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  • 2 points de vue sur le : (1/2) 18 juin 1940, par Gérard Leclerc.

    Le général Charles de Gaulle au micro de la

    BBC à Londres, 30 octobre 1941.

    © BBC

    Quatre-vingtième anniversaire de l’appel du 18 juin du général de Gaulle ! Comment son auteur a-t-il vécu cet évènement et quelle leçon en a-t-il tirée pour lui-même et le pays ? Au-delà du suffrage populaire, comment entendre cette légitimité historique ?

    18 juin 1940 - 18 juin 2020 ! C’est donc presque un siècle qui nous sépare de cet acte fondateur qui propulsa Charles de Gaulle dans notre histoire. Le mieux est de se référer à lui-même afin de comprendre ce qui s’est passé ce jour où la France est tombée au fond de l’abîme et où un homme s’est retrouvé en charge de son destin : « Le 18 juin 1940, répondant à l’appel de la patrie éternelle privée de tout autre recours pour sauver son honneur et son âme, de Gaulle, seul, presque inconnu, avait dû assumer la France. »

    gerard leclerc.jpgCette déclaration tirée des Mémoires d’Espoir où le fondateur de la Ve République rappelle le fondement de sa légitimité, nous renvoie à un ordre singulier qui est celui de la légitimité historique. « Cette légitimité que j’incarne depuis vingt ans », avait-il proclamé à un moment difficile de l’exercice de son pouvoir. Une légitimité qui ne vient pas du suffrage populaire mais d’un appel mystérieux de l’histoire.

    Quelle aventure ! Il l’a dit aussi lui-même : « À quarante-neuf ans, j’entrais dans l’aventure, comme un homme que le destin jetait hors de toutes les séries. » Mais rien n’est encore joué, alors qu’il a obtenu de Winston Churchill son accord pour lancer son fameux appel sur la BBC. « Je m’apparaissais à moi-même, seul et démuni de tout, comme un homme au bord d’un océan qu’il prétendrait franchir à la nage. » Ce fameux destin, il s’agit aussi de le forcer, tout d’abord parce qu’il en va de l’avenir du pays. Le souci de de Gaulle, c’est de remettre la France en guerre, pour qu’elle ne soit pas absente de la reconquête de son propre territoire, bien au-delà de l’éventuelle force d’appoint que quelques unités pourraient apporter aux alliés.

    Sans doute l’histoire réelle est elle plus complexe que les résumés lapidaires des propos de commémoration. Le général de Gaulle était le premier à en avoir conscience, lui qui savait que l’unité nationale s’était forgée au fil de l’épée et avait été maintes fois déchirée : « Vieille France accablée d’Histoire, meurtrie de guerres et de révolutions, allant et venant sans relâche de la grandeur au déclin, mais redressée, de siècle en siècle, par le génie du renouveau ! » Quand nous examinons notre propre situation, Quatre-vingts ans après l’appel du 18 juin 1940, nous savons bien que notre histoire n’est pas forcément celle des lendemains qui chantent. Au moins la leçon de l’Appel demeure-t-elle comme un recours au courage et à l’éternel génie du renouveau.

    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 18 juin 2020.

    Nos citations sont tirées des Mémoires de guerre du général de Gaulle.

  • Chevaux mutilés : le silence assourdissant des animalistes et des antispécistes, par Isabelle Marchandier.

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

    Croupes entaillées, yeux crevés, parties génitales lacérées, oreilles coupées : les mutilations de chevaux se multiplient depuis plusieurs semaines un peu partout en France. Une note provenant du service central du renseignement territorial, diffusée mardi, recense 34 actes de cruauté depuis le début de l’année, dont 5 uniquement dans la journée du 24 août.

    7.jpegTout se passe comme si la vague de violence qui déferle sur la France depuis la levée du confinement venait également frapper nos amies les bêtes. Mais si ces actes de mutilation inquiètent les plus hautes instances, ils ne semblent pas franchement émouvoir les écologistes de tous poils pourtant toujours prolixes pour dénoncer les souffrances animales.

    Du côté du parti animaliste et des associations antispécistes, c’est silence radio. Pourtant, le cheval étant le seul animal dont plusieurs parties de sa morphologie se nomment comme les nôtres, il devrait être la mascotte des luttes antispécistes qui militent pour un traitement égal entre l’homme et l’animal. On ne peut que déplorer qu’aucune marche rouge ne soit lancée par des militants peinturlurés en rouge, brandissant des pancartes avec des têtes de chevaux ensanglantées et braillant sous les fenêtres du ministère de l’Intérieur « Stop stop stop au massacre ! » « Assez assez assez de massacre, sauvons nos équidés ! » En cette rentrée scolaire, le combat est ailleurs. L’heure est à l’évangélisation au véganisme. Les prêcheurs du Parti animaliste sont occupés à partir à l’assaut des menus des cantines avec, comme mission, de convertir les élèves à la cause végane et au végétalisme.

    Quant à l’inénarrable journaliste donneur de leçons, Hugo Clément, il préfère interviewer des chasseurs bien vieux, bien beaufs, bien blancs, et afficher sa mine chagrinée à chaque fois que l’un d’entre eux explique que la chasse à courre fait partie d’une tradition ancestrale et que la chasser n’est pas massacrer des animaux par pur plaisir sadique. De toute façon, en pleine campagne de promotion pour le référendum sur les animaux, Hugo Clément a mieux à faire que poster une vidéo virale sur Instagram pour s’indigner contre ces actes de barbarie à l’encontre des équidés.

    En fait, le mutisme sonnant et trébuchant des écologistes n’étonne guère, car il est finalement assez logique. Les mutilations des chevaux ne peuvent ni les émouvoir ni les intéresser. Entre des chevaux victimes d’actes de violence gratuite et des poules pondeuses entassées dans des cages encrassées qui ne voient jamais la lumière du jour, le choix est simple. Avec les chevaux mutilés, il n’y a aucun système d’exploitation capitaliste à dénoncer. Le combat écolo privilégie donc les poules, érigées en victimes innocentes sacrifiées sur l’autel de l’odieux élevage industriel intensif, grand responsable devant Mère Nature de la pollution des sols et des eaux et de crime contre l’humanité. En choisissant de défendre les animaux qui ont du potentiel pour légitimer la cause animale, les écolos pratiquent une sorte de discrimination.

    Mais le désintérêt des écologistes va au-delà de cet opportunisme de combat. Il est aussi à chercher dans ce que symbolise le cheval. Il suffit d’assister aux chorégraphies équestres de Bartabas pour se rappeler que c’est avec le cheval que l’homme a remporté des batailles et construit une civilisation. Des duos illustres ont marqué l’Histoire, l’un des plus beaux exemples étant celui d’Alexandre le Grand domptant le fougueux Bucéphale et partant conquérir le royaume de Perse.
    nIn fine, pour les écologistes, le cheval est trop humain pour être intégré dans leurs luttes.
    Préférant la nature à l’Histoire, les écologistes, perchés sur leurs trottinettes ou sur leurs vélos électriques, leurs destriers métalliques de ce Siècle vert, comme dirait Régis Debray, accueillent dans une froide indifférence cette cruauté à l’encontre de nos chevaux, autre preuve flagrante de l’ensauvagement de la société.

     

    Isabelle Marchandier

    Journaliste.
  • Adama Traoré : le syndicat de police Alliance 93 appelle à effacer la phrase ”contre le racisme et les violences policiè

    Assa Traoré, lle 13 juin 2020 lors d'une manifestation à Paris contre les violences policières à l'appel du comité Adama Traoré en mémoire de celui-ci et de George Floyd tué aux Etats-Unis. (NATHANAEL CHARBONNIER / RADIO FRANCE)

    Source : https://www.francetvinfo.fr/

    Une fresque en hommage à Adama Traoré et George Floyd a été inaugurée le 18 juin dernier à Stains (Seine-Saint-Denis). Le syndicat de police dénonce une mention "calomnieuse" et appelle à un rassemblement.

    Le syndicat Alliance 93, majoritaire au sein de la police en Seine-Saint-Denis, a appelé samedi sur ses réseaux sociaux à effacer une phrase associant les termes "racisme" et "violences policières", inscrite sur une fresque en hommage à Adama Traoré, située à Stains.

    Sur cette fresque, inaugurée le 18 juin par la municipalité aux côtés du comité "La Vérité pour Adama", ont été peints les portraits d'Adama Traoré, un jeune homme noir de 24 ans décédé lors de son interpellation en 2016 dans le Val-d'Oise, et George Floyd, Afro-américain de 46 ans tué le 25 mai à Minneapolis (États-Unis) par un policier blanc. 

    Une mention "calomnieuse" selon le syndicat

    C'est la mention "contre le racisme et les violences policières", peinte sur la partie supérieure de la fresque, qui a déclenché l'ire d'Alliance 93, la qualifiant de "calomnieuse". Sur son compte Facebook, le syndicat "dénonce la fresque nouvellement inaugurée à Stains par le maire en personne, en présence du collectif 'Justice pour Adama'. Nous demandons que cette phrase soit repeinte ou supprimée car elle stigmatise la police républicaine."

    Alliance 93 a appelé les policiers "à se rassembler lundi 22 juin à 16h devant la fresque située place du colonel Fabien à Stains", ajoutant notamment les hashtags "Haine anti-flics" et "Ultime provocation".

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    "Un geste infamant et injurieux" pour Assa Traoré

    La sœur d'Adama Traoré, Assa Traoré, à la tête du collectif "La Vérité pour Adama", a répliqué dans la foulée samedi sur son compte Twitter : "L’action du syndicat policier Alliance 93, qui appelle à repeindre le mur où est représenté mon frère Adama est un geste infamant et injurieux" dit-elle.

    "Effacer mon frère, recouvrir son visage, c’est nier son existence, qui fut déjà bien trop courte, et salir celles de tous ceux qui sont morts comme lui, trop tôt, entre les mains des forces de l’ordre, a-t-elle réagi. Repeindre le visage et le sourire de mon frère, c’est piétiner sa mémoire, c’est offenser ma famille, c’est faire disparaître son nom qui est aussi le mien, celui de nos frères et sœurs, celui de nos enfants."

    Assa Traoré a elle aussi lancé un appel au rassemblement devant la fresque de Stains, même jour, même heure "pour contrer le syndicat Alliance 93", remerciant par ailleurs "l'action exemplaire" du maire PCF de Stains, Azzedine Taibi, "pour son engagement courageux pour la vérité et la justice".

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    L'élu s'est fendu d'un communiqué, dimanche 21 juin, pour confier sa crainte face à l'appel au rassemblement du syndicat policier, "une menace à l'ordre public que je ne peux tolérer", écrit-il. "En correspondance depuis hier avec le préfet de Seine-Saint-Denis, je lui ai fait part de mes plus vives inquiétudes quant aux risques de débordement et de troubles à l’ordre public."

    Cette fresque est une expression artistique et pacifiste, en soutien et hommage à toutes les victimes de l’injustice.Azzedine Taibi Communiqué

    "Nous avons toujours dénoncé les violences quelles qu’elles soient", poursuit le maire de Stains. "À Stains, nous avons toujours privilégié le dialogue et le lien entre la police et les habitants. Pour autant nous ne cesserons pas de dénoncer les comportements inadmissibles de certains policiers qui outrepassent leurs droits et se servent indignement de leur position pour exprimer leur racisme et leur mépris des habitants des quartiers populaires."

    Sur son compte Facebook, le syndicat Alliance 93 a répondu à Assa Traoré, en précisant le sens de son action : "À aucun moment, nous n’avons suggéré de repeindre ou effacer la fresque de Stains dans son ensemble mais uniquement, et comme nous l’avons écrit, la phrase calomnieuse qui stigmatise l’ensemble des policiers que nous représentons, notamment en Seine-Saint-Denis. Non, il n’y a ni racisme institutionnalisé, ni violences systémiques au sein des forces de l’ordre !"

  • Amer anniversaire, par Charles de Meyer.

    En 1821, la Grèce se soulevait en faveur de son indépendance. Le 25 mars prochain nous fêterons les deux cents ans des débuts de son affrontement avec l’Empire ottoman. Et il y a peu de chance qu’Erdogan se munisse d’un Benjamin Stora local pour se repentir des actions ottomanes contre cette insurrection. Elle devait aboutir à la conférence de Londres en 1830 et donc à une victoire diplomatique des Hellènes.

    5.jpgL’Union européenne ne semble pourtant pas très désireuse de fêter l’évènement. Elle aurait pourtant là motif à affirmer que, pour une fois, la coopération diplomatique entre les Nations aura permis l’indépendance d’un des actuels États membres. L’Autriche n’en fut pas ravie, mais elle céda. Las, l’Union européenne sort d’un moment de présidence allemande où tout aura été fait pour apaiser les relations de Bruxelles et de la Turquie. Un nouvel épisode du tropisme germanique en faveur de l’alliance avec Ankara.

    Il faut se souvenir pourtant de l’escalade verbale amorcée au cours de l’été par l’illumination d’une frégate de la marine française par la marine turque. Certes, l’évènement n’avait déjà pas abouti à la solidarité européenne et l’OTAN avait même refusé de soutenir la France. Mais tout de même, la commission européenne aurait pu prêter l’oreille au discours du calife qui affirma le 30 août 2020 : « Le peuple français sait-il le prix qu’il devra payer à cause de ses dirigeants cupides et incompétents ? » (La Libre Belgique). Il continuait d’ailleurs le 5 septembre : « Nous en avons assez de ces jeux d’ombres. Ça devient comique de mettre en face d’une puissance régionale et internationale comme la Turquie un État qui ne se suffit même pas à lui-même. Tous les fronts hostiles peuvent s’unir, ils ne pourront pas stopper l’ascension de la Turquie. » (Radio et Télévision de Turquie – TRT).

    Après l’assassinat de Samuel Paty, quelques puissances européennes y allèrent tout de même de leur soutien à la France. Histoire de faire bonne mesure et, certainement, de dissimuler l’action initiée en coulisse. Dans le même temps, Heiko Maas, ministre des affaires étrangères de l’Allemagne, multipliait les contacts prônant l’apaisement avec la Turquie. À tel point qu’à la fin de l’année 2020 un début de lune de miel se noue entre Ankara et Berlin, si bien que lors d’une rencontre organisée ce 18 janvier, le ministre, ne trouva rien à redire quand son collègue turc, Mevlüt Çavuşo menaça Athènes en cas de résistance au chantage turc en Méditerranée.

    La Grèce de réagir en affirmant que : « Si Heiko [Maas] a compris les propos de M. Çavuşo?lu et est resté silencieux, alors nous avons le droit d’indiquer qu’il ne s’agit pas d’une réaction adéquate de la part d’un représentant européen. » Et nous ne doutons pas qu’Heiko avait compris.

    La Turquie continuera donc son chemin expansionniste. Elle est riche d’une politique nationaliste, d’un président largement apprécié par sa base et de l’aveuglement occidental. Certains racontent même que le mythe du couple franco-allemand continue à être enseigné à l’école… c’est dire !

    Face à elle, l’Union européenne demeure fidèle à son inconsistance stratégique. Quant à la France, elle tenta certes de tenir plus ferme que ses voisins européens. Piégée dans l’OTAN, incapable de résister à la présidence allemande de l’UE, affaiblie par la religion des droits de l’homme, elle subit une humiliation diplomatique indéniable.

    Les chrétiens de Turquie en souffriront infiniment. À Chios, où l’on se souvient des massacres ottomans, le soleil continuera à briller. Jusqu’à la prochaine provocation turque ?

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    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

  • Défilé du 1er mai et la CGT attaquée par les Black Blocs : la revanche de l’extrême gauche ?, par Nicolas Gauthier.

    Décidément, les temps changent. Autrefois, dès qu’un gauchiste se risquait à venir troubler un défilé de la CGT, surtout le jour de la Fête du travail, c’était la valse des côtes fêlées et des nez brisés. Pour résumer, à côté du service d’ordre du syndicat communiste, les gros bras du Front national, c’était un boys band. Pourtant, le 1er mai dernier, trouille et gnons semblent avoir changé de camp.

    5.pngLà, le bilan est loin d’être « positif », tel qu’on disait jadis place du Colonel Fabien : plus d’une vingtaine de blessés, dont quatre gravement atteints, dans un cortège alignant pourtant une vingtaine de milliers de manifestants. En face ? Deux cent casseurs, Black Blocs pour la plupart, même si certains préféraient arborer un gilet jaune plutôt qu’un drapeau rouge.

    Au programme, hormis les coups, les slogans : « CGT collabos » ; le tout assorti « d’insultes homophobes, racistes et sexistes », à en croire certains cégétistes cités par Le Monde du 3 mai dernier. Il n’en fallait pas plus à Julien Bayou, tête de liste écologiste aux élections régionales d’Île-de-France, qui est un peu à ce que François Pignon était naguère aux films de Francis Veber, pour s’indigner, sur Sud Radio : « Les insultes homophobes, et le fait de traiter la CGT de “collabos” sont plutôt signés d’une extrême-droite décérébrée. C’est elle qui est dangereuse, (…) c’est elle qui appelle à la guerre civile. » La preuve en est que « Marine Le Pen a salué la tribune des militaires qui appellent à l’insurrection. » L’ ? Mais bon sang, mais c’est bien sûr !

    Plus sérieusement, on notera que les événements de ce week-end couronnent, de fait, la victoire posthume du gauchisme contre le communisme ; « gauchisme » dont Lénine affirmait, non sans raison, qu’il était « maladie infantile » du même communisme. En ce sens, les staliniens, tout révolutionnaires qu’ils fussent, avaient le sens des réalités, tandis que les trotskistes entendaient poursuivre une révolution permanente.

    En France, voilà qui s’est vérifié au moins par deux fois. En 1945, nos communistes veulent prendre le pouvoir par la force. Staline leur ordonne de n’en rien faire, préférant un modus vivendi avec le général . En mai 1968, c’est Leonid Brejnev, son successeur, qui intime l’ordre au PCF de siffler la fin de la récréation, toujours en accord avec le même Général.

    Mais la fracture, plus que , est également d’ordre . Pour la plupart, communistes et cégétistes sont gosses de pauvres, alors que les gauchistes sont enfants de riches. La tradition de la centrale communiste, c’est la préférence nationale, contre un patronat suspect d’importer des immigrés par wagons entiers afin de pouvoir tirer les salaires à la baisse. C’est Georges Marchais qui, dès 1981, s’en prend à l’ de masse, légale comme clandestine.

    Cette fracture est aujourd’hui toujours d’actualité, surtout quand on sait le nombre de communistes et de cégétistes ayant depuis troqué le bulletin de vote PCF pour celui du . À leur façon, les communistes d’antan étaient aussi hommes d’ordre, si ce n’est réactionnaires.

    À ce sujet, il suffit de se rapporter aux déclarations des hiérarques communistes du siècle dernier. Pour la CGT, « l’homosexualité est un vice bourgeois, une tradition étrangère à la classe ouvrière ». En 1971, Jacques Duclos, ancien candidat à l’élection présidentielle de 1969, et interpellé par les activistes du FHAR (Front homosexuel d’action révolutionnaire), leur répond : « Comment vous, pédérastes, avez-vous le culot de venir nous poser des questions ? Allez-vous faire soigner. Les femmes françaises sont saines ; le PCF est sain ; les hommes sont faits pour aimer les femmes. » Atmosphère d’un autre temps…

    Que les descendants de cette lointaine époque soient désormais en butte à des injures homophobes est somme toute assez logique. Il n’est même pas incongru d’y voir la vengeance du gauchisme LGBTQ+ contre ce qui demeure d’un PCF autrefois patriarcal. Choisis ton camp, camarade !

     

    Nicolas Gauthier

    Journaliste, écrivain
  • Les Sleeping Giants attaqués en justice par BV, CNews et Valeurs Actuelles, par Sabine de Villeroché.

    Si j’étais méchante je dirais que Rachel n’a pas de cran. En tout cas pas le courage de ses opinions. A moins qu’elle ne soit tout simplement complotiste. Ou un peu de tout ça à la fois. Celle qui se définit comme “activiste anonyme de prétendant “stopper les médias racistes et sexistes en les attaquant au portefeuille” agit sous pseudo, multiplie les interviews dans les médias mainstream, milite bien au chaud derrière son petit écran et n’en finit plus de prendre des précautions pour se dissimuler.

    5.jpegLorsqu’elle est invitée sur une radio financée par nos impôts, je l’imagine chaussant lunettes noires, anti Covid  et chapeau mou pour parler avec Sonia Devillers.

    Rachel édicte les codes de conduite, les manières de se comporter sur les réseaux sociaux, décide quel média a le droit ou nom de s’exprimer, traque, dénonce, menace et sanctionne. Elle s’est donné pour mission d’expurger de la toile les sites “haineux” et fait de Boulevard Voltairemédia spécialisé dans la manipulation par la ,” sa première cible en date avant de s’attaquer à et à . Et s’en justifiait ainsi à Télérama  : “Avec mon partenaire, nous avons choisi de commencer par Boulevard Voltaire : c’était moins dangereux. En plus, Boulevard Voltaire fait passer des idées nauséabondes sous couvert de respectabilité chrétienne. Cela le rend à mes yeux encore plus insidieux.” 

    Son mode d’action est toujours le même : alerter les annonceurs publicitaires qui sont en affaire avec ses cibles pour priver ses ennemis de ressources, les convaincre de collaboration avec l’ennemi en postant ce type de message : “Bonjour, votre pub s’affiche sur le détestable BVoltaire et le finance à votre insu. Bloquez le svp”. Des méthodes dignes des pires époques de notre histoire mais efficaces. Par principe de précaution, le trouillomètre à zéro, par crainte de perdre des clients ou simplement de déplaire, une à une les marques se déculottent : Décathlon, Cyrillus, le Slip français et d’autres… Parmi elles, qui a pris la peine d’écouter ou de lire Boulevard Voltaire et de pousser plus loin la réflexion ? En retour chacune aura reçu ses trente deniers : un tweet de félicitations des Sleeping Giants, le salaire de la soumission…

    Mais Rachel n’opère pas toute seule. Elle a piqué l’idée de son réseau d’activiste chez les Sleeping Giants américains qui se sont organisés en réaction à l’élection de Donald . Le choix d’un peuple qu’ils ne supportaient pas. Depuis le réseau se dit implanté dans 16 pays.

    Si rien ni personne ne s’oppose au petit business de Rachel et de ses amis,  c’est la d’expression de tous qui est menacée. Après Boulevard Voltaire, CNews et Valeurs Actuelles, à qui le tour ?

    Dès les premières attaques, en 2019, Boulevard Voltaire a réagi et porté l’affaire devant les tribunaux. Car les agissements de Rachel sont illégaux et sanctionnés par le Code Pénal.  Aujourd’hui CNews et Valeurs Actuelles saisissent à leur tour la . Pour eux, “l’heure de la riposte a sonné”. Une bonne nouvelle pour Boulevard Voltaire et ses lecteurs car plus nous serons nombreux à agir et résister, plus nous aurons des chances de mettre fin à ce chantage odieux.

    Parce que nous refusons de nous laisser dicter ce que nous avons le droit de dire, d’écrire et de penser par Rachel et que la liberté guide nos pas…

     

    Sabine de Villeroché

    Juriste

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Tout sauf se moquer de Cyril Hanouna !, par Philippe Bilger.

    Les quelques échanges que j'ai eus fortuitement ou non avec Cyril Hanouna (CH) ont toujours été sympathiques et chaleureux et, puisqu'il faut le préciser à son sujet, je le sais intelligent. Invité deux fois dans son émission, à dire vrai j'ai été heureux de l'annulation : je m'y serais senti mal à l'aise. 

    7.jpgMais je prends au sérieux CH et ne sors pas la dérision dès qu'il parle ou donne son opinion. Et je lui ai offert et offre, sur mon blog, une adhésion ou une contradiction quand ses propos le méritent.

    Un député LREM, Saïd Ahamada, l'a mis en cause parce qu'il avait invité un dealer dans son émission. CH lui a répondu vertement, grossièrement et, plus gravement, sur un mode qui ne peut que favoriser un populisme politique qu'en général il dénonce.

    L'un de ses chroniqueurs est également un ex-dealer - "je n'avais pas le choix, j'étais en galère", justification avec laquelle je suis en total désaccord - mais le député LREM, ciblant le dealer invité, a appelé les médias à la responsabilité et saisi le CSA sur ce point.

    CH s'est autorisé notamment ces termes particulièrement insultants: "Ces mecs qui ne font rien, qui sont derrière leur bureau, qui prennent leur oseille de député et qui ne foutent rien de l'année, et ils viennent nous gonfler !" (Morandini).

    Ces propos sont doublement condamnables.

    D'abord je peux comprendre cet élu qui est scandalisé par la présence d'un dealer dans une émission suivie par de nombreux téléspectateurs, notamment de la jeune génération. Donner une telle visibilité médiatique à un délinquant est offensant pour tous ceux qui se battent contre le fléau de la drogue. D'autant plus que ces derniers jours ont montré à quel point l'usage de drogue et le trafic induit de petite ou de vaste ampleur qui en résulte, sont à la source d'une part importante de la délinquance.

    CH affirme qu'il s'agit d'information. D'une part on peut douter du caractère nécessaire du témoignage d'un dealer alors que mille solutions honorables existent pour se renseigner sur ce sujet. Dans tous les cas, présenter ce dealer comme une personne ayant naturellement droit de cité dans une telle émission est une faute.

    Certes ce n'est pas la première fois que je remarque la propension de certains médias à être attirés, voire fascinés par la délinquance ou la criminalité, comme s'il convenait de projeter de la lumière sur ces malfaisances en offensant les victimes qu'elles ont engendrées.

    Le ton navrant dont CH a usé représente une déplorable synthèse démagogique de tout ce qu'on charrie de pire sur la classe politique. C'est un ramassis d'inepties offensantes. CH qui a parfois mené des combats estimables en étant hostile à tout ce qui favorisait une démocratie de mauvais aloi, une République indigne, se livre à un exercice qui contredit en l'occurrence ses bonnes intentions.

    Insulter ce député comme il l'a fait n'était pas décent et on peut regretter qu'ainsi il ait conforté ses adversaires dans leur appréciation négative. J'ai par exemple entendu dans les Vraies Voix de Sud Radio le 3 septembre des interventions lui reprochant de ne savoir faire que du buzz et jugeant donc inutile toute contradiction, ne croyant pas qu'on puisse lui faire entendre raison.

    Je pense l'inverse. Il ne faut rien lui passer précisément parce qu'il a du talent, de la gouaille et de la vivacité et que lui rappeler à la fois la politesse et la honte d'un dealer médiatique n'est pas inutile.

    J'ai cru relever une étrange tendance qui ne cesse de s'amplifier : il faut avoir été ancien délinquant ou criminel pour informer sur la justice, communiste pour avoir le droit de vitupérer le communisme, curé pour dénigrer l'Église, salarié pour maudire l'entreprise, policier pour accabler les forces de l'ordre. On ne croit que ceux qui, au-dehors, sont prêts à maudire ce qu'ils ont quitté.

    Il n'était pas nécessaire que ce dealer vienne donner des leçons d'immoralité. Le député LREM, une personnalité, elle, parfaitement honorable, a eu raison de s'indigner.

    Source : https://www.philippebilger.com/

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    Il ne faudrait tout de même pas l'oublier, alors que la grande offensive de l'Islam contre la Chrétienté a re-commencé (les Arméniens en savent quelque chose...) et Zemmour a bien fait de le rappeler dans Face à l'info : 

    "Le Qatar est un des agents de l’islamisation de l’Europe et de la France"

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    1. Que sont, que valent, les gens qui brûlent les livres ? Les foldingues de la culture de l'effacement viennent de frapper au Canada : une commission scolaire de l'Ontario a procédé à un autodafé de livres pour enfants et adolescents comme Astérix et Tintin, qui ont été jetés, brûlés ou enterrés, dans la droite ligne de cette folie furieuse de la "culture de l'effacement", popularisée par les anglo-saxons sous le nom de "cancel culture" anti-occidentale....

    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1817537/livres-autochtones-bibliotheques-ecoles-tintin-asterix-ontario-canada

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    2. "Expulsion de Nice" : même si la décision est, effectivement dure ("Dura lex, sed lex") on est face à une famille qui, depuis 2018, est connue pour des faits graves (dégradations, occupation de halls d’immeuble, trafics de stupéfiants). La notification d'expulsion a été rendue après trois ans de procédure, de multiples mises en demeure et des tentatives de dialogue avec la famille, qui n’a jamais su saisir les mains tendues. Sauf pour vendre de la drogue, donc de la mort. Quand on a un logement social, on doit se montrer digne... 

    https://www.bvoltaire.fr/nice-expulsion-dun-hlm-dune-mere-et-de-son-fils-condamne-pour-trafic-de-drogue-les-associations-crient-au-scandale/

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    3. D'accord avec Goldnadel, sur le délinquant arrêté par la police à Marseille, puis, quasiment sur le champ, libéré après une attaque en règle de l'armée délinquante contre les Forces de l'ordre :

    (Gilles-William Goldnadel remet en cause les mesures annoncées par Emmanuel Macron : en payant, "vous n’achetez pas la paix sociale, vous aurez la guerre, et vous perdez un petit peu votre honneur..."

    (extrait vidéo 1'28)

    https://twitter.com/CNEWS/status/1435262704420331528?s=20

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    4. À Perpignan, au moins on essaie de lutter concrètement contre le trafic de drogue/trafic de mort... :

    https://policeetrealites.com/2021/09/08/%f0%9f%87%ab%f0%9f%87%b7-perpignan-drogue-on-rase-un-immeuble-pour-chasser-les-dealers/

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    5. Un jeu de mot qui n'est pas de très bon goût, mais enfin... Une invitation est lancée pour la fin de ce mois, à Lyon, afin de défendre le nucléaire, domaine où la France excelle...

    "Le nucléaire fait partie de la solution aux enjeux climatiques. Il est plus important que jamais de le rappeler ! Vous êtes d'accord ? Rejoignez-nous
    aux Fê(ai)tes du Nucléaire le 25/09 à Lyon"

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    6. Réalité du "Grand remplacement" :

    (extrait vidéo 1'57)

    https://twitter.com/ZemmourEric/status/1435184415693475841?s=20

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    7. SOS ÉDUCATION communique :

     
     
    Parents, ne manquez pas le guide des ressources SOS Éducation... Un outil indispensable pour cette rentrée scolaire ! De nombreuses ressources pédagogiques et ludiques, de la maternelle au lycée Obtenez-le gratuitement, en 1 clic : bit.ly/guide-ressourc

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    À DEMAIN !

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  • L’éditorial de Jacques de Guillebon : Simple soldat.

    Acculée, la gauche mord mais ne se rend pas. Depuis quelques mois, ce camp de vieux ringards et de boomers répugnants, qui parvient toujours à recruter, à son habitude, parmi les franges de la population les plus faibles intellectuellement et culturellement, savoir : les jeunes filles « en transition », ce qu’on appelait autrefois des adolescentes, qui croient dur comme fer que leurs cheveux bleus vont sauver la planète et qui hurlent derrière la monstrueuse poupée venue du nord, Greta, « how dare you », dans un bavement de rage ;

    4.jpgla racaille sans nom, sans langage, sans cerveau et sans espérance, qui se moque bien des idéologies tant qu’on peut prendre l’oseille et injurier ; les étudiants de Sciences Po que grisent les mots derridiens dénués de sens ; les punks à chien enivrés de mauvaise bière qui ont pris Notre-Dame des Landes pour le paradis ; depuis quelques mois donc, la gauche montre les crocs et dénonce, et fait le ménage autour d’elle.

    Terrée dans son bunker de la Maison de la radio, interdit à jamais à tout homme de droite, elle anathématise à l’aide de ses relais médiatiques comme Le Monde, ou politiques, comme La France insoumise, tout ce qui vient contester son hégémonie. C’est un jour le ridicule scandale de Valeurs actuelles par où l’on assiste à cette scène ahurissante : le quotidien du soir enjoint dans un éditorial d’exclure tous ces semi-droitards des plateaux télé ; deux heures après, Geoffroy Lejeune, directeur de la rédaction de l’hebdomadaire est viré de LCI. Une autre fois, c’est nous-mêmes qui sommes censurés par la multinationale JC Decaux qui a jugé ce que bon lui semble, c’est-à-dire que notre Une sur la remigration ne pouvait figurer sur les kiosques de la région parisienne. Une autre fois encore, c’est Jean-Luc Mélenchon qui décide de bannir le buste de saint Louis hors du Sénat.

    Tous ces assauts rageux dissimulent de moins en moins le projet de haine qui est celui de la gauche : raser bien entendu tout ce qui fait la grandeur de la France et de la civilisation européenne, mais non plus au nom d’une raison abstraite : au nom de la substitution d’une autre culture à la nôtre, culture par ailleurs vague et indéfinie, dont tout ce que l’on sait c’est qu’elle sera sans pères, sans blancs, sans chrétiens, sans histoire, sans sexes, sans objectivité. Cette gauche bave et mord, il a longtemps qu’on le sait.

    Tous ces assauts rageux dissimulent de moins en moins le projet de haine qui est celui de la gauche : raser bien entendu tout ce qui fait la grandeur de la France et de la civilisation européenne

    La nouveauté, c’est qu’elle est secondée objectivement dans sa tâche par un pouvoir central, le macronien, qui pétrifie toute opposition et annihile par injections narcotiques toute tentative de révolte. Emmanuel Macron n’est pas tout-puissant, il est au contraire tout impuissant mais c’est par cela qu’il règne. Il jouit à l’évidence des castagnes qui ont lieu autour de lui dans la cour de récré, et en fait son miel, tel le délégué rapportant à la maîtresse. Un jour il balance la gauche, le lendemain, il dénonce la droite. Et nul ne songe à s’attaquer réellement à lui. Car il est dur d’attaquer un ventre mou, difficile de saisir un fantôme qui se dérobe. Il offre Darmanin à la droite, et Dupont-Moretti à la gauche. Il est matamore et humaniste dans le même temps. Chef de guerre et maman poule.

    Avions-nous mérité cela ? L’histoire le dira. Elle dira surtout si nous avons essayé de résister au chant de Kaa qui nous disait d’avoir confiance dans qui s’apprêtait à nous étrangler. Elle dira si nous aurons perdu notre temps en bavardes querelles durant que la maison flambait. Elle dira si nous aurons réussi à rassembler, dans un élan invincible, et à convaincre, et à gagner à la fin. Aristote l’a dit : « Quand l’armée est en déroute et qu’un simple soldat fait front, tout le front bientôt se reconstitue autour de lui ». Soyons simple soldat.

    Source : https://lincorrect.org/

  • Sonia Mabrouk démasque Alice Coffin : et si, maintenant, on tirait le fil ?, par Gabrielle Cluzel.

    L’extrait a rencontré un vif succès sur les réseaux sociaux. répond aux question de sur Europe 1, l’occasion pour elle de se plaindre avec vigueur de son éviction de l’Institut catholique de .

    gabrielle cluzel.jpegMais voilà que la très courtoise et cependant implacable Sonia Mabrouk la met brutalement, d’un ton candide, devant ses contradictions : « Vous dénoncez une censure dans une université, c’est très grave ! Mais pourquoi ne pas l’avoir aussi dénoncée quand la philosophe Sylviane Agacinski a été censurée à l’université de Bordeaux pour ses positions – qu’elle est libre d’avoir – contre la PMA ? »

    Alice Coffin, décontenancée, respire un grand coup, cherche ses mots, balbutie, bégaie, hésite, se gratte la tête, se raccroche à des anathèmes éculés comme un naufragé à un bois flotté, et à des mises en garde surréalistes « attention aux fausses équivalences »… pas simple de justifier l’injustifiable.

    Nul besoin de courir le monde pour mériter le prix Albert-Londres. « Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus que faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie… » Sonia Mabrouk pourrait postuler : assise dans un studio feutré, elle vient de porter un grand coup de micro – autres temps, autres outils de travail – à cette plaie béante du deux poids deux mesures en France.

    Mais à présent que l’on a tiré le premier fil, c’est toute la pelote de la camisole de force, tricotée bien serrée autour de la liberté d’expression, qu’il faudrait dérouler.

    Si Alice Coffin a été contrée par Sonia Mabrouk, il n’en a pas été de même, deux jours auparavant, lorsqu’elle a été invitée sur la 5 dans l’émission « C politique » : sans aucune difficulté, elle a pu, une fois de plus, accuser « LES hommes » dans leur globalité. « Le discours de généralité, c’est un discours politique », explique-t-elle sans complexe. « Ce n’est pas chaque homme, s’il faut vraiment rassurer ces messieurs », veut-elle bien concéder, ironique et levant les yeux au ciel, mais « tout discours politique, historique, sociologique est à base de généralités » : « Quand vous dites les Français en 1830, vous n’allez pas dire (rires), not all French ! » Et puis, rajoute-t-elle, « ils sont encore trop nombreux à nous traumatiser, et trop peu à nous aider, et donc dans la balance, je me permets de dire les hommes ». Loin d’en être gênée, la chaîne met en avant ces propos via un morceau choisi posté sur les réseaux sociaux. Pas de cris d’orfraie, de saisine de la justice, du CSA ou du comité d’éthique, pas de ministre indigné ni de politique outré. Une lettre à la poste ! Personne, non plus, pour faire l’analogie avec la récente affaire Zemmour. Il y a les généralités légitimes et les généralités condamnables. Encore une de ces « fausses équivalences », sans doute.

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    Lorsque Alliance VITA intervient dans un lycée catholique, le ministre de l’Éducation ouvre une enquête administrative. Lorsque Assa Traoré vient porter la bonne parole anti-flic dans un lycée public de banlieue, silence radio.

    Lorsque des étudiants de L’ICES font tomber une pile de tracts LGBT et crèvent des ballons, ils font l’objet d’une plainte (pour laquelle ils ont été relaxés), d’un lynchage médiatique, et sont virés de leur établissement. Cet établissement est d’ailleurs régulièrement tagué, dégradé – « on est habitués », confie le directeur de la communication à Ouest-France – et menacé : dimanche dernier, lors de la première Marche des fierté de la Roche-sur-Yon, on a pu voir une pancarte « Crève l’ICES »… non loin d’une autre, tout aussi aimable : « État/police/justice/tous homophobes ». Qui pour en parler ?

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    Lorsque, en revanche, un étudiant en master de sociologie à Nanterre est accusé d’avoir mis le feu à une voiture de police (il sera condamné, pour cela, à cinq ans de prison dont deux avec sursis), il n’est pas exclu de l’université, loin de là : une salle est même mise à disposition de son comité de soutien.

    Il y a tant d’Alice Coffin, dans ce pays, et si peu de Sonia Mabrouk pour les confondre.

     

    Gabrielle Cluzel

    Ecrivain, journaliste
     
  • Mais jusqu’à quand laissera-t-on la LDNA cracher sur nos soldats ?, par Gabrielle Cluzel.

    Souvenez-vous, c’était en juillet 2019. Dans l’actualité, il était question de l’interdiction de la fessée et de la venue de la jeune Greta Thunberg à l’Assemblée nationale. Emmanuelle Ménard avait fait un peu d’humour sur Twitter en voulant relier les deux faits – « Greta Thunberg.

    gabrielle cluzel.jpegDommage que la fessée soit interdite, elle en mériterait une bonne » -, mal lui en avait pris, un administrateur de Twitter l’avait très vite contactée : soit elle retirait son tweet immédiatement et présentait des excuses, soit elle faisait appel et son compte était suspendu. Elle avait choisi de faire appel. Elle a retrouvé l’usage de son compte Twitter il y a seulement quelques semaines.

    On sait la promptitude, n’est-ce pas, des GAFA pour traquer les propos violents, offensants, choquants, et surtout les « fake news »… sauf que le tweet de la Ligue de noire africaine insultant nos deux braves soldats tombés samedi au , qui a été publié dimanche matin à 0 h 46, est toujours là : « Selon Média : les deux terroristes (sic) fran étaient bourrés du aux fêtes (resic) et se sont tirés eux-mêmes dessus. Ça craint ! Il faut vite que rapatrie les troupes du Mali. Les Africains règleront seuls leurs problèmes. » Quelques heures plus tard, la , répondant à ses détracteurs, précise sa pensée : « La LDNA ne pas regrette (resic) la mort de ces militaires qui n’auraient pas dû protéger au Mali les intérêts économiques de la bourgeoisie criminelle française menée par Bolloré. Il est temps de ramener les soldats en France. Les africains, les Maliens se débrouilleront seuls. »

    Twitter ne s’en est toujours pas ému. Ne doit pas considérer que c’est violent, choquant, offensant, ni que cela relève de la « fake news ».

    Or, la LDNA est aussi sur d’autres réseaux sociaux. Instagram, par exemple, affilié à Facebook, où elle compte 57.600 abonnés. Sur Instagram, son avant-dernière publication appelle à harceler, en le « taguant » sur les réseaux sociaux, le député LR de Seine-et-Marne, commissaire à la défense, Jean-Louis Thieriot, qui s’est élevé avec vigueur contre les tweets ci-dessus cités. La dernière est un extrait d’émission de radio malienne dans lequel le porte-parole de la LDNA Egountchi Behanzin conspue notre armée en toute tranquillité : « Quand les terroristes militaires français ne meurent pas pendant leurs missions, ils sont accusés de pédophilie sur des gamines en Afrique. Ils sont attrapés avec des caisses remplies d’or. Que font-ils vraiment au Mali ? Qui arme les terroristes ? Personne n’est dupe. »

    Rappelons que Egountchi Behanzin s’est rendu célèbre, en septembre dernier, pour avoir tenté d’incendier (sans succès !) le drapeau tricolore devant l’ambassade de France au Mali.

    D’Éric Ciotti à Thierry Mariani, en passant par la LICRA, nombreux sont ceux qui réclament, ce soir, de et d’Emmanuel Macron la dissolution de la LDNA.

    Mais notre gouvernement, si prompt à inonder les réseaux sociaux de son indignation surjouée sitôt qu’Éric Zemmour est supposé avoir dérapé ou qu’un policier, sans même que la justice ait eu le temps de statuer, est accusé, est, en ce dimanche, d’une discrétion de violette, muet comme une carpe, motus et bouche cousue. Sans doute nous dira-t-on, demain, comme pour les voitures brûlées du réveillon – on connaît la chanson -, qu’il vaut mieux ne pas en parler, chut, il ne faut pas leur faire de la publicité, car c’est ce qu’ils recherchent, c’est bien plus malin, vous comprenez. Mais pourquoi donc, dans ce cas, fait-on « de la publicité » à Éric Zemmour ?

    Dans quelques jours, on rendra hommage à leur dépouille sur le pont Alexandre-III, puis dans la cour des Invalides, avec la mine de rigueur, les troupes au garde-à-vous, la fanfare militaire, le cercueil drapé de nos couleurs, les décorations posthumes, la poignée de main appuyée à la famille dévastée et un discours vibrant qui convoquera tous les héros français d’hier et d’aujourd’hui. À quoi bon tout cela, si l’on tolère dans le même temps ces abjects crachats ?

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    Gabrielle Cluzel

    Ecrivain, journaliste
  • Un rappeur exhorte une jeune fille à se voiler pour être « plus belle »… Qu’en dit Marlène Schiappa ?, par Gabrielle Clu

    « Mettez-un voile, vous serez plus belle. » La phrase a jailli, sans complexe, de la bouche de Brulux, rappeur franco-tunisien. Vous ne le connaissiez pas ? Étonnant. Il s’autoproclame pourtant star internationale sur les ou encore sur le plateau de « Touche pas à mon poste », où il était invité, mardi soir, pour débattre de mixité dans les banlieues : « T’sais chui qui ? Je suis une star internationale ! » Un avis qu’il partage sûrement au moins avec sa maman, ce qui, me direz-vous, est déjà un début.

    gabrielle cluzel.jpeg« Brulux c’est pas le couteau le plus aiguisé du tiroir, mais ils l’ont invité, fallait inviter Kery James ou Medine pour nous défendre, pas Brulux », déplore, sur Twitter, un certain Abdel25435. On ne sait trop ce que recouvre, au juste, ce « nous », on peut néanmoins en déduire que le génie ineffable de Brulux ne fait pas l’unanimité jusque dans son camp (qui reste à définir). Mais une forme de hargne éloquente lui tient lieu, si l’on veut, de talent.

    « Mettez-un voile, vous serez plus belle. » Cette petite phrase lourde de sens s’adressait à Alice Cordier, présidente de Némésis, collectif féministe identitaire, qui avait eu l’outrecuidance de l’interrompre, ce qui, dans un débat, on en conviendra, est proprement scandaleux. Crime de lèse-majesté. Car il faut dire que Hedi Chabar (c’est son vrai nom) arbore aussi une couronne incrustée de pierres en guise d’émoji sur tous ses profils.

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    « Mettez un voile vous serez plus belle. » Pas de réaction sur le plateau, seulement un rapide « s’il vous plaît, s’il vous plaît… » de Cyril Hanouna. David Guiraud, porte-parole de , assis à côté de Brulux – et que celui-ci appelle « mon co-équipier » en le gratifiant de grandes bourrades amicales dans le dos -, si prompt à voler au secours des femmes voilées pointées du doigt, ne bronche pas. Les femmes non voilées que l’on exhorte publiquement à se couvrir la tête pour être plus jolies lui en font une belle.

    Il est vrai que les accointances non dénuées d’arrière-pensées électoralistes de La insoumise ne sont un mystère pour personne. Plus incompréhensible, en revanche, la discrétion de violette de Marlène Schiappa, si prompte habituellement à s’émouvoir sur son compte Twitter de toute micro-polémique à relents misogynes montée en épingle… Elle n’a toujours pas réagi, à cette heure.

    Quand Éric Zemmour suggère à que Corinne aurait été un joli prénom pour elle, Marlène Schiappa monte au créneau et pourfend, indignée, le grand criminel. Mais quand une jeune Alice se voit administrer un conseil sexiste sur son physique, s’apparentant singulièrement aux pressions morales que subissent les filles qui refusent de « jouer le jeu » dans les quartiers islamisés – voilées, les femmes sont « plus belles », donc « mieux » que les autres… et quoi d’autre, encore ? Plus vertueuses ? -, c’est silence radio.

    Ce Brulux, qui selon sudinfo.be (il était domicilié dans la région de Liège) a été incarcéré en détention préventive le 20 janvier 2019 et « placé sous mandat d’arrêt dans le cadre d’un dossier de violence conjugale » avant d’être libéré deux mois plus tard (sur le plateau de TPMP, il affirme que « Madame est à la maison, les enfants sont à la maison » et que « tout le monde vit bien »« il n’y aura pas de procès »), ne doit pas faire partie de ces relous contre lesquels Marlène Schiappa entend lutter. Pourtant, prétendre que les paroles de ses chansons font montre d’un esprit délié serait très exagéré…

    Est-il besoin de le préciser ? Aucune autre féministe ne s’est non plus manifestée pour protester.

    Marlène Schiappa vient de lancer les États généraux de la ? On attend avec impatience le grand débat sur la tartufferie.

     

    Gabrielle Cluzel

    Ecrivain, journaliste
  • Une candidate LREM voilée enflamme la majorité, par Pierre Lepelletier.

    À gauche, la remplaçante Sara Zemmahi apparaît voilée. Capture d'écran Twitter

    Le délégué général du parti, Stanislas Guerini, a annoncé que cette candidate «ne sera pas soutenue par La République en marche», et a déclaré retirer son investiture.

    6.jpgC'est une photo qui a mis le feu aux poudres. Sur un visuel de campagne de La République en marche pour le canton de Montpellier 1 aux départementales, la candidate remplaçante, Sara Zemmahi, apparaît voilée. Rapidement, le cliché a circulé sur les réseaux sociaux lundi soir. Le vice-président du Rassemblement national, Jordan Bardella, s'est engouffré dans la brèche. « C'est cela la lutte contre le séparatisme Marlène Schiappa ? », a-t-il lancé.

    Clarification nécessaire ou erreur stratégique ? Stanislas Guerini, le délégué général de La République en marche a jugé bon de faire une mise au point... en retweetant l'interpellation de Jordan Bardella. «Les valeurs portées par LREM ne sont pas compatibles avec le port ostentatoire de signes religieux sur un document de campagne électorale », a-t-il tenu à rappeler. Avant de lancer un avertissement : «Soit ces candidats changent leur photo, soit LREM leur retirera leur soutien. »

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    Si le tweet de Stanislas Guerini a été relayé par Marlène Schiappa, ministre chargée de la Citoyenneté, il a surtout soulevé une bronca au sein de l'aile gauche de la majorité. « L'extrême droite ne doit pas dicter notre agenda politique, et encore moins les règles électorales. Aucun texte de loi n'interdit le port des signes religieux dans une campagne électorale ou lors d'un mandat », a par exemple souligné mardi matin Cécile Rilhac, députée LREM du Val-d'Oise.

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    « Je suis en désaccord total avec ces propos tant sur le fond que la forme. La légalité et la liberté de conscience prévalent. Les électeurs disposent », a martelé son collègue, Sacha Houlié. « Quant à relayer un cadre du FN, c'est injustifiable. Ce parti, leurs opinions, leurs dirigeants, je les combats », a également affirmé le porte-parole du groupe LREM à l'Assemblée. Ce dernier a même réclamé, auprès de Libération , la démission de Stanislas Guerini.

    Après avoir soutenu le délégué général en likant son tweet, le porte-parole Roland Lescure a, lui, semblé faire machine arrière. Le député a en effet reconnu que « retweeter Bardella était sans doute maladroit de notre part car donnant l'impression qu'on réagissait suite à son interpellation ».

    Guérini persiste et signe

    Malgré les critiques, Stanislas Guérini a campé sur ses positions, ce mardi sur RTL. «Je dis les choses très clairement. Avec les instances dirigeantes du parti, je fixe une ligne politique. On ne remet pas en cause le droit. Mais la loi dit aussi que les mouvements politiques peuvent décider du soutien apporté à leurs candidats. Notre mouvement politique considère que les signes religieux n'ont pas leur place sur une affiche de campagne dans le cadre d'une campagne électorale», a-t-il précisé, annonçant que cette candidate «ne sera pas soutenue par La République en marche» et déclarant retirer son investiture.

    Même son de cloche du côté de Gabriel Attal. Interrogé mardi matin sur France Inter, le porte-parole du gouvernement a indiqué que LREM ne souhaitait pas «présenter un candidat avec un signe ostensible religieux». «C'est une question de choix politique», a développé le porte-parole du gouvernement sur les ondes de la radio publique.

    Angle mort

    Ces péripéties sont révélatrices : elles prouvent que la question de la laïcité reste un éternel angle mort pour La République en marche tant les positions peuvent varier d'un parlementaire à l'autre. Pour calmer le jeu, Christophe Castaner a voulu rappeler la ligne du mouvement mardi matin lors d'une réunion de la majorité. « Quand on est candidat au nom d'un parti politique, on est un candidat qui rassemble et qui ne doit jamais imposer son choix religieux », a affirmé le président du groupe LREM à l'Assemblée nationale.

    Les candidats montpelliérains ont finalement retiré le visuel des réseaux sociaux. « Je suis choqué par cette réaction. On respecte la loi sur la laïcité », a reconnu mardi Mahfoud Benali, candidat titulaire, à Midi Libre. « Pour nous, c'est un non-sujet et beaucoup de gens nous suivent. Y compris des ­Marcheurs ».

    Source : https://www.lefigaro.fr/

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    1. Récapitulons un peu, où en sommes-nous, au juste ? :

    • 300.000 migrants an, pas de contrôle;

    • 20.000 fichés "S", pas de contrôle;

    • mosquées salafistes, pas de contrôle;

    • millions de fausses Cartes Vitale, pas de contrôle;

    • autres fraudes aux Allocs, pas de contrôle;

    • et... un café en terrasse  ? 6 mois de prison ?

    À méditer, ces deux propos de Bercoff :

    André Bercoff
    "Petits connards de #France, Gaulois réfractaires au providentiel #PassSanitaire, vous osez vous demander si les milliers de clandestins sont vaccinés ? Vous osez avoir des doutes quant à d’éventuels effets secondaires ? A présent c’est clair : le dosage ou le chômage. A tous âges."
    "Ce pouvoir dont l’exercice, depuis le début, ne suscite et ne mérite au fond qu’une seule réplique, tirée de "La reine morte", de Henry de Montherlant : "En prison, monsieur ! En prison ! Pour médiocrité !".

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    2. Et si "la" bonne question était celle que pose Vincent Trémolet de Villers ? :

    Vincent Tremolet de Villers
     
    "Masques à l'extérieur, bars fermés à 23h00... Ces mesures incertaines sur le plan sanitaire (les jeunes vont-ils aller se coucher en août à 23h00 ?) veulent-elles protéger une population largement vaccinée ou nos "décideurs" du risque pénal ? #Parapluie #Absurdistan"

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    3. Zemmour (Sud Radio) : "Il y a aujourd'hui 1000 agressions "gratuites" par jour" dans ces quartiers où règne la charia et où l'on n'est plus en France. Et ce n'est pas un problème de pauvreté (l'argent de la drogue coule à flot) ni d'urbanisme, mais de population... :

    (extrait vidéo 2'18)

    https://twitter.com/Samuel_Lafont/status/1417367230011084800?s=20

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    4. D'accord avec Alexandre Devecchio :

    "#Passanitaire En matière de lutte contre l'immigration ou le terrorisme, les "sages" du conseil d'Etat et constitutionnel ont toujours défendu une vision maximaliste de la liberté individuelle. On constatera qu'en matière sanitaire, en parfaite incohérence, c'est l'inverse...
    ...L'occasion de rappeler que ce que l'on appelle "Etat de droit" et que les démocraties libérales occidentales sacralisent volontiers repose sur les interprétations à géométrie variable de juges administratifs irresponsables devant le peuple."

     

    5. Vous avez dit "bizarre" ? C'est dans Valeurs : Richard Ferrand favorable au Passe Sanitaire, mais pas à l’Assemblée nationale ! :

    https://www.valeursactuelles.com/politique/richard-ferrand-favorable-au-pass-sanitaire-mais-pas-a-lassemblee-nationale/

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    6. Notre-Dame de Chrétienté communique :

     Une manifestation est organisée samedi 24 juillet prochain à midi devant la Nonciature apostolique à Paris

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    lfar d'accord avec Laurent Dandrieu :

     
    "La liturgie autour de laquelle le pape veut bâtir un mur infranchissable & qu'il juge néfaste fut celle qui sanctifia François d'Assise, Jeanne d'Arc, Thomas d'Aquin, Vincent de Paul ou Thérèse de Lisieux. Si ce rite était assez bon pour eux, il devrait être assez bon pour moi..."

     

     

    7. Et, pour garder le moral car "ça urge", on terminera cette série d'aujourd'hui par deux petits sourires, sur l'hystérie collective que créent nos semble-gouvernants, pour masquer l'échec cataclysmique de ce quinquennat :

    1 :

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    Et 2 :

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    À DEMAIN !

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  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    1. Bravo, Bercoff !

    André Bercoff
    Situation #COVID19France. Au singulier : #mensongedEtat ? Au pluriel : des tas de mensonges.

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    De Philippe DAVID (de Sud Radio) :
    "Niveau 2 : Bienvenue dans le monde merveilleux du pass sanitaire où tout le monde flique tout le monde. Pendant qu'on t'emm... pour une barre chocolatée, les dealers vendent le crack en toute tranquillité à Stalingrad. Le nouveau monde de la France Orwelienne, c'est maintenant !"

     

    2.                                              POURQUOI ?

    Coronavirus à Lille : Un comité ministériel refuse à l’Institut Pasteur de Lille le droit d’accélérer les recherches sur un traitement anti-Covid qui a fait ses preuves "in vitro". Encore un scandale en perspective ?... :

    https://www.20minutes.fr/lille/2974879-20210211-coronavirus-lille-ministere-retarde-essais-cliniques-medicament-anti-covid-prometteur

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    3. Macron, semble-Président mais vrai mentalité de guerre civile nous envoie une carte postale haineuse de Polynésie, bien propre à raviver les tensions, fracturer encore un peu plus l'opinion, diviser encore un peu plus les Français. Il y insulte et méprise les "anti-passe", qu'il traite, en  bloc, d' "irresponsables", d' "égoïstes", d' "irrationels". Cet homme est dangereux...

    https://www.bvoltaire.fr/macron-remet-le-feu-au-pays-et-nous-envoie-des-cartes-postales-de-tahiti-il-le-fait-expres/

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    4. Ce pauvre Véran dit que 200.000 manifestants (entre parenthèse, ils étaient beaucoup plus nombreux, mais passons...) ce n'est qu'une "ultra-minorité" par rapport aux 67 millions de français. Bon. Mais que vaut son Pays légal à bout de souffle, que dix pour cent des 45 millions de Français méprisent au point de ne pas même pas être inscrits sur les listes électorales (cela nous fait tout de même quatre millions et demi de personnes, et ce n'est pas rien...). Et que vaut son soi-disant "parti", avec ses 2.2% aux municipales et 6% aux régionales ? Même avec cinq ministres "sa" liste n'a pas pu être qualifiée pour le Second tour dans le Nord... Ça, c'est une ultra-minorité ! Pour une maxi-nocivité, une méga-toxicité !

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    5. Dans Valeurs : "Une humiliation de plus...", "indécent..." : une jeune fille voilée ravive la flamme du Soldat inconnu, l’acte provoque un tollé...

    https://www.valeursactuelles.com/societe/une-humiliation-de-plus-indecent-une-jeune-fille-voilee-ravive-la-flamme-du-soldat-inconnu-et-suscite-un-tolle/

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    6. Au Pakistan (qui signifie littéralement "pays des purs") : la Cour suprême rejette la requête visant à protéger les filles chrétiennes contre la conversion forcée et le mariage avec des musulmans... "Religion de paix et d'amour" disent les "idiots utiles"... (article en Anglais)

    https://www.jihadwatch.org/2021/07/pakistan-supreme-court-declines-petition-to-protect-christian-girls-from-forced-conversion-and-marriage-to-muslims

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    7. "La beauté sauvera le monde"... Merci à Stéphane Fort qui nous permet de finir merveilleusement cette série d'aujourd'hui en nous offrant cette très belle image de "Versailles sous l'aile d'un Falcon... en majesté sous soleil royal" 

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    À DEMAIN !

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