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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

 

Pseudo "Loi immigration" ?

Vraie Loi bidon !

D'accord, évidemment, avec Philippe de Villiers :

#LoiImmigration / Le "en même temps" dépasse l'entendement : on fait croire aux pauvres Français que cette fois-ci, c'est réglé, alors que ce n'est qu'un toilettage cosmétique. On ne touche pas aux frontières - Schengen -, à la Cour européenne des droits de l'Homme, aux accords avec l'Algérie, à l'aide médicale de l'État... Au même moment : - #Bruxelles annonce un accord sur le Pacte migration/asile, - l'Allemagne souhaite élargir l'Union européenne en mettant fin au droit de véto des États membres, - le Parlement européen adopte le certificat de parentalité européen, qui mènera à la reconnaissance de la #GPA. L'#Europe avance, et elle commande. Emmanuel #Macron ne fait que transposer les décisions de Bruxelles en France. Il ne reste plus qu’au Parlement français le calendrier scolaire et la retraite des anciens combattants !..."
 
(extrait vidéo 7'51)
 
 
L'émission complète (47'40) :

 

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1. De l'Observatoire de l'immigration et de la démographie (sur tweeter) : Nicolas Pouvreau-Monti, cofondateur de l'Observatoire de l'immigration et de la démographie, analyse les dynamiques migratoires dans la matinale d'Europe1 avec Lionel Gougelot...

 

2. Le bel hommage de Radio courtoisie à Patrick Buisson :

"Patrick Buisson : la fidélité aux hommes et aux idées. Par Pierre-Alexandre Bouclay, Président de Radio Courtoisie Nous avons appris ce 26 décembre, la mort de #PatrickBuisson , retrouvé à son domicile des Sables d’Olonne où il vivait seul. La date exacte de son décès demeure inconnue. Ceux qui ne le connaissaient pas garderont l’image simpliste du conseiller « occulte » de Nicolas Sarkozy, vulgarisée par Le Monde et Libération. On pourra lui préférer celle, plus exacte, d’un homme indéfectiblement fidèle à ses idées. Il a toujours expliqué que l’épisode présidentiel avait été, pour lui, l’occasion de porter ses convictions au sommet du pouvoir en caressant le rêve – et même l’ambition – de les voir appliquées. L’accès à ces hautes sphères républicaines, la création spontanée d’une cour de dévots autour de lui, ne l’avaient jamais coupé de ses racines : celles d’un Français attaché à sa foi, sa terre et ses morts. Le fameux « ancien patron de Minute » ne s’est jamais renié. Je me souviens, du temps de sa splendeur, de quelques rencontres à la brasserie Le Cardinal, porte de Saint-Cloud ou dans les hauteurs de la tour de TF1, où il trouvait toujours un moment pour recevoir des personnes partageant ses convictions. Dans ces moments, il était poli de se dispenser des salamalecs pour aller droit au but. L’oeil concentré, la bouche pincée tirant vers le bas, les mains jointes, il écoutait, posait une ou deux questions, puis vous renvoyait à votre copie ou décidait de vous soutenir. Cela pouvait se faire discrètement, à sa manière, ou publiquement, avec l’appui de la chaîne Histoire, qu’il présidait. Jusqu’à sa rupture avec l’ancien chef de l’Etat, les grands-messes qu’il organisait dans de prestigieux cinémas parisiens pour présenter ses films historiques attiraient le ban et l’arrière-ban de la Sarkozie. Sous peine de déplaire au maître de céans, les courtisans de l’extrême centre n’avaient pas le droit de se pincer le nez devant les parias « d’extrême droite » qu’il prenait allègrement dans ses bras. En privé, il s’amusait beaucoup de ces pieds-de-nez au politiquement correct et à l’esprit de cour : « Les premiers seront les derniers » me disait-il. Ou, plus prosaïque : « Ils ne comprennent rien, ils sont trop cons » [les sarkozystes béats]. Chacun de ces événements mondains était l’occasion d’assister à une conférence où Buisson élevait brutalement le niveau intellectuel de l’assistance en mêlant somptueusement l’histoire aux leçons de la grande politique, de la morale et de l’exercice du pouvoir. Ce jetlag mental laissait parfois plaqué au sol. Loin des fastes des quelques rues qui font Paris, Buisson était un méditatif d’une austérité janséniste. Il trouvait le repos dans ses terres vendéennes, loin de ses illusions perdues. On l’a rarement vu habillé autrement qu’en noir – chemise ou col roulé, selon les saisons. Pas de touche de couleur détonante, de chemise blanche ou d’écharpe rouge pour faire le malin. Choisir des vêtements prenait trop de temps chaque jour. Il avait définitivement opté pour une sobriété monastique lui permettant de mettre son dépouillement au service de l’exigence intellectuelle. La parution de La Cause du peuple avait été attendue avec jubilation par tous les médias qui espéraient un règlement de compte saignant avec Nicolas Sarkozy. Au lieu de quoi la rapide mise au point ne fut que le prétexte à une méditation de haute volée sur l’identité et l’avenir de la France. On attendait une panouille où il aurait crié « sa vérité » comme n’importe quel sous ministre ; on avait un émule de Jacques Le Goff mâtiné de Saint-Simon. L’impressionnant cycle qu’il avait commencé sur la fin de la paysannerie, l’effondrement moral consécutif à Mai 68, l’avènement des années fric, avant la déréliction de notre civilisation le maintenait au niveau des plus grands historiens et mémorialistes. Une sorte de Soljenitsyne qui aurait lu François Furet."

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3. (source : Le Figaro, article Énergies renouvelables: les déboires de l’éolien en mer...

DÉCRYPTAGE - Abandon de projets aux États-Unis, appels d’offres sans réponse : le secteur souffre. Les fabricants européens perdent de l’argent.

Posées ou flottantes, les éoliennes offshore tanguent. Projets abandonnés par les développeurs, fabricants occidentaux en crise, les difficultés s’accumulent. Pourtant, les ambitions sont grandes pour l’éolien en mer, qui est une des briques, avec le nucléaire et les autres renouvelables, devant permettre de se passer des énergies fossiles.

L’Europe veut porter sa production d’éoliennes en mer de 12 gigawatts (GW) à 60 GW en 2030 et 300 GW d’ici à 2050.Pour la France, cela signifie passer de 1 GW à 18 GW installés en 2035 Les États-Unis visent le développement de 30 GW supplémentaires d’ici à la fin de la décennie, la Corée du Sud, 14,3 GW en 2030.

Tombés à l’eau

Mais ces derniers mois, les déboires se sont multipliés dans cette industrie où les enjeux financiers sont colossaux - le déploiement de 1 GW nécessite en moyenne 4 milliards d’investissements. Aux États-Unis, nombre de projets de parcs offshore sont tombés à l’eau. Début novembre, le producteur d’électricité danois Orsted jetait l’éponge..."

Le premier parc éolien en mer de France, au large de Saint-Nazaire...

L'éolien se meurt, l'éolien "tombe à l'eau ? 

TANT MIEUX !

 

VIVE LE NUCLÉAIRE !

 

3 BIS. Et, puisqu'on parle des éoliennes, le saviez-vous ? 

• chaque année, chacune des pales d’une éolienne perd environ 180 kg de poids en poussières fines projetées dans l’air, faites de fibres de verre, de carbone et de résines époxy...

• en fin de vie, les pales non recyclables, sont enterrées ad vitam aeternam...

• toute cette pollution de fonctionnement pour le plus grand bénéfice des sociétés qui les fabriquent (en Chine) et qui les installent...

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5. Bravo et merci à Élisabeth Lévy d'avoir dénoncé le massacre de chrétiens au Nigéria, où près de 200 personnes ont encore été tuées :

"...Le sort des chrétiens dans certains pays musulmans est terrible..."

(extrait vidéo 0'54)

https://x.com/CNEWS/status/1740105470117912948?s=20

Au Nigeria, on massacre les chrétiens", le SOS de Bernard-Henri Lévy

 

6. Bravo aussi, dans un tout autre registre, à Guillaume Bigot, qui parle fort bien de nos ennemis allemands et de l'UE, une idée française, un protectorat allemand... :

"UE : “Ein Reich, Ein Euro, Ein Market !"..."

(extrait vidéo 2'19)

https://x.com/Guillaume_Bigot/status/1740293052713873566?s=20

 

Quatrième Reich": la Une de "Il Giornale" sur Merkel qui dérange

 

 

7. Le SACCAGE PARIS c'est aussi "ça", que laisse faire, permet et même encourage la mair'Hidalgo... De SOS PARIS :

Woodeum vient de lancer les travaux de construction des deux résidences sur le périphérique au niveau de la Porte de Brancion : épouvantable ! La "dé-civilisation", c'est aussi "ça" !...

 

 

À DEMAIN !

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