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Au Cinéma : À l'ombre des filles, par Guilhem de Tarlé

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À l’affiche : A l’Ombre des filles, un film franco-belge d’Étienne Comar, avec Alex Lutz (Luc, chanteur lyrique) et Agnès Jaoui (Catherine, en prison).

guilhem de tarlé.jpgÀ l’Ombre des filles… on en rêve… « A l’ombre des jeunes filles en fleur », me souffle-t-on, mais j’ai sans doute trop perdu de temps avec elles pour me blottir dans l’œuvre de Proust, qui n’a d’ailleurs rien à voir avec ce film…

À l’Ombre des filles… on risque plutôt d’y cauchemarder, en nous retrouvant en plein « chœur » d’une prison où l’artiste lyrique tente d’enseigner le chant à une demi-douzaine de détenues

Ah ! pourquoi Pépita sans répit m’épies-tu ? Près du puits, Pépita, pourquoi te tapis-tu ?

Ah ! pourquoi Pépita sans répit m’épies-tu ? Près du puits, Pépita, pourquoi tapis t’es-tu ?

Disons-le tout de suite, on est déçu par le versant musical du film qui nous fait regretter Les choristes et même les Compagnons (de la chanson).

Il s’agit, à nouveau, d’un documentaire, qui porte, cette fois-ci, sur une prison de femmes… mais quelle prison ? une prison 5 étoiles où chaque détenue dispose de sa cellule individuelle, qu’elle aménage à sa façon, avec pour certaines un équipement électronique qui permet de « télétravailler ». un confinement idéal en période de confinement.
Je m’interroge : cette prison existe-t-elle et où se situe-t-elle ? j’ai dû être distrait de ne pas le lire dans le générique, alors que le seul intérêt du long-métrage réside précisément dans ce centre pénitentiaire modèle où la peine de privation de liberté ne s’accompagne pas de crasse malodorante et de traitements indignes.

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