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Au Cinéma : Belle et Sébastien, par Guilhem de Tarlé

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A l’affiche : Belle et Sébastien : nouvelle génération, un film français de Pierre Coré, avec Michèle Laroque, Alice David et Robinson Mensah-Rouanet (la grand-mère, Corinne, la tante, Noémie dite No, et Sébastien, dit Seb).

Belle et Sébastien : nouvelle génération… les films se suivent, de réalisateursguilhem de tarlé.jpg différents… Je n’ai vu ni la série télévisée de 1965 (mes parents n’avaient pas la télévision, et j’étais déjà occupé par la campagne présidentielle de Tixier-Vignancour), ni L’aventure continue de Christian Duguay en 2015.

J’avais reproché à celui de Nicolas Vanier, en 2013, d’avoir inscrit l’action dans le contexte de la 2ème guerre mondiale, et j’avais espéré que Le dernier chapitre de Clovis Cornillac, en 2018, le soit effectivement…

Mon épouse m’avait alors reproché de ne pas avoir su le voir « avec des yeux d’enfant ». Peut-être, avec 4 ans de plus, retombé-je en enfance  ? -  car c’est évidemment un film pour enfants -  J’ai en tout cas éprouvé un certain plaisir à parcourir les sommets pyrénéens et, surtout, à y voir pratiquer la transhumance, pratique migratoire (avec aller-retour !) que je croyais disparue depuis l’Installation d’Alphonse Daudet :

« Il faut vous dire qu’en Provence, c’est l’usage, quand viennent les chaleurs, d’envoyer le bétail dans les Alpes ».

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