Dans "Cette France qu'on oublie d'aimer", d'Andreï Makine....
ll faut cesser de croire que l'on respecte l'étranger si l'on n'exige pas de lui des devoirs en même temps qu'on lui reconnaît des droits.
C'est ce qu'écrit Andreï Makine dans son dernier ouvrage, Cette France qu'on oublie d'aimer:
« C’était peut-être la chance de ces italiens, de ces polonais, de ces russes, de ces juifs, de ces arméniens, de ces portugais et de tant d'autres car, malgré la misère, ils avaient évité l'actuelle machine à transformer l'homme en parasite social, ils avaient échappé à cette broyeuse idéologique qui engloutit un être humain et recrache un assisté bouffi de ressentiment et de haine...."
110 pages, 11,50 euros