Lu (et apprécié) aujourd'hui sur la page facebook de notre ami Emmanuel Boutang
Extrait d'une chronique "La vie politique" (probablement publiée dans Aspects de la France), où il était question, entre autres, d'Edouard Herriot :
"Les niaiseries intéressées du Figaro sur la continuité républicaine, il faudrait les "laisser aller", leur dire bonsoir, comme le recommande le Socrate du Philèbe lorsqu'il s'agit de la poussière, de la crasse, de la boue, pures et impures matières dont les mouvements indéfinis n'ont d'autre loi, d'autre unité, que l'appétit stupide et le désir brut." (Pierre Boutang)