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Camps de Roms : réflexion vagabonde, après les paroles de deux maires de gauche, non idéologues.....

            - De Jean Espilondo, maire socialiste d'Anglet : "Il n'y a aucun discours de stigmatisation, juste une volonté de faire respecter la loi".

            Le maire a présenté une requête devant la justice, aboutissant à l'expulsion, ordonnée par la préfecture, d'un camp de gens du voyage.

            - D'Eddie Aït, maire PRG de Carrières-sous-Poissy : "En tant qu'élu de gauche, et dans un souci de salubrité et de sécurité publique, je demande leur évacuation et leur expulsion dans les meilleurs délais" (lettre à Nicolas Sarkozy). 

            Moralité : le vrai clivage n'est pas droite/gauche, mais idéologues/non idéologues. Il y a des idéologues à droite, et des gens avec qui l'on peut parfaitement s'entendre, à gauche. Des Manuel Valls ou des Hubert Védrine nous le montrent tous les jours....

            Et qu'on n'aille pas croire que c'est, pour nous une découverte : n'en prenons ici que l'exemple de la grande estime dans laquelle Maurras tenait Proudhon et, à travers lui, tout ce qu'il y avait d'authentiquement social et généreux à gauche, mais sans l'idéologie (l'internationalisme entre autre, car Proudhon était puissammment patriote...). Cette estime de Maurras - ou de Bainville, dédiant au même Proudhon son Bismarck et la France - est là pour nous le rappeler : c'était au printemps de l'Action française, quand Maurras installait les Cercles Proudhon (1)........

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(1) : pour ceux que cela intéresse, et en guise de mise en bouche, le site http://maurras.net/ a mis en ligne Lorsque Proudhon eut les cent ans : Lorsque Proudhon eut les cent ans.pdf

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