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Intervention de Jean-Philippe Chauvin lors du banquet Camelot de mai 2010, mettant en évidence les principes de la Monarchie et la Justice sociale, ainsi que ses combats pour le monde ouvriers, passés et à venir...
La fin de la centrale alsacienne avait été prévue de longue date, bien avant la pandémie de Covid-19 qui a compliqué le calendrier des chantiers de maintenance des réacteurs d'EDF et fait maintenant craindre un hiver sous tension pour la sécurité de l'approvisionnement du pays. Le syndicat CFE dénonce une "absurdité industrielle et climatique".
Les élections municipales de 2020 « virent au vert », affirmait un observateur au soir de la « vague verte » qui s’empare, avec des scores parfois sans appel, de grandes villes, voire de métropoles qui semblaient promises « ad vitam æternam » aux partis « sérieux », c’est-à-dire de la droite et de la gauche classiques et « républicaines », ce dernier adjectif n’indiquant pas grand-chose, en fait, sur l’attachement des susdits aux institutions de la République…
Wall Street a fini dans le rouge, ce vendredi, la poussée alarmante du coronavirus dans de nombreux États américains faisant peser un climat d’incertitude sur le marché des actions. En Allemagne, plus de 1.000 travailleurs d’un abattoir ont été testés positifs. Malgré un soutien démentiel des banques centrales, la reprise en V s’éloigne ; la non-maîtrise de l’épidémie inquiète aux États-Unis et en Amérique du Sud.
On va remplacer Fessenheim par des milliers d'éoliennes plantés dans les Vosges ? Ou par des panneaux solaires fabriqués en Chine, importés par vélo ? Ou plus vraisemblablement par des centrales thermiques à gaz, charbon ou pétrole ?
C'est "ça" l'écologie ?
C'est plutôt de "l'écologie CO2", de l'éC02logie !
Et Macron qui tire une balle dans le pied de notre économie, de notre savoir-faire nucléaire, de notre indépendance nationale dans le domaine de l'énergie...
C'est l'écrevisse qui devient le nouveau logo de LaRem et de son semble-Président : l'animal qui avance... en reculant !
Les hommes dont nous allons parler n’ont pas tous leurs noms dans nos rues. Et pourtant, tout comme nos rois, ils furent populaires et soulagèrent la misère. A la différence de ce que nous voyons souvent, ils œuvrèrent dans un esprit chrétien, de charité et de justice social sans aucun intérêt ni soucis idéologique ne cherchant pas à manipuler le monde ouvrier en vue d'agitation ou de révolution.
Tous sociaux parce que royalistes, le sens du devoir social dicté par des convictions bien ancrées, l’application directe dans la rue et la ténacité pour les passer en loi.
C’est l’œuvre de ces hommes que nous allons vous raconter :
Le précurseur de la Justice Sociale : Alban de Villeneuve Bargemont
Bien avant le Front populaire, les royalistes et catholiques sociaux n'ont eu de cesse de s'acharner pour soulager la misère ouvrière qui sévissait depuis la révolution de 1789.
Lois et propositions de loi sont là pour prouver à quel point les royalistes furent à la pointe du combat social face aux républicains de droite comme de gauche qui eux n'ont eu de cesse de rejeter ces lois au nom de leurs idéologies respectives...
"La Fraternité fut le sentiment qui présida dans l'origine à la formation des communautés professionnelles." LOUIS BLANC"L'Histoire de la Révolution " La Royauté fut, durant son histoire, la protectrice du monde ouvrier. Elle encouragea la création des Corps de métier par la codification et la transcription des us et coutumes professionnels, dans le grand "Livre des Métiers" que rédigea Etienne Boileau, grand prévôt de Paris, aidé du conseil des anciens, travail malheureusement non terminé car celui-ci mourut la même année que Saint-Louis (1270).
L’industrie de défense est un outil et un enjeu de stratégie nationale en France. Elle évolue en effet dans un milieu d’interdépendances complexes : entre réglementation américaine contraignante et souveraineté étatique, le secteur de l’armement français est tenu en formation serrée. De fait, ce dossier s’établit à partir de l’étude d’une bataille que se livrent industriels et grandes puissances à l’échelle internationale.
La Convention climat, qui vient de rendre ses conclusions, suscite des réactions diverses, allant de l’enthousiasme au scepticisme. Pourtant, il ne s’élève aucune voix pour dénier l’importance de l’impératif écologique. Le problème est de savoir si ces 150 citoyens tirés au sort pour présenter aux pouvoirs publics les mesures nécessaires afin de répondre à ce formidable enjeu, ont su être à la hauteur de l’objectif. Pour les uns, le pari a été réussi. Des propositions précises pour réduire de 40 % les émissions de gaz à effet de serre ont été formulées « dans un esprit de justice sociale ». Mais pour d’autres rien de vraiment original n’est sorti de ces délibérations.