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  • LOUIS XVI 2015 !

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    « On est près du grand mouvement de l’inversion ». Lequel ? Celui qui mettra en cause la Révolution, la Révolution historique (« La terreur est dans son ADN ») mais aussi la Révolution agissant aujourd’hui. « Il y a des signes du sursaut ; des gens qui bougent ; des voix qui s’élèvent et qui parlent de plus en plus fort ». Philippe de Villiers  

    Premières annonces …

    Nous publierons ici la liste de toutes les messes dont nous aurons connaissance...   

    MERCREDI 21 JANVIER

     Paris : place de la Concorde, à 10h, dépôt de gerbe en présence du prince Sixte-Henri de Bourbon-Parme.  

     Basilique de de Saint Denis, 12h. 

     Marseille : Basilique du Sacré-Coeur, avenue du Prado, 19h. 

     Fabrègues : Prieuré Saint François de Sales, 1 rue Neuve des Horts 

     Nice : Oratoire Saint-Joseph, rue Catherine Ségurane, 18h30 

     Metz : Eglise de l'Immaculée Conception, Queuleu, 18h30.  

    Samedi 17 janvier 

     Paris : Chapelle Expiatoire, 10h30. 

     Le Planquay (Eure) : Eglise de Planquay, 11h. (Pour se rendre au Planquay depuis Thiberville -  4 km - prendre la D145, direction ORBEC).  

    Samedi 24 janvier

    * Ramberge (85– La Gaubretière), à 11 h 00.

    * Rouillet (Charente) : Eglise paroissaile, 18h30.  

    Dimanche 25 janvier

     Nancy : Eglise Marie-Immaculée, 33 avenue du général Leclerc, 10h30.

     

  • Puisque l'inculture règne aux plus hauts niveaux de l'Etat, apprenons à notre président de l'Assemblée nationale - qui l

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    Il est bien triste pour la France de Montaigne et de Guillaume Budé, de Voltaire et de Verlaine, de Molière, Racine, Pascal et tant et tant d'autres... de constater l'inculture proprement effrayante de celles et ceux qui nous gouvernent.

    Lors de la remise des derniers Prix Nobel, on apprenait que la Ministre de la Culture (!) Fleur Pellerin... n'avait pas le temps de lire !
    Puis, plus grave, on eut droit à l'énormité de Manuel Valls, promu premier ministre, et remerciant la République d'avoir nommé un "venu d'ailleurs" à un si haut poste : on ne l'avait pas loupé, et on lui avait rappelé - ou, plutôt, appris... - que plusieurs siècles avant lui un certain Giulio Mazarini avait été durant de très longues années le premier ministre de la France (c'est lui qui signa les Traités de Westphalie, "chef d'oeuvre absolu" pour Jacques Bainviile, mais Valls connaît-il Bainville ? C'est, au moins, douteux...); ou qu'un certain Maurice de Saxe avait été le maître des armées françaises, par la volonté de Louis XV; ou, encore plus fort, que la royauté avait donné la totalité du pouvoir, sur la totalité du territoire national, à six femmes, dont quatre d'origine étrangères : chose que, bien évidemment, la république idéologique, le Système, n'a jamais fait... : qui est champion du "féminisme" et de la promotion de la femme, de la parité, du "non sexisme", de la "non discrimination" et tant d'autres choses dont se gargarisent les ignares qui nous gouvernent ? Ceux qui veulent retrouver tout ceci, et tout ce que nous disions encore à ce Manuel Valls si ignorant et si prétentieux peuvent se reporter, dans notre Catégorie Actualité Europe, à notre du 27 mai 2014 : Retour sur son passage à Barcelone : erreurs en série et ignorance crasse pour super Manu.
    Mais, aujourd'hui, ce n'est ni la ministre de l'inculture, ni le premier ministre ignorant qui se font remarquer : c'est - tout de même !... - le président de l'Assemblée nationale. Eh, oui, à lui aussi il faudra offrir pour la saint Claude (horresco referens, ô sainte laïcité !...) un exemplaire de l'Histoire pour les nuls.
    Si, au moins, il s'était contenté d'être nul, comme ça, presque en cachette, pourrait-on dire : ce ne serait pas brillant, pour un personnage occupant un si haut poste, mais bon...
    Mais non ! Claude Bartolone ressemble au personnage du sketche de Raymond Devos : "quand je n'ai rien à dire, je veux que cela se sache... je n'ai rien à dire, donc parlons-en..." Bartolone ignore, mais il veut que tout le monde le sache, qu'il ignore; il veut que tout le monde soit au courant : eh bien, c'est fait. Il vient de se couvrir de ridicule en cherchant à placer le buste d'Olympe de Gouges dans la salle des Quatre colonnes de l'Assemblée, au motif qu'elle était "militante féministe de la Révolution française" !
    Alors, là, plus nul que ça, tu meurs !
    Allez, un peu de retour au réel, et à l'Histoire vraie : nos ministres et gouvernants en ont un urgentissime besoin...

     

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              "Olympe de Gouges", qui illustre le naufrage des Lumières dans la Terreur, n'a jamais existé, du moins pour l'état civil...

     

    ...Son vrai nom est Marie Gouzes. Royaliste, comme tout le monde (il n'y avait pas dix républicains en France, selon le mot de Saint Just, mais bien plutôt "vingt-six millions de royalistes", selon l'heureuse expression d'Alain Decaux), elle adopta l'enthousiasme des idées nouvelles au moment où, pour tout le monde, cette révolution semblait n'être que l'évolution nécessaire dont avait rêvé, par exemple, un Mirabeau.

    Mais assez vite, par la suite, révoltée et effrayée par les horreurs dont Marat, Danton, Robespierre et consorts se rendirent coupables, et lucide sur les conséquences de ce qui ne pouvait plus que déboucher sur le Totalitarisme, Marie/Olympe redevint la royaliste qu'elle avait été.

    Elle eut le courage, la noblesse de coeur et la grandeur d'âme de défendre Louis XVI et de rédiger des pamphlets contre Marat et Robespierre. Elle demanda à défendre Louis XVI et à être son avocate lors de son pseudo-procès stalinien, joué d'avance. Mais les conventionnels lui interdirent d'aider concrètement Malesherbes à défendre le Roi, au cours de ce "procès" bidon.

    Un tel courage ne pouvait bien sûr pas rester impuni : Robespierre la fit guillotiner le 3 novembre 1793, trois semaines après Marie Antoinette, à qui elle avait crânement adressé le préambule de sa "Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne".

     

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    Gravure d'époque

                  

    Il est attesté qu'elle monta à l'échafaud en faisant preuve d'un grand courage et d'une grande sérénité, illustrant le naufrage des Lumières dans la Terreur...

    Joli, non, de considérer "notre" Marie Gouzes/Olympe de Gouges comme une "militante de la révolution française" ?

    Même avec un taux de près de 90% de réussite au bac, il n'est pas sûr que, s'il le passait, Bartolone l'aurait, aujourd'hui !...

     

    TERREUR 6.jpgGravure royaliste de l'époque contre Robespierre : "Ci-gît toute la France". Comme il n'est pas sûr que nos gouvernants ignares la connaissent, dédions-leur la fameuse épitaphe apocryphe sur Robespierre  : "Passant, ne pleure pas sur mon sort / Si je vivais tu serais mort !"
     
  • Action française • Paris, week-end de Jeanne d'Arc : samedi 7 mai, colloque « Je suis royaliste, pourquoi pas vous ? »

     

    Rendez-vous le 7 MAI 2016 à 14h au forum de Grenelle, 5 rue de la Croix-Nivert - 75015 Paris. M° Cambronne

    Retrouvez toutes les informations sur le colloque du 7 mai sur le site internet de l’événement !

    Présentation, programme, plan d’accès, accès en streaming aux interventions, réservation de vos places...Vous n’avez aucune excuse !

    Pensez à acheter votre place pour le colloque ! 

     

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    Liste non-exhaustive des intervenants

    Pierre de Meuse  Jean-Philippe Chauvin  Robert Ménard  Pierre-Yves Muller  Benoît Dakin  Yvan Rioufol  Guillaume de Premare  Frédéric Rouvillois  Charles de Meyer  Guillaume Bernard  Paul-François Paoli  Marion Maréchal - Le Pen  Yves-Marie Adeline   Antoine de Crémiers  Gérard Leclerc  François Marcilhac
     
    Accès au site internet de l’événement !
    Cliquez sur l'image ci-dessous 

     
    Bande-annonce colloque
     

     

  • Le drapeau de la discorde

     

    Un éditorial de Henri Vernet

    Qui est paru dans Le Parisien le 11 octobre et que nous aurions pu signer. Le voici, pour les lecteurs de Lafautearousseau, suivi d'une chronique de Gérard Leclerc qui dit des choses essentielles sur le même sujet. Les deux réflexions se complètent utilement.  LFAR  

     

    le parisien.pngQuel est le dossier le plus urgent à régler aujourd’hui en Europe ?

    Le cactus de l’indépendance de la Catalogne, comment faire baisser la température entre les adversaires Madrid et Barcelone ? Donner suite aux propositions françaises sur une réforme de la Zone euro pour la rendre plus transparente et, surtout, plus efficace contre le chômage ? Coordonner une bonne fois pour tous les efforts des polices et services de renseignement des Etats membres dans la lutte antiterrorisme ? Voilà des sujets d’importance pour nos concitoyens.

    Mais ce sur quoi s’empaillent nos responsables politiques est d’un tout autre ordre, purement symbolique. Le drapeau européen doit-il oui ou non flotter à l’Assemblée nationale ? Jean-Luc Mélenchon et ses Insoumis veulent le faire valser de l’hémicycle, y voyant une atteinte à la souveraineté nationale et, pis, un signe intolérable de bondieuserie (au motif que son créateur avait un peu bêtement expliqué s’être inspiré des représentations de la vierge Marie pour le fond bleu étoilé...).

    Du coup, Emmanuel Macron, pour couper court, vient d’annoncer que la France adoptera officiellement le drapeau européen lors du prochain sommet de Bruxelles.

    Mais voilà que les souverainistes et l’extrême-droite font front avec Mélenchon, de Marine Le Pen à Nicolas Dupont-Aignan, qui ne réclament rien de moins qu’un référendum pour trancher ce drame existentiel. Pour les vrais problèmes des Français, on n’aura qu’à attendre...  

    Le Parisien

  • Cinéma • Faute d’amour, d'un film l'autre

     

    Par Guilhem de Tarlé 

    Faute d’amour, un film russe d’Andreï Zviaguintsev 

    Après  Mon garçon, de Christian Carion avec Guillaume Canet, un autre long-métrage sur les enfants du divorce !

    Deux histoires qui débutent de façon identique mais traitées très différemment.

    Ai-je le droit de me citer, mais comment ne pas reprendre ce que je disais de ce premier film :   « chacun, du mari et de la femme, a « retrouvé quelqu’un », chacun « refait sa vie »… Et l’enfant dans tout ça ?

    A une époque où, au moindre accident, on met en place une « cellule psychologique », quelle cellule psychologique pour l’enfant dont la cellule familiale ne dure pas plus qu’un CDD ? » 

    Dans les deux scénarios on constate « l’absence » de la police. C’est d’une part l’investissement individuel, personnel, du père de Mon garçon, d’autre part le déploiement collectif du Groupe de Recherche des Enfants Disparus (GRED), qui portent ces drames. Mais si, dans une réalisation pudique, Guillaume Canet prend très violemment conscience de sa paternité, le réalisateur russe, quant à lui, dénonce le Faute d’amour en mettant en scènes très scabreuses, dans toute leurs nudités, la recherche de jouissance et l’égoïsme des parents d’Aliocha. A leur chacun pour soi, avec une vulgarité soulignée par un vocabulaire ordurier, s’oppose la solidarité active et gratuite des membres du GRED, dont je me demande s’il est un héritage, heureux, du collectivisme soviétique !   

    Bref, une œuvre finalement très noire, très pessimiste, le contraire d’un conte de fées, oppressante, mais néanmoins excellente.  

  • Paris, ce jeudi 23 février: Conférence de Dominique Paoli sur la princesse Adelaïde d’Orléans

     

    Jeudi 23 février 2017 à 18 heures, Dominique Paoli donnera une conférence sur Madame Adélaïde  (1777-1847), sœur et égérie de Louis-Philippe Ier. Cette conférence exceptionnelle sera donnée dans la salle des mariages de la mairie du 7ème arrondissement de Paris. Cette conférence est organisée par la Société Littéraire et Artistique du 7e arrondissement de Paris

    L’historienne racontera l’incroyable histoire de la sœur cadette du Roi Louis-Philippe qui exercera un grand ascendant auprès de son frère tout au long de son règne. Fille du Duc d’Orléans (Philippe Égalité ) et de Louise-Adélaïde de Bourbon-Penthièvre, la princesse Adélaïde d’Orléans apparaît aujourd’hui comme l’un des grands esprits politiques de son temps. Née en 1777 dans les ors du Palais-Royal, élevée dans les idées nouvelles par Mme de Genlis, elle voit à douze ans sa destinée bouleversée par la Révolution. Jetée sur les routes de l’exil pendant un quart de siècle, elle doit affronter l’opprobre des émigrés, qui ne lui pardonnent pas d’être la fille du régicide, et fuir constamment, de couvent en couvent, devant l’avancée des armées françaises. Confrontée à une mère « éternelle pleureuse », qui voulait régenter sa vie, elle sut s’en dégager et trouver l’âme sœur en son frère Louis-Philippe. Réunis en 1808, le duc d’Orléans et sa sœur ne se quitteront plus et formeront avec la Reine Marie-Amélie, un trio inséparable. Le rôle de la princesse dans l’acceptation du trône en 1830 par Louis-Philippe sera primordial.  

     

  • Une sélection d'articles de qualité : La Semaine de Magistro...

    Dans la sélection suivante, la Rédaction a particulièrement apprécié :

    Renaud  GIRARD, Journaliste géopoliticien : Le Sahel, un Afghanistan français ?

    Sophie  de MENTHON, Présidente d'ETHIC : Quand un gréviste de la RATP profite de la grève pour travailler

    Jacques  BICHOT, Economiste, Professeur émérite à l'Université Lyon 3 :  Retraites : que faire ?

    Charles  GAVE, Ecomoniste financier : Françaises, français : cette année c’était très bien, les choses vont beaucoup mieux que l’an prochain

    Jacques  BICHOT, Economiste, Professeur émérite à l'Université Lyon 3 : Retraites : une réforme bousillée par l’amateurisme des hommes politiques

    Ivan  RIOUFOL, Journaliste politique : Retraites : pourquoi MACRON se trompe

    Sophie de MENTHON, Présidente d'ETHIC : Le mouvement ETHIC favorable à l’allongement de la durée de cotisation  (Retraites)

    Renaud  GIRARD, Journaliste géopoliticien : Le Sahel, un Afghanistan français ?

    Maxime  TANDONNET, Haut fonctionnaire, ancien conseiller au Cabinet du Président de la République : Les Anglais
    Rappel de l'article de Ch. GAVE paru le 17 novembre : l’Austerlitz de Boris Johnson

    Marie-Noëlle  TRANCHANT, Journaliste culturelle : Derrière Une vie cachée, la résistance spirituelle vue par le cinéma

  • Vu sur le blog ami de la La Couronne, les Archives de la Maison royale de France : 8 nouvelles photos à découvrir.

    Depuis sa création, le blog de La Couronne a entrepris un véritable travail d’archivage en regroupant toutes les vieilles photos ou les vieux journaux, retraçant la vie des princes de la Maison de France et publie le travail de ses recherches photographiques dans notre album ” Les Archives de la Maison royale de France”. De Philippe VII à Jean IV de France, les souvenirs ne manquent pas.

    Aujourd’hui, notre album “Les Archives de la Maison royale de France” s’enrichit de 8 nouvelles photos trouvées sur le net. Huit nouveaux témoignages de l’histoire de la Maison royale de France, que nous vous proposons de découvrir.

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  • Dimanche après-midi, la basilique Saint-Denis nécropole des rois de France envahie par des migrants ! Images ...

    Le monument de Louis XVI et Marie-Antoinette 

     

    Voile islamique, mégaphone… une horde envahit la nécropole royale de Saint-Denis.

     

    Il est donc autour de 15 heures, dimanche après-midi. Quatre-vingts personnes envahissent dimanche après-midi la basilique de Saint-Denis pour protester contre le projet de loi du gouvernement « Asile Immigration ».

    La vidéo montrant cette invasion de la basilique tourne sur les réseaux sociaux. Brut de fonderie, pas de commentaires, pas de trucage, pas de fake new. La réalité. Des gens qui courent, hurlent, rigolent, sifflent, aboient dans le mégaphone, déploient une banderole à l’intérieur de l’église. 

    La messe qui devait avoir lieu a été annulée. 

    Derrière cette manifestation, en forme de profanation, l’extrême-gauche n’est pas loin. Après évacuation de l’église, ce « collectif » se déporta devant le commissariat de police où l’on put apercevoir le député de la France insoumise Eric Coquerel. 

    Croit-on que ces gens-là s'en tiendront là ? La Seine-Saint-Denis est un bastion, un fief. Un territoire islamique ? Nous verrons bien !  •  

     
    Source de l'information Boulevard Voltaire
  • « Regards sur Maurras », un ouvrage à lire qui vient de paraître

     

    lettre communication Maurras.jpgLe 20 avril prochain, des hommages seront rendus un peu partout en France à Charles Maurras à l’occasion du 150e anniversaire de sa naissance. Pour cette occasion, les Editions Apopsix se sont attelées à la rédaction d’un ouvrage collectif rendant à sa manière, l’hommage qui est dû au grand Français que fut Maurras.

    Ce livre réunit autour d’un même sujet des contributions rédigées par des auteurs de renom :

    Anne Brassié « Cassandre avait raison »

     Axel Tisserand « Maurras et la Famille de France : une fidélité intégrale et critique »

      Jean-­‐Bernard Cahours d’Aspry « Charles Maurras et le Félibrige »

     Michel Fromentoux « Charles Maurras, grand français, grand provençal »

     Christian Vanneste « De Gaulle et Maurras ou le rendez-­‐vous manqué » 

     Hilaire de Crémiers « Maurras toujours vivant »

     Maxence Hecquard « La cécité de l’aigle »

     Philippe Prévost « La condamnation de l’Action française »

     Philippe Champion « Du Félibrige au nationalisme intégral »

      Paul-­‐Marie Couteaux « Les deux Charles »

     Frère Thierry « Maurras, un beau défenseur de la foi »  

     

    lettre communication Maurras.jpgRegards sur Maurras300 pages, 18 illustrations dont certaines inédites Prix : 20 €
    Date de sortie nationale : le 16 avril 2018
    Maison d’édition : Editions Apopsix, Editeur : Marc-­‐Laurent Turpin, Directeur général : Denys Pluvinage, Directeur de collection : Frère Thierry

  • Cinéma • Tully

     

    Par Guilhem de Tarlé

    Tully :  un film américain de Jason Reitman, avec Charlize Theron (Mario, la mère de famille), Mark Duplass (Craig, son mari) et  Mackenzie Davis (Tully) 

     

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    Une comédie dramatique difficile à cataloguer… j’y suis allé sur la pointe des pieds – mais il fallait bien profiter d’une soirée sans petits-enfants.

    La question posée du burn-out de la mère de famille était intéressante, mas je craignais un scénario très scabreux et, en cours de séance, dans notre société souvent contre-nature, j’ai même redouté le pire… j’étais donc assez stressé durant toute la projection, pressé d’en voir la fin… certes je ne m’ennuyais pas, mais je ne trouvais aucun intérêt à l’histoire qu’on me racontait…

    C’est donc soulagé que je suis sorti de la séance, en constatant que j’avais été manipulé par le réalisateur dans un monde onirique ou cauchemardesque avec une « employée » aussi fictive qu’une certaine Pénélope.

    A quel moment s’est fait la bascule du monde réel dans le virtuel ? Je n’en ai aucune idée, et peut-être finalement faudrait-il revoir ce film (?)

    C’est du moins mon interprétation de ce long-métrage, que mon épouse a du mal à partager…

    Que ce commentaire ne vous trompe pas, c’est un film peut-être à revoir mais que je ne vous recommande pas de voir !  ■  

    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plusieurs dizaines d’autres sur mon blog Je ciné mate.

  • Nés un 14 Juillet !, par Guy Adain.

    Les Présidents de nos Républiques naissent toujours un 14 juillet !

    C’est leur fête… Nationale bien sûr ! Avec lampions, feu d’artifice, bals des pompiers…

    Supprimer le 14 juillet, c’est un peu tuer le Président, pire, c’est assassiner la République, déjà mortellement blessée en 2016 sur la Promenade des Anglais à Nice !

    Annuler le Défilé du 14 juillet 2020, ce serait presque un crime de lèse-majesté, si « majesté » il y avait encore !

    Même nous, Royalistes, nous ne nous réjouissons pas de cette disparition.

    Les occasions d’unir et de rassembler les Français sont assez rares, et c’est bien dommage d’en faire disparaître une !

    Le Président va effacer le Tableau noir de l’Histoire de France…

    Mais tellement mal, que l’on pourra lire ce qu’il y avait écrit avant !

    14 juillet donc, mais austère et dans l’extrême simplicité et sobriété…

    Jugez-en plutôt : 2000 participants, 2500 invités, dont le Président des États- Unis…Un anniversaire de rigueur !!!

    D’habitude, le 14 juillet, parade militaire, fait étalage des forces de la Nation, les guerriers sont à l’honneur, cette année, changement de décor, ce ne sont pas les grondements des chars d’assaut que l’on entendra, mais les sirènes des ambulances !

    Cette année, les « Soignants » vont faire l’affiche, remerciés, décorés, honorés, quand ils préfèreraient être renforcés en nombre et mieux indemnisés.

    Le 14 juillet En-Marche 2020 sera un vrai-faux 14 juillet, qui ne satisfera, en même temps, que les inconditionnels Sans-culottes culottés.

    Pour les autres, Gens de France, je vous propose de fêter dignement le 15 Août, l’Assomption de la Vierge Marie !

  • Sur TV Libertés, des bourreaux à l’hôpital - Le Zoom - Daniel Neury.


    Il n’aura fallu qu’une semaine pour que les médecins d’Elisabeth Neury décident qu’elle doit être "débranchée". Après un malaise subit un matin d’hiver, l’épouse de Daniel Neury fait un arrêt cardiaque. Sa réanimation prendra plusieurs dizaines de minutes, laissant entrevoir de lourdes séquelles en cas de réveil. Dès son arrivée à l’hôpital, les médecins se montrent presque catégorique. Elle n’a aucune chance de s’en sortir.

    Dans son témoignage, Des Bourreaux à l’Hôpital, Daniel Neury livre son expérience d’époux aux côtés de la femme de sa vie plongée dans un profond coma dont on sait si peu de choses. L’entend-elle ? Apprécie-t-elle la musique qu’elle a tant aimée et que son mari s’emploie à lui faire écouter ? Sait-elle que les médecins chargés de son dossier sont déjà convaincus de l’issue fatale ?

    Au fil des pages, Daniel Neury raconte la froideur et parfois la violence des propos des médecins qui le poussent rapidement à accompagner l’ultime décision. L’auteur se veut également lanceur d’alertes pour que sa triste histoire pas si banale puisse éveiller les consciences.

  • Assassinat de la gendarme Mélanie Lemée : Et un premier scandale pour Castex, un !

    En hommage à Mélanie, Championne de France militaire de judo 2018

     
    L’image contient peut-être : 3 personnes, personnes souriantes, personnes debout et intérieur
    Sitôt le drame connu, le nouveau Premier ministre a tweeté ceci :
     
    "J'ai appris avec une grande tristesse le décès dans l'exercice de ses fonctions de la gendarme Mélanie Lemée. J'exprime mon sincère soutien à ses proches, ainsi qu'à l'ensemble des forces de sécurité intérieures, mobilisées jour et nuit pour notre sécurité."
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    Non, Monsieur le Premier ministre : Mélanie Lemée n'est pas décédé "dans l'exercice de ses fonctions" : elle a été assassiné délibérément par un délinquant multirécidiviste, bien connu par les services de police pour des faits de trafics de drogue et de délinquance routière, notamment une annulation de permis de conduire.
     
    Sur l’axe de la départementale 813, le contrôle dressé à hauteur de Port-Sainte-Marie avait pour but de le stopper. Afin d’éviter la herse disposée au sol, le trentenaire a donné un coup de volant, quitté la chaussé avant que sa voiture ne percute violemment la jeune gendarme...
     
     Pas de nom, pas de prénom : vous avez dit "bizarre" ?...
     
  • L’abbaye de Pontigny livrée par le PS à la goujaterie friquée du dit « art contemporain », par Bernard Antony.

    Il fallait hélas s’y attendre : ce vendredi, la présidente socialiste du Conseil Régional de Bourgogne Marie-Guite Dufay a choisi de vendre le domaine et les bâtiments monastiques ceinturant l’église abbatiale cistercienne de Pontigny (Yonne) à  François Schneider, propriétaire des eaux minérales Wattwiller.

    4.jpgLa Fraternité Saint-Pierre avait pour sa part fait une offre de rachat évidemment plus conforme à la vocation spirituelle et culturelle catholique de l’abbaye.

    L’affairiste Schneider a proposé au conseil Régional d’installer en ce lieu, au mépris de ce qu’il fut durant des siècles, un centre de ce qui est appelé « art contemporain » et un hôtel de luxe allant avec.

    On le sait, le dit « art contemporain » n’est pas de l’art moderne mais l’application financiaro-snobinarde de l’idéologie nihiliste de déconstruction de l’art qui ne doit plus être « Création » ni même récréation mais « décréation ».

    On ose espérer que le recours administratif qu’entend déposer la Fraternité Saint Pierre sera entendu par la juridiction compétente.

    Cette subversion radicale devenue d’ailleurs le plus affligeant, le plus vide des arts officiels a été illustrée par de grandes productions, à la manière des bidets rouillés de Marcel Duchamp.

    Le dit « art contemporain » a été riche d’expositions de boîtes contenant différentes sécrétions du corps humain devant lesquelles des abrutis de gogos friqués et éruptives donzelles étaient appelés à entrer en frétillantes pamoisons sous l’œil énamouré des producteurs attendant de gros chèques.

    Sans doute l’affairiste Schneider pourra-t-il faire exposer d’originaux écrasements de bouteilles de son eau.

    Source : https://www.lagrif.fr/