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Réunions anti “Blancs” à l'Unef : Julien Aubert, 5 membres d'Oser la France et 58 élus portent plainte.

Le député du Vaucluse, Julien Aubert (Photo © ALAIN ROBERT/APERCU/SIPA)

Les propos de la présidente de l'Unef, Mélanie Luce, ont confirmé les soupçons de réunions de « non-mixité ».

Les scandales autour de l'Unef se poursuivent. Le syndicat étudiant, accusé d'organiser des réunions de « non-mixité », dans lesquelles l'accès aux Blancs y est par exemple interdit, soulève une vague d'indignation. A commencer par les réactions de la classe politique qui se sont rapidement multipliées après l'annonce de Mélanie Luce, la présidente de l’Unef au micro d'Europe 1. Invitée de Sonia Mabrouk dans la matinale du 17 mars, elle a reconnu les faits : « Oui, ça existe (…) On organise des réunions pour permettre aux personnes qui sont touchées par le racisme de pouvoir exprimer ce qu’elles subissent ». Le député du Vaucluse Julien Aubert a rapidement fait partir un communiqué, cosigné par cinquante-huit élus ou anciens élus, et cinq autres membres d'Oser la France pour dénoncer ces réunions. Communiqué dans lequel il annonce le dépôt d’une plainte et la saisine du Procureur de la république, et qui a notamment été relayé par l'avocat Charles Consigny sur Twitter. Celui-ci s'est saisi de l'affaire, au même titre que son confère Francis Spizner. En cas de condamnation officielle à l'encontre de l'Unef, Julien Aubert a aussi profité du communiqué pour « demander à Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur, d'en tirer toutes les conséquences et de dissoudre le syndicat étudiant. »

 

Saisis par @JulienAubert84 et 58 élus, mon confrère @fszpiner et moi-même étudions toutes les suites à donner à l’ahurissante dérive de l’@UNEF https://t.co/gd4AxBsc28

— Charles Consigny (@CharlesConsigny) March 19, 2021

 

Une initiative qui fédère

Le communiqué retrace alors les révélations de la présidente de l’Unef et l'exclusion « des participants en fonction de leur couleur de peau ou de leur sexe » dans certaines réunions, ce qui relève d'une infraction délictueuse, selon Julien Aubert. S'appuyant sur l'article 225-1 du Code pénal, l'homme politique argumente ses propos : « Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques sur le fondement de leur origine (...) de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée à une ethnie, une Nation, une prétendue race ou une religion déterminée. » Julien Aubert précise aussi que cette saisine est le fruit de son initiative et celle du collectif Oser la France avec Guilhem Carayon, Valérie Boyer, Bernard Carayon, Sébastien Meurant et Guy Teissier. Parmi les cinquante-huit autres fédérateurs de la cause, on retrouve des députés européens tel que François-Xavier Bellamy, des députés, sénateurs ou anciens ministres comme Eric Ciotti et Gérard Longuet mais aussi des élus locaux comme Rudolph Granier, conseiller de Paris.

Source : https://www.valeursactuelles.com/

Commentaires

  • On dissout la génération identitaire qui défends la France et on tolère ceux qui la salissent ainsi que sa population si ce n est pas du rassis me cela lui ressemble énormément et on osent nous traiter de. Raciste si vous brûler notre drapeau brûler aussi la carte des alloc du RSA de la secu brûlés tous les papiers et vous rentrez chez vous on s en remettra casser vous sans retour vous ne nous aimez pas

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