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Il faudra pourtant bien en sortir....(4/4) : Le point de vue de Michel de Jaeghère...

        En ce qui concerne l'immigration, nous recevons régulièrement des messages qui, pour être tous très différents les uns des autres, posent en réalité tous le même problème et qui, même avec des formulations parfois très éloignées les unes des autres, en reviennent toujours à la même question centrale : comment en est-on arrivé là, que proposez-vous, que faire pour "en sortir"... ? 

         Pour essayer de répondre, non pas à tout le monde à la fois et d'un seul coup - c'est "mission impossible"...- mais, peut-être et au moins en partie, à l'essentiel des préoccupations de celles et ceux qui écrivent, nous allons tâcher de proposer ici un rapide survol qui s'efforcera d'abord de résumer la situation dans ses grandes lignes, et par redire, pour commencer, comment on en est arrivé là; puis nous évoquerons les remèdes dérisoires que propose le Pays Légal pour règler (?) des problèmes qu'il a lui-même, tel un apprenti sorcier, follement créés; ensuite, nous reprendrons ce que nous avons déjà écrit ici-même, à savoir qu'une des solutions pour "en sortir" pourrait être de mener ce que l'on pourrait appeler une politique des trois tiers ; et, pour ceux qui seraient sceptiques, on lira, comme une sorte de conclusion provisoire, l'opinion de Michel de Jaeghere...  

          Nos lecteurs pourront évidemment poursuivre le débat, en continuant à écrire ou en postant des commentaires; ils pourront aussi se référer à notre PDF "Contre la France métisse..."  :

http://lafautearousseau.hautetfort.com/list/documents/conference_contre_la_france_metisse___pdf.html

         Aujourd'hui ....(4/4) : Le point de vue de Michel de Jaeghère...         

        A ceux qui douteraient de la faisabilité de cette politique des trois tiers, nous nous permettrons de communiquer cet article de Michel de Jaeghere, dont nous extrayons juste les quelques lignes suivantes mais que vous lirez dans son intégralité ici :

           Michel de Jaeghere.pdf

             "...Au regard de ces principes, les lois de la nationalité que je vous ai décrites ne sont pas des lois. Elles devront donc être révisées et rien ne s’oppose à ce que certaines dispositions aient parfois un effet rétroactif.

            Il est évident qu’il faudra faire preuve de prudence et d’humanité dans l’examen des cas. Il ne s’agit pas de considérer que toutes les acquisitions de la nationalité française depuis 1945 ne valent rien et de mettre tout le monde dehors. Il faudra faire une révision des listes de nationalité qui prenne en considération les fraudes.

            Il était prévu par la loi qu’on ne pouvait pas acquérir la nationalité française en cas d’indignité, par exemple. Quand on pourra prouver qu’une personne qui a acquis la nationalité française était un délinquant, entré clandestinement (donc illégalement) sur le territoire, il me paraît clair que l’on devra pouvoir réviser son acquisition de la nationalité française. La même remarque s’applique au défaut d’assimilation, qui n’a pas été pris en compte en pratique, alors même que c’était prévu. Il me semble qu’il n’y aurait rien de choquant à ce que l’on conteste la nationalité d’un Français d’acquisition qui ne parlerait pas notre langue.

            La loi française prévoit par ailleurs que la nationalité puisse être retirée à ceux qui l’ont obtenue par fraude ou par mensonge, ou encore à ceux qui auraient porté atteinte aux intérêts de la nation. Seulement, elle n’est pas appliquée (depuis 1990, on n’a compté que trois décrets de déchéance de la nationalité). On pourrait commencer par la mettre en oeuvre avant de l’étendre à ceux qui ont gravement porté atteinte à la paix civile ou à l’ordre public...."

            En effet - et puisqu'il vaut mieux prendre les choses du bon côté - il suffira de suivre l'excellent exemple donné par les juges bobos/gauchos/trotskos du Syndicat de la Magistrature, qui passent leur temps à libérer les clandestins - par définition transgresseurs des lois qu'ils sont censés, eux, les juges, faire respecter - sous pretexte de Vices de forme.

            La voilà, la voie à suivre, sur laquelle il faut résolument s'engager, en remerciant les juges pervertis (et le diable, qui porte pierre...) : les vices de forme !

            Que l'on passe au peigne fin les listes depuis 1975 et les décrets Chirac, et que l'on annule tout avantage, toute allocation, tout statut, toute naturalisation etc... sur laquelle la moindre virgule, le moindre iota ne sera pas conforme....

            Le ménage dans la Maison France en sera grandement facilité !..... (fin).

Commentaires

  • excellent !

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