Coronavirus et manipulation politico-sociale : le masque comme rite de passage vers un Nouvel Ordre Mondial…
Source : https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/
Le muselage… sanitaire
Le masque sanitaire comme rituel de soumission
« En ce 14 juillet 2020, Macronus 1er vient de rendre obligatoires les masques dans les lieux publics clos devant une crainte d’une “seconde vague” du virus qui ne viendra pas, mais surtout comme mesure d’imposition d’une nouvelle “norme” sociale de la paranoïa et du contrôle organisés.
Toute cette affaire du SRAS-CoV-2 ou “nouveau coronavirus”, organisme génétiquement créé en premier lieu, dans un laboratoire de l’université de Caroline du Nord, avant sa militarisation dans les labos secrets du Pentagone et son larguage à Wuhan par une fausse équipe sportive militaire yankee “participant” aux jeux inter-armées en octobre 2019, emprunte pas à pas tous les méandres d’une vaste opération planétaire d’ingénierie sociale pour la transformation de nos sociétés en quelque chose de bien plus contrôlable à souhait, toujours sous le coup du thermostat de la tension dont le curseur est monté et descendu le long de sa coulisse, faisant passer le statut psychologique collectif de “crainte” à “peur” jusqu’à “terreur” et “panique” selon les besoins oligarchiques du moment.
A ce titre, une menace invisible, virale, aux effets gonflés à dessein par des gouvernements et des merdias complices, est bien plus efficace qu’une menace terroriste. Plus personne en effet ne croit qu’un islamiste se planque sous son lit, le mousseux est éventé, place donc au nouveau croquemitaine : le bien antipathique et terrifiant Bébert Corona alias COVID19 !
L’oligarchie eugéniste, malade de toujours plus de contrôle, mène nos sociétés vers une société de la grille de contrôle mondialisée, vers une nouvelle société de la dictature technotronique qui verra l’IA, les drones, l’internet des choses via la 5 puis la 6G, le nano-puçage, et le contrôle “sanitaire” paranoïaque total, contrôler à outrance nos vies quotidiennes à l’échelle planétaire. Les ordures aux manettes sont en train de nous faire passer d’une vieille société épuisée à un nouvel ordre mondial de la domination technotronique et elles veulent le faire avec notre “consentement” sanitaire. A ce titre, nous sommes contraints de nous soumettre à un rite de passage de l’une à l’autre des sociétés et comme tout rite de passage ancestral, ceci comprend ses propres stigmates, comme par exemple… le port du masque sanitaire.
Ainsi dans une 1ère phase, le masque est présenté comme inutile et même dangereux pour la santé, ce que soutient la science, car il n’est pas sain de porter un masque de la sorte des heures par jour. Puis on entre dans la 2ème phase où le masque est présenté comme le symbole de la survie, barrière ultime pour un nouveau virus qui ne fait pas plus de mort que la grippe saisonnière, même en gonflant les chiffres et râclant les fonds de tiroirs des morgues hospitalières. Il est avéré aujourd’hui que le taux de mortalité du CoV19, hors facteurs de co-mortalité, est de l’ordre de 0,45%, celui de la grippe saisonnière étant de 0,35%.
A Yankland, des officiels de la santé apparaissent à la TV pour dire aux gens de garder le masque même chez eux, prochaine étape, dormez avec, faites tout avec en fait ! Qui n’a pas vu une personne seule dans sa voiture avec son masque ?… Le conditionnement est en marche et fonctionne dans la vaste majorité des cas ! Pourtant, il suffit de dire NON !
Ainsi, le masque devient une espèce de “rite d’initiation” de masse à un nouveau paradigme social complètement construit, comme le furent l’État, les institutions, le commerce, l’argent et les modes de contrôle, au fil de l’histoire. Ces rites de passage existent depuis des millénaires et sont devenus courants dans les sociétés secrètes, dans l’armée qui n’est qu’un gigantesque rite d’obéissance et de soumission à tout un système.
Les rites d’initiation renforcent le désir de se conformer, d’appartenir à un groupe, et donc par ce truchement d’obtenir une validation identitaire. La méthodologie rituelle est presque toujours identique quelque soit le lieu ou le temps où elle prend place.
1) Dans un premier temps, l’initié est placé en isolement, ce qui le conditionne psychologiquement à ce qui va suivre et insiste sur l’importance du processus
2) Ses routines quotidiennes sont chamboulées à dessein afin de faciliter le passage aux nouvelles “normes”. Ceci relativise sa réalité, “désacralise” l’établi et le prépare au changement à venir.
3) Normalisation visuelle des initiés entre eux, comme avec par exemple le port d’un uniforme, se raser la tête, le tatouage, la scarification ou le port d’un objet, d’un artifice distinctif. Le but est d’annihiler l’identité individuelle de chaque initié(e) pour la remplacer par une identité collective et contrôlable à souhait. De la même manière, l’initié(e) se sent partie intégrante du groupe, puis…
4) L’initié(e) est mis(e) en situation traumatique de plus ou moins grande intensité. Une confusion et une angoisse plus ou moins importantes sont induites, à ce moment psychologique vital, l’initié(e) est mûr(e) pour sa transformation d’appartenance.
5) Cet état psychologique favorise l’introduction d’une nouvelle “norme”.
Nous voyons que ce rituel du masque est en train de créer une dissociation entre l’obéissance et la désobéissance, la conformité et la non-conformité, dans un nouveau rapport dichotomique.
Dans un contexte “initié / non-initié”, les initiés sont endoctrinés à voir les non-initiés, les rebelles, comme des ennemis et à agir en conséquence (agressivité, violence, délation, ostracisme).
Dans ce contexte, le port du masque devient une reconnaissance collective et permet aussi d’identifier les “déviants”… et de préparer le terrain pour cette nouvelle escroquerie vaccinale qui vient. Soyons aussi clair là-dessus: aucun vaccin ne peut marcher (si tant est qu’un vaccin puisse être efficace), le virus mute en permanence…
A partir de là, le pas à franchir vers le goulag réalisé n’est plus bien loin, ce n’est plus un pas insurmontable, mais un petit pas, un de ces petits pas de la “nécessité” sociale dans le meilleur des mondes mis en place et que bien des gens trouveront normal de franchir… si on laisse faire et laisse verrouiller cette grille de contrôle planétaire.
Pensons, soyons critiques, unissons-nous, et agissons de concert, flinguons cette dictature en marche avant qu’elle ne nous flingue ! »