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Il faut distinguer suivant la volatilité de produit et sa durée de volatilité.
Un exemple: Je dis à mes ouvrier de faire attention à la direction des vents à cause des vignes, coté largeur, d'une parcelle de 12 ha de blé . Il y a un chemin de 6 mètres de largeur entre la vigne du voisin et la parcelle de blé. Il désherbe le blé. 4 jours après le voisin me téléphone en me disant qu'une trentaine de mètres de sa vigne est grillée. Je vais voir : pas de doute les herbes du chemin et cette partie de vigne sont bien atteintes par l'action du désherbant.. L'ouvrier qui a effectué le traitement me dit qu'il n'y avait pas de vent pouvant déplacer le produit dans cette direction ? L'idée m'est venue de téléphoner à la station météo proche pour vérifier : 48 heures après le désherbage le vent avait changé de sens, ce qui expliquait les dégâts sur la vigne !
Le problème est que les désherbants non volatil pourraient être épandus plus ou moins à proximité suivant la finesse de la pulvérisation mais pour les produits volatils, il faudrait peut être 50 métres. Quid des pertes pour les agriculteurs ou du retour à la culture sans pesticides comme autrefois ?
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Il faut distinguer suivant la volatilité de produit et sa durée de volatilité.
Un exemple: Je dis à mes ouvrier de faire attention à la direction des vents à cause des vignes, coté largeur, d'une parcelle de 12 ha de blé . Il y a un chemin de 6 mètres de largeur entre la vigne du voisin et la parcelle de blé. Il désherbe le blé. 4 jours après le voisin me téléphone en me disant qu'une trentaine de mètres de sa vigne est grillée. Je vais voir : pas de doute les herbes du chemin et cette partie de vigne sont bien atteintes par l'action du désherbant.. L'ouvrier qui a effectué le traitement me dit qu'il n'y avait pas de vent pouvant déplacer le produit dans cette direction ? L'idée m'est venue de téléphoner à la station météo proche pour vérifier : 48 heures après le désherbage le vent avait changé de sens, ce qui expliquait les dégâts sur la vigne !
Le problème est que les désherbants non volatil pourraient être épandus plus ou moins à proximité suivant la finesse de la pulvérisation mais pour les produits volatils, il faudrait peut être 50 métres. Quid des pertes pour les agriculteurs ou du retour à la culture sans pesticides comme autrefois ?