7ème jour de "Censure facebook" pour notre Page "Lafautearousseau Royaliste" !...

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J-P L., de Calais, bien reçu votre chèque généreux, ce matin, au siège de l'Association lafautearousseau.
Toute la Rédaction se joint à moi pour vous remercier.
Nous apprécions encore plus ce geste d'amitié, de sympathie et d'encouragement en cette période où la censure de facebook, aussi stupide qu'injustifiable, nous gêne grandement en nous empêchant de "partager" nos notes (et pour une durée non indiquée !...) en direction de publics "extérieurs", ce qui nous permet de toucher des personnes que nous ne pourrions probablement pas atteindre par ailleurs...
Encore merci à ceux qui vous ont précédé, et, d'avance, merci à ceux qui nous témoigneront leur amitié, leur soutien, leur encouragement...
François Davin,
Blogmestre
Dès six heures du matin, Hitler entreprend au pas de course une visite de Paris : l’Opéra, la Concorde, l’arc de triomphe : sur l’esplanade du Trocadéro, il pose devant les photographes, dos à la Tour Eiffel, puis se dirige vers l’École militaire.
Aux Invalides, il se recueille longuement devant le tombeau de Napoléon 1er. Il remonte ensuite vers le jardin du Luxembourg, s’arrête au Panthéon, descend le boulevard Saint-Michel à pied, ses deux gardes du corps à distance, remonte en voiture la place Saint-Michel.
Sur l’île de la Cité, il admire la Sainte-Chapelle et Notre-Dame, puis la rive droite (le Châtelet, l’hôtel de ville, la place des Vosges, les Halles, le Louvre, la place Vendôme). Il remonte ensuite vers l’Opéra, Pigalle, le Sacré-Cœur, avant de repartir à 8h15. Un survol de la ville complète sa visite.
Il ne remettra plus jamais les pieds à Paris...
Quant à Hitler et au nazisme proprement dit, alors que Charles Maurras a été condamné d'une façon aussi injuste qu'aberrante pour intelligence avec l'ennemi en 45 (voir l'Éphéméride du 28 janvier), on se reportera avec profit à l'excellente mise au point de Laure Fouré, juriste, dans Boulevard Voltaire :
"Votre groupe est actuellement restreint", "Il vous est temporairement impossible d’effectuer cette action", "vous ne pouvez effectuer cette action pour l'instant", Votre compte est actuellement restreint"...
Bref, quoi que nous fassions, pour l'instant, tout nous est impossible, sans que nous sachions combien de temps cela va durer, et alors même que, dans un précédent message, fb reconnaissait s'être trompé et admettait que notre publication (l'Éphéméride), "n'enfreignait pas les standards de la communauté" !
Nous ne "partageons" plus dans aucun groupe depuis trois jours, et sommes donc réduits à notre quotidien sur le Net (le Blog traditionnel) et à notre compte tweeter, bien contents encore que notre page fb et ses trois pages de secours ne soient pas supprimées, pour l'instant du moins...
Dès que Sa Seigneurie l'algorithme, ou les censeurs, daigneront suspendre leur baillonement, nous reprendrons évidemment nos activités, comme avant...
Annie Laurent vient de me faire parvenir ses deux derniers articles : vous pourrez les lire ce vendredi et lundi prochain, dans votre quotidien...
• Vendredi : Arabie - Iran : un accord historique...
• Lundi : Rémi Brague soulève les ambigüités de l'islam et les méprises de l'Occident...
D'avance, bonne lecture, et un grand merci à notre chère Annie Laurent !
François Davin, Blogmestre
Après nos deux premiers Feuilletons (Maurras et les Guerres de Vendée/Le Génocide vendéen), nous commencerons la publication de notre troisième Album ce lundi : En cartes, l'aventure France...
Le sujet étant assez long, nous proposerons le plus souvent possible deux épisodes par jour...
Puis viendront, en rafale, Bainville, Daudet et Chateaubriand...
Bien entendu, nous continuerons de proposer ces sujets sous la forme actuelle de nos 21 Albums, qui a ses avantages (mais aussi ses inconvénients)...
lafautearousseau
Après nos deux premiers Feuilletons (Maurras et les Guerres de Vendée/Le Génocide vendéen), nous commencerons la publication de notre troisième Album ce lundi : En cartes, l'aventure France...
Le sujet étant assez long, nous proposerons le plus souvent possible deux épisodes par jour...
Puis viendront, en rafale, Bainville, Daudet et Chateaubriand...
Bien entendu, nous continuerons de proposer ces sujets sous la forme actuelle de nos 21 Albums, qui a ses avantages (mais aussi ses inconvénients)
lafautearousseau
"À la Grèce, nous devons surtout notre raison logique. À Rome, nos maximes de droit et de gouvernement. Mais à l’Évangile nous devons notre idée même de l’homme. Si nous renions l’Évangile, nous sommes perdus !" disait avec raison Jean de Lattre de Tassigny.
Et Chateaubriand écrivait "...Après Alexandre, commença le pouvoir romain; après César, le christianisme changea le monde; après Charlemagne, la nuit féodale engendra une nouvelle société; après Napoléon, néant : on ne voit venir ni empire, ni religion, ni barbares. La civilisation est montée à son plus haut point, mais civilisation matérielle, inféconde, qui ne peut rien produire, car on ne saurait donner la vie que par la morale; on n'arrive à la création des peuples que par les routes du ciel : les chemins de fer nous conduiront seulement avec plus de rapidité à l'abîme..." (Mémoires d'Outre-tombe, tome II, p.261).
Pourquoi ce "néant" dont parle, avec raison, Chateaubriand, après Napoléon, le sabre, l'héritier, le continuateur de la Révolution ?
Parce que la Révolution est d'abord et avant tout anti chrétienne; qu'elle s'est pensée, voulue et accomplie, en dehors, sans et contre l'héritage millénaire de la France chrétienne; un héritage qu'elle a voulu effacer et qu'elle prétend remplacer par elle-même, puisqu'elle se conçoit comme une nouvelle Religion, la Nouvelle Religion Républicaine.
Mais cette Nouvelle religion est inféconde : elle n'a su qu'affaiblir considérablement - sans le détruire complètement - le christianisme et avec lui l'âme, l'esprit Français. Et, aujourd'hui, les Français - des-éduqués par une Ecole sectaire qui les a voulus "sans Dieu et sans Roi" - pour reprendre le mot de Jules Ferry - se retrouvent désemparés face à un Islam conquérant - lui - ou alors face au "vide", au "néant" dont parlait Chateaubriand.
Et cela parce que ses soi-disant "valeurs" ne sont que des mots, des abstractions et des incantations vaines, des formules creuses, qui ne pèsent d'aucun poids devant les réalités. La République idéologique n'a su et pu que détruire, sans rien construire à la place de ce qu'elle effaçait...
Le 8 novembre 1906, René Viviani prononça un discours fleuve à l'Assemblée (extrait) :
"...Nous sommes face à face avec l’Église catholique... La vérité, c’est que se rencontrent ici... la société fondée sur la volonté de l’homme et la société fondée sur la volonté de Dieu... Les Congrégations et l’Église ne nous menacent pas seulement par leurs agissements, mais par la propagation de la foi... La neutralité fut toujours un mensonge.
Nous n'avons jamais eu d'autre dessein que de faire une université antireligieuse... de façon active, militante, belliqueuse...
...Nous nous sommes attachés dans le passé à une œuvre d'irreligion; nous avons arraché la conscience humaine à la croyance...
...Ensemble, et d'un geste magnifique, nous avons éteint dans le ciel des lumières qu'on ne rallumera plus...
...Nous ne sommes pas seulement en présence des congrégations, nous sommes en face de l'Eglise Catholique, pour la combattre, pour lui livrer une guerre d'extermination..."
Peu de temps avant ce discours, haineux mais au moins clair, c'est Georges Clemenceau qui, le 29 janvier 1891, avait lui aussi été très clair :
"...La Révolution française est un bloc… un bloc dont on ne peut rien distraire... C’est que cette admirable Révolution par qui nous sommes n’est pas finie, c’est qu’elle dure encore, c’est que nous en sommes encore les acteurs, c’est que ce sont toujours les mêmes hommes qui se trouvent aux prises avec les mêmes ennemis. Oui, ce que nos aïeux ont voulu, nous le voulons encore. Nous rencontrons les mêmes résistances. Vous êtes demeurés les mêmes ; nous n’avons pas changé. Il faut donc que la lutte dure jusqu’à ce que la victoire soit définitive..."
Ce combat de titans a donc débuté avec la funeste Révolution de 1789, et, depuis l'instauration de la funeste République en 1875, la France subit ce Régime qui la déclasse inexorablement, du point de vue matériel, en même temps qu'il la "vide" intérieurement de sa richesse spirituelle. Après avoir "changé le peuple" dans son mental, son moral, son imaginaire, par l'école, la République idéologique, devenue Système monstrueux, "change le peuple" par une immigration massive et continue : tout, pourvu que meure la France traditionnelle, lentement surgie du fond des âges à partir de Clovis et de son baptême.
Nous, au contraire - qui préférons nous appeler "alter-révolutionnaires" que contre-révolutionnaires... - nous nous inscrivons clairement et fièrement dans cet héritage millénaire, chrétien et royal, écrit par nos ancêtres sur cette terre de France, et nous voulons poursuivre "l'aventure France" en commençant, d'abord, non pas pas "restaurer" un ordre ancien, mais par "ré-instaurer" l'esprit vivifiant et fécond de cet ordre, rénové et adapté aux exigences de notre temps...
"Pour moi, l'histoire de France commence avec Clovis, choisi comme roi de France par la tribu des Francs, qui donnèrent leur nom à la France. Avant Clovis, nous avons la préhistoire gallo-romaine et gauloise. L'élément décisif pour moi, c'est que Clovis fut le premier roi à être baptisé chrétien. Mon pays est un pays chrétien et je commence à compter l'histoire de France à partir de l'accession d'un roi chrétien qui porte le nom des Francs" (Charles de Gaulle).
Voilà pourquoi - trop rapidement résumé, certes... - lafautearousseau, trois fois par an, manifeste son attachement aux vraies racines de la France, qui sont chrétiennes, plutôt qu'aux malfaisantes nuées d'une Révolution sanguinaire, belliqueuse et génocidaire...
À Noël, à Pâques et le 15 août, voilà ce que nous voulons dire, en... ne disant rien !
Vous demandez pourquoi nous sommes royalistes ?
Parce que nous étions la première puissance du monde lorsque la catastrophique révolution éclata. Et maintenant que les révolutionnaires ont installé la République en 1875, ils ont eu tout le temps - en 150 ans, tout de même !... - d'appliquer au pays le plus en avance, le plus riche, le mieux placé, à l'époque, les - soi-disant - meilleures théories du monde, le régime le plus merveilleux : partant de si haut, avec le meilleur des régimes au monde (soi-disant, la République), nous devrions nager dans le bonheur, et nous trouver quelque part entre Sirius et Jupiter, dans une position de puissance stratosphérique.
Or, est-ce le cas ? Que voyons-nous, lorsque nous observons l'état calamiteux dans lequel ce Système a mis la France en 150 ans ?