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Christophe Dominici : avec une infinie tristesse, A Dieu, champion !

Un grand, un beau, un immense champion vient de nous quitter, et, qui plus est, dans des circonstances particulièrement tragiques. Christophe Dominici est parti, lui qui avait terrassé, en 99, les All Blacks (43/31) : "un authentique chef d'oeuvre", disent les journalistes sportifs, et ceux qui s'y connaissent...; lui qui avait permis aux Bleus de l'équipe de France de Rugby de vaincre toutes les autres équipes; lui, petit de taille dans ce milieu de colosses, lui l'agile, le rapide, l'insaisissable, lui qui terrassait a, finalement, été terrassé, à 48 ans, laissant une veuve et deux fillettes de dix et douze ans...

Il est bien triste que l'échec de sa tentative de reprise du club de Béziers ait échoué : après 67 sélections, il était normal de préparer sa reconversion. Pourquoi cet échec à Bézier ? À cause de qui, de quoi ? Certains ne doivent pas être très fiers, aujourd'hui...

L'heure n'est pas à la polémique, vaine de toutes façons, mais à l'infinie tristesse. Pour sa femme et ses deux filles; pour le sport français, qui perd l'un de ses plus attachants représentants; pour lui, qui reste une image et un modèle pour tous...

Les mots sont faibles, ils sont si peu de choses, presque rien. Pourtant, ils peuvent compter et doivent être dits : À Dieu, champion, et bravo, et merci... 

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