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Le mal républicain, ou : Je taxe, donc je suis…

          Un problème ? Une taxe ! Il faudrait peut-être finir par psychanalyser tout çà : derrière chaque dirigeant du Pays légal républicain – qu’il soit de droite ou de gauche -  y aurait-il un pâtissier qui sommeille ? Il n’y a qu’à voir l’extraordinaire mille feuille des impôts et taxes qui ne cesse de grossir, de grossir…

          Il faudrait pourtant que nos gouvernants en reviennent à un bon sens élémentaire. Gouverner n’est pas taxer !

          Nous l’avons dit récemment : le RSA est une bonne idée, mais servie (ou plutôt desservie….) par une mauvaise : on prétend taxer les gros, le capital ; ce n’est pas scandaleux en soi. Sauf que les vrais gros, astucieusement conseillés par des myriades d’avocats, ont mis leur(s) fortune(s) à l’abri depuis bien longtemps. Il y a loin de la coupe aux lèvres : contrairement aux paroles verbales prononcées pour rassurer, qui paiera au bout du compte ? Les classes moyennes !

          L’argent qu’on prétendait au départ prendre ailleurs, aux riches, on va à nouveau le prélever sur leur épargne, fruit d’un travail que l’on prétend encourager par ailleurs…

           Les vrais millefeuille, en pâtisserie, c’est bon ; en taxes, c’est indigeste, et ça tue…

 

Commentaires

  • Juste un petit rappel d'ordre fiscal.
    Les derniers "gros" contribuables restés sur le sol français, sont protégés par le fameux "bouclier fiscal" qui limite à 50% quoi qu'il arrive, le taux d'imposition sur les revenus.
    En toute équité républicaine (liberté, égalité,fraternité), ce taux aurait du passer à 51% afin de répartir l'effort sur tous.
    Mais évidemment les Bolloré, Bouygue et autres amis de qui vous savez n'auraient pas été contents.

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