Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
Le Député Matthieu Bloch écrit à la Présidente de l'Assemblée :
"L’insoumis Raphael Arnault, député fiché S, organise à l'assemblée nationale une table ronde avec le CCIE, reconstitution en Belgique d'une organisation dissoute par le gouvernement Français (CCIF). Madame la Présidente @YaelBRAUNPIVET, allez vous laisser organiser une telle réunion au sein du temple de la République ?"
Ce n'est pas que Matthieu Bloch soit antipathique, ou porteur d'idées fausses, en lui-même. C'est simplement qu'il n'a pas compris ce qu'est la République française...
• d'abord, elle n'est ni une république ni une démocratie (comme l'est la Suisse, par exemple);
• ensuite, cette république est idéologique et totalitaire, car elle est révolutionnaire. Elle se fonde sur les "principe de 1789", comme le dit le mauvais préambule (écrit par Michel Debré) de la bonne Constitution de la Vème (écrite par de Gaulle, intimement royaliste);
• il s'ensuit de ce qui précède que ceux qui président aujourd'hui cette république idéologique totalitaire (Macron) ne sont que les héritiers du "chaos explosif des révolutionnaires" (de leur Terreur et de leur Génocide vendéen); ne sont que les garants du "chaos figé des conservateurs du désordre" républicain idéologique...
Donc, n'en déplaise à ce sympathique Matthieu Bloch (que nous ne connaissons pas plus que cela), c'est Raphaël Arnault qui a raison dans cette affaire, et ses copains enragés de LFI, les "revenants de la Section des piques de 1793". Ce sont eux qui sont chez eux à l'Assemblée nationale républicaine, révolutionnaire par essence. Et ils y font ce pourquoi ils sont faits : pour poursuivre et parachever la Révolution.
Si l'on veut s'opposer à cela, il ne faut évidemment pas en appeler à la cause du mal et du désordre (la République idéologique totalitaire et révolutionnaire) mais, au contraire, faire "la révolution de la Révolution".
Et, comme le disait Léon Daudet,
mener "une action réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement l subversion du Régime"
Dommage que cet extrait de Jean Sévillia, sur CNews, soit si court (17 secondes !) :
"De la violence du langage à la violence politique : un héritage de la Révolution française..."
1. Georges Fenech dénonce - et il fait bien - "la grande manipulation mentale" de Macron, pompier pyromane, qui joue avec des allumettes près d'un baril de poudre : qui l'arrêtera ?
"Grande manipulation mentale, orchestrée par notre président de la République." "On est en train d'agiter la peur du char soviétique à Paris sur les Champs-Elysées. Qu'est ce qu'on attend pour se réveiller ?"
(extrait vidéo 1'16)
https://x.com/jon_delorraine/status/1898663068814483738
1 BIS. Charles Millon s'adresse lui aussi à Macron, et fait une proposition aussi originale qu'intelligente :
"Maintenant, on fait de la diplomatie spectacle. Je me tourne vers le président de la République pour lui dire d'arrêter..."
(extrait vidéo 1'50)
https://x.com/CNEWS/status/1899360989763555456
3. Durant ses deux septennats d'enfer, Macron aura vendu une bonne part de la France "à la découpe" ! Le jour même où il affirme qu'il faut réarmer le pays, et nous parle de "souveraineté militaire", il ne fait rien pour éviter que deux grands industriels leaders de l'armement en France passent sous contrôle étranger !
Sur OpexNews :
"Après LMB Aerospace, dont les actifs pourraient tomber dans l’escarcelle américaine, c’est au tour de #FigeacAéro de susciter l’intérêt d’un géant étranger. Cette fois, c’est #Mahindra, puissant conglomérat indien, qui mène les discussions. Une acquisition qui s’inscrit dans une tendance lourde : les pépites françaises de l’aéronautique, étranglées par des tensions financières et un accès au capital limité, se retrouvent à la merci des groupes internationaux disposant d’immenses capacités d’investissement. Après les Américains, les Indiens entrent en scène. Avec la montée en puissance de l’aviation civile indienne – illustrée par la méga-commande de 500 Airbus A320 par Indigo – les industriels du sous-continent avancent leurs pions dans la supply chain française. Derrière cette opération, une question stratégique : si les aérostructures, après l’ingénierie, passent progressivement sous contrôle étranger, qui maîtrisera demain la fabrication des avions de demain ?"
3 BIS. Sur CNews, chez Christine Kelly, Éric Tègner explique :
(extrait vidéo 6'46)
https://x.com/tegnererik/status/1899187568773840903
5. On pleure beaucoup, en ce moment, dans de nombreux pays qui ne font que parler "d'Europe, d'Europe, d'Europe !...' (comme aurait pu dire de Gaulle) mais qui ont tout fait (en l'occurrence, "acheter "états-unien") pour l'empêcher d'exister vraiment... Le Figaro International explique : "Ils (les états-uniens, ndlr) peuvent empêcher un F-35 de décoller : comment les Américains contrôlent les armes vendues aux Européens...
"En Europe, beaucoup ont fait le choix d’acheter des armes aux États-Unis. Mais les Américains peuvent toujours conserver un contrôle sur cet armement, à distance. Une situation qui inquiète les états-majors du Vieux Continent.
En achetant américain, les armées d’Europe ou d’ailleurs, espéraient nouer des liens indéfectibles avec les États-Unis. Acheter leur sécurité. Mais sans naïveté sur leur dépendance… Pour les Européens, elle ne posait pas de problème. Pour d’autres, il fallait ruser. « Pour certaines missions », plus sensibles ou plus confidentielles, « l’armée des Émirats arabes unis préférait voler avec des Mirage 2000 plutôt qu’avec des F-16 », raconte un officier français qui a connu le théâtre du Proche-Orient.
Pour éviter de perdre leurs marges de manœuvre, les Émirats arabes unis avaient judicieusement diversifié leurs équipements. Contrairement aux États-Unis, la France ne cherche pas à conserver un contrôle, même à distance, sur les matériels livrés. Mais en Occident, jusqu’à l’installation à la Maison-Blanche de Donald Trump, personne n’imaginait prendre réellement de risques… « Le jour où les États-Unis ne seront plus avec nous, nous serons dans un autre monde », éludait un marin…"
Et maintenant, ils sont tous "gros-Jean comme devant" !
Quatre F-35 livrés au Danemark, en 2023. « S’ils voulaient défendre le Groenland, ils n’iraient même pas jusque-là ! », prévient le patron d’Airbus Defence and Space, Michael Schoellhorn
6. De Florence Bergeaud-Blackler, sur "X" :
Le journal @libe est un torchon. Et le dire n'est pas excessif car toujours plus de censure le fait jouir. Accuser les auteurs d'un livre collectif consacré aux dérives du wokisme de marcher sur les pas de Trump est pur montage. Mais l'accusation d'extrême-droite est le seul argument qui reste à cette gauche folle. Les Presses Universitaires de France @editions_PUF, cette maison autrefois prestigieuse, ont plié et se sont déshonorées. Mais patience, à la fin les censeurs sont toujours censurés, car leur soif de sang étant inextinguible ils finissent par se dévorer entre eux."
7. (Dans le JDD, extrait de l'article de Stanislas du Guerny) Sur l'Agriculture (en général) et le lait (en particulier) : l'opposition entre les jeunes nouveaux agriculteurs (qui ont raison) et la grande distribution, appuyée par certains dirigeants agricoles défendant un modèle périmé et toxique... : Crise du lait : pourquoi la France pourrait perdre sa souveraineté laitière...
SOUVERAINETÉ. Entre la baisse incessante du nombre de producteurs et du cheptel, la fragilité de la filière laitière est grandissante.
Les producteurs de lait sont très inquiets. « Non seulement les négociations tarifaires 2025 avec les distributeurs et les industriels sont difficiles, détaille Yohann Barbe, président de la Fédération nationale des producteurs de lait (FNPL), mais en plus nous continuons à perdre près de 8 000 producteurs par an. » Si la courbe se poursuit, insiste-t-il, « c’en sera fini de la souveraineté laitière française dans quelques années ». De la Bretagne à l’Auvergne-Rhône-Alpes en passant par les Pays de la Loire, les principales régions laitières sont confrontées au très lourd défi du renouvellement des 50 000 éleveurs, dont la moitié prendra sa retraite d’ici dix ans.
« Nous voyons bien la solution souhaitée par les industriels et la grande distribution, continue Yohann Barbe. Ils prônent un agrandissement important des élevages pour passer de 70 animaux en moyenne, actuellement, à minimum 200 bêtes. » Mais ce projet de nouveau modèle n’est pas du goût de la majorité des 2 000 jeunes qui s’installent chaque année. Ils voudraient surtout que l’on conserve en priorité les élevages de « taille familiale », en privilégiant si possible des ventes directes, à la ferme, de leurs produits laitiers..."
CE SONT CES JEUNES QUI ONT RAISON,
QU'IL FAUT SOUTENIR,
COMME LE MODÈLE SAIN QU'ILS PRÔNENT !
Un agriculteur du Jura ramène son troupeau de vaches pour la traite du soir
À DEMAIN !
