ESPAGNE : LA HONTE POUR LES SOCIALISTES DE GUERRE CIVILE QUI EXHUMENT LE CERCUEIL DE FRANCO
Que faire et que dire d'autre devant ce lamentable et misérable spectacle de dirigeants passéistes haineux, au coeur et à l'esprit habités de guerre civile, qui au lieu de s'attaquer aux nombreux problèmes de l'Espagne d'aujourd'hui, déterrent un cercueil et voudraient rallumer des braises éteintes depuis cinquante ans ?
Simplement ceci : vous pouvez bien couvrir votre nom de honte pour les siècles à venir en vous livrant à une telle bassesse et ignominie; mais vous n'empêcherez jamais ce qui fut d'avoir été :
En écrasant le marxisme-léninisme, alors en pleine expansion, Franco a d'abord sauvé son pays de la barbarie marxiste et lui a évité le sort des malheureuses démocraties populaires de l'Europe de l'Est pendant quarante ans.
Ensuite, lors de son entrevue avec Hitler à Hendaye, le 23 octobre 1940, Franco a sauvé l'armée française d'Afrique du Nord en refusant à Hitler le passage de son armée par l'Espagne; il a ainsi hâté la fin de la guerre, le retour de la paix et la victoire finale des Alliés..
Commentaires
Pedro Sanchez et toute la gauche espagnole veulent gagner une guerre terminée depuis quatre-vingt ans. Comment faire sans la rallumer ?
Plus qu'une boîte de Pandore, les pouvoirs espagnols ont ouvert le tonneau des Danaïdes. Il reste maintenant à reconvertir le monstrueux ouvrage qui prend l'eau - des millions ont été englouti dans des travaux vains d'étanchéité - et de s'entendre sur le destin des ossuaires contenant trente-trois mille corps que Sanchez, tout à sa rage, veut restituer aux familles (c'est la nouvelle du jour). L'identitification est une gageure purement démagogique qui va coûter une fortune avec toute la frustration des oubliés.
L'Espagne bien mal en point a mieux à faire que de retourner des morts, mais la logique de ce ces travaux a une fin en soi : une fois le site "débarrassé", il ne restera plus qu'à démonter l'emblème de tout cimetière, la croix.
N'ayant pu vaincre FRANCO de son vivant, la médiocratie socialiste espagnole, se venge sur son cadavre; 44 ans après la mort du Caudillo, pour des raisons de politique intérieure, les Socialistes
Je pense, que, au fond du fond, Catoneo a raison : bien sûr, il y a la haine de Franco; la non-acceptation de la débâcle de 39; le revanchisme béta et minable de gens qui veulent faire oublier leurs responsabilités et leurs erreurs aujourd'hui; et tout ce qu'on voudra... Mais il y a certainement, au fin fond du fin fond... la haine de la Croix.
Setadire, bonjour ! Il semble que votre commentaire ne soit pas passé entièrement, non ? Vous voulez parler peu-être d'une grossière opération de diversion pour faire oublier le révolutionnarisme séparatiste catalan ?