Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...
Entre autres sujets, le sinistre Bergeret commence sa sinistre besogne : brûler Paris ("Paris sera à nous ou n'existera plus", disait sa comparse, la non moins sinistre Louis Michel...)
Mais, aussi, la mort de Victor Hugo, parfaite girouette politique, au point d'en être caricaturale... L'occasion de séparer ce qui relève de sa période royaliste de ce qui relève de sa période "d'après"...
De sa période royaliste, le Notre Dame de Paris, qui réhabilite le Moyen-Âge et rend à l'art ogival ou français, improprement appelé "gothique", ses lettres de noblesse; Hugo le qualifie même, avec justesse, comme l'archétype de l'art français... Avec Chateaubriand, Victor Hugo, dans sa période royaliste, est celui qui a rendu son art médiéval, et donc une partie de son âme, à la France...
Dommage que la girouette ait tourné, ensuite !...
lafautearousseau