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L'absolue nécessité du nucléaire français et sa bienfaisance "prouvées" par nos ennemis allemands ?
L'article du HuffPost est un aveu : celui de l’Allemagne, qui reconnaît donc - mais nous dénigre misérablement au passage... - "qu’elle ne pouvait fermer ses centrales nucléaires que si le nucléaire français assurait à 100% derrière"... comme le dit François Momboisse :
La centrale nucléaire Isar, ici le 4 août, va devoir tourner cet hiver contrairement à l’engagement de l’Allemagne de se passer de l’énergie nucléaire d’ici fin 2022...
1. Insécurité à Nantes (et partout en France) : les Français sont plus lucides qu'on ne le pense, à l'image d'Adrien, interrogé par Morandini. Il est vrai que - bonne pioche ! - Adrien a voté... Zemmour !
1 BIS. D'accord avec Laurent Obertone : "on" ne veut pas dénoncer et condamner les coupables des violences- ce qui revient à condamner des innocents - et tant que ce tabou de la dénonciation impossible des auteurs de violences ne sera pas brisé on ne pourra pas évoluer...
1 TER. ... et avec le commentaire de Damien Rieu sur le tableau qui suit :
"22 clandestins algériens expulsés en 6 mois, des taux d’expulsions qui ne dépassent pas les 4%… Bravo @GDarmanin, LFI n’aurait pas fait mieux !"
4. Émeutes en Iran : Zemmour dénonce la tartufferie et l'hypocrisie, de Macron à LFI :
"La gauche défend le droit de porter le voile partout. Mais en Iran, elle explique que c'est formidable de l'enlever. Il faut choisir ! On ne peut pas être Mahomet à Paris et Voltaire à Téhéran..."
En France, idiots utiles et/ou collabos de l'islamisme veulent imposer leur voile, contraire à nos moeurs, coutumes et traditions; en Iran, des filles et des femmes courageuses risquent leur vie pour l'enlever, et le brûlent...
5. Clochemerle et ballon rond, le "sketch absolu" : à côté d'un Vincent Hervouët plus qu'amusé, Geoffroy Lejeune remet les choses au point :
"J’entends qu’il ne faut pas banaliser le Rassemblement national, mais le Rassemblement national a été banalisé par 42% des électeurs il y a moins de six mois..."
Le 27 septembre 2020, avec le soutien de la Turquie et de mercenaires islamistes, l’Azerbaïdjan a déclenché une violente offensive contre la république autoproclamée de l’Artsakh, peuplée à 100% d’Arméniens.Ce conflit a fait 6 000 morts, pour la plupart Arméniens, et s’est soldé par une victoire de l’Azerbaïdjan. A la suite du cessez-le-feu signé sous l’égide de la Russie le 9 novembre 2020, les forces azerbaïdjanaises se sont aussitôt déployées dans les territoires reconquis, terrorisant et expulsant les populations arméniennes. Mais Bakou n’est pas décidé à en rester là et vise la prise de contrôle totale de l’Artsakh et à éliminer toute présence arménienne. La récente agression de l'Azerbaïdjan contre l'Etat souverain d'Arménie, en violation de la charte de l'ONU et du droit international, illustre encore davantage, s'il le fallait, l'extrême précarité des populations arméniennes que leurs ennemis irréductibles cherchent à chasser de leurs terres ancestrales, rappelant le tristement célèbre génocide de 1915.
La guerre d’Artsakh et les crimes contre les Arméniens ont été peu couverts par les médias français. Ils n’ont guère suscité l’indignation des ONG qui n’ont pas daigné leur accorder le même intérêt qu’aux Ouïgours et aux Rohingyas, alors même que le conflit a lieu aux portes de l’Europe. Ils sont restés pour la plupart sans réagir devant les propos haineux des dirigeants azéris, la destruction de la culture et du patrimoine arméniens, les exactions sur les populations civiles et les militaires, le traitement inhumain des prisonniers et la réécriture de l’histoire d’une manière grossière et éhontée. Pourtant, aux confins du Caucase se poursuit depuis plus d’un siècle un génocide qui n’a rien à envier à la shoah ni au Rwanda, mais qui ne semble guère émouvoir nos contemporains.
Face à ce silence, une trentaine de personnalités reconnues, d’horizons divers – comédiens, essayistes, experts, journalistes, politiques, religieux, romanciers, universitaires – se sont mobilisées pour exprimer leur révolte face à l’agression turco-azérie, analyser les ressorts du conflit et partager leur préoccupation face à l’avenir des Arméniens du Haut-Karabakh et exprimer leur soutien à l’Arménie.
Ce livre a pour but de rappeler les persécutions qui n’ont jamais cessé depuis 1915. Les événements de fin 2020 ne sont que la suite logique de l’arménophobie viscérale des Azéris et des Turcs. Il ne s’agit pas seulement de l’affrontement de deux peuples pour quelques arpents de terre, mais de la survie d’une nation millénaire et de sa culture. Cet ouvrage est ainsi une première : à ce jour, aucun ouvrage n’a été publié sur le conflit du Haut-Karabakh (2020), ni sur ce pays, méconnu de nos contemporains.
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