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De plus en plus de pauvres, selon l'Insee : les chiffres qui condamnent ce Système, qui déclasse inexorablement la France...

LAFAUTEAROUSSEAU STAISTIQUES EN HAUSSE.jpgSelon la dernière estimation de l'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques), le nombre de pauvres a atteint l'an dernier 9,millions 300 mille personnes (c'était 8,9 millions en 2017, la proportion de pauvres est passée de 14,1% à 14,7% de la population.
 
Et l'écart entre les plus riches et les plus pauvres continue de se creuser.

Commentaires

  • L'augmentation du nombre de pauvres en France est logique. En effet la France est un pays sous camisole administrative d'un Etat autoritaire, il est donc essentiellement organisé par des gens incapables de produire des biens, et pour lesquels la valeur ajoutée se compte en feuilles de papiers. La gestion administrative qui est la spécialité des fonctionnaires dirigeants ne produit qu'une très faible valeur ajoutée, car ce type d'activité n'est que corollaire à l'activité économique, pas sa source, elle est une valeur retranchée souvent inévitable, mais elle devrait impérativement être contenue. Or le modèle français d'Etat ne le fait pas, au contraire, il en augmente la proportion dans le PIB, souvent jusqu'à oblitérer une large part de la valeur ajoutée, d'où une productivité faible, qui génère dans l'esprit des dirigeants des réflexes de normalisation réglementaire et fiscale pour promouvoir une rationalité apparente qui ne fait que détruire un peu plus celle de l'activité économique. Cette spirale destructrice de valeur ajoutée obère la productivité des agents économiques, le sentier de croissance de l'économie se rétrécit sous les normes administratives, et la production est insuffisante pour augmenter la richesse du pays. La croissance continue de la dette extérieure française est un marqueur de l'insuffisance de la productivité, elle montre que la France a depuis longtemps recours à l'emprunt pour compenser l'insuffisance de son modèle productif, puisqu'elle n'emprunte pas pour investir, ce qui pourrait être acceptable, mais pour payer des dépenses courantes, ce qui est le comble de la mauvaise gestion. La logique du système porte les fonctionnaires à se substituer aux agents économiques en les privant de leur rationalité, pour favoriser des réorientations susceptibles à leurs yeux de corriger les rigidités et insuffisances du modèle, mais l’économie administrée n’est que l’ombre du reflet de l’économie réelle, c’est de l’administration, pas de l’économie, et c’est pour cela que c’est inefficace.

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