Chronique de la France qui souffre : à Rennes, un commerçant chassé par le "terrorisme halal"; à Marseille, Ali et les trente "noyeurs"...
Quand les Français en auront marre...
1. A Rennes, terrorisme halal (lu dans Le Mensuel de Rennes) :
Au centre commercial Italie, dans le quartier rennais du Blosne, le boucher-traiteur a définitivement fermé ses portes fin avril. "Usé par les pressions", le commerçant a vendu ses murs. Début juin, dans un local rénové, s’installera une boucherie halal, la deuxième de cet ensemble qui compte une quinzaine d’enseignes. En onze ans d’exploitation, le boucher s’est fait démolir sa vitrine une dizaine de fois. Pourquoi ? "Parce que j’avais le malheur de vendre du porc !", assure Jérôme. Il y a quelques années, une inscription d’une cinquantaine de centimètres a été gravée au couteau sur la porte en bois de son arrière-boutique : "A mort les porcs, on vous saignera."
Selon le quadragénaire, les intimidations sont allées jusqu’aux menaces physiques. "Il y a trois ans, un soir, une dizaine de voyous est entrée dans ma boutique. Ils m’ont dit que si le lendemain, vendredi, je faisais cuire des galettes-saucisses dehors, comme c’était la tradition depuis toujours, ça se passerait très mal. Du coup, j’ai arrêté de faire des galettes-saucisses le vendredi, jour de prière chez les musulmans. Je les ai faites le samedi en fin de matinée, quand les perturbateurs de ce quartier dorment encore."
"Comme les fois précédentes, j’ai déposé plainte au commissariat. Comme les fois précédentes, les policiers ont refusé de se déplacer pour constater. Je suis amer." La pharmacienne relève aussi une montée de l'intolérance Lire la suite dans Le Mensuel de juin, actuellement en kiosque
2. A Marseille, Ali Ressa, 24 ans, a "tessonisé" Joachim : trois plaies ouvertes, 19 points de suture; mais il prétend que c'est Joachim qui est tombé sur un morceau de verre : quel maladroit, aussi, ce Joachim ! non, mais, vraiment !...
3. Sur la plage des Catalans, toujours à Marseille, une trentaine de "jeunes" s'amusent; jusque là, "ça va"; même quand un bébé prend du sable dans les yeux, ce n'est pas ce qui peut lui arriver de mieux, mais, enfin, sur une plage de sable, un jour de grosse affluence, on peut admettre l'accident involontaire; oui, mais voilà : ce gros balourd de papa du bébé a eu l'audace de ne pas être content : déjà, c'est un scandale; pire, il aggrave son cas en le disant aux "jeunes" : là, vous êtes, bien d'accord, c'est carrément de la provocation, de la stigmatisation, du "dérapage", du "nauséabond", enfin, bref, tout ce que nos bobos/gauchos/trotskos peuvent imaginer comme mots pour décrire l'innomable. Ce papa doit être un nazi, un nostalgique d'Auschwitz ou quelque chose comme çà. Nos vaillants lascars (ils sont trente tout de même, trente contre un), excités par une virago hystérique, se mettent à tabasser la père. Le policier chef de poste intervient : que croyez-vous qu'il arriva ? Les trente jeunes, illico, le prennent en poids, "l'empoignent" - nous disent les deux journaliste de La Provence, Magali Judith et Romain Luongo (1) - "pour le diriger vers la mer et le plonger sous l'eau. Une tentative de noyade".
On ne peut pas dire que les deux journalistes aient "menti" dans leur relation des faits; il n'en demeure pas moins que le mot d' "asssassinat" était plus indiqué : tentative d'assasasinat par noyade... Les médecins sont formels : il y a de gros risques de séquelles et "il pourrait y avoir un risque de paralysie faciale" !
Soyons sérieux : des voyous pareils n'ont rien à faire chez nous. IL est normal que la France traite ses propres délinquants (violeurs, assassins, trafiquants etc...). Mais qu'elle en importe ne nous paraît pas la chose la plus utile. Et s'il s'agit de "jeunes" à qui - ou aux parents desquels - on a follement donné un rectangle de plastique en leur disant "est français !", comme on dit aux électeurs "a voté !", nous ne sommes pas d'accord; et, comme Caton l'ancien, à temps et à contretemps, nous lançons notre "Delanda est", pour "dé-poubelliser" la France : DECHEANCE/EXPULSION !
Déchoir expulser et donc remettre en cause la nature du Système qui est le nôtre.pdf
(1) : ces deux "faits divers" (!), particulièrement inadmissibles, sont relatés dans le même numéro de La Provence, du mardi 9 Juillet : page 4 pour "Ali baba-lafreur", et page 3 pour les héroïques "trente jeunes contre un"; ils le sont t aussi, avec une variation du chiffre des agresseurs (vingt au lieu de trente) par Le Parisien : http://www.leparisien.fr/marseille-13000/video-marseille-une-vingtaine-de-jeunes-tentent-de-noyer-un-policier-a-la-plage-09-07-2013-2967287.php
DERNIERE NOUVELLE : cette note a été rédigée mardi, dans la foulée de la lecture de la presse, nationale et régionale; mercredi, et toujours dans La Provence, Romain Luongo, dans un article nettement plus sévère pour les voyous, annonce qu'on a arrêté "les deux principaux auteurs de l'agression du policier"; "ils encourent une lourde peine", écrit-il, oui, mais... ils sont mineurs : le garçon a 15 ans, la fille 16. On a compris : même si Romain Luongo rappelle que "le Code pénal prévoit la perpetuité pour ceux qui se sont rendus coupables de tentative d'homicide en réuniuon sur une personne dépositaire de l'autorité publique", il ne peut qu'écrire également - et c'est là qu'on peut s'attendre à tout, vu l'état d'une partie de la magistrature... - : "...même si la minorité des suspects adoucira la sentence..."
La sentence "Déchéance/Expulsion", elle, ne souffre aucun adoucissement....
Commentaires
Ils sont chez eux chez nous. Et nos dirigeants temporaires ne feront RIEN pour y remédier.
Comemnçons par abolir la stupide loi du 14 Juillet 1989 dite loi GAYSSOT du nom de l'ancien chef de gare devenu Ministre.
Qui parmi le personnel républicain pourra nettoyer les écuries d'Augias????????????????????????,,,,,,,,,,
A l'exemple de l'affaire Clément Méric, peut-être le ministre devrait-il dissoudre une certaine jeunesse ? Y pense-t-il ?