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Rechercher : Rémi Hugues. histoire

  • NOTRE FEUILLETON ESTIVAL : UN ETE AVEC JACQUES BAINVILLE...

    A partir du vendredi 19 juillet, et jusqu'à la fin du mois d'août, nous vous proposerons de découvrir, ou de mieux connaître, mais aussi de faire découvrir à d'autres (par le jeu des partages) l'immense Jacques Bainville, par le biais d'une photo quotidienne tirée de notre "Album Jacques Bainville" (lafautearousseau vous propose également un "Album Léon Daudet" et un "Album Charles Maurras").

     

     

     

    Aujourd'hui : 13. En 1900, parution du "Louis II de Bavière"

    C'est le premier livre de Jacques Bainville, écrit a vingt ans.


    Il est dédicacé "A M. Maurice Barrès, en souvenir de l'esprit des lois."


    Quand le livre parut, Maurras écrivit : "Il a fait à vingt ans et du premier coup ce qui réussit difficilement à quarante ans, moyennant beaucoup de talent et de peine, un solide livre d'histoire..."

    Là encore, Georges Grappe livre de précieux renseignements sur le Bainville de cette époque dans sa contribution - "Adolescence" - au Recueil d'hommages de Plon (pages 76/77/78) :

    "...On l'a dit : Bainville était né dans un milieu républicain, où les théories de Jules Ferry étaient tenues en haute estime. Nous nous querellions volontiers à ce propos. Mais, dès cette époque, la lecture de Taine et de Balzac troublait en lui les doctrines héritées...
    ...Mais ses séjours en Allemagne, à Francfort, à Munich nourrissaient en lui les doutes qui s'étaient formés sur la valeur du régime républicain.


    De la capitale bavaroise, en août 1898, Bainville m'annonçait une grande nouvelle (né le 9 février 1879, il a alors 19 ans et demi, ndlr) :


    "Depuis que j'ai reçu ta lettre, je suis resté dans cette bonne ville de Munich. Si je ne me trompe, le souvenir de ce séjour me restera précieux. J'aurai revécu dans cette ville une des vies les plus étonnantes qu'on puisse imaginer. C'est te dire que l'idée de faire un Louis II de Bavière m'obsède de plus en plus. Je crois maintenant que je pourrai réaliser sous une forme littéraire les notes que j'entasse depuis bientôt deux mois. Moi qui, tu t'en souviens, fus toujours un médiocre "historien" et ne prétendais qu'au titre de "littéraire", je me suis pris d'un intérêt passionné pour l'histoire de l'Allemagne contemporaine. Et me voici englouti dans Sybel et Ranke. Qui l'eût cru ? Pas ce brave Lechugeur (1) tout au moins. Du reste, tranquillise-toi, je ne ferai pas dans mon livre - si je l'écris ! - mon petit Michelet. Ce sera plutôt une étude de "biographie psychologique"; l'histoire n'interviendra que là où Louis II aura agi sur elle. Et les cas sont rares."


    Tout Bainville, on est en droit de le dire, est déjà en germe dans ces confidences juvéniles. Les lignes essentielles de son esprit s'y trouvent déjà dessinées. Par la seule force de sa pensée, au contact des maîtres et de la réalité, il en est venu du sophisme démocratique à l'empirisme organisateur...


    Le diamant est sorti de la gangue originelle. L'heure de la taille a sonné. Le moment est venu où, "sous le signe de Flore", ce jeune prince des idées va rencontrer Maurras et prendre à son côté une position exceptionnelle. Après quelques échecs chez des éditeurs, Louis II paraît sous la couverture bleue de Perrin. Bainville entre à La Gazette de France, puis rallie l'Action française, la petite revue grise où nous nous retrouvons près de Bourget, Barrès, Vaugeois, Amouretti, Corpechot..."



    (1) : Un de nos professeurs d'histoire au Lycée Henri IV.

     

     

     

    Tiré de notre Album "Maîtres et témoins"... (II) : Jacques Bainville" (186 photos)

  • CHIRAC, LE PIRE DES PRESIDENTS, CELUI QUI A TOUCHE A MORT LA FRANCE, AU COEUR...

    Paix aux morts !

    A lafautearousseau, nous ne sommes pas des charognards : Chirac est mort, Dieu ait son âme !

    Nous dresserons dès demain la liste de la quinzaine de bonnes mesures qu'il a prises lorsqu'il était aux affaires (du "plan cancer" à l'action énergique pour lutter contre les morts sur les routes ou la courageuse reprise des essais nucléaires, follement arrêtés par Mitterand, alors qu'indispensables pour finaliser notre force de frappe, et en faire le merveilleux outil d'indépendance nationale qu'elle est aujourd'hui...)

    Cependant, même si nous ne sommes pas des charognards, nous ne pouvons pas ne pas rappeler que, Premier ministre de 74 à 76, Chirac est le co-auteur - avec le président de l'époque, Giscard - des trois mesures qui ont littéralement porté un coup au coeur à la Nation française :

    - l'avortement...

    - le Collège unique, qui a signé la mort de l'enseignement...

    - le regroupement familial, changement de peuple...

    Paix aux morts, mais connaissance de l'Histoire et de la malfaisance de certains gouvernants, dont Chirac fut l'archétype...

  • Lu sur la page facebook de l'Action française aujourd'hui : lafautearousseau, entièrement d'accord...

    Voilà que la police fait encore preuve d'un zèle étonnant contre ceux qui partagent ses maux.

    L'Etat gaze les pompiers, au lieu d'aller gazer ceux qui ont fait que les pompiers se retrouvent face à des policiers.

    Avec une telle schizophrénie, il est normal que les policiers continuent à se tirer des balles, à défaut de les tirer contre ceux qui les poussent à un tel acte.

    Si la police, épuisée, humiliée, trahie, infiltrée, se décide enfin à la désobéissance, les Macron, Bergé, Schiappa, Castaner, Philippe et autre vermine illégitime n'auront plus aucune autorité concrète.

    Et ce n'est pas l'armée, dans sa passivité, qui ira tirer sur la police.

    Il appartient à la police de bousculer le cours de l'histoire et de faire tomber ce gouvernement de fou-furieux.

    Et dans un élan patriotique - peut-on l'espérer ? - faire tomber ce régime infâme.

  • Éric Zemmour : « Le PS est un cadavre qu'il n'est même plus nécessaire de renverser »

     

    TRAVAUX DIVERS - Largeur +.jpgBILLET - Le nombre de candidatures se multiplie pour le titre de premier secrétaire d'un PS aux abois. Mais pour Éric Zemmour, les postulants se battent seulement pour le rôle de croque-mort. [RTL 11.01]. En quelques mots brefs et lucides, Zemmour démonte les ressorts idéologiques et politiques profonds qui ont sonné le glas de la social-démocratie en France et dans le monde.  LFAR

     


    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    Ils se jaugent. Ils se défient. Ils s'insultent. Ils se menacent. Les candidats ressemblent à des pilotes enfoncés dans le siège de leur formule 1, au moment du départ de la course. Sauf que leur formule 1 est un jouet avec des pédales et que leur compétition est pour rire.

    Mais eux ne rient pas du tout. Ils ne se sont pas aperçus que le parti dont ils briguent la direction s'est évanoui. Qu'ils poursuivent une chimère. Un mirage dans le désert. Ils ne se sont pas aperçus que les candidats sont plus nombreux que les militants qui vont voter, et que le Parti socialiste n'est plus un objet politique mais un objet d'Histoire. 

    Éric Zemmour

  • Jean d’Ormesson ou l’inaltérable légèreté de l’être…

     

    Par Aristide Leucate

     

    Leucate-Aristide-quadri-222x300.jpgL’art de se faire aimer, surtout après sa mort…

    Louons, une fois n’est pas coutume, l’ex-Président François Hollande pour cette clairvoyance, sans doute la seule – rapidement ensevelie sous les pelletées innombrables d’une presse aussi prolifique que rapidement périmée – de son quinquennat.

    À l’un des plus célèbres pensionnaires du Quai Conti auquel il remettait, le 26 novembre 2014, la grand-croix de la Légion d’honneur, le Président du dixième étiage s’interrogeait à haute voix sur « ce don de Dieu […] si sélectif » qui avait touché l’académicien pendant le cours de sa longue vie. « Ceux qui racontent l’Histoire ont plus de chance d’être aimés que ceux qui font l’Histoire », conclut platement le locataire de l’Élysée, « mondialement connu en Corrèze », selon un d’Ormesson caustique.

    Esprit acéré, mais d’une suprême élégance qui se reflétait tant dans son regard bleu vif que dans ses manières d’aristocrate de vieille souche, Jean d’Ormesson était le dernier vestige littéraire de l’esprit français. Né Jean Bruno Wladimir François-de-Paule Lefèvre d’Ormesson en 1925, l’auteur, entre autres, de L’Histoire du Juif errant et d’une intéressante (sans être originale) Histoire de la littérature française aura traversé son temps comme un précieux que le ridicule n’a jamais atteint.

    Celui qui avait coutume de dire « Les honneurs, je les méprise, mais je ne déteste pas forcément ce que je méprise » résumait finalement assez bien ce qu’il a toujours été. Mondain et charmeur, nonchalant et spirituel, équanime et dilettante. Un homme de cour, ni fade adulateur, ni parleur trop sincère, sachant quelquefois répondre en normand. Habilement opportuniste pour savoir s’attirer les faveurs de quelques puissants. 

    Normalien laborieux (il échoua d’abord à son bac et s’y reprit à deux fois pour obtenir son agrégation), il sera directeur général du Figaro de 1974 jusqu’à sa démission en 1977 (avant d’en réintégrer les pages du Figaro Magazine en 1983), après avoir fréquenté les cabinets ministériels ou pigé pour Paris Match et quelques quotidiens régionaux. 

    Sa plus belle œuvre sera, à presque quarante ans, son mariage avec Françoise Béghin, benjamine du magnat de la presse Ferdinand Béghin (il fut administrateur du Figaro) et PDG de la célèbre société sucrière Béghin-Say.

    Sur le plan littéraire, « Jean d’O », comme l’appelait affectueusement le Paris germanopratin, est le Monsieur 10/20 des Lettres françaises, ce, nonobstant, son statut d’honorable sociétaire de la Coupole. Il est un peu l’élève moyen à qui l’on dit « peut mieux faire », le cancre suffisamment intelligent pour ne pas se mettre au fond de la classe. Son style si peu amphigourique n’en est pas moins traînant, digressif, langoureux, à la frontière de l’ennui. Sans aspérités, mais pas désagréable. Son genre ? Comme il le dit lui-même, « écrire presque rien sur presque tout », mais, il est vrai, dans une langue classique c’est-à-dire pleinement française.

    Difficile, en effet, de ne pas aimer, en passant, cet homme frêle, à la voix délicieusement pointue, ce vain subtil aux arômes faussement modestes. Discrètement à droite. Heureusement, pas au point de froisser la susceptibilité de la pensée dominante.

    Il s’en est allé avec une exquise discrétion, refermant ainsi les portes d’une non moins suprême élégance française.    

  • Culture politique • Pierre Debray entre dans Wikipédia

     Pierre Debray au rassemblement royaliste des Baux de Provence [1973]

     

     

    Debray les Baux 1973 - Copie.jpgUne page Wikipédia sur Pierre Debray

    Pierre Debray, auteur, journaliste et penseur royaliste très important des années 1950-2000, vient d'être créée par les soins du Café Histoire de Toulon. Cette page manquait. Elle pourra sans-doute être complétée, mais est désormais consultable. C'est un succès. 

    Pierre Debray retient particulièrement l'attention des Toulonnais. Le jeune groupe d'Action française de Toulon (Union Royaliste Provençale) vient en effet de créer un cercle sous son patronage, le Cercle Pierre Debray.

    Rappelons que Lafautearousseau a publié nombre de ses grands textes, notamment son étude magistrale Une politique pour l'an 2000. Et de nombreuses photos, discours, etc. 

    Ci-dessous le lien vers la page Wikipédia. 

    Pierre Debray (écrivain) — Wikipédia 

    Et vers Une politique pour l'an 2000

    Les leçons de Pierre Debray ... Retrouvez « Une politique pour l'an 2000 », 28 jours de lecture sur Lafautearousseau

  • Au patrimoine cinématographique • Les Rois maudits

     

    Par Pierre Builly

    Les rois maudits de Claude Barma (1972) 

    20525593_1529036520490493_4184281983923317414_n.jpgSomptueux 

    Plus de 1500 pages dans l'édition Omnibus ; plus de dix heures de télévision découpées en six épisodes diffusés entre décembre 1972 et janvier 1973. Du lourd, du solide, de l'abondant. Je ne connais pourtant personne qui ayant commencé à tourner les pages du Roi de fer, premier volume de la série, se soit arrêté en route ; et je ne crois pas que cinema-druon-game-thrones-2563773-jpg_2203438_660x281.jpgbeaucoup de téléspectateurs qui, aux temps anciens où la petite lucarne avait des ambitions, aient décroché de l'histoire fastueuse adaptée du roman de Maurice Druon (photo) par Marcel Jullian, mise en images par Claude Barma. 

    C'est touffu, pourtant, et c'est dense, et c'est ancien. Même en 1972, où l'on était considérablement moins ignare qu'aujourd'hui, ces histoires qui se passent au début du tragique 14ème siècle paraissaient bien anciennes. La succession de Philippe IV le Bel, les intrigues de cour, les querelles de succession, les destinées des États, tout cela pouvait paraître bien singulier et lointain. À l’inverse, il est vrai que la malédiction des Templiers, les orgies de la Tour de Nesle, l'homosexualité du roi Édouard II d'Angleterre donnaient une touche assez excitante à cette période de l'Histoire de France. 

    les-rois-maudits.jpgN'empêche que ça a dû être drôlement difficile de condenser une myriade d'aventures, dont quelques unes sont inventées ou reprennent des légendes mystificatrices et un exposé très honnête et très intelligent des grands enjeux et des grandes orientations qui ont conduit à la Guerre de Cent ans mais surtout, et au delà, à présenter la constitution de l'État moderne. 

    Le parti a été pris, à juste titre, de ne pas dépenser de sous dans des séquences de foule ou de bataille et de concentrer les moyens, importants mais nullement démesurés, sur la richesse de l'interprétation. Dès lors, les scènes sont stylisées, épurées, dénudées, les décors ne sont qu'un simple fond et les personnages s'adressent aux spectateurs ou alors une voix off (celle de Jean Desailly) intervient dès qu'il s'agit d'expliquer un point un peu complexe ou de resituer l'action dans le contexte. 

    Cette apparente théâtralisation donne, en fait, beaucoup de rythme à la série : elle permet les ellipses narratives, va au plus juste et au plus concis de l'intrigue, montre les caractères dans leur nudité. Et, pour autant, elle ne cache rien des replis de ces récits de bruit et de fureur, assassinats, empoisonnements, étranglements, jeux tragiques du pouvoir et de la trahison. 

    Philippe le Bel, à qui  Georges Marchal prête sa parfaite stature, est un des plus grands Rois de notre France, qui en compta beaucoup. Si l'esprit national est sans doute né avec son arrière-arrière grand père Philippe Auguste et la victoire de Bouvines en 1214, c'est sous son règne que se sont établies les fondations de l'État moderne et que, avec l'aide des grands serviteurs de la Couronne, Nogaret, Marigny, Châtillon, les féodalités ont commencé à être pliées et soumises. Tout cela n'est naturellement pas allé sans une certaine vigueur dans l'action. Et puis ces temps étaient rudes... 

    Une figure superbe et catastrophique domine Les rois maudits : celle de Jean Piat, immense acteur de théâtre (photo en tête) qui s'incorpore le rôle de Robert d'Artois jouisseur, buveur, ripailleur, coureur de jupons et d'aventures dont, pour notre plus grand malheur les tentatives pour récupérer la province d'Artois, dont il a été frustré, conduiront à la Guerre entre France et Angleterre. Mais toute la distribution, qui s’appuie sur de fortes personnalités issues de la Comédie française est remarquable. 

    Les-Rois-maudits-louis seigner - Copie.jpgEn premier lieu Louis Seigner (photo 1), papelard, subtil, redoutable banquier siennois, Geneviève Casile (photo 2), glacialement belle reine Isabelle délaissée par son mari sodomite et devenue la cruauté même, Hélène Duc, hautaine Mahaut (photo 3), tante et ennemie jurée de son neveu Robert. Et quelques autres, qui ne sont pas des moindres : Catherine Rouvel, sataniste empoisonneuse, Muriel Baptiste, la reine débauchée de la tour de Nesle, Henri Virlojeux, subtil pape Jean XXII... 

    La télévision française d'aujourd'hui donne à voir des adaptations, peut-être de qualité, de l'histoire des Borgia ou des Tudor, amples elles aussi de crimes, de sang et de sexe. Qu'est-ce qui l'empêcherait de montrer aux spectateurs décérébrés du siècle la naissance de notre pays ? 

    On peut bien dire que le poignard et le poison étaient monnaie courante sous nos Capétiens. Mais regardez leur œuvre : c'est la France.      

     

     Coffret-Rois-maudits-L-integrale-DVD.jpg

    Coffret DVD autour de 20 €

  • Exerçons nos droits civiques !, par Jeanne Estérelle.

    La probabilité d’une abstention massive aux élections municipales accuse la conscience diffuse des électeurs de participer à un jeu de dupes. La perception d’une illusion collective entretenue à tous les niveaux, politique et économique, national et européen, conduit les français à renoncer aux seules prérogatives concrètes qui leur sont encore attachées.

    Un pays virtuel cosmopolite pousse dans les fractures avérées du pays légal. La Banque Centrale Européenne impose aux états l’hyperinflation d’une économie virtuelle. Cette larve se nourrira de l’économie réelle au lieu de la cultiver.

    Choisir un nouveau maire, c’est rompre librement avec les illusions du monde virtuel qui nous dévorent. Choisir un nouveau maire, c’est repousser l’anarchie comme la tyrannie, dans un espace circonscrit par la mémoire de son histoire. Choisir un nouveau maire, c’est donner une tête au corps réel que nous habitons.

  • Sur le compte Twitter du Prince Jean, comte de Paris : le comte de Paris soutient les militaires français engagés en Méd

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    la couronne

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    Ce samedi, le chef de la Maison royale de France, Monseigneur le Comte de Paris, a apporté son soutien à l’action du gouvernement qui a mobilisé temporairement, deux chasseurs Rafale et deux bâtiments de la marine nationale en Méditerranée orientale sur fond de tensions entre la Grèce et la Turquie.

    En twittant ce message de soutien aux forces armées françaises, Monseigneur le Comte de Paris, place encore un peu plus la Maison royale de France dans l’espace politique français. Et comme le rappel le site Monarchies et Dynasties du monde, la Grèce, un pays allié de la France, mais aussi un pays dont l’histoire est étroitement liée à la Maison royale de France depuis plusieurs générations et bien sûr à celle de la France contemporaine.

    Comtede Paris, Site Officiel

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  • Aux Mercredis de la NAR : #12 - Édouard Husson sur le thème “Fin du leadership allemand ”.


    Mercredi 17 janvier, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions Édouard Husson sur le thème “Fin du leadership allemand ”.

    Docteur en histoire, ancien vice-chancelier des universités de Paris, Édouard HUSSON, a été chercheur à l'“Institut für Zeitgeschichte” de Munich de 1999 à 2001 et chercheur invité au “Center For Advanced Holocaust Studies” de Washington en 2005 et 2006. Il est vice-président de l'université Paris Sciences et Lettres et auteur de plusieurs ouvrages sur l’Allemagne qu’il avait bien voulu nous présenter.

    Édouard Husson revient parmi nous pour analyser la crise politique allemande, dont Angela Merkel a créé les conditions et qui est devenue manifeste depuis les élections de septembre 2017. La place forte de l’ultralibéralisme en Europe s’en trouve profondément ébranlée. D’où la question majeure à laquelle répondra notre invité : « Avec la fin du “leadership” allemand : quel rôle pour la France ? Quelle organisation pour l’Europe ? »

  • Solidarité Kosovo : du matériel agricole pour le village de Novo Brdo...

    lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :

    https://www.facebook.com/solidarite.kosovo/

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    lafautearousseau avait relayé l'annonce de cette réunion : samedi soir, Paul, sympathisant de la cause serbe, et Louis, volontaire de Solidarité Kosovo, ont donné une conférence en l'église Saint-Louis à Quimiac.

    Devant un public attentif, ils ont présenté l'histoire du Kosovo et l'enchaînement des événements qui ont conduit à la situation actuelle, puis le travail de l'association.

    N'hésitez pas à contacter Solidarité Kosovo si vous voulez organiser ce genre de conférence chez vous !

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    En juin dernier, 34.000 euros de matériel agricole ont été fournis à la soupe populaire de Novo Brdo, qui nourrit chaque jour jusqu'à 2000 familles pauvres :

    https://www.solidarite-kosovo.org/materiel-agricole-livre-…/

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  • Sur Sacr TV, chroniques de la Monarchie populaire - La Révolution Communale - 1.


    Nous ne sommes pas la afin d'idéaliser une époque qui comportait ses scandales et notre ami Marion Sigaut à travers ses dénonciations de l'hopital général et des jansénistes a sortis des archives les vérités lumineuses éteignant celles des "lumières"... On peut toujours donner une interprétation tendancieuse aux évènements historiques mais il reste les faits, les documents d’archive, les édits, les actes notariés, les dossiers des jurandes et droits coutumiers, les guildes et libertés régionales à découvrir dans les greniers, mairies ou églises, comme dormant quelquefois chez des particuliers…

    Ces faits représentent l’honneur de la mémoire du passé comme du respect de nos anciens, qui de la haut n’apprécient pas que l’on dénature leur histoire…

    Nous allons tenter d’apporter quelques lumières sur la vie de nos ancêtres qui, et vous le comprendrez aisément en écoutant, n’est pas enseigné dans nos écoles, la ripoublique n’y survivrait pas !

    La révolution communale, l'humanisme et le caractère populaire des rois de France.

  • Sur le site officiel du Prince Jean, Comte de Paris : Hommage aux combattants de 1940 morts pour la France.

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    La France commémore les batailles perdues de 1940. Dans la mémoire nationale, ce sont les mots et les images du désastre qui s’imposent : la percée de Sedan, les plages de Dunkerque, les routes de l’exode, la signature de l’armistice. 

    Sur cette dure réalité, un trop plein d’idées reçues a été déversé dès juillet 1940 et bien après la guerre. Aujourd’hui encore, l’histoire de la première bataille de France reste encombrée de clichés et d’erreurs de perspective. Ceci malgré les travaux des historiens français et étrangers qui ont, au fil des années, détruit la légende noire de cette déroute. 

    En hommage aux combattants de 1940, je veux rappeler des vérités qui gagneraient à être mieux enseignées et commémorées.

    4.jpgCes vérités appartiennent à l’histoire de la Maison de France puisque mon grand-père le comte de Paris s’était engagé dans la Légion étrangère en juin 1940 pour combattre l’ennemi. C’était pour lui la seule manière de servir, faute d’avoir été accepté dans l’armée française en raison de la loi d’exil – qui n’avait pourtant pas empêché le gouvernement de l’envoyer en mission diplomatique en Italie, Grèce, Bulgarie et Yougoslavie pendant la drôle de guerre !

    Ces vérités appartiennent à l’ensemble des Français, qui peuvent regarder avec fierté ce moment tragique de leur histoire. Le peuple français n’était ni résigné ni amolli, mais résolu. Notre pays, sorti grandi après le traité de Versailles, se trouvait en 1940 face à un nouveau monde où la diplomatie ne faisait plus effet. Mais la France se réarmait depuis 1935 et elle disposait en mai 1940 d’une excellente artillerie, d’une flotte puissante, de divisions blindées bien équipées et supérieures à celles des Allemands, d’appareils de chasse et de bombardement remarquablement efficaces. Il est vrai que certains d’entre eux étaient anciens et que nos chars présentaient des défauts, mais notre production de guerre venait compenser rapidement nos faiblesses.

    La puissance de notre appareil militaire et la combativité des soldats français, tout comme celle de nos alliés, se sont vérifiées dans les combats acharnés de mai et de juin – sur le territoire belge lors des batailles de Hannut et Gembloux, à Stonne dans les Ardennes, à Moncornet et devant Dunkerque, sur l’Aisne, la Somme et la Loire, en Norvège, dans les Alpes face aux Italiens. En quarante-cinq jours de combats, près de cent mille de nos soldats sont tombés au champ d’honneur – deux à trois fois plus que nos pertes moyennes pour une période équivalente pendant la Première Guerre mondiale. Les généraux allemands reconnurent que les Français s’étaient battus « comme des lions » selon la formule de l’un d’entre eux.

    L’offensive allemande du 10 mai est l’acte final d’une tragédie qui trouve son origine dans la doctrine défensive de l’Etat-Major et dans une diplomatie timorée. L’idée de la “guerre éclair” a, en somme, empêché notre armée de combattre encore, alors qu’elle en avait la possibilité, sur le sol métropolitain ou depuis l’Afrique, avec l’appui de notre marine intacte et des forces subsistantes de notre aviation.

    Mais la guerre est aussi un acte politique, et il faut un gouvernement pour la gagner. En 1940, la France ne manque pas d’hommes politiques de bonne stature, mais aucun ne devient l’homme du recours pour la nation en péril alors que Winston Churchill, dans un pays où les élites expriment des doutes et connaissent des conflits semblables à ceux qui traversent nos milieux dirigeants, s’impose comme chef politique d’une guerre qu’il pense déjà à l’échelle du monde.

    Le général de Gaulle entre trop tard au gouvernement, et à un rang trop modeste pour y jouer le rôle salutaire qui commencera d’être le sien, douze jours plus tard, à Londres. Sa tradition familiale, son expérience d’officier, ses réflexions sur l’histoire lui montrent le chemin : si la guerre est un acte politique, il faut que celui qui incarne cette politique confirme ou affirme sa légitimité par son entier dévouement à la patrie et par l’inflexible rigueur de ses choix. Le pouvoir est une épreuve pour soi-même, qu’il faut savoir l’affronter dans l’espérance à l’heure des grands périls.

    Jean, comte de Paris
    Domaine royal de Dreux, le 25 juin 2020

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  • Sur Sacr TV, le Docteur Villermé et les esclaves du libéralisme.


    La Révolution en détruisant le système social de l'Ancien régime livra le peuple aux puissances d'argent. L'interdiction de s'associer faisant suite à la destruction des corps de métiers et le vol de leurs biens servant à l'organisation sociale, créa le prolétariat.

    L'ère nouvelle vit des semaines de 10 jours, la suppression des dimanches et jours fériés avec à la clef, l'obligation du travail pour manger à partir de 5 ans, sans limite d'heure avec la nuit et sans distinction de sexe...

    Devant l'intolérable qui ne gênait pas les parvenus de 89, fidèles à l'enseignement évangélique, des royalistes sociaux se levèrent pour dénoncer et soulager leurs frères dans la misère et c'est leur histoire oubliée volontairement par la République que nous allons vous révéler...

    Cette vidéo vous présentera les travaux du docteur Villermé sur les conditions de travail des ouvriers au début du XIXème siècle, et ce qu'il proposa pour les soulager...

  • Polémique Obono-Valeurs Actuelles : parce que ce ne sont pas des négriers noirs qui ont vendu leurs « frères » noirs aux

    Source : http://bernardlugan.blogspot.com/

    Quelle insolite et même « surréaliste » polémique pour un simple pastiche ! A travers la personne de Danielle Obono, porte-parole de la France Insoumise, l’hebdomadaire « Valeurs Actuelles » a en effet mis en évidence sous une forme se voulant humoristique, le rôle de certains peuples Africains dans la vente des esclaves noirs aux négriers européens.

    bernard lugan.jpgPrésentée comme une victime de cette traite, Madame Obono a, parait-il, été ulcérée de ce qui pourrait s’apparenter à une « réponse du berger à la bergère ». Au mois de juin 2020, devant le Parlement européen, n’est-ce pas le groupe LFI qui a en effet déposé un amendement visant à ne reconnaître comme « crime contre l’humanité » que la Traite européenne, la seule traite européenne, et non  « la traite des esclaves » en général, comme cela était prévu dans le texte initial ?

     

    Cette polémique illustre en réalité le niveau d’abêtissement et, plus grave encore, de dhimitude intellectuelle du monde politique français. Trémolos dans la voix, la main sur le cœur, Rassemblement national compris, tous les partis politiques ont en effet réagi par réflexe pavlovien et dans l’ignorance » bétonnée de la question. Au pays de Descartes, l’émotionnel semble donc avoir définitivement pris le pas sur la Raison…

     

    Or, par-delà les stupides invectives, les consensuelles indignations et les lâches prises de position de responsables politiques devenus les « baise-cul » du fait accompli, la vérité historique existe. Elle fait consensus chez les universitaires spécialistes de la question : une partie de l’Afrique s’est enrichie en vendant l’autre partie. Les captifs n’apparaissaient en effet pas par enchantement sur les sites de traite car ils étaient capturés, transportés, parqués et vendus par des négriers noirs aux négriers européens. Comme ces derniers attendaient sur le littoral que leurs partenaires africains leur y livrassent les captifs, il dépendait donc in fine des négriers africains d’accepter ou de refuser de leur vendre leurs « frères » noirs.

     

    Cette coresponsabilité dans l’ignoble commerce négrier a d’ailleurs été clairement mise en évidence par les évêques africains : 

     

    « Commençons donc par avouer notre part de responsabilité dans la vente et l’achat de l’homme noir… Nos pères ont pris part à l’histoire d’ignominie qu’a été celle de la traite et de l’esclavage noir. Ils ont été vendeurs dans l’ignoble traite atlantique et transsaharienne » (Déclaration des évêques africains réunis à Gorée au mois d’octobre 2003).

     

    Or, à travers l’artificielle polémique Obono-Valeurs Actuelles, la vérité historique est une fois de plus effacée au profit d’une fausse histoire peu à peu imposée par des méthodes terroristes et lâchement acceptée par tous les partis politiques français.

     

    Ceux qui ne voudront pas être emportés par la tempête médiatique trouveront dans mon livre Esclavage l’histoire à l’endroit, l’argumentaire détaillé leur permettant de réfuter cette histoire devenant insidieusement officielle et dont la finalité est de faire de l’homme blanc un coupable éternel[1].

     

    Bernard Lugan

     

    [1] Le numéro du mois d’octobre de l’Afrique Réelle que les abonnés recevront en fin de semaine prochaine sera un numéro spécial en totalité consacré à la question des traites esclavagistes.

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