De Hugues Aufray...
Dans "Nice Matin", 17 novembre 2012
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Dans "Nice Matin", 17 novembre 2012
Commentaires
Ce n'est pas une révolte monsieur le Président, c'est une Contre-Révolution.
Très excatement, c'est le long processus du CONTRAIRE de la Révolution 68 qui s'est mis en marche.
Observons, observons, la résistance des familles du pays réel trop vite oublié.
Observons, observons la Réaction ce que la Bien-pensance inquiéte de Libé, Arte et Nouvel Obs nomme "la génération JMJ".
Monsieur le Président de la République, je je veux plus subir votre modèle de société, je ne suis pas sur terre pour vivre contre-nature.
Monsieur le President, dite a vos gendarmes que je serai sans armes et qu'ils pourront gazer !
Merci pour votre oeuvre hugo et aujourd'hui pour votre analyse que je partage. Amities.
Tout à fait d'accord, Monsieur AUFRAY, continuez à nous faire réver en bon Français, quant les autres hurle du Franglais". Quant on a tout perdu, il reste la connaissance et Fénélon nous dit: "que la vérité raisonnée apporte l'esprit".
Par mensonges révolutionnaires puis républicains acceptés, nous renions l'intelligence de nos ancêtres et donc la nôtre et moutons resterons.
Laissons les se dévoiler,ces médiocres.Les français anesthésiés par des decennies de comsumérisme,lobotomisés par les médias,sont entrain de réagir;comme le pavé jeté dans la marre,la me... remonte à la surface.Non,notre belle France n'est pas encore à terre:oui,nous défendons des valeurs millenaires,oui nous sommes fiers de notre histoire de France,oui nous allons à l'Eglise et oui nous chantons des chants sacrés et nous les apprenons à nos enfants.Enfin,oui nous ne sommes pas dupe de tous ces mensonges"démocratiques".Les hommes passeront,moi Je serai toujours là"dit le Christ.L'Ascension n'est pas loin...Confiance,paix,joie.Bien à vous tous.
Un grand merci à M. Aufray de ne pas paraître suivre la plupart de ses confrères en chansons. Chants du peuple, chants sacrés, chants, la vraie musique populaire sans criaillerie manquent à notre culture qui se nourrit d'elle-même dans une pagaille cacophonique qui doit faire honte à "l'honnête homme".
L'irruption spontanée de la génération JMJ fait réfléchir Jacques Julliard.
C'est Gérard Leclerc qui commente son article sur Radio-Notre-Dame.
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