Communiqués RN-CRAF, GAR, NAR, DEXTRA, COLLECTIF NEMESIS... (sections de la France entière)
Vous y trouvez dès à présent les différents communiqués que les sections de la RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, NEMESIS, indépendants/"électrons libres" publient sur tous sujets : pour commencer, Lyon (contre le CETA), Le Mans (les mensonges de l'UNEF), Nantes (pas assez de bio dans les cantines scolaires), Ile de France (suicides des agriculteurs) ... et à suivre, au fur et à mesure...
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LIENS DES ARTICLES
ROYALISTES ET RESISTANTS
Henri d’ASTIER de LA VIGERIE, résistant et journaliste ayant appartenu à l'Action française, fondateur du réseau de résistance "Orion", créateur des Commandos de France ;
Jean-Baptiste BIAGGI, militant à l'Action française, avocat. Arrêté par la Gestapo, torturé, il s'évade en mars 1944 pour participer à la libération de Paris et la campagne d'Allemagne ;
Michel de CAMARET, camelot du roi, diplomate puis député européen du Front National. Résistant dès 1940, il intègre un commando parachutiste SAS des Forces françaises libres (FFL) ;
Daniel CORDIER, responsable du Cercle Charles Maurras de Bordeaux, un des premiers à rejoindre Londres, devient le secrétaire de Jean Moulin, se présente à lui en témoignant de son admiration pour Charles Maurras ;
Jacques DEBÛ-BRIDEL, écrivain, proche de Charles Maurras, militant antinazi dès 1935, il entre en résistance dès octobre 1940, à l'Organisation Civile et Militaire et au Super Nap (noyautage de l'administration publique) ;
Capitaine DUBUT, membre de l'Action française. Premier mort des forces françaises en Normandie ;
Paul DUNGLER, industriel du textile, responsable de l’Action française en Alsace, héros de la résistance. Co-fondateur de la Septième Colonne d’Alsace alias Réseau Martial. Initiateur de l’Organisation de la Résistance Armée et à l’origine des Groupes Mobiles d’Alsace ;
Honoré d’ESTIENNES d’ORVES, royaliste, héros de la Seconde Guerre mondiale, martyr de la Résistance. Exécuté le 29 août 1941 au Mont-Valérien. « Je ne puis me croire qualifié pour reconstruire la France ainsi qu'on nous le propose. Tant qu'il y aura une lueur d'espoir, je combattrai pour débarrasser mon pays de l'emprise de cet homme (Hitler) qui veut détruire nos familles et nos traditions... »;
Raoul GIRARDET, camelot du roi, résistant, arrêté par la Gestapo, il échappe de peu à la déportation ;
Général Pierre GUILLAIN de BENOUVILLE, camelot du roi (17ème équipe), résistant, fondateur de Radio-Patrie, membre du Comité Directeur du Mouvements Unis de la Résistance (MUR) ;
Maréchal Philippe de HAUTECLOQUE dit LECLERC, adhérent et abonné à l'Action française, royaliste de conviction, a redoré le drapeau français du Sahara aux flèches de la cathédrale de Strasbourg. Il a libéré Paris a la tête de la 2ème DB ;
Yves de KERMOAL, auteur du chant des Commandos de France ;
Louis de LA BARDONNIE, résistant, fondateur de la Confrérie Notre-Dame, interné au camp de Mérignac ;
Hubert de LAGARDE, écrivain, journaliste, très proche de l’Action Française. Fondateur du réseau de résistance Éleuthère. Membre du Comité d'action militaire. Il prend la tête du service de renseignement de Libération Nord, puis de l'état major FFI. Arrêté par la Gestapo, torturé, déporté à Buchenwald puis à Dora, il meurt en déportation ;
Maréchal Jean de LATTRE de TASSIGNY, monarchiste, sympathisant de l’Action française ;
Pierre MESSMER, camelot du roi. Il rejoint les FFL dès 1940 ; Edmond MICHELET, militant de l’Action française, chef du mouvement de Résistance Combat en Limousin. Il est arrêté, mis au secret et déporté à Dachau ;
Jacques PERRET, écrivain, prisonnier dès 1940, s’évade rapidement. La citation qui lui est décernée en 1940 mentionne: « [...] Le 12 mai, a tué cinq adversaires à coups de mousqueton, debout, avec le plus grand calme, dans un combat de rue [...] premier soldat de son bataillon [...] attribution de la Médaille militaire et Croix de guerre avec palme ». Il rejoint les maquis de la Résistance ;
Gilbert RENAULT dit Colonel REMY, abonné à L’Action française : « Le réflexe qui m'a fait partir pour l'Angleterre le 18 juin 1940 trouvait son origine dans l'enseignement que, depuis vingt ans, je recevais quotidiennement sous sa signature. Nourri de l'Action Française, il ne m'était pas possible de reconnaître comme définitive la défaite de la France. » ;
Jacques RENOUVIN, étudiant en droit, avocat, militant d’Action Française, héros de la Résistance, arrêté en 1943, torturé pendant des mois, mort d'épuisement à Mauthausen en janvier 1944, il avait inscrit dès 1940 sous la statue de Louis XIV à Montpellier: "Lui, n'aurait pas collaboré !" ;
Colonel Henri ROMANS-PETIT, chef du maquis de l’Ain dont les troupes défilent dans Oyonnax, le 11 novembre 1943, pour déposer devant le monument aux morts une gerbe sur laquelle on peut lire « Les vainqueurs de demain à ceux de 1914-1918 » ; etc.
1 NOVEMBRE 1940
EDWIGE DE SAINT-WEXEL
Lycéenne d'Action française scolarisée à Saint-Louis. A 11 heures, ce 11 novembre 1940, elle se trouve Place de l'Etoile. Arrêtée, torturée, incarcérée jusqu'en février 1941, elle deviendra par la suite membre du réseau Allié.
ANDRE PERTUZIO
Ancien président de la corpo de droit et co-organisateur de la manifestation du 11 novembre, il fut parmi les étudiants royalistes qui défièrent les autorités allemandes et l'interdit de l'Etat français.
JEAN EBSTEIN-LANGEVIN
Jeune strasbourgeois qui militait avant-guerre à l'Alliance royaliste d'Alsace (après la dissolution de la Ligue d'Action Française). Il est alors, vice président de la corpo de droit qui a appelé à manifester le 11 novembre 1940. Il passe en zone libre en 1941, officier de renseignement, incorporé dans la 1ère armée.
ROGER NIMIER
Futur romancier alors jeune sympathisant royaliste et lecteur de l'Action française, rattaché plus tard à la bande des Hussards (Déon, Laurent, Blondin), admirateur de Bernanos, présent lors du 11 novembre 1940 pour défier les autorités occupantes.
ALAIN GRIOTTERAY
Titulaire de la médaille de la Résistance et membre fondateur de la Fondation de la Résistance. Dès 1940, à l'âge de 18 ans, il fonde dans la clandestinité le réseau de résistance "Orion". Il est alors le plus jeune chef de réseau de la résistance.
Le 11 novembre 1940, Alain Griotteray co-organisa la grande manifestation d'étudiants qui défia l'occupant allemand.
JACQUES DUPONT
Jeune étudiant en droit, sympathisant des mouvements royalistes, par la suite réalisateur de documentaires, il déploie un drapeau tricolore au balcon de ses parents le 11 novembre 1940, boulevard Blanqui. A 17 heures, se rend Place de l'Etoile. Un mois de prison à la Santé.
LE VALOIS MONARCHIQUE
Association loi de 1901
Attention, il s’agit d’une projection privée, sachant que la présentation à la Presse est prévue en Janvier 2020 et que Cheyenne souhaite qu'il n'y ait pas d'article dans nos journaux et magazines avant la sortie du film en Février 2020.