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Ce que nous écrivions le 8 janvier 2015 s'applique à ce lendemain de carnage à Paris !

 

« Quand on laisse entrer chez soi, en un laps de temps relativement court, des millions d’immigrés venus d’un autre continent, nés d’une civilisation radicalement différente, guidés par les mirages d’un niveau de vie que leur misère originelle rend terriblement attrayants et qui n’ont que peu de sens et de respect de ce que sont les mœurs, les lois, les traditions du pays où ils arrivent, quand on en a soi-même largement perdu l’amour et la pratique, il n’ya pas de quoi être étonnés des troubles et des violences qui se produisent inéluctablement. C’est la première réflexion qui nous vient à l’esprit après les évènements tragiques d’hier, à Paris. Il y a longtemps, ici, en effet, que nous mettons en garde contre la politique d’immigration de la France, devenue plus périlleuse encore du fait de la crise économique et du laxisme de nos gouvernants. Du fait, aussi, d’un certain nombre de nos erreurs - de graves erreurs - en matière de politique étrangère. Il y a longtemps que nous signalons à quel point notre République vit sur une poudrière et qu’il peut arriver un temps où le travail de nos services de sécurité ne suffira plus à empêcher la multiplication des violences et des attentats. Ce temps est peut-être arrivé et il ne faut pas manquer d’en rechercher les causes, d’en marquer les responsabilités. Certes, tous les musulmans de France ne sont pas des terroristes. Loin de là. Nombre d’entre eux sont probablement en voie d’intégration. Et le réalisme devrait conduire, si nous en sommes capables, à les y aider, à les y encourager. Mais les risques de l’immigration massive demeurent ; elle est un terreau porteur de terribles dangers. Et, en tout cas, tous les terroristes qui menacent aujourd’hui la France le font au nom de l’Islam. »     

 

Lafautearousseau

Commentaires

  • De nombreuses femmes issues du monde musulman et en rupture avec leur culture d'origine, comme Ayan Hirsi Ali, Wafa Sultan, l'iranienne Chandort Djavan le disent et le répètent : l'islam est le nazisme du XXI° siècle. Quand en tirera-t-on les conclusions ?

  • L'entame de votre réaction me semble hors-sujet. les informations qui filtrent des services ici à Paris indiquent que le commando djihadiste serait constitué de Français ; les "migrants" ne sont pas impliqués dans cette affaire, et peut-être l'immigration en elle-même moins qu'on ne le pense. On verra bien.
    D'accord avec vous sur le reste de votre billet.

  • Je trouve que vous avez une définition réductionniste de l'immigration. Il faut la considérer, je crois, dans le cadre des cinquante dernières années, laps de temps, en effet "relativement court" au regard de notre histoire, Et période où elle est devenue massive. L'actuel épisode migratoire s'inscrit dans ce contexte.
    Vous avez, par contre, une définition très large de la citoyenneté française. Le légal sans considération du réel.
    Dommage !

  • La citoyenneté découle de la détention d'un passeport où que vous alliez dans le monde. Arguer d'une citoyenneté culturelle (par exemple) est plutôt romantique. Le phénomène d'immigration depuis nos anciens territoires d'empire n'explique pas tout, d'autant que les djihadistes actifs sont presque tous nés en France.

    Pour ce qui concerne le "réfugié" entré en Grèce sur passeport syrien, je pense que ça ne prouve rien. On le saura à la morgue. Les passeports syriens sont vendus (cher) dans tous les bons consulats syriens depuis que les fonctionnaires ne touchent plus de solde, et il est assurément plus facile à un combattant français de l'Organisation EI de rentrer en France comme réfugié que de se faire détecter par la PAF au passage de la frontière, surtout s'il participe à un projet d'attentat.

    Enfin concernant le contexte, je fais la différence entre l'immigration économique que nous vivons depuis des décennies et la crise migratoire actuelle provoquée par la déstabilisation du monde arabe. Bien sûr, ils sont nombreux à profiter du courant porteur vers nos régimes sociaux, mais la France n'est pas leur priorité car y travailler revient à prendre des jobs d'esclaves au début. Ces gens restent à trier et... à laisser partir !

    Par contre le signal donné par la Chancellerie du Reich aux requérants d'asile est irresponsable et je crois que Merkel va le payer très cher chez elle. Tous les pays voisins se ferment (même la Suède) et la France en profite pour se fermer aussi.

    L'affaire est la vengeance d'un proto-Etat que nous avons attaqué. Il y en aura d'autres, les scénarii sont divers et variés et valables tant que cet Etat n'aura pas été détruit rock-bottom. Les Russes l'ont compris qui s'y emploient avec un succès mitigé. La Coalition occidentale ne fait pas mieux. Il faudra se résoudre à mettre pied à terre pour les finir à la main.

    Les survols de drones de nos centrales nucléaires sont à mon avis beaucoup plus inquiétants que l'infiltration de salopards dans les colonnes de "migrants".

  • Mais on a retrouvé le passeport d'un djihadiste qui est entré en Europe par la Grèce! Celui ci n'était pas un français de souche.

  • Le ministre Thomas de Maizière a des arguments qui signalent la provocation dans l'abandon d'un passeport syrien près du Stade de France :
    https://fr.news.yahoo.com/attentats-indications-passeport-syrien-manoeuvre-dei-174547353.html

  • Je vous laisse donc à vos analyses.
    Si vous considérez que la citoyenneté est toute entière contenue dans la détention d'un passeport, alors, selon une vieille formule parfois utilisée dans ces commentaires, je ne peux rien pour vous.
    Le reste m'est peu compréhensible.

  • CITOYEN, s.m. (du lat. civitas, cité ; dér. de civis, venant de coire, s'assembler). Habitant d'une ville, d'une cité... | Qui est zélé pour la chose publique, qui se voue au bien général, qui est animé de sentiments conformes à l'intérêt et à la dignité de tous les membres de sa commune, de sa patrie, ou du genre humain entier... | suit toute une colonne qui va d'Athènes à la Deuxième République de 1848 (Dictionnaire universel de Maurice La Châtre, 1856 - Tome II, p. 994).
    Ce que vous cherchez à dire est autre chose, quelque chose qui convoque la patrie, substrat de la nation, mais pas la citoyenneté de l'époque moderne. Les djihadistes n'ont pas de patrie, ni de nation, ils s'abritent sous le patronage de la violence divine instrumentalisée par les dirigeants de Da'ech ou d'al-Qaïda. C'est un phénomène humain de regroupement, l'inclination naturelle à former une société. C'est peut-être pour cela qu'il est si dur de les combattre car dans leur tête, on leur prend tout !

    Pour Claude : le passeport syrien n'a encore rien prouvé, et la police se demande pourquoi un kamikaze aurait besoin de son passeport syrien (valeur 1500 $) pour gagner le paradis. Ca en fait des loukoums avant de mourir en martyr ! Il peut aussi appartenir au passant déchiqueté qui gisait à côté, sinon ... selon l'imagination de chacun. Il peut aussi appartenir au kamikaze.

  • Rien là que de très banal ou sans importance sur le fond. Où mènent vos réflexions ? C'est trop embrouillé pour moi. Et sans direction. Je préfère ne pas poursuivre.

  • "La citoyenneté de l'époque moderne" ! C'est du pur formaté bobo de droite ou de gauche ! Soumission ! Soumission à la mode germanopratine.
    On est citoyen ou on ne l'est pas. Ni un bout de papier ni l'époque ne changent rien ... Parole, parole.

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