Chers amis de La Onzième Heure,
Nous vous proposons pour cet automne et en prévision de Noël deux ouvrages profonds, mystérieux et catholiques. en précommande dès aujourd'hui :
L'Envers de l'histoire contemporaine, d'Honoré de Balzac
et
Rois et pauvres (Noël à la maison de France et autres textes prophétiques), de Georges Bernanos
À précommander tout de suite, seul ou à deux (avec 5% de réduction) !
* L’Envers de l’histoire contemporaine, d'Honoré de Balzac
Enfin, un complot qu'on aime !
Godefroid abandonne une vie de débauche pour rejoindre le chemin de vertu d'une société secrète, les "Frères de la Consolation", qui se réunissent chez la baronne de La Chanterie afin de manigancer pour le bonheur des autres avec une charité sans faille.
Dans ce qui constitue le dernier roman du maître (1848), on trouve le fin mot de sa philosophie et de sa spiritualité, qui fait écho à l’Avant-Propos à la Comédie humaine : « J’écris à la lueur de deux vérités éternelles : la monarchie et la Religion ».
Ce roman, parce que Balzac mourut peu de temps après, n’a jamais eu la fortune qu’il eût dû connaître. C’est pourquoi La Onzième Heure, dont il croise le souci pour les choses de la charité et la question sociale, a jugé nécessaire de le rendre disponible à nouveau en grand format
Une aventure palpitante et salvatrice !
* Rois et pauvres (Noël à la maison de France, et autres textes prophétiques), de Georges Bernanos
Georges Bernanos demeure, parmi les écrivains catholiques du XXe siècle, l’un de ceux qui auront le moins vieilli. Son style féroce et doux en même temps, sa recherche de l’enfance, de l’héroïsme, de la sainteté à travers les vicissitudes de l’histoire qu’il aura courageusement traversée parlent encore à notre oreille contemporaine. Il est comme un grand frère, qui nous susurre mieux qu’on n’aurait su le penser et le ressentir soi-même la vérité de notre petitesse et la réalité de notre salut.
On a tenu à redonner ici des textes un peu oubliés de sa plume, depuis Noël à la maison de France, courte adresse au prétendant au trône de 1928, jusqu’à l’Adieu à la jeunesse, sa dernière conférence dans son exil du Brésil en 1947.
Les rassemblant, on a essayé d’y montrer son indéfectible catholicisme, notamment dans son amour des vaincus et des pauvres, et son insondable espérance.
À lire au coin du feu du bon Dieu !