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Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Ava.

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Ava, une comédie dramatique (2017) de Léa Mysius avec Noée Abita

guilhem de tarlé.jpgCertes, il vaut mieux voir ce film qu’être aveugle mais il me paraît néanmoins inutile d’aller dans une salle obscure regarder cette fille qui, précisément, ne voit rien dans le noir…

C’est vrai quand même que, malgré son caractère boudeur, Elle se laisse bien voir et l’on accepterait volontiers d’être la victime de son « détournement de majeur ».

Ava, d’après ce qu’Elle dit, signifie « désir »… et si Elle est certainement désirable, ce nom, en tout cas, n’irait pas à sa mère qui n’est qu’une moins que rien, ce qui, pour plagier Raymond Devos, est encore trop !

Un spectacle déjanté, à ne pas mettre sous tous les yeux.

Le chien joue très bien.

Lorsque ce film est sorti en 2017, j’avais considéré que « j’aurais pu ne pas le voir » ; et je me suis donc abstenu de le regarder à nouveau sur Arte hier soir….

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