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HEC : discrimination positive, matraquage sur le sexisme et le racisme…, par Emma Kerhervé.

La prestigieuse école de commerce HEC s’enfonce dans le . Discrimination positive, cours obligatoires sur le en lien avec , « diversité » : dans une interview aux Échos, le directeur général de l’école, Éloïc Peyrache, annonce les nouvelles dispositions d’HEC.

10.jpegDiscrimination positive

Au programme : « l’accélération des enjeux de diversité et d’ouverture sociale ». Pour ce faire, Éloïc Peyrache, qui souhaite atteindre 20 % d’étudiants boursiers d’ici deux à trois ans, et 25 % dans quelques années, propose une discrimination par points de bonification. Tous les étudiants qui passaient le concours pour la première fois avaient d’ores et déjà des points de bonification. Dorénavant, les étudiants boursiers disposeront encore de ces points de bonification pour leur deuxième présentation au concours. Il s’agit aussi d’« augmenter la part des femmes » et « la diversité territoriale », annonce-t-il, sans pour autant s’expliquer ni donner plus d’informations sur les avantages qu’auront femmes et personnes issues de la « diversité territoriale » au concours face à d’autres candidats.

 

Matraquage féministe

Désormais, le groupe Egae prendra en charge l’accueil des victimes. Le groupe se décrit comme une « agence de conseil, formation et communication experte de l’égalité entre les femmes et les hommes, de la lutte contre les discriminations, de la diversité et de la prévention des violences sexistes et sexuelles ». Une expertise dont on peut douter lorsque l’on sait que le groupe Egae a été fondé par Caroline De Haas, selon qui « un homme sur trois est un agresseur ». Les élèves, le comité de direction et les professeurs seront tous formés par Egae sur le harcèlement, le racisme – le rapport avec les luttes hommes-femmes ? – et les violences sexuelles. La formation sera obligatoire sur toute l’année. Alors que la prestigieuse Sciences Po tente de sortir la tête de l’eau face aux accusations multiples qui se sont syncrétisées dans le hashtag #SciencesPorcs, on croirait presque qu’HEC s’achète une caution, si un scandale venait à poindre. En attendant, ces nouvelles avancées laissent à désirer sur nos élites de demain.

 

Emma Kerhervé

Journaliste
 

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