Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
De Philippe de Villiers, sur le mensonge/escroquerie de Schengen...
L'avortement inscrit dans la Constitution ? D'accord avec Mgr Michel Aupetit, à cette nuance près : ce n'est pas "la France" mais le Système qui est devenu un "État totalitaire" : en fait, le Système est tout simplement "devenu ce qu'il était", dès ses origines; et il continue, chaque jour un plus, à devenir ce qu'il est... :
1. Le Qatar s'engage à investir "10 milliards d'euros" dans l'économie française à l'horizon 2030, annonce Emmanuel Macron ? D'accord avec Jean-Frédéric Poisson :
CONTRIBUTION / OPINION. Le numéro de comédien du président de la République au Salon de l’Agriculture ne suffira pas à cacher son impuissance. Même s’il le voulait – ce dont doute fortement notre contributeur Roland Hureaux –, Emmanuel Macron n’a plus le pouvoir nécessaire pour résoudre la crise paysanne.
Quels que soient ses pitoyables sautillements à l’entrée du Salon de l’agriculture où il a cherché en vain des interlocuteurs pour faire un débat, Emmanuel Macron ne pourra satisfaire aucune des attentes du monde agricole et cela, quelle que soit sa sincérité, d’ailleurs douteuse.
La raison ? Il est complètement coincé sur les deux sujets majeurs qui ont motivé la révolte : le libre-échange et l’écologie ; or ils sont les plus importants qui soient pour les instances qui contrôlent son action : le Forum de Davos et son relais, la Commission européenne, eux où ils ne peuvent rien lâcher.
Le libre-échange sans limite est le premier article de foi des institutions mondialistes. Il est sans cesse rappelé à Davos où on panique de crainte qu’il ne recule, sans que, pour le moment, cette crainte soit vraiment fondée.
Qu’on le veuille ou non, l’agriculture paysanne à base s’exploitations moyennes, d’un travail de qualité, d’une mode de vie rude, d’entrepreneurs indépendants, est constitutive de l’agriculture européenne, spécialement française. Compte tenu des coûts des facteurs de production (terre, main-d’œuvre, engrais, énergie, charges sociales) en Europe et spécialement en France, supérieurs à presque tout le reste du monde, cette agriculture ne pourra être maintenue, dans certains secteurs au moins, sans un minimum de protection. Nous disons protection pas protectionnisme ; il ne s’agit pas de tomber dans l’esprit de système. Une protection à laquelle la Commission européenne, par idéologie, a renoncé. Bien au contraire, au lieu d’en rester au statu quo, déjà handicapant pour les Français, elle multiplie les accords spéciaux avec le Canada, la Nouvelle-Zélande ou l’Amérique latine qui fragilisent encore les agriculteurs français. Elle donne, pour des raisons politiques des facilités à l’agriculture ukrainienne qui produit le blé 40 % moins cher..."
3. (Dans Challenges, article de Régis Soubrouillard, extrait/entame) Atos : Kretinsky ne rachètera pas Tech Foundations...
« Les négociations avec EPEI (NDLR, la holding de Kretinsky) ont pris l’eau définitivement », assure une source interne à la direction d’Atos. Des proches du milliardaire tchèque confirment à Challenges que la probabilité d’une reprise des échanges est aujourd’hui « infime ». Le dossier était devenu tellement délicat qu’aucune rencontre n’a eu lieu ces dernières semaines entre Atos et les proches de Daniel Kretinsky, malgré leurs nombreuses sollicitations...
C’est un nouveau coup dur dans l’opération de sauvetage d’Atos qui emploie 120.000 personnes dans le monde..."
3 BIS. Mais, par contre (c'est dans Les Échos, article d'Anne Drif, extrait) : Défense : Thales se retire de la course au rachat de la pépite IA Preligens...
"La voie est libre pour Safran. Thales ne barre plus la route à son projet de prise de contrôle de Preligens, le spécialiste des analyses satellites et acoustiques. Selon nos informations, le groupe de haute technologie s'est retiré de la course.
L'IA reste en tête de la feuille de route du groupe dirigé par Patrice Caine, mais « Thales souhaite se concentrer sur l'intégration de ses dernières acquisitions », en particulier de l'américain Imperva , souligne un proche du dossier..."
5. "Quand l’Etat se retire, la violence s’installe", dit -avec raison... - le criminologue Alain Bauer. L’analyse de ce constat par Charlotte d'Ornellas (dans Face à l'info) :
(extrait vidéo 3'53)
https://x.com/christine_kelly/status/1762614933030682734?s=20
6. Les paysans français ne veulent pas d'aides et/ou de chèques; ils ne mendient pas; ils ne demandent pas l'aumône... Ils veulent juste vivre dignement et normalement du beau et dur travail qu'ils font, qu'ils aiment...
7. De SOS CALVAIRES :
À DEMAIN !