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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Cinglant constat d'échec de la politique française sous Sarkozy, Hollande, Fabius, BHL, tous médias, & Co.

     

    A la Une du Figaro d'aujourd'hui.

    Dédié à Bernard Guetta qui a eu l'honnêteté de quitter France Inter et de retourner sur le terrain pour voir ce qui s'y passe. 

     

    Retrouvez l'ensemble des chroniques syriennes d'Antoine de Lacoste dans notre catégorie Actualité Monde.

  • Sur Sud Radio, violences policières et racisme : un problème dans la police française ?/ La haine anti-flic.

    Débat - Valérie Expert -

    #ViolencesPolicieres #Racisme : y'a t il un problème avec la #police en #France?

    - #Police : existe-t-il une haine anti-flic?

    Avec Matteo Ghisalberti , Jean Luc Bennahmias, Michel Taube

  • Sur Figaro Live, Raoult dénonce les «BLAIREAUX» de la médecine française devant l'Assemblée.

    Des «blaireaux dans leur terrier», voici comment Didier Raoult, infectiologue de l'IHU de Marseille, a qualifié les 44 Centres nationaux de référence (CNR) pour la lutte contre les maladies transmissibles, localisés au sein d'établissements hospitaliers publics ou privés dans toute la France.

    Dans cet extrait de son audition devant la commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur la gestion de la crise du coronavirus par l’État, le professeur Raoult revient également sur les chiffres des morts entre Paris et Marseille durant la phase critique de la pandémie. Il défend également son traitement à base d'hydroxychloroquine et d'azithromycine. Enfin il tacle également l'étude de The Lancet, qu'il oppose à ses propres données, pas des données «de big data» et l'Ordre des médecins.

  • Pour Zemmour, «les banlieues françaises, c’est l’alliance de la Kalachnikov et du coran».

    Source : https://fr.sputniknews.com/

    Face aux violences qui ont secoué ces derniers jours Dijon, Éric Zemmour a dressé son constat de la situation dans les banlieues françaises. Il les compare à des «enclaves étrangères (...) régies par les caïds de la drogue» et avec une «alliance de la Kalachnikov et du coran.»

    Depuis vendredi dernier, Dijon voit se dérouler une succession de scènes de violences opposant des habitants d'origine maghrébine du quartier des Grésilles à des personnes issues de l'immigration tchétchène. Sur le plateau de Face à l’info, Éric Zemmour a abordé ce sujet le 17 juin.

    Ignorance des maires

    D’abord, il s’interroge sur le fait que le maire socialiste de Dijon, François Rebsamen, n’ait rien vu venir, avant de proposer sa propre explication:

    «Tout simplement parce qu’il n’a pas voulu voir venir. Il n’est pas le seul, tous les maires des grandes villes, tous les ministres, tous les politiques depuis 30 ans refusent de voir ce qui se passe en France dans d’innombrables banlieues, qu’on appelle maintenant "les quartiers populaires" depuis que les Français les ont quittés».

    «Enclaves étrangères» sur le territoire français

    Les quartiers populaires, selon lui, «sont des enclaves étrangères qui sont régies par les caïds de la drogue, où le trafic de drogue innerve toute l’économie locale et permet à des tas de gens de vivre».

    Et les maires «sous-traitent l’ordre aux caïds de la drogue et sous-traitent l’organisation, le vivre ensemble, aux imams».

    «Au 19e siècle, on disait: "La France monarchie, c’est l’alliance du sabre et du goupillon". Dans les banlieues françaises, c’est l’alliance de la Kalachnikov et du coran!», a-t-il conclu.

    Tensions à Dijon

    Les violences à Dijon trouvent leur origine dans l’agression d’un jeune Tchétchène de 19 ans, jeudi 11 juin, à proximité d’un bar à chicha. Ses agresseurs lui auraient notamment mis un canon d’arme à feu dans la bouche, proférant des menaces contre sa communauté.

  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Docteur Philippe Froguel ”Lancet cherche à humilier la recherche française”.

    Docteur Philippe Froguel, médecin et chercheur en endocrinologie, biologie moléculaire et génétique au micro d'André Bercoff sur Sud Radio.

  • En Français s'il vous plaît ! La lutte pour la langue française est aussi un combat de tous les jours.

    Intéressant, ce billet de Minurne Résistance, "trouvé" sur tweeter... :

    https://www.minurne.org/billets/26286#.YCEAuiCeXRZ.twitter

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  • Comment les décoloniaux et les islamo-gauchistes prennent le contrôle de l’université française, par Bernard Lugan.

     Voici une fiche de recrutement pour un poste d’enseignant-chercheur  à l’université de Paris 8. Un cas « clinique » qui met en évidence le processus de conquête des universités à travers le recrutement des enseignants.

    bernard lugan.jpgOn se reportera à ce sujet au chapitre III « La gauche universitaire, ses errances scientifiques et son aveuglement idéologique », de mon livre « Répondre aux décoloniaux, aux islamo-gauchistes et auxterroristes de la repentance ».

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    Source :  http://bernardlugan.blogspot.com/

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : Mgr le Comte de Paris: «La langue française est un trésor à défendre».

    Comtede Paris, Site Officiel

    Comte de Paris, Page Facebook 

    Compte Twitter

    Instagram

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal

  • Sur le Cercle Aristote, débat O. Piacentini et Ph. Murer : Economie Française, Libéralisme ou Socialisme ? (VCPYR! #14).

    Vendredi c'est PYR #14 - émission du 28.05.21 "Economie Française : Libéralisme ou Socialisme ?" Débat avec Olivier Piacentini et Philippe Murer animé par Maxime Logerot.

  • Sur TV Libertés, l'Ecole détruit l'identité française ! - Le Zoom - Claude Meunier-Berthelot.


    Dans son ouvrage "C'est l'identité française qu'on assassine", la juriste Claude Meunier-Berthelot nous dévoile une réalité insoupçonnée : l'Ecole est au service de la destruction de l'identité française par la mise en œuvre de deux systèmes éducatifs parallèles. L'un pour nos enfants, qui consiste en une "refondation" de l'Ecole où les cours disparaissent et marquent son effondrement, l'autre, défini comme étant "l'éducation prioritaire", école d'exigence et d'excellence pour les populations issues de l'immigration. Tout ceci pour créer une élite étrangère à notre culture et faire de nos enfants des larbins...

  • «Vivre le naufrage»: Michel Onfray prédit le déclin de la société française, par Elena Zegonova.

    Michel Onfray dénonce de nouveau la culture «woke», l’hypersensibilité aux droits des minorités, et constate le déclin de la société fondée sur l’héritage de Descartes et Voltaire qu’il essaye de transmettre à la génération de la «cancel culture».

    4.pngUn siècle après la parution du «Déclin de l’Occident» d’Oswald Spengler, c’est le philosophe Michel Onfray qui continue de nourrir le débat intellectuel en affirmant qu’il ne reste rien d’autre à la société française que de «sombrer avec élégance».

    Dans une série de lettres destinées aux jeunes de 20 ans et intitulée «L’art d’être Français», l’essayiste de 62 ans a été pris par le désir de transmettre à la génération de la «cancel culture», «MeToo» et «Balance ton porc» les racines culturelles de la France.

    «C’est le pot-au-feu contre le cheeseburger, c’est le verre de vin blanc sec contre la canette métallique de Coca, ce sont d’incroyables fromages qui effraient une partie de la planète par leur puanteur […], ce sont tous les paysages des magnifiques provinces françaises, outre-mer comprises, et ce sur un espace limité, contre les millions de kilomètres carrés de la toundra russe», estime-t-il pour le Figaro le 17 juin.

    Le philosophe se distancie de l’idéologie «woke» et se revendique comme appartenant à la civilisation judéo-chrétienne qui est en train de disparaître, selon lui.

    «En regard de l’idéologie “woke” qui travaille à l’avènement de ce nouveau paradigme civilisationnel, bien sûr que je regrette la civilisation judéo-chrétienne. Pour l’heure, je me bats pour elle», a-t-il poursuivi.

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    L'essayiste a déjà exprimé son étonnement devant la popularité de la culture «woke». Pour dénoncer le phénomène de la «cancel culture» qu’il juge absurde, il a ironiquement proposé dans une interview à Sputnik en mars d’annuler La Métaphysique d’Aristote:

    «Aristote a par exemple dit que tant que les navires ne fonctionnerait pas tout seuls, il faudrait des esclaves. Il a défendu l’esclavagisme donc on ne lit plus La Métaphysique».

    Le malaise français

    L’épuisement de la civilisation française est expliqué par le manque d’éducation et l’absence de repères.

    «Il y a de la violence car il n’y a plus d’éducation, plus de référence, il n’y a plus de socle commun», a-t-il fait remarquer dans Le Grand Rendez-vous sur Europe 1 le 20 juin.

    L’essayiste croit déjà savoir quelle sera la prochaine civilisation. Auprès du Figaro, il évoque Elon Musk, la conquête de l’espace et la transformation, même la dénaturation, du corps et du quotidien:

    «Le Christophe Colomb de cette nouvelle civilisation a pour nom Elon Musk», avance Onfray en affirmant que lui-même est «un fils de cette vieille civilisation plus proche du pot-au-feu que de la viande cellulaire clonée vers laquelle nous cheminons à grands pas».

    Voltaire et Hugo

    Dans son ouvrage, il évoque l’importance de l’héritage de Montaigne, Descartes, Rabelais, Voltaire, Marivaux et Hugo dans la construction de l’esprit français. L’époque contemporaine, d’après lui, ne permet plus d’être rabelaisien, cartésien ou voltairien.

    Marivaux à l’époque actuelle serait un bouc émissaire du néo-féminisme, Victor Hugo serait décrit comme un «démagogue», et les œuvres de Voltaires seraient brulées «parce qu’on y trouve de l’antisémitisme, de la misogynie, de la phallocratie, de l’homophobie, de l’islamophobie».

    «Sombrer avec élégance»

    Face à ce déclin, Onfray ne propose que de «vivre un naufrage»:

    «Sur le Titanic, quand il a été annoncé par le commandant de bord que le navire allait couler, il a bien fallu tout de même vivre le naufrage. Il ne servait alors à rien de couiner. Ce qui nous reste dans ces cas-là, c’est de sombrer avec élégance», continue-t-il, avant d’ajouter qu’il a bien envie de «mourir vivant».

    Source : https://fr.sputniknews.com/

  • Des journalistes de Télérama passent au crible CNews, la «Fox News française», selon eux, par Didier Desrimais.

    Manifestation pour protester contre l'émission d'Eric Zemmour, devant le siège de la chaîne Cnews le 2 novmbre 2019 © MICHEL STOUPAK / NURPHOTO / NURPHOTO VIA AFP.

    Le parti du déni continue de s'en prendre à Cnews

    Dans le n°3693 du magazine Télérama, un long article dénonce CNews qui deviendrait la « Fox News française ».

    Qui veut noyer son chien l’accuse de la rage. Qui veut discréditer des intervenants lors d’un débat sur CNews les accuse d’être de vieux lepénistes.

    C’est ce que font Samuel Gontier et Richard Sénéjoux, journalistes à Télérama :

    6.jpegDans leur article, ils vilipendent « quatre septuagénaires »(1) qui ont eu le mauvais goût de dénoncer sur la chaîne info du canal 16 les séparatistes sur le territoire national et certaines salles de sport minées par les islamistes. Il est également envisagé par les éditorialistes de Cnews que le projet contre le séparatisme présenté par le président de la République soit complété par un plan immigration ? « C’est précisément ce que vient de déclarer Marine Le Pen à l’antenne », écrivent les journalistes de Télérama qui précisent immédiatement leur pensée : « Promotion des thèses d’extrême-droite, informations erronées, complotisme… […] CNews ne se limite pas aux dérives racistes de sa tête de gondole, Eric Zemmour. »

    Une secte œuvrant à la lepénisation des esprits

    Pour alimenter leur article, les journalistes de Télérama font appel à des journalistes neutres, objectifs, évidemment au-dessus de la mêlée. Claude Askolovitch, chroniqueur sur France-Inter, Arte, et sur le site Slate – des officines journalistiques réputées pour ne promouvoir aucune thèse et pour leur totale objectivité, comme chacun sait – le dit sans ambages : « La maison Bolloré, c’est une secte, il y a un côté totalitaire, stalinien. » Celui qui pardonnait beaucoup à Mehdi Meklat et ses tweets homophobes et antisémites (« Un gamin qui tweetait des blagues nazes pour tester sa provo est moins immonde que ceux qui utilisent ses conneries passées ») ne pardonne rien aux journalistes qui ne pensent pas comme lui.

    Suit la liste des malpensants, des réacs, des fachos : Gilles-William Goldnadel, Charlotte d’Ornellas, Jean-Claude Dassier, Élisabeth Lévy, Ludovine de la Rochère, Eugénie Bastié, Ivan Rioufol, etc., qui présentent tous un énorme défaut : ils ne pensent pas comme Claude Askolovitch ou Samuel Gontier. Ces derniers ne leur opposent rien d’autre que la sempiternelle « lepénisation des esprits » ou, pour parler comme Jean-Luc Mélenchon, la « zemmourisation de l’espace intellectuel ». C’est plus rapide et plus paresseux qu’un véritable travail de contre-argumentation étayée. Ça évite les nuits d’insomnie à chercher ce qui pourrait bien contredire la description de certains phénomènes en France à propos de l’islamisme, de l’immigration, ou de l’antiracisme dévoyé à la manière de la famille Traoré. La reductio ad hitlerum fonctionne toujours, même si elle fonctionne de moins en moins. Les journalistes téléramesques s’en rendent compte. « Que fait la police ? » demandent-ils en pleurnichant à la fin de leur article et en regrettant le succès grandissant de la chaîne-info honnie.

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    Eric Zemmour et Jack Lang, février 2020 Image: Capture d’écran YouTube / Cnews

    Ces sujets qui fâchent

    Au fond, que reprochent ces journalistes à Cnews ? Ce n’est pas compliqué, ils lui reprochent de ne pas ressembler au magazine philosophico-télévisuel Télérama, à la radio publico-progressiste France Inter, au journal de référence (ou de révérence) Le Monde, et aux mille autres moyens médiatiques de diffuser les slogans du vivrensemble, de la diversité heureuse, de la mondialisation béate, etc. Ils aimeraient que CNews copie France Info ou devienne une sorte de succursale de la télévision lénifiante appelée télévision du service public, avec de jolis reportages sur la méchante colonisation, des jeux débiles, un journal télévisé javellisé, ou un énième documentaire sur les violences conjugales ou la maltraitance des migrants à Lesbos. Or CNews montre plutôt la maltraitance des habitants de Lesbos submergés par les vagues migratoires, et qui n’en peuvent plus des incendies criminelles et de la délinquance. Et ça, les journalistes de Télérama ne le supportent pas.

    Conclusion de l’article de Télérama à propos de CNews – qui, rappelons-le, est une chaîne privée financée essentiellement par la publicité – : CNews est un « média qui, aujourd’hui, relève plus de l’outil de propagande que de la chaîne d’information. » Pour qui écoute la radio publique – qui, rappelons-le, se paie sur la bête, c’est-à-dire tous les contribuables français – cette conclusion sonne comme une révélation : aveugles, nos journalistes de Télérama, comme ceux de la radio franceintériste, ne distinguent plus ce qui relève de la propagande (manipulation, simplification, déformation de faits, choix précis des termes pour valoriser ou dévaloriser, répétition, etc.) et ce qui relève de l’opinion (jugement personnel, prise de position sur tel ou tel sujet, conviction, etc.) Comme la première leur colle de plus en plus à la peau, la seconde leur devient de plus en plus insupportable. Aveuglés par leur propre propagande, ils considèrent que le débat d’idées est de trop, surtout si des idées qu’ils ne partagent pas se glissent dans le débat. Aveugles, ils appuient parfois malencontreusement sur le bouton de la chaîne CNews : ils se cognent alors à la dure réalité du débat contradictoire, des convictions assumées, des sujets qui fâchent, des combats oratoires, des opinions divergentes. Ils n’en croient pas leurs oreilles qui encaissent difficilement ce surplus de libre expression. C’en est trop. Ils voulaient ne pas voir ce qu’ils voyaient, ils aimeraient maintenant ne pas entendre ce qu’ils entendent. Ils étaient aveugles. Les voilà qui deviennent sourds.

    « C’est le propre de la censure violente d’accréditer les opinions qu’elle attaque. » Voltaire

     
    Amateur de livres et de musique
  • Un grand jour pour l'Armée française, la Royale et Toulon : lancement du Suffren...

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    https://francais.rt.com/france/80532-lancement-suffren-nouveau-sous-marin-suffren-marine-nationale

    Le Suffren, nouveau sous-marin nucléaire d'attaque de la Marine nationale et premier des six submersibles de nouvelle génération du programme Barracuda, a été officiellement reçu par le ministre des Armées Florence Parly et la Marine nationale à Toulon.

    Il est deux fois plus silencieux et deux fois plus fort que les précédents...

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