Ni Dieu, ni maître ! par Guy Adain
NI DIEU, NI MAÎTRE ! (disent-ils.)
Les pauvres, ils ont bien du malheur, et aucun espoir !
Comment vivre sans l’Essentiel, (invisible pour les yeux mais indispensable pour la vie) ?
Malgré tout, Dieu règne sur le Monde, ordonne l’Univers et il pourvoira au besoin de maîtres.
L’insupportable et vaniteuse devise qui affirme ne vouloir ni Ciel ni Roi, est sotte et présomptueuse ; l’un et l’autre nous sont imposés d’office et d’autorité : le Monde est créé ainsi !
L’ordre règne dans le Cosmos selon une merveilleuse et divine horlogerie céleste. Dieu donne aussi des maîtres, et quoique l’on puisse en penser, le Monde ne va pas si mal ; certes il pourrait aller bien mieux si nous consentions à être plus sages et plus confiants.
Si Dieu n’était pas, ou si le Monde était posé là sans queue ni tête, il tournerait complètement au hasard et réussirait cette performance totalement extraordinaire de fonctionner seul, intelligemment, sans intelligence animatrice, comme un corps sans tête ?
Seuls les adorateurs de la machine du Docteur Guillotin peuvent croire cela !
Sur Terre, qu’est-ce qui fonctionne sans maître ?
De la Famille, cellule de base de la Société, au Berger et son Troupeau, de l’École à l’Entreprise… Les maîtres sont partout et ce sont eux qui garantissent le fonctionnement et la survie de toute la société humaine.
- Par Maître, nous, nous entendons le Roi.
- Par Roi, nous entendons Serviteur ! (car le Roi est le serviteur de son Peuple, entre les deux, il y a l’Amour !)
Comme dit l’adage ancien : une Foi, une Loi, un Roi !
- Une Foi, c’est Dieu.
- Une Loi, c’est l’Amour.
- Un Roi, c’est le Maître-Serviteur.
Voilà les trois piliers du temple France que nous voulons reconstruire pour notre pays :
- Notre Prince n’aspire qu’à servir,
- l’Amour est le carburant,
- Quant à Dieu, il fait vivre les âmes.
- Nous, qui avons un Dieu,
- Nous que l’Amour anime,
- Nous qui avons pour Prince (Jean de France, Comte de Paris.)
- Nous qui sommes fidèles Sujets et fiers de l’être,
Relevons ce défi, ramassons ce gant, pour rendre à la France, son Honneur et sa Gloire, avec :
Un Dieu, un Maître et l’Amour !
À l’inverse de la devise anarchique !