « la réponse est scientifique. Scientifiquement, ça n’a pas d’intérêt ». Autrement dit, pas de discussion possible, passez votre chemin. Et d’emboîter le pas à Macron : « un virus n’a pas de frontière… » Là aussi, peu de monde pour relever l’inanité d’une telle affirmation. Pourtant, nos maigres connaissances scientifiques laissaient tout à penser que le virus, il ne se véhicule pas tout seul sur ses petites pattes musclées ou aux commandes d’un cumulonimbus…

    Et donc, vendredi soir, nous apprend que «toute entrée et toute sortie de notre territoire à destination ou en provenance d’un pays extérieur à l’UE sera interdite sauf pour motif impérieux […] à partir de ce dimanche minuit ». On imagine que la science a fait de nouvelles découvertes. Il est vrai qu’elle nous a récemment révélé, par la voix du docteur Delfraissy, président du Conseil scientifique, que ce virus est « diabolique et beaucoup plus intelligent qu’on ne le pense ».

    On imagine qu’on va rapidement nous expliquer que la fermeture des frontières décidée par le gouvernement n’a rien à voir – mais alors rien à voir du tout – avec celle préconisée par Marine Le Pen. Forcément. Comme le cholestérol ou le chasseur, il y a sans doute, la bonne et la mauvaise fermeture de frontières.

     

    Georges Michel

    Colonel à la retraite
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : Non, la Monarchie royale, ce n'est pas la dictature !

    Voici un argument que certains opposent régulièrement aux royalistes et auquel il nous semble utile de répondre : « La Monarchie, c'est la dictature, tout le contraire de la République... » Eh bien, non, la Monarchie, ce n'est pas la dictature tout comme la République, ce n'est pas la liberté, et nous le prouvons !

    Dans l'histoire comme dans le projet contemporain, et c'est de la France dont il s'agit ici, la Monarchie n'est pas une dictature et n'a pas vocation à le devenir, même si la tentation d'un régime autoritaire a pu exister de la part de quelques royalistes lors du premier XXe siècle, furieux de la déliquescence d'une IIIe République qui laissait la voie ouverte à la puissance germanique et, bientôt, à l'occupation de notre pays.
    Sous l'Ancien régime, la Monarchie était plus fédérative que centraliste, et les provinces, les villes, les métiers avaient de nombreuses libertés, des « franchises et privilèges » disait-on alors, au point que l'historien Funck-Brentano a pu parler d'une « France hérissée de libertés ». Cela n'empêchait pas la construction d'un État central qui s'imposait peu à peu à tous, à un rythme lent mais sans discontinuer et sans, sur le fond, attenter aux « libertés traditionnelles », cherchant plutôt l'équilibre que la démesure. Bien sûr, la nécessaire lutte contre les féodalités ne se faisait pas toujours dans la délicatesse et la raison d’État, en devenant un élément important de l'exercice et de l'essence même de l’État, a parfois justifié des mesures qui ressemblent à celles d'un état d'urgence contemporain. Comme tous les régimes humains, la Monarchie n'est pas « parfaite », en particulier parce qu'elle reconnaît, justement, l'imperfection des hommes, et qu'elle s'en contente sans vouloir forger un « homme nouveau », vieux rêve des utopies que les républicains de 1793 voudront mettre en application, obligés alors d'instaurer un régime de Terreur qui préfigure les totalitarismes du XXe siècle...
    La Monarchie, aujourd'hui, ne serait pas plus une dictature qu'elle ne l'a été avant 1789 et de 1814 à 1848, cette dernière période étant celle de l'installation définitive d'un système parlementaire qui, sous les Républiques suivantes, a dégénéré en parlementarisme, au moins jusqu'en 1958 et l'instauration d'une République plus « monarchique » que les précédentes sans aller jusqu'à son terme institutionnel logique...
    S'il y a l'exemple des Monarchies européennes, plus symboliques que décisionnaires, elles ne sont pas forcément représentatives des espérances monarchiques françaises. Mais elles montrent à l'envi que l'idéal monarchique n'a rien de dictatorial, et, dans le cas de l'Espagne, la royauté a permis et a mené une « révolution tranquille » qui, si elle peut parfois nous surprendre, a inauguré véritablement une pratique du débat politique décomplexé et un régime parlementaire classique selon les canons européens... Ce dernier exemple ne signifie pas que cette forme de la Monarchie soit exactement adaptée à la France, mais il montre les possibilités démocratiques offertes par une Monarchie locale.
    La Monarchie « à la française », par son essence même, est la meilleure antidote à la dictature, y compris à celle de l'Opinion publique, souvent versatile et parfois inflammable : en ancrant la magistrature suprême de l’État dans le temps et dans les habitudes, au-delà des intérêts particuliers (et antagonistes, souvent) du moment et d'un lieu, elle peut jouer ce rôle de représentation diplomatique nationale et celui d'un trait d'union entre les diversités françaises, d'un arbitrage permanent et mesuré sans être omnipotent et hyperactif... En somme, tout l'inverse d'une République trop centralisée ou (et ?) trop féodaliste dont l'état d'urgence désormais presque permanent depuis 2015 apparaît comme la défense maladroite d'un régime qui ne croit même plus en sa légitimité propre...
     
  • Ils ont remporté l'élection à Madrid : bravo à nos amis de VOX et à notre ami Santiago Abascal ! (1/2)

    Madrid devient une des capitales les plus à droite d’Europe. L’ultra-conservatrice du Partido Popular Isabel Diaz Ayuso remporte le scrutin avec 64 sièges au parlement rėgional sur 137. Elle aura besoin au minimum d’une abstention des conseillers rėgionaux d’extrême-droite pour diriger la rėgion. Il n’y aura pas de cordon sanitaire.

    (source : Equinox)

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    C’est l’équivalent de la région Île-de-France. Les près de 8 millions d’habitants de Madrid et ses 178 villes de banlieue étaient convoqués ce mardi aux urnes pour accorder la victoire à Isabel Diaz Ayuso. La présidente sortante, représentante de l’aile dure du Partido Popular, a encore musclé son discours durant une campagne menée à la lisière avec l’extrême-droite.

    Isabel Diaz Ayuzo a convoqué des élections anticipées le 10 mars dernier, après que son partenaire centriste Cuidadanos se soit rapproché des socialistes dans la région de Murcia pour tenter de renverser l’exécutif local. Craignant de subir le même sort, Ayuso prit les socialistes et Ciudadanos de court en convoquant un scrutin anticipé. Le ton de la campagne était donné : socialisme ou liberté. Par socialisme, la droite madrilène entend hausse des impôts et fermetures des bars et restaurants en raison du Covid. A la frontière du complotisme, Ayuso a converti Madrid en la capitale de la fête avec bars et restaurants servant leurs clients comme si il n’y avait pas de pandémie.

    L’arrivée dans l’arène madrilène de Pablo Iglesias électrisa une campagne déjà tendue. Alors vice-président du gouvernement espagnol, le chef de la gauche radicale de Podemos, en panne dans les sondages, a démissionné de son poste pour se lancer dans cette élection afin d’éviter le naufrage de son parti. Face à Pablo Iglesias, Isabel Ayuso a modifié son slogan : communisme ou liberté.

    Le clivage est fort. Pour lutter contre celui qu’elle appelle le candidat communiste Ayuso a juré qu’elle ne fera pas de cordon sanitaire autour de l’extrême-droite de Vox. En effet, les 13 conseillers régionaux de Vox sont important à Ayuso pour renforcer sa majorité parlementaire. Ayuso sera élue avec les voix de Vox ou une abstention de ces derniers. Durant la campagne,  il n’etait pas exclu que des membres de l’extrême-droite entrent dans l’exécutif madrilène.

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    Droite dure mais porteuse d’espoir

    Avec sa campagne de droite dure, mais singulière car optimiste et porteuse d’espoir (après 18 mois de Covid quoi de plus attrayant que le mot « liberté »), Ayuso marche dans les pas de la course élyséenne de Nicolas Sarkozy en 2007.  Lui aussi courait après l’électeur frontiste avec dans sa main droite le karsher, mais dans sa main gauche des mots d’espoir comme « ensemble tout devient possible » ou le « travailler plus pour gagner plus ». 

    A Madrid la gauche est défaite, les socialistes obtiennent seulement entre 24 siéges. Podemos  une dizaine de siėges. Un rėsultat cruel pour la star Pablo Iglesias, ancien vice-prėsident de l’Espagne. Un tel score marque la fin de la carriėre de celui qui fut l’un des leaders du mouvement des indignės. Les dissidents de Podemos réunis sous la marque Mas Madrid s’en sortent mieux avec 24 siėges, autant que les socialistes. Quant à Ciudadanos, le parti d’Ines Arrimadas termine dernier et n’aura aucun ėlu. Un score dramatique qui rapproche les centristes de leurs funerailles politiques.

    Un résultat qui fragilise le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez et acte un rapprochement entre les droites sous l’autorité du Partido Popular. L’Espagne va bruisser d’une demande d’élections nationales anticipées. La campagne de vaccination et la répartition des fonds européens devraient sauver le Premier ministre Pedro Sanchez. Mais la fin de mandat sera compliquée et tendue.

  • Le revenu universel, une fausse bonne idée, par Claire de Gatellier.

    argent tombe du ciel money sky euro

    Le revenu universel est un serpent de mer qui revient à l’approche de chaque campagne présidentielle. L’idée est de remédier à la en assurant un revenu permettant à chacun de vivre dignement. Il serait accordé à tous, sans condition aucune, et à la place de toutes les autres allocations.

    2.jpegPalier supplémentaire de la redistribution, il serait financé par l’impôt, si bien que les « riches », qui le recevraient comme les autres, financeraient par leurs à la fois le leur et cellui des autres. Des expériences ont été tentées. Les seuls exemples pérennes que l’on connaisse sont ceux du et de l’Alaska.

    Deux expériences de revenu universel

    – Le Qatar. La manne du pétrole permet ainsi aux Qataris de jouir d’une rente à vie confortable, pour peu qu’ils aient la citoyenneté. L’envers de la médaille est qu’aucun Qatari ne veut s’abaisser à effectuer les travaux peu gratifiants ou rémunérés. Ce sont de nombreux immigrés, véritables esclaves modernes, qui font le travail pour eux.

    – L’Alaska. Créée en 1976, l’expérience repose, aussi, sur les revenus du pétrole. Financé par un fonds souverain et variant avec lui, un revenu est versé annuellement en décembre, c’est un petit « cadeau de » qui n’est pas suffisant pour en vivre.

    Ces deux États étaient riches et avaient de l’argent à distribuer. Ce qui les sépare est que l’un en a profité pour créer une nouvelle classe d’esclaves, tandis que l’autre fait profiter tous ses ressortissants de cette manne, sans pour autant lui garantir une vie sans travail.

    En ? Nous n’avons pas de rente, nous avons des dettes. Cette allocation saurait-elle répondre à la différence des situations et, donc, des besoins ? Le nécessaire pour vivre dignement n’est pas le même dans une grande ville et à la campagne, selon que l’on est jeune ou vieux, malade ou bien portant, handicapé ou autonome, et même riche ou pauvre. Très vite, le réel reprendra le dessus : si, dans un premier temps, il remplace comme prévu toutes les autres allocations, on verra refleurir, ici et là, telle et telle aide adaptée aux besoins réels de telle ou telle population. Le revenu universel ne serait donc, très vite, qu’une allocation de plus, entraînant une augmentation d’impôts, laquelle entraînerait à son tour, comme toujours, de nouvelles délocalisations et une baisse du niveau de vie des Français, c’est-à-dire encore plus de pauvreté.

    Accordée à des gens qui sont financièrement autonomes, cette allocation de l’État les transformerait à leur tour en personnes tributaires de la manne publique, ce qui ne serait pas l’un des moindres effets pervers : l’assistanat et le travail au noir. Car, alors, « qu’est-ce qu’on gagne à travailler » ?

    Lutter contre la pauvreté ne signifie pas lutter contre les inégalités

    Il ne faut pas confondre l’indispensable souci de remédier à la pauvreté avec « le refus des inégalités ». Les inégalités font partie de la condition humaine. C’est un truisme de dire que les hommes naissent inégaux et de nombreux auteurs l’ont souligné. Ces inégalités de naissance évoluent elles-mêmes ensuite selon ce qu’en font les hommes avec leur volonté et leur liberté, mais aussi en fonction de leur entourage.

    Plus tristement encore, cette uniformité nous prive du besoin de nous appuyer sur l’autre, qui nous apporterait ce qui nous manque, et vice versa. Si nous sommes tous pareils, nous n’avons plus besoin les uns des autres.

    Ce n’est pas la réduction des inégalités qui rendra riches les pauvres ou bien portants les malades. Une politique sociale est indispensable mais elle ne peut qu’accompagner une économie dynamique et efficace ainsi qu’un indispensable soutien aux relations humaines, aux liens sociaux qui relient les gens entre eux. En premier lieu, il faut restaurer l’institution familiale.

     

    Claire de Gatellier

    Présidente de l'association Famille et Liberté
     
  • SOLIDARITÉ KOSOVO !... : LE DÉPARTEMENT D’ÉTAT US DÉNONCE DE NOMBREUSES ATTAQUES CONTRE LA MINORITÉ SERBE AU KOSOVO

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    Site officiel : Solidarité Kosovo

    lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :

    https://www.facebook.com/solidarite.kosovo/

    Le Département d’État américain a sorti son rapport annuel sur les atteintes aux droits de l’Homme. Concernant le Kosovo, il dénonce notamment le non-respect de nombreuses décisions de justice favorables aux Serbes et la difficulté pour les Serbes réfugiés de revenir vivre sur leurs terres.

     

    Les menaces pesant sur le monastère de Visoki Decani sont longuement évoquée dans ce rapport :

    "Les autorités centrales et locales de Decan / Decani ont continué de refuser de mettre en œuvre la décision de 2016 de la Cour constitutionnelle confirmant la propriété de l’Église orthodoxe serbe de plus de 24 hectares de terres adjacentes au monastère de Visoki Decani. Aucun des fonctionnaires qui n’ont pas exécuté l’ordonnance du tribunal n’a été sanctionné.

    Le monastère de Decani n’est qu’une des nombreuses victimes de cette immense difficulté à faire reconnaitre son droit de propriété pour les minorités du Kosovo. Sur les très nombreux cas relevés par le rapport, "96% concernent des Serbes" qui ont vu leurs biens spoliés à la fin de la guerre et peinent à les récupérer :

    "Un mélange complexe de lois, de règlements, d’instructions administratives et de pratiques judiciaires, ainsi que la réoccupation illégale de propriétés et de multiples réclamations pour le même bien, ont continué d’entraver le règlement des affaires de restitution de propriété résultant de la guerre et de ses conséquences."

    Le rapport rappelle également que  "le Kosovo ne dispose pas d’un système efficace permettant aux Serbes du Kosovo déplacés vivant à l’extérieur du pays de déposer des réclamations et de recevoir une notification des décisions relatives aux revendications de propriété."

    Liberté de circulation et papiers d’identité

    Le Département d’État souligne que le gouvernement ne considère pas les documents personnels émis par la Serbie portant le nom des villes du Kosovo comme des documents de voyage valides.

    "Cela a rendu difficile pour de nombreux membres de la communauté serbe du Kosovo de voyager librement à destination et en provenance du pays, à moins d’utiliser les deux points de passage frontaliers avec la Serbie situés dans les municipalités à majorité serbe du Kosovo dans le nord."

     

    Obstacles récurrents au retour des réfugiés

    Le rapport indique que les réfugiés membres des minorités qui souhaiteraient revenir vivre au Kosovo rencontrent de nombreux obstacles : attaques morales et physiques, protection insuffisante du droit de propriété, incapacité des tribunaux à résoudre les conflits de propriété, le manque d’accès aux services publics, ainsi que des perspectives économiques limitées et des discriminations sociétales.

    En juin 2020, 408 personnes, principalement des Serbes, vivaient dans des logements collectifs, faute de pouvoir retourner vivre sur leurs propriétés, pour l’une ou l’autre des raisons exposées ci-dessus.

    Attaques contre les biens et les personnes

    Les minorités continuent de subir des attaques régulières – nous en relayons régulièrement sur notre page Facebook : vols, cambriolages, agression verbales et physiques. Sont particulièrement touchés les rapatriés dans les zones rurales :

    "L’ONG AKTIV a signalé plus de 20 incidents entre mars et juin visant les Serbes du Kosovo, y compris des incendies criminels, des attaques physiques et des vols. Entre janvier et octobre, le ministère des Communautés et du Retour a reçu des plaintes concernant 49 incidents de sécurité affectant des Serbes du Kosovo et des rapatriés. En juillet, ont été relevés 45 incidents affectant principalement les rapatriés et leurs biens, principalement dans la région de Pec."

    Notre engagement est encore renforcé par ce rapport

    Ce rapport, une fois encore, confirme ce que nous dénonçons sans relâche depuis 15 ans. Il nous conforte dans notre engagement aux côtés de ces minorités persécutées, à qui nous continuerons d’apporter notre aide tant qu’elles en auront besoin.

    Le rapport complet (en anglais)

  • Art contemporain, bioéthique ou immigration… quel que soit le sujet, le « progrès » est le déni du vrai, par Gabrielle C

    Si l’on pouvait résumer en quelques lignes ce que nous sommes devenus…

    C’est le magasine GQ qui s’en est fait l’écho, évoquant « une idée absurde qui est en train d’accoucher d’un conflit encore plus absurde ». De fait…. On se souvient de la polémique Salvatore Garau, du nom de l’auteur de la sculpture qui avait cette toute petite caractéristique… de ne pas exister.

    gabrielle cluzel.jpegLe 18 mai dernier, elle a été vendue pour 15.000 euros : « Un certificat d’authenticité a été délivré à l’acheteur. Les conditions de son installation sont les suivantes : l’œuvre doit être installée au centre d’une pièce vide dans une maison indépendante et doit être délimitée par un bandeau collé sur le sol. Cette sculpture invisible mesure 150 centimètres de diamètre. »

    Mais ce n’est pas fini, ma petite dame.

    « Un artiste du nom de Tom Miller menace aujourd’hui de poursuivre en l’artiste italien pour lui avoir volé son idée d’une œuvre inexistante. L’Américain explique qu’il a présenté en 2016 une sculpture invisible intitulée Nothing (« Rien ») dans la ville de Gainesville, en Floride. Tom Miller aurait tenté de rentrer en contact avec Salvatore Garau pour demander à être crédité – sans succès. L’avocat de Tom Miller, Richard Fabiani, a fait parvenir une lettre au plasticien italien afin de régler ce différend à l’amiable. »

    Mais avant Nothing, déjà, existaient – ou plutôt n’existaient pas – que dalle, nada, peau de zeb, n’est-ce pas ? (Non) peints à quatre mains par Raymond Devos et Alice au pays des merveilles.

    C’est un procès sans fin de poupées russes qui se prépare, et un débouché formidable pour l’ contemporain. Ni matières premières, ni stock, ni sueur, ni charges sociales. Les des territoires, si soucieux de ne pas passer pour des philistins bouseux au front bas, trépigneront pour avoir leur non-œuvre d’art. Ne dites pas que cela coûtera cher au contribuable pour « rien » : l’absence de pollution visuelle, la disparition des amoncellements hétéroclites sur les ronds-points de sous-préfecture remplacés par un néant jugé plus artistique et plus contemporain qu’eux a un prix. C’est mieux que rien, a-t-on coutume de dire. Mais parfois, rien, c’est mieux. S’il faut payer pour ça, pourquoi pas ?

    Un jour, bien sûr, tout cela s’effondrera comme un château de cartes, un jeu de Mikado ou, tiens, le mur de Berlin. Pffft, zou… d’un coup ! Ce fracassant entre « le progrès » et le réel explosera, comme une évidence. Tel l’enfant du conte d’Andersen, l’Occident se réveillera et criera avec effroi, ébahi de ne pas l’avoir pas vu jusqu’ici, que le roi est nu. Dans tous les domaines. Non, rien n’est pas une œuvre d’art. Non, un homme n’est pas une femme, même s’il le dit très fort. Non, deux femmes, pas plus que deux hommes, ne peuvent enfanter. Non, l’ n’est pas « plutôt stable », et ce ne sont pas vos lunettes qui vous trahissent mais les politiques, si vous constatez que votre quartier a bien changé. Non, le islamique n’a pas la même signification qu’un chapeau à plumes ou un béret basque. Non, le drapeau algérien et les youyous devant les mairies ne sont pas des valses de Vienne. Non, l’offrande d’un bouquet de fleurs n’est pas une agression… On pourrait continuer à l’infini.

    Oui, un jour, bien sûr. La question est de savoir quand.

     

    Gabrielle Cluzel

    Ecrivain, journaliste
  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    EN PLEIN COEUR DES VACANCES D'ÉTÉ

    ET DU CHASSÉ-CROISÉ DES ESTIVANTS

    PLUS DE 200 MANIFS PARTOUT EN FRANCE

    ET UNE MOBILISATION EN TRÈS FORTE HAUSSE

    CONTRE LE PASSE SANITAIRE

    ET LA TYRANNIE DE L'HYSTÉRIE HYGIÉNISTE

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    1. Quelques images de quelques unes des manifestations de ce 4ème samedi de protestation (en attendant le 5ème !) : on ne peut toutes les mettre, désolé pour ceux qui ne sont pas représentés... Un grand bravo à tous ceux, dont le nombre ne cesse de grossir (presque 250.000 ! Un exploit, en pleines vacances), méprisés et insultés par Macron, qui les traite d' "irresponsables", "égoïstes", "en perte de sens" mais qui en ont assez, du sens (et du bon sens) pour oser de plus en plus dire :

    NON AUX MENTEURS INCOMPÉTENTS

    D'UN SYSTÈME TYRANNIQUE !

    Voici le peuple qui selon #Macron est « irresponsable », « égoïste », « en perte de sens »...

    À Paris (quatre manifestations...)

    Ici, l'Avenue de Breteuil, pleine à craquer : elle fait 840x70 = 58 800m2.  Les chiffres bidons du gouverne-"ment" sont définitivement ridiculisés !

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    •https://twitter.com/LE_GENERAL_OFF/status/1423973458904592388?s=20

    •https://twitter.com/SJallamion/status/1424015707428249605?s=20

    •https://twitter.com/AnonymeCitoyen/status/1423981460084731914?s=20

    À Marseille, pompiers en uniforme et prêtres en soutane sur la Canebière, en tête de cortège

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    •https://twitter.com/UnionSanitaire/status/1424264297929191425?s=20

    •https://twitter.com/france_soir/status/1423992589875810306?s=20

    •https://twitter.com/LE_GENERAL_OFF/status/1424001770976649217?s=20

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    À Nice

    https://twitter.com/AnonymeCitoyen/status/1424020774537547782?s=20

    À Limoges

    https://twitter.com/remseeks/status/1423998804701876230?s=20

    En Guadeloupe

    https://twitter.com/lynns68gwada971/status/1424023409848094723?s=20

    À Pau

    https://twitter.com/AnonymeCitoyen/status/1423931345403793411?s=20

    À Foix

    https://twitter.com/AnonymeCitoyen/status/1423962665114873859?s=20

    À Perpignan

    https://twitter.com/LE_GENERAL_OFF/status/1423995093476855813?s=20

    À Toulon (plus de 20.000 personnes !)

    https://twitter.com/Reine_Margot2/status/1424071545517924360?s=20

    À La Rochelle

    https://twitter.com/AnonymeCitoyen/status/1423988435036033024?s=20

    À Saint Denis de la Réunion...

    https://twitter.com/LE_GENERAL_OFF/status/1423990616086700035?s=20

    ...Et à Saint Pierre de la Réunion, là aussi avec les pompiers en uniforme

    https://twitter.com/UnionSanitaire/status/1423952793300357121?s=20

    À Montpellier

    https://twitter.com/UnionSanitaire/status/1424114720869699586?s=20

    À Nantes

    https://twitter.com/UnionSanitaire/status/1424076959777185795?s=20

    À Aix-en-Provence

    https://twitter.com/UnionSanitaire/status/1423958746787635201?s=20

    À Vannes

    https://twitter.com/CiarJackson/status/1423995775453908994?s=20

     

    1 BIS. En creux, après le visionnage de ces manifs contre le Passe dit "sanitaire", la même question qui revient sans cesse et partout, chez tous : mais, qui donc va contrôler le passe-sanitaire des migrants qui passent la frontière clandestinement ? 

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    3. C'est toujours bon à savoir ! Le Courrier du soir nous apprend que le cabinet McKinsey, condamné à 573 millions de dollars pour fraude, a créé En Marche en 2016... :

    https://lecourrier-du-soir.com/exclusif-mckinsey-condamne-a-573-millions-de-dollars-pour-fraude-a-participe-a-la-creation-den-marche/

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    4. Messieurs les policiers, tirez les premiers ! Et tirez pour neutraliser ! Bravo aux policiers de Saint Étienne qui ont "neutralisé par balles" le jeune homme de 19 ans qui a ouvert le feu sur eux, ce samedi après-midi dans le centre-ville de Saint-Étienne (Loire). Il est grièvement blessé et hospitalisé. Un second suspect a également été interpellé. 

    https://actu17.fr/saint-etienne-un-homme-tire-sur-les-policiers-en-pleine-rue-il-est-neutralise-par-balles/

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    5. Encore et encore, le scandale et la folie suicidaire continuent : L'Ocean Viking et le Sea Watch autorisés à accoster en Sicile avec plus de 800 envahisseurs, rebaptisés "migrants"... Une fois de plus : d'accord avec Godnadel ! :

     
  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie...

      On manque d'argent partout et pour tout, alors que nous sommes le pays le plus taxé au monde, et pendant ce temps-là 50 milliards € de fraude s'envolent chaque année, 2,5 millions de fausses cartes vitales permettent à des escrocs facilement repérables d'être bénéficiaires de prestations sociales ! Charles Prats propose un effrayant mais remarquable réquisitoire étayé de documents et rapports d’État... 

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    • Interdire le "Vendredi noir" Carrément : OUI ! Dans une Tribune, publiée par Le Journal du Dimanche, quatre fédérations de magasins de Centre-Ville et Centres commerciaux ont demandé au gouvernement de restreindre les ventes en lignes "aux seuls produits de première nécessité" mais surtout d' "interdire le Vendredi noir", pratique anglo-saxonne, appelée aux États-Unis "black friday". Comme la hideuse fête d'Halloween - bien que dans un tout autre domaine - ces deux pratiques/coutumes importée d'ailleurs sont étrangères en tout à nos habitudes, et n'obéissent qu'à une logique mercantile (faire vendre des produits, transformer toujours plus la personne en consommateur), en même temps qu'elles contribuent à effacer notre personnalité, en nous "calquant" encore plus sur d'autres. En plus, cette année, avec la crise économique, autoriser un "vendredi noir" serait asséner un nouveau coup, probablement mortel, à un grand nombre de nos acteurs économiques...

    L'incompétent notoire Véran est l'un des principaux responsables de la gestion cataclysmique de la crise sanitaire. Il vient de se ridiculiser en perdant ses nerfs en pleine Assemblée. Le voilà qui valide la fermeture du CHU de Garches, au motif qu'il ne serait pas assez rentable : tiens, c'est l'hôpital où exerce le Pr Peronne, l'un des meilleurs virologues du monde ! Et peut-on sérieusement utiliser cet argument en pleine pandémie ? Combien d'hôpitaux l'incompétent Véran fera-t-il fermer pour museler ses détracteurs ? Combien de français est-il prêt à faire mourir pour régler ses comptes ?
     
    La tension monte à Marseille, au Centre de rétention de "migrants" du Canet ? Du coup les assosses collabos de l'armée barbare d'invasion essaient de faire libérer ces "migrants" (en fait, envahisseurs, pour parler français) ! Énorme, non ? Et pourtant vrai ! La réalité est que si nous avions un vrai gouvernement qui expulsait immédiatement les clandestins/escrocs, les centres de rétention seraient tout simplement... inutiles !
     
     
     
    Comme elle a raison, Jeanette Bougrab ! "Vous vous rendez compte à quel point on a été aveugles ? On a donné l'asile à Khomeini, on a accueilli des gens du GIA, du FIS... On s'est toujours trompés" (à noter, en sens inverse, que le Pays légal a refusé l'asile à Soljénitsyne, au temps où l'Empire du Mal existait encore...) Et le Pays légal continue de se tromper (ou plutôt de tromper les Français) en refusant de reconnaître qu'il y a un lien entre l'immigration et le terrorisme islamiste...
     
    • AU FOU ! Connaissez-vous Philippe Cavat ? Si non, vous ne perdez rien ! Ce membre de LREM pense - à sa façon, c'est-à-dire insultante et débile - que demander tout simplement, calmement, la liberté de culte, comme l'ont fait des Versaillais devant leur cathédrale ce serait haineux envers le "progressisme" ! Que dira-t-il alors des terroristes, qui décapitent, dans les rues ou dans les églises ? Là, les mots vont lui manquer...

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  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie...

    le Système a volontairement "poubellisé" la France, on en récolte les fruits pourris : les deux ados/pré-ados qui ont indiqué Samuel Paty à son décapiteur savaient très bien ce qu'ils faisaient ! Maintenant que nous avons une masse de gens "comme ça" chez nous, il ne s'agit pas d'échafauder de savantes et ridicules théories de "dé-radicalisation" (aurait-on proposé des stages de dé-radicalisation à des nazis, à des SS ? Absurde !...) : il faut préparer le processus de dé-poubellisation... Retour à l'envoyeur !

    https://www.valeursactuelles.com/societe/decapitation-de-samuel-paty-cetait-pour-venger-dieu-selon-un-collegien-qui-parle-lassaillant-125395

    plusieurs collégiens et lycéens ont par ailleurs été interpellés dans plusieurs villes de France, pour apologie du terrorisme et pour avoir justifié l’attentat ou apporté leur soutien au tueur. Deux lycéens de 16 ans ont été interpellés à Miramas (Bouches-du-Rhône). La directrice du lycée professionnel Les Alpilles, a contacté les policiers ce lundi vers 12h40 pour les prévenir que deux élèves avaient fait l’apologie du terrorisme : "Le prof l’a cherché" a dit l'un, et l'autre a expliqué (!) qu’ "il y en a marre de bafouer l’Islam", ajoutant que vu ce qu’il se passe "avec les caricatures de Charlie Hebdo, c’est bien cherché". Les deux élèves ont été placés en garde à vue. Là aussi : il faut préparer le processus de dé-poubellisation... Retour à l'envoyeur !

    Situation similaire à Marseille. Un élève de 14 ans du collège Chape a pris la parole juste avant la minute de silence : "Je connaissais l’agresseur, je soutiens son geste et j’aurais fait la même chose en filmant la scène sur les réseaux sociaux. À Strasbourg : deux pré-ados de 12 ans ont justifié l’assassinat de Samuel Paty, ainsi que deux enfants de 8 et 9 ans. Un adolescent de 14 ans a également été interpellé dans l’Essonne pour avoir fait part de son soutien au terroriste/décapiteur sur Instagram. Là aussi : il faut préparer le processus de dé-poubellisation... Retour à l'envoyeur !

    En tout, 66 enquêtes pour apologie du terrorisme ont été ouvertes depuis la mort de Samuel Paty, suite à des signalements effectués sur la plateforme Pharos : "Les interpellations que nous faisons sont souvent le fait de jeunes personnes, qui ont entre 12 et 16 ans, qui utilisent des mots extrêmement crus... avec une habitude face à l’hyper violence, notamment inspirée par l’État islamique, extrêmement préoccupante..."

    Là encore, là toujours, il faut préparer le processus de dé-poubellisation... Retour à l'envoyeur !

    nos ennemis de toujours - les Allemands de l'Allemagne unifiée - vendent cinq sous-marins au petit Hitler du Bosphore. Il y a très peu de temps, la France vendait des Rafales à la Grèce, agressée par le même petit Hitler. Donc, demain, quand la France interviendra en Méditerranée pour défendre nos amis et alliés Grecs, nos navires pourront être attaqués (et coulés) par des sous-marins vendus par nos soi-disant amis et alliés allemands ? Au fait, comment appelle-t-on déjà les amis de nos ennemis ?

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    Sur LCP, sagesse d'Hubert Védrine (qui ferait un si bon ministre des Affaires étrangères du Roi de France !) : "Les classes populaires et moyennes qui ne croient plus en la mondialisation heureuse, la construction européenne, c'est le résultat des politiques menées depuis 40 ans. Ce n'est pas la peine de les excommunier, de faire des sermons contre le populisme". Le Pays légal a échoué, c'est tout; le Peuple ne croit plus en lui (tant mieux) ni en la démocratie, sous sa forme actuelle (voir les taux faramineux d'abstention). A la fin de l'URSS, les dirigeants y disaient "le sommet ne peut plus, la base ne veut plus"... À méditer...

    pourquoi la mosquée de Saint-Dizier (liée à l'UOIF) où Sid Ahmed Ghlam enseignait l'arabe est-elle toujours ouverte, alors que son procès vient de s'achever ? Pourquoi cette mollesse de Gérald Darmanin face aux Frères Musulmans, et à leurs 200 autres mosquées "fréristes" ? C'est vrai que Macron veut bien faire la guerre au "séparatisme" mais, "en aucun cas à l'Islam" !...