Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
Un exemple à suivre, une décision à prendre chez nous aussi, afin de refermer la désastreuse et mortifère "parenthèse Chirac" (et avant d'entamer le processus de remigration, qui sera long et difficile, mais obligatoire si l'on veut que la France reste la France...) :
Regroupement familial : l'Autriche décide de suspendre cette mesure, une première en Europe
La ministre autrichienne de l'intégration, Claudia Plakolm, a estimé qu'il fallait «protéger» son pays face à l'afflux de réfugiés.
ELLE A RAISON !
IDEM EN FRANCE !
NON À LA SUBMERSION MIGRATOIRE !
1. Continuation de ce qui précède... Comme quoi, quand on veut, on peut ! Le Système, la République idéologique "pourrait", si elle "voulait" : mais elle veut précisément juste le contraire, elle veut la disparition de la France traditionnelle, avec ses us et coutumes et sa Religion chrétienne; elle veut "du passé faire table rase", fût-ce au prix de l'importation d'une nouvelle religion, inassimilable en tant que telle, dont elle a cru naïvement qu'elle se débarrasserait après s'être servi d'elle pour "en finir avec" les Traditions françaises, constitutives de notre Être profond; au premier rang desquelles, la religion chrétienne....
2. Des chiffres de Charles-Henri Gallois... :
"Entre 2017 et 2024 : La dette publique a augmenté de 1 087 Md€. La dépense publique annuelle a bondi de 378 Md€. Le déficit public s'est accru de 110 Md€. Vous pouvez retourner chaque indicateur économique dans tous les sens, le bilan de la Macronie est catastrophique !"
2 BIS. ... Confirmés ici, avec réfutation préalables des excuses bidon qu'on ne va pas manquer de nous sortir... :
"Faute d'argument, et en irresponsabilité, ils vont hurler en parlant du COVID et de la guerre en Ukraine. C'est dommage, mais si l'on compare aux voisins qui ont subi les mêmes crises, personne n'a fait pire. Le ratio dette publique sur PIB de l'UE est en 2024 le même qu'en 2017, malgré la contribution ultra négative de la France macroniste. Ils sont inexcusables et totalement disqualifiés."
2 TER. Et la cerise sur le gâteau offert par "le Mozart de la Finance" (qu'ils disaient !...) :
5. Dans L'Express (extrait des propos recueillis par Eric Chol et Clément Danie) :
"Etre alliés, ce n’est pas être aliénés" : les vérités d'Emmanuel Chiva sur notre défense - Défense. L’autonomie stratégique du continent nécessite des champions européens dans la défense, explique le délégué général pour l’armement...
"Je ne dis pas qu’il faut être souverain en tout, mais simplement qu’être alliés ce n’est pas être aliénés." déclare le délégué général à l'armement Emmanuel Chiva...
"La guerre en Ukraine et la menace russe obligent la France à remonter en puissance militairement. Depuis bientôt trois années, Emmanuel Chiva y œuvre, comme délégué général pour l’armement, et bouscule, dans le bon sens, un secteur de la défense aux habitudes bien établies. Avec un credo : maintenir les grandes compétences de la maison DGA (direction générale de l’armement), créée en 1961 pour bâtir la dissuasion française, tout en accélérant sa capacité à fournir les équipements de tous types dont les militaires ont besoin, des sous-marins nucléaires jusqu'aux petits drones consommables à bas coût. Verbatim.
"Produire plus rapidement et en masse"
Pendant des années, nos grands industriels de défense, parce qu’on ne leur a pas demandé autre chose, ont surtout développé des armes extrêmement perfectionnées, avec des rythmes lents de livraison. Jusqu’à récemment, nous choisissions nos guerres. Aujourd’hui elles s’imposent à nous. Il nous faut donc produire rapidement, à coût maîtrisé et en masse, alors que jusqu’ici le critère central était la performance. Les systèmes d’armes dont on a besoin ne doivent plus systématiquement être les meilleurs au monde. Ils ne répondront pas aux attentes si on met trois ans à les produire et quatre ans à les livrer, en comptant le travail de certification de validation de la DGA. Ces avancées sont rendues possibles aujourd’hui grâce à la décision du président de la République en 2022 d’annoncer un passage en économie de guerre, et par la mobilisation de tous les acteurs, tant industriels qu’étatiques, par le ministre des Armées Sébastien Lecornu.
"Une opportunité pour l’Europe"
La période actuelle, avec l’administration Trump, est évidemment compliquée, mais c’est aussi une magnifique opportunité pour l’Europe de s’affirmer. La guerre en Ukraine n’a déclassé aucun armement. On a toujours besoin d’artillerie, de défenses sol-air, de blindés, d’aviation. Les combats ont lieu dans les airs, sur la mer et sur la terre, mais aussi sous la mer, dans l’espace, dans les champs informationnels et cyber. Il nous faut nous adapter à cette modification de l’environnement géostratégique. L’enjeu est que les nations européennes conservent bien chacune leurs prérogatives..."
7. Et l'on terminera cette série d'aujourd'hui par ce bel exemple et cette bonne nouvelle qui nous viennent de Montagnac, dans l'Hérault :
"C’est un grand soulagement" : l'homme menacé de devoir détruire un monastère après 300.000 euros de travaux et de rénovation, a été relaxé par la justice"
À DEMAIN !
