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Dans Front Populaire : Charles Rojzman contre l'idéologie diversitaire, importée des campus américains...

L'idéologie diversitaire, importée des campus américains et cultivée dans les universités françaises, fait courir un véritable danger à nos sociétés.
 
Le plaidoyer de Charles Rojzman contre ce totalitarisme d'un genre nouveau :
 
A propos des idéologies diversitaires qui ont cours dans les universités américaines et françaises et dont nous ridiculisons les affirmations absurdement paranoïaques, il est temps d’ouvrir les yeux.

2.jpgPendant la deuxième guerre mondiale, en Biélorussie, Lituanie, Ukraine, Russie occupée, les « Einsatzgruppen », chargés de la sécurité préventive des troupes allemandes, devaient liquider les partisans, les chefs communistes, les juifs « bolchéviques » en état de porter les armes. Peu à peu, au cours de l’été 1941, leur mission se transforma et ils reçurent l’ordre de liquider également les femmes et les enfants juifs dans la cadre de la solution finale. Souvent précédés par des groupes de lettons, de lituaniens, d’ukrainiens qui, armés de gourdins et d’armes improvisées, battaient et tuaient les juifs, les « Einsatzgruppen » se livrèrent à de nombreux massacres de masse dans l’Europe de l’Est occupée par la Wehrmacht.

Ces « Einsatzgruppen » qui accompagnaient les troupes de la Wehrmacht étaient commandés par des officiers qui étaient des intellectuels reconnus : linguistes, professeurs d’université, philosophes. Certains possédaient même des doctorats et avaient justement les compétences rhétoriques et l’ascendant nécessaires pour convaincre les hommes de troupe d’assassiner des femmes et des enfants. Les scènes atroces auxquelles assistèrent de nombreux témoins, ressemblent à tous ces massacres commis dans d’autres contrées, plus tard, au Rwanda par exemple où ce furent également des intellectuels qui planifièrent et organisèrent le génocide des tutsis. Dans tous les cas, les massacreurs avaient la certitude qu’ils ne faisaient que se défendre contre l’extermination soi-disant prévue par leurs victimes. « Les juifs sont un peuple génocidaire », pouvait-on lire dans les journaux nazis de l’époque. « Les tutsis veulent vous exterminer tous, vous les hutus » clamait la célèbre radio des mille collines. En Europe de l’Est, ce furent les exactions réelles commises par l’armée rouge et les « judéo-bolcheviques » contre les nationalistes et la population qui leur était acquise qui servit de prétexte.

Comme avant la deuxième guerre mondiale, comme au Rwanda, au Cambodge, en Algérie, les futurs massacres se préparent dans les lieux de savoir, dans les universités grâce à la diffusion d’idéologies qui prônent la haine avec un maquillage de victimisation. Ceux qui se prétendent victimes finissent toujours, lorsqu’ils en ont la permission, par vouloir tuer ceux qu’ils accusent d’être des dominants, des exploiteurs, des oppresseurs. L’idéologie Völkisch a sévi dans l’Allemagne de l’entre-deux guerres et a facilité l’accession au pouvoir d’Hitler. Celui-ci a certes été soutenu par des milieux économiques mais aussi-et de cela on parle moins- par des personnes appartenant à l’élite intellectuelle et universitaire.

Il est temps d’ouvrir les yeux.

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