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La Dizaine de MAGISTRO...

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Extrait du Walter, Où en est l'Eglise en Chine ? (début) :

        

           "Le catholicisme "officiel" en Chine connaît des décisions qui pourraient  permettre d’attendre une évolution de l’institution", écrivais-je dans le no 24 de la NRU, me référant au P. Heyndrickx (1), sinologue et directeur de l’Institut Ferdinand-Verbiest à l’Université de Louvain.

           "Dans quel sens, l’évolution ?", me demandais-je, assuré que c’était difficile à dire. Mais force était de constater que les rapports entre Rome et Pékin semblaient s’être améliorés en 2010 avec notamment le sacre de dix évêques ayant reçu l’accord des deux parties. Or, fin 2010, (mea culpa, je n’en avais pas tenu compte) deux "affaires" étaient venues gâter les relations sino-romaines. En novembre, le P. Joseph Guo Jincai avait été sacré évêque de Chengde (2), au Hebei, sans l’aval romain, les évêques de la région ayant été contraints à concélébrer la cérémonie. Les auteurs de la manœuvre ? Des conservateurs, communistes ou autres. Rome avait senti le piège, annoncé que le cas serait étudié. Guo tombait-il sous le coup de sanctions canoniques ? La question n’appelait pas de réponse urgente. Le Pape tenait à entendre les témoignages d’évêques chinois qui "fourniraient des informations complètes et objectives". Or, Pékin a la haute main sur tout contact avec l’extérieur. En décembre, lors de la première session de la VIIIe Assemblée nationale des représentants catholiques, Mgr Fang Xingyao avait été porté à la présidence de l’Association patriotique des catholiques chinois (3), Évêque "officiel" reconnu par Rome, 47 ans, il siège à la Conférence consultative politique du peuple chinois (la Chambre haute) et avait accepté ces dernières années de prendre part à des sacres illicites. C’est en outre un proche d’Anthony Liu Bainian, 77 ans, son prédécesseur à la tête de l’Association, "homme fort" de l’Église "officielle", à la botte du gouvernement, et désormais le très actif président honoraire de l’Association patriotique et de la Conférence des évêques....

Commentaires

  • Il ne faut avoir aucune confiance dans le communisme,chinois en particulier.Tous les moyens lui sont bons,plus spécialement le mensonge,la fourberie et l'artifice,dont il aime le plus souvent à se déguiser :il est sans cesse animé par un instinct irrépressible de domination, ou de défense sournoise s'il se sent un tant soit peu menacé ou poussé dans ses retranchements. De plus,comme tout asiatique,il a en horreur absolue de perdre la face.Il ne convient pas de lui céder en quoi que ce soit.Il vaut mieux essayer de lui faire peur,surtout dans la période actuelle ou il a déjà cédé aux sirènes du capitalisme pour mieux le vaincre,croit-il,mais en négligeant les intérêts les plus légitimes du peuple chinois;ce qui ne va pas sans culpabiliser certains de ses doctrinaires sans pitié.

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