Au Centre Lesdiguières, ce 11 Décembre
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Va-t-on vers un suicide de l’humanité ? Pour envisager cette question, nous vous rappelons la venue d’Aziliz Le Corre jeudi 12 décembre ! Elle vient décrypter pour nous les dessous de l’hiver démographique traversé par la France. Wokisme, amour du confort, crise économique, angoisse climatique…la multiplicité des causes dessine la carte d’une mentalité contemporaine dans laquelle une vie nouvelle ne peut se faire une place qu’à coups de coudes rudement donnés.
Pour comprendre les enjeux de cette question vitale et pouvoir défendre autour de vous l’aventure de la fécondité, venez nombreux, c’est le 12 décembre à 20h30, Université Ouverte de Versailles ! |
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Le président Biden a déclaré en 2022, que l’Indo-Pacifique était « l’épicentre géopolitique du XXIe siècle ».
Le concept « Zone indopacifique » est utilisé par les États ayant des intérêts dans les océans Indien et Pacifique. Cette zone est géostratégique pour la France car en reliant la puissance ascendante chinoise, et les États-Unis, puissance déclinante, l'Indopacifique est devenue un espace de convoitise.
C’est ce que Philippe Germain se propose de vous présenter le 4 décembre, sachant qu'à l'issue de sa causerie, le professeur d'histoire Alain Vignal, lui posera des questions pour animer un débat avec les fidèles du Café Histoire de Toulon
Une pétition mobilise la communauté MesOpinions. Ce combat citoyen peut vous intéresser.
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Sauvons le vignoble de Kintzheim et préservons le cadre du village ! | |
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Nous nous opposons à la construction d'un lotissement à la place du vignoble ! Lotissement = plus de circulation dans une rue étroite, plus de piétons, pas de trottoirs, pas de place de parking, perte du vignoble situé sous le château et dans le village. Lotissement = vue sacrifiée = cœur de village définitivement abîmé Signez pour sauver ce vignoble ! |
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Vaincre ou Mourir sera diffusé ce 27 novembre sur C8, à 21h20 :
AU POSTE !
TOUS AU POSTE !
Georges Bernanos, toujours et peut être aujourd’hui plus qu’hier, reste d’une redoutable actualité pour qui comprend, voit et analyse notre quotidien qu’une pente semble diriger vers le néant d’un nouvel ordre mondial, celui des numéros et des robots. Bernanos est un « chevalier », de ceux qui ne renoncent jamais et qui égrènent de leur présence, notre histoire, à la fois révolté mais fidèle aux promesses du baptême de notre France. Avec ceux qui arrivent à décrypter les pensées d’Orwell, d’Huxley jusqu’à Tolkien, nous voyons avec Bernanos, une ligne d’avertissements dans la défense de cette dentelle du rempart civilisationnelle qui, comme une peau de chagrin, est menacée par un « prêt à penser » totalitaire. Il nous reste le panache pour reprendre le flambeau de la résistance, comme nos grands Anciens pour l’éternité intemporelle de nos libertés.
Notre jour viendra !
Paris, le 06 novembre 2024
« En démocratie, c’est le peuple qui choisit. » Mais les démocrates considèrent qu’il vote mal s’il ne choisit pas leurs champions. Les États-uniens viennent de le démontrer une deuxième fois en réélisant Donald Trump à la tête de leur pays : majorité des suffrages, majorité des grands électeurs, majorité au Sénat et à la chambre, la victoire est nette. Mais les États-Unis ne sont pas la France et nous ne pouvons que regretter cette marque d’aliénation intellectuelle, qui consiste à s’enthousiasmer de cette victoire, comme une certaine droite nationale, ou, comme le centre et la gauche, à la déplorer comme une catastrophe de portée mondiale. Les États-Unis sont également forts de cette américanisation des esprits, qu’on ne s’attendrait pas à trouver chez des patriotes.
Comme Kamala Harris si elle avait été élue, comme Biden juste avant lui, Donald Trump, et c’est normal, pensera d’abord à ce qu’il considérera être l’intérêt des États-Unis, que ce soit en matière de politique étrangère ou d’échanges économiques. Sur ces plans-là, quelles que soient leurs divergences, les administrations démocrates et républicaines ont toujours considéré l’Europe comme un protectorat à diviser, à neutraliser et à rentabiliser.
Si Trump, comme il l’a annoncé, fait le choix de la paix en Ukraine, nous ne pourrons que nous en féliciter. Mais nous devrons faire respecter notre présence dans l’Indopacifique et ne pas accepter que le sort de notre agriculture et de notre industrie soit réglé à Washington tant les gouvernements européens, via l’OTAN et Bruxelles, sont inféodés aux intérêts américains qu’ils croient conformes à ceux de l’Europe. C’est particulièrement vrai de Macron.
Il appartiendra durant les quatre prochaines années aux gouvernements successifs de la France de savoir, sans a priori aucun, entretenir une relation transatlantique au mieux des intérêts français. Pays jadis allié, interlocuteur incontournable aujourd’hui en raison non seulement de sa puissance mais aussi de la persistance d’alliances pourtant devenues sans objet, les États-Unis doivent redevenir pour la France ce qu’ils sont, un rival avec lequel il convient de traiter.