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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Vu sur la page FB de nos amis de l'Action française Toulon : Quand Natacha Polony démonte les arguments de Marlène Schia

    Les autoroutes, Alstom, Latécoère (...) la liste est non exhaustive. Les gouvernements et les hommes changent mais pas les pratiques. La République a engendré une classe politique complètement corrompue.
    Depuis sa création l'Action française dénonce ces scandales politico-financiers.

    «La braderie des bijoux de famille votée par une petite poignée de députés» Natacha Polony face à Marlène Schiappa.

  • Sur la page FB de l'Action française Le Mans : Les Reportages du Média pour Tous : Les gilets rouges contre le 49.3, et.

    Reportage de l'excellent Le Média pour Tous - Vincent Lapierre sur la réforme des retraites. Une fois de plus on peut constater que l'extrême gauche se complaît des attitudes crasses et complètement hystériques refusant le débat des idées (par peur de se faire humilier). Ce reportage montre une fois de plus que l'extrême gauche ne connaît rien au royalisme et qu'elle est bel et bien un idiot utile du système capitaliste qu'elle décrit pourtant. Notons cependant que certains sont plus ouvert que d'autres au dialogue et prêt à débattre.

    Alors que le gouvernement d'Emmanuel Macron tente de faire passer en force sa réforme des retraites par l'utilisation de l'article 49.3 de notre Constitution, les oppositions s'organisent tant bien que mal. Ce samedi 14 mars, la mobilisation s'annonce massive, mais avant ça, des échauffements ont lieu dans toute la France, à l'appel de la CGT notamment. L'occasion pour Thibault et l'équipe du Média pour Tous d'aller à la rencontre de ces Gilets Rouges, ouverts à la discussion pour certains, ouverts à la guillotine pour d'autres.


  • [MIGRANTS] Fidèle à elle-même, l'UE abandonne la Grèce à son sort : l'Action française soutient le peuple grec...

    L'Action française soutient la nation grecque, actuellement soumise à un chantage à l'invasion migratoire orchestré par le nouveau sultan islamiste Erdogan. Par Romain Bertrand, responsable AFE Lyon.


  • François Hollande chahuté par nos camarades de l'Action française de l'Ile de France (Nouvelle vidéo)

    Une thalamade pour François Hollande !

    Si beaucoup de nos compatriotes ont la mémoire courte, nous nous faisons un devoir de leur rappeler que Hollande n'a que faire de la France. Son livre, ses "conseils", qui seraient drôles si la situation du pays n'était pas tragique, sont une énième provocation.

     "Pour les rhéteurs l'heure est mauvaise."

     

    Action française Ile de France

  • Sur le site officiel de l'Action française : Le beau concept d’universalité peut cacher des objectifs sordides, l’éditor

    pjillip-et-delev.jpghttps://www.actionfrancaise.net/2019/12/10/leditorial-de-francois-marcilhac-3/

  • Sur le site officiel de l'Action française : Macronisme : Dernier avatar de l’ancien monde…, l’éditorial de François Ma

    manif-retraite.jpghttps://www.actionfrancaise.net/2019/12/17/leditorial-de-francois-marcilhac-4/

  • Vu sur la page FB de l'Action française Toulon, Pascal Praud dans l'Hdpros sur CNews : les travers du régime républicain

    Depuis sa création l'Action française ne cesse de dénoncer ce régime républicain ainsi que ses travers.

    "Si je voulais ne pas être gentil, je dirais à Ségolène Royal qu'elle vit avec les deniers de la République depuis toujours!"

    Elle est convoquée par l'Assemblée nationale pour expliquer les dérives, dont elle est responsable, dans le cadre de l'exercice de son mandat d'ambassadrice des pôles.

  • Vu sur la page FB de l'Action française Toulon, Amaury Navarranne candidat à la mairie de Toulon sur l'immigration et se

    Rien à redire sur les propos de Amaury Navarranne candidat à la mairie de Toulon sur l'immigration et ses méfaits, que les idéologues gauchistes prônent continuellement.

    Je suis venu ce soir dire à ceux qui prônent la disparition de toute frontière, l'acceuil inconditionnel de tous les clandestins et le soutien à l'Immigration de masse qu'il est indécent et criminel de tenir ces positions égoïstes et mortifères !
    Journée des migrants Toulon

  • Sur le blog de l'Action française, Dominique Flandrin, militant d’AF nous a quitté, par Frédéric de Grancourt (ancien se

    3408130272.3.jpegDominique Flandrin, nous a quitté lundi 13 avril dans l’après-midi à 63 ans, après avoir lutté avec beaucoup de courage pendant 8 mois contre un cancer, en attrapant à l’hôpital le covid 19, qui ne lui a donné aucune chance !

    Dominique avait été formé politiquement par son père, Médecin militaire et nationaliste.

    Ancien élève du Prytanée Militaire de la Flèche, il prépare les concours des Hautes Ecoles de Commerce, et intègre brillamment l’ESC PARIS.

    Dans le même temps il rejoint la NAF, puis suit la scission en adhérant au COPCOR et après le MRF avec Fabrice O’driscoll, Gérard, Philippe, Olivier et les autres.

    Entre temps il effectue son service militaire dans la Royale et est Enseigne de Vaisseau.

    C’est celui qui m’accueillera au MRF rue Marcadet et n’hésite pas encadrer les jeunes issus du Cercle Jacques Bainville d’Assas. Jeune marié à Chantal, ils nous reçoivent chez eux de longues soirées dans leur petit studio de la rue Mouffetard…

    En parallèle de son engagement politique, Dominique fait une brillante carrière, d’abord chez Nielsen, puis comme Directeur Marketing du Groupe La Brosse et Dupont, où il m’accueille comme stagiaire, pour après rejoindre le papetier Canson Arjomari où il gravira les échelons pour arriver au poste de Directeur Commercial Monde, après avoir décroché un MBA HEC, pour devenir Directeur Général dans une société de Brosserie à St Brieuc.

    Père de trois enfants, il avait su concilier avec talent réussite familiale, professionnelle et rester fidèle à nos idées : c’est l’exemple même du militant parfait répondant à la devise : « nous voulons former une élite, pas un mouvement de masse »

    Avec la dissolution du MRF, il décide comme beaucoup d’entre nous de rejoindre l’AF et Guy Steinbach, le fait Camelot du Roi, pour ces actions passées.

    Il intègre la cellule de réflexion économique dans le cercle des Mousquetaires du Roi.

    Indéfectible et fidèle parmi les fidèles, il avait en outre sonamour sans faille pour Chantal, une liaison fusionnelle pour Jeanne d’Arc en collectionnant les statuettes et statues pouvant atteindre 1m 70 de la pucelle d’orléans.

    La dernière fois que j’ai revu Dominique c’est à l’Olympia au concert de Jean Pax (le camp des solitaires) …

    Salut Dodo, Salut grand frère, tu nous manques déjà et bon vent Monsieur le lieutenant de St Malo.

  • Sur le site officiel de l'Action française, Macron, la dupe de Merkel, l’éditorial de François Marcilhac.

    Macron a pourtant été ministre de Hollande. Et ne l’eût-il pas été qu’il aurait pu mieux s’informer sur Dame Merkel. Comment peut-il prendre pour une victoire personnelle le fait que la chancelière allemande, à la suite de la menace de la Cour de Karlsruhe de déclarer contraire à la constitution allemande le rachat d’obligations publiques en raison de la baisse des taux d’intérêt pour les épargnants allemands, se soit prononcée devant le Bundestag, le 13 mai, en faveur d’une plus grande « intégration  » de la zone euro, allant même jusqu’à parler d’une nécessaire «  union politique  »  ? Lors de la conférence de presse conjointe du 18 mai avec Macron, pour présenter la proposition franco-allemande d’un plan de relance de 500 milliards d’euros, elle a même ajouté  : « Nous sommes convaincus que les Etats nations ne s’en sortiront pas seuls.  »

    françois marcilhac.jpgQu’importe à Macron, qui buvait du petit lait, que la chancelière n’ait pas précisé le sens qu’elle donnait à une «  intégration  » plus grande de la zone euro ? Ne suffisait-il pas qu’elle ait repris devant le Bundestag les mots de l’ancien président français de la Commission européenne de 1985 à 1994  : « Nous ne devons pas oublier ce que Jacques Delors disait avant l’introduction de l’euro  : il faut une union politique, une union monétaire ne suffira pas.  » Et Macron, rêvant tout éveillé, de surinterpréter aussitôt les propos de la chancelière : «  La réponse, comme le dit Angela, c’est le rêve européen l’idée démocratique. il ne faut rien céder à nos principes  ». D’autant que «  les extrêmes  » et «  les marchands de haine  » — suivez mon regard …en direction de l’est — profiteraient de la pandémie pour remettre en cause ces principes, et de faire allusion autant aux sacro-saintes valeurs de l’Union européenne qu’à celles, tout aussi vénérées, du Conseil de l’Europe… Il conviendrait de défendre «  ensemble, contre les nationalistes […] les piliers de notre union  », a poursuivi Macron, tout à ses obsessions anti-souverainistes, avant de conclure que c’est le moment de «  prendre des risques […] sur le chemin européen  », puisque «  rester où nous sommes c’est prendre le risque de reculer  ».

    Oui, Macron risque de prendre ses désirs pour la réalité ! Au lendemain même de l’élection de François Hollande, le 14 juin 2012, devant son parlement, Angela Merkel martelait déjà la nécessité d’accélérer l’intégration politique : «  L’Allemagne est forte, l’Allemagne est le moteur économique et l’Allemagne est le pilier de la stabilité en Europe. Je dis que l’Allemagne met sa force et son pouvoir au service du bien-être du peuple, pas seulement en Allemagne mais aussi pour aider l’unité européenne et l’économie mondiale.  ». Comme le notait un peu plus tard Jean-Michel Quatrepoint, «  Angela Merkel a exposé son plan dans un entretien à cinq journaux européens [en 2012]  : “Au fil d’un long processus, nous transférerons davantage de compétences à la Commission, qui fonctionnera alors comme un gouvernement européen pour les compétences européennes. Cela implique un Parlement fort. Le Conseil qui réunit les chefs de gouvernement formera, pour ainsi dire, la deuxième chambre. Pour finir, nous avons la Cour européenne de justice comme Cour suprême. Cela pourrait être la configuration future de l’Union politique européenne.” ll s’agit tout simplement de la transposition à l’échelle européenne du modèle allemand. Au sein de ce Parlement, le poids de l’Allemagne et de ses alliés sera prépondérant. Tout comme il le serait, grâce à ses alliances au sein de la deuxième chambre, sorte de Bundesrat.  » [1]

    Jamais depuis la dernière guerre, un chancelier allemand n’avait été aussi sûr de lui. Huit ans plus tard, et rassurée, en fait, par la décision de la Cour de Karlsruhe qui lui permet de faire de la communication européenne et d’enivrer le benêt eurôlâtre de l’Elysée sans prendre aucun risque, puisque, contrairement au Conseil constitutionnel français, la Cour de Karlsruhe assume sa fonction suprême, qui est de protéger la souveraineté de l’Etat, Merkel fait passer le même message aujourd’hui, sans être aussi précise, certes, à l’occasion de son plan de relance : «  ils  » se saignent pour «  notre  » monnaie, donnez toujours plus de votre souveraineté pour mériter d’entrer dans l’Europe allemande, bienfaitrice des peuples. Car le plan de relance proposé par le «  couple  » franco-allemand (qui n’a jamais existé) ne sera pas gratuit. Avec l’Allemagne, rien n’est jamais gratuit. Certes Merkel reconnaissait en 2012 que son projet fédéraliste était une «  tâche herculéenne  », mais c’était pour ajouter aussitôt qu’elle était «  inévitable  »  : Hercule, pour Merkel, est un demi-dieu allemand…

    Elle a, depuis maintenant huit ans, face à elle, des demi-portions. Par faiblesse constitutive, Hollande, faisant du sous-Mitterrand, se soumettait à Merkel pour mieux, croyait-il, la neutraliser. Macron, lui, est un idéologue. Sincèrement antipatriote, comme Jean Monnet, indifférent à la France, comme Sarkozy, cosmopolite comme ceux dont il est la créature, il a immédiatement exhibé son talon d’Achille : l’absence totale du sens des réalités, dissimulée derrière une morgue verbeuse, qui a achevé de le ridiculiser au plan international. Dans son face à face avec Merkel, patriote allemande, Macron ne compte que ce que compte, encore, la France.

    François Marcilhac

    [1] Causeur, janvier 2014, n°9, L’Europe a besoin d’une pause, par Jean-Michel Quatrepoint, pp.45-46

  • Sur le site officiel de l'Action française : écologisme : un délire sociétal, l’éditorial de François Marcilhac.

    Après l’adoption récente de la pro­po­si­tion de loi visant à ren­for­cer la lutte contre la mal­trai­tance ani­male, qui, entre bonnes inten­tions et délire anti­spé­ciste, aura pour consé­quence d’affecter des sec­teurs entiers de l’économie (tou­risme, éle­vage, com­merce) (et d’après leurs auteurs, ce n’est qu’une pre­mière étape), la mai­rie éco­lo­giste de Stras­bourg, dans une même logique anti­spé­ciste, se pré­oc­cupe davan­tage du sort bien­veillant à réser­ver aux rats et aux punaises de lit que de san­té publique, tan­dis que la mai­rie éco­lo­giste de Lyon, pré­tex­tant la crise sani­taire, impose aux enfants des menus sans viande. 

    françois marcilhac.jpgEncore une fois les bobos, par leur poli­tique, ciblent les classes popu­laires, celles qui vivent dans les tau­dis infes­tés de rats et de punaises, et qui ne peuvent pas ache­ter de la viande à leurs enfants, ou n’achètent que de la viande pour ani­maux, lorsque les super­mar­chés consentent encore à en vendre. Mais qu’importe ? Nous savions déjà que délire socié­tal et injus­tice sociale vont de pair. C’était le socia­liste finan­ceur de Hol­lande Pierre Ber­gé qui décla­rait, en 2012 : « Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour tra­vailler à l’u­sine, quelle dif­fé­rence ? » Ajou­tant, avec un cynisme d’une totale abjec­tion : « C’est faire un dis­tin­guo qui est choquant. »

    Car l’abjection, pré­ci­sé­ment, n’a plus de limites, même celles, peut-être hypo­crites, mais qui témoi­gnaient encore d’un sens du Bien, de la bour­geoi­sie de jadis.  Car c’est au nom même de la morale, voire de la sau­ve­garde de la Terre elle-même, c’est-à-dire au nom même du Bien, que la bour­geoi­sie actuelle pour­suit son œuvre de des­truc­tion de la socié­té. Et ils ont beau se cha­mailler, macro­niens et éco­lo­gistes ont conclu, en la matière, un pacte mor­ti­fère, ayant pour com­plices directs une gauche et une extrême gauche qui veulent aller encore plus loin sur tous les sujets (PMA, GPA, eutha­na­sie, anti­spé­cisme, immi­gra­tion­nisme, déco­lo­nia­lisme, « anti­ra­cisme », éco­lo­gisme), et pour com­plice indi­recte une droite qui s’est eutha­na­siée elle-même. Ain­si, dans l’attente que le texte sur la PMA pour toutes, l’extension de l’avortement jusqu’à la veille de la nais­sance et les mani­pu­la­tions géné­tiques sur les embryons soit défi­ni­ti­ve­ment adop­té à l’Assemblée, celle-ci se penche sur deux autres pro­jets d’une urgence abso­lue : l’inscription de la sau­ve­garde de la pla­nète à l’article 1er de la Consti­tu­tion, qui devien­dra bien­tôt un inven­taire à la Pré­vert et, bien évi­dem­ment, le pro­jet de loi « por­tant lutte contre le dérè­gle­ment cli­ma­tique et ren­for­ce­ment de la rési­lience face à ses effets » : en clair, la tra­duc­tion légis­la­tive des pro­po­si­tions du machin citoyen pour le climat.

    Car ce n’est rien com­prendre à l’écologisme que de ne pas voir, qu’avant d’être un com­bat « pour » la pla­nète, il est une cause socié­tale, visant, de même que les autres causes socié­tales évo­quées plus haut, à la trans­for­ma­tion des fon­de­ments la socié­té ou, plu­tôt, à leur des­truc­tion. De mêmes défen­seurs et une même logique les habitent : ce vieux rêve révo­lu­tion­naire de faire du pas­sé table rase et d’imposer, par la contrainte, un homme « nou­veau », voire bien­tôt « aug­men­té ». Peu importent alors les dis­pu­ta­tiones sco­las­tiques sur le fait de savoir si l’inscription à l’article 1er de la Consti­tu­tion que « [la France] garan­tit la pré­ser­va­tion de l’environnement et de la diver­si­té bio­lo­gique et lutte contre le dérè­gle­ment cli­ma­tique » empor­te­ra, ou non, une obli­ga­tion de résul­tat — en séance publique, le rap­por­teur a évo­qué une « quai-obli­ga­tion de résul­tat », objet juri­dique non iden­ti­fié…  C’est un uni­ver­sa­lisme patho­lo­gique sur fond de volon­ta­risme ubuesque dont témoigne sur­tout cet ajout à la loi fondamentale.

    Il en est de même du pro­jet de loi fleuve tra­dui­sant dans la loi les reven­di­ca­tions télé­gui­dées des 150 idiots utiles de la Conven­tion citoyenne pour le cli­mat… Ceux qui pensent que Macron s’est pié­gé lui-même en pre­nant le risque d’être désa­voué, et donc humi­lié, par la Conven­tion, qui l’a piè­tre­ment noté comme un mau­vais élève, n’ont rien com­pris à la démarche de Jupi­ter. Laquelle ? Court-cir­cui­ter une reven­di­ca­tion de démo­cra­tie directe par un machin à la léga­li­té dou­teuse tout en don­nant des gages à son élec­to­rat vert. Ce n’est pas seule­ment par ses insuf­fi­sances en matière de moyens (finan­ciers) que le texte pèche, s’agissant par exemple de la réno­va­tion ther­mique de l’habitat — nos bobos vivent dans des appar­te­ments ou des mai­sons bien chauf­fées et sans punaises de lit. — ou par son sou­tien idéo­lo­gique au véga­nisme, jugé plus « durable » (à savoir éco­lo­gique) qu’une ali­men­ta­tion nor­male. C’est avant tout par son indif­fé­rence totale à l’aménagement du ter­ri­toire. Mais pour­quoi en serait-il autre­ment ? Les bobos des métro­poles parlent aux bobos des métropoles…

    Il est arri­vé à Marine Le Pen d’évoquer la démé­tro­po­li­sa­tion… Un concept pri­mor­dial. Car la métro­po­li­sa­tion, elle a aus­si, est une idéo­lo­gie avant d’être une réa­li­té éco­no­mique et ter­ri­to­riale. Les Fran­çais l’attendent davan­tage sur ce ter­rain réga­lien que sur celui de son oppo­si­tion « à titre per­son­nel » à la chasse à courre…. D’autant que, lorsqu’on s’est offi­ciel­le­ment décla­ré à la can­di­da­ture suprême, on n’a plus d’opinion « à titre per­son­nel ». Du moins, si on a la dimen­sion d’un homme, ou d’une femme, d’Etat.

    Fran­çois Marcilhac

    Source : https://www.actionfrancaise.net/

  • Sur le site officiel de l'Action française : protéger les français, libérer les énergies (II), l’éditorial de François M

    « Le trône doit être le pro­tec­teur des liber­tés de tous, et c’est dans cette pro­tec­tion qu’il trouve sa soli­di­té, la garan­tie de son exis­tence. » Louis Philippe

    françois marcilhac.jpgLe mois der­nier, dans la pers­pec­tive de la pré­si­den­tielle dont dépend aus­si, mal­heu­reu­se­ment, l’avenir de la France, nous avions rap­pe­lé en quoi le double slo­gan, ou plu­tôt le double sou­ci de tout homme poli­tique dési­reux de diri­ger les affaires du pays se résume à cette double injonc­tion : pro­té­ger les Fran­çais, libé­rer les éner­gies. Nous avions alors trai­té le pre­mier membre du dip­tyque. Abor­dons main­te­nant le second.

    « Libé­rer les éner­gies » : on sait ce que cela a signi­fié pour les révo­lu­tion­naires de 1789. Très vite oublieux du devoir de pro­té­ger les Fran­çais, ils ont livré les plus modestes d’entre eux à l’appétit vorace du capi­ta­lisme nais­sant, tan­dis qu’ils les pri­vaient du droit de vote en le ren­dant cen­si­taire, et du droit d’association, puni de mort par les décrets Allard et la loi Le Cha­pe­lier de 1791. Ils n’oublièrent pas, en revanche, de leur offrir le glo­rieux droit de mou­rir pour la Répu­blique — « Un Fran­çais doit mou­rir pour elle », selon la ren­gaine bien connue —, en décré­tant la conscrip­tion géné­rale, afin d’assurer les guerres incon­si­dé­rées qu’ils décré­tèrent à l’Europe jusqu’en 1815 — car Napo­léon n’est à ce titre que l’hériter de la Révolution.

    Certes, la Res­tau­ra­tion et la Monar­chie de Juillet, en dépit des roya­listes les plus fidèles à la doc­trine royale, com­mirent l’erreur pusil­la­nime de ne pas rompre avec l’héritage révo­lu­tion­naire sur ces points, ce qui fut la cause pre­mière de leur double échec. C’est la rai­son pour laquelle très tôt, les Princes, de Hen­ri V à Phi­lippe VIII, puis leurs suc­ces­seurs jusqu’à Jean IV, renouèrent avec la tra­di­tion capé­tienne. C’est que le Bien com­mun, sou­ci unique de la monar­chie royale, est le fruit d’un équi­libre res­pec­tueux des droits inalié­nables des Fran­çais, entre une néces­saire auto­ri­té, garante de la sécu­ri­té de la nation et de la jus­tice, et le déve­lop­pe­ment des droits pro­fonds du pays réel. Or nous vivons aujourd’hui dans une situa­tion appa­rem­ment para­doxale : tan­dis qu’une admi­nis­tra­tion tatillonne bride les éner­gies, qu’un État soup­çon­neux réduit chaque jour davan­tage nos liber­tés fon­da­men­tales, d’un autre côté, il favo­rise la pré­ca­ri­sa­tion géné­ra­li­sée de la socié­té. Il montre ain­si com­ment une bureau­cra­tie aux relents tota­li­taires peut épau­ler la mise en place d’un capi­ta­lisme de plus en plus sau­vage. Car par­ler d’État pro­vi­dence, c’est par­ler le lan­gage du siècle pas­sé. Nos gou­ver­nants, aux ordres de l’oligarchie, ne font plus qu’acheter la paix sociale — comme ils ont ten­té de le faire pour mettre fin à la crise des gilets jaunes —, tan­dis qu’ils décons­truisent le code du tra­vail, favo­risent une immi­gra­tion incon­trô­lée afin de dis­soudre les soli­da­ri­tés sociales et cultu­relles, imposent une métro­po­li­sa­tion déshu­ma­ni­sante et des­truc­trice de tout amé­na­ge­ment du ter­ri­toire, privent les Fran­çais « qui ne sont rien » des ser­vices publics, orga­nisent les déserts éco­no­miques, sociaux et médicaux.

    Non, pour les roya­listes, « libé­rer les éner­gies », ce n’est pas ins­tau­rer une socié­té fon­dée sur la lutte pour la vie, dont toute forme de soli­da­ri­té natio­nale serait ban­nie, pour lais­ser la place, comme les réac­tions au Brexit l’ont illus­tré, à une soli­da­ri­té inter­na­tio­nale de classe. Marx se trom­pait : les pro­lé­taires, plus que les autres, ont une patrie. Libé­rer les éner­gies, c’est redon­ner, sous un État pro­tec­teur, au pays réel la pos­si­bi­li­té de déve­lop­per son for­mi­dable appé­tit de vivre par son tra­vail. Pour cela, il faut libé­rer l’État de l’oligarchie qui trouve son compte à enfer­mer les citoyens dans un car­can de mesures plus alié­nantes les unes que les autres, décou­rage l’effort et favo­rise l’assistance, au plus grand pro­fit d’une classe mon­dia­li­sée, qui a per­du toute attache natio­nale. Seule l’alliance du Roi et du peuple conci­lie l’exigence de jus­tice et le res­pect des libertés.

    Fran­çois Marcilhac

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    Source : https://www.actionfrancaise.net/

  • VENDREDI 10 SEPTEMBRE 2021 À 19H30 : l'Action française débarque dans le Vexin - Réunion de lancement.

    Les lys fleurissent dans le Vexin
    Nos militants vous informent de notre arrivée
    Alors ne dites pas que vous n'étiez pas au courant
    REJOIGNEZ NOUS !

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